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Litige immobilier – Chapitre 2

Litige immobilier - Chapitre 2



En entendant cette phrase, murmurée à mon oreille par Cindy, la voyant sourire des lèvres avec une expression perverse dans son regard, et en imaginant cette cliente rentrer dans le bureau et me voir tout nu, je deviens tout rouge, totalement paniqué, la honte m’envahissant totalement avant même que la cliente ne soit là.

Cindy me dit de ne pas bouger, d’attendre à côté du bureau.

Elle se dirige vers la porte, l’ouvre, je ne perçois que Cindy de dos, et je l’entends appeler la cliente :

— Laura, c’est à nous, venez je vous en prie.

A cet instant, mon corps tremble de plus en plus de stress et d’inquiétude, sentir l’air ambiant sur mon corps nu allié à l’angoisse de me retrouver face à cette inconnue qui va me voir totalement dévêtu, je commence à me poser plein de questions : Comment va-t-elle réagir ? Va-t-elle être choquée, dégoûtée, morte de rire, m’ignorer ?

A quoi ressemble-t-elle ? Sera-t-elle jeune, vieille, belle, laide ?

Je deviens fou, je panique totalement, j’appréhende totalement cet instant humiliant de la rencontre.

Cindy laisse passer la cliente en lui tenant la porte, puis la referme.

Je vois la cliente rentrer, Laura, une jeune femme d’environ 20-22 ans, brune, cheveux frisés mi-longs, lunettes, yeux bleus, escarpins à talons hauts rouges, minijupe bleu ciel, débardeur plongeant sans manche de couleur saumon.

Elle rougit, se retient de rire, me regarde de haut en bas avec excitation.

Laura dit :

— Excusez-moi Cindy, mais pourquoi cet homme est-il tout nu dans votre bureau ???

— Oh Laura, voyez-vous, ce cochon a tenté de me faire chanter en me menaçant si je ne sortais pas avec lui en échange d’un service qu’on lui devait !

— Ah bon ??? Il a voulu vous faire chanter ??? Et du coup il est tout nu pourquoi ?

— Parce que je le punis comme il le mérite ! Le sexe par le sexe ! Il a voulu me faire des avances, je le punis avec ses propres armes, vous saisissez ?

— Ah oui je vois ahaha. L’arroseur arrosé en somme !

— Exactement Laura ! Vous avez tout compris. Bien, installez-vous je vous en prie.

Les deux femmes s’installent, et font style de m’ignorer. Laura s’assoit sur la chaise en face de Cindy. Elles commencent à parler du dossier en cours de la cliente.

— Alors on avait un dossier en cours avec vous, vous vouliez faire estimer votre appartement actuel en vue de le vendre c’est bien ça ?

— Oui c’est bien ça, l’appartement B6, la résidence des clairières.

— Ah oui je me souviens maintenant.

Cindy commence à compléter le formulaire pour Laura, puis elle s’exclame :

— Oh mais quelle idiote !!! Je me suis trompée en inscrivant votre nom, j’ai écrit mon nom au lieu du vôtre, je suis désolée, je vais devoir recommencer Laura, vraiment quelle idiote je suis.

Laura intervient :

— Mais non Cindy, vous n’êtes pas fautive, c’est cet homme-là, avec son sexe en érection juste à côté de nous qui vous trouble, c’est lui le fautif !

— Oh oui, vous avez raison Laura, c’est lui qui m’a perturbé !

— Evidemment, regardez il bande comme un cochon, c’est vraiment un pervers, comme tous les hommes tiens !!!! Il mériterait d’être exhibé tout nu dans la rue, pour que tout le monde voie quel cochon il est !!!

Les deux femmes rient. Cindy répond :

— Hum, quelle bonne idée Ahahah !!! Si seulement j’osais !!! Par contre je ne suis pas sûre que cela soit bien légal, dommage. Mais c’est clair que son érection devant vous, une cliente, c’est impardonnable ! Je vais le punir de ce pas, tiens !

Cindy ouvre son tiroir de bureau, puis elle sort une petite cordelette. Elle se lève de sa chaise, et vient vers moi. Elle entoure mes couilles avec la cordelette, en faisant plusieurs tours, puis fait un nud pour serrer la base des couilles, puis elle entoure ma verge avec la longueur restante, en la ficelant comme un rôti, puis elle refait un nud autour de mes couilles avec les deux longueurs de corde restantes. Mes couilles commencent à me faire mal et à devenir rouges, tout comme ma verge. Puis Cindy me gifle la verge en criant :

— Cochon !!!!!!

Elle serre la cordelette un peu plus en m’ordonnant d’arrêter de bander.

L’excitation me fait sortir une goutte de sperme, ce qui me fait débander un peu. La goutte est invisible, Cindy ne la remarque pas, et me dit :

— Ah, tout de même ! C’est pas trop tôt ! Que ça ne se reproduise pas, sinon ça sera bien plus douloureux la punition !

Cindy retourne à son bureau. Les deux femmes reprennent leur conversation :

— Alors Laura, vous avez vu comment on mate un homme ?

— Ahahah, oh oui Cindy, j’en prends bonne note, quel charisme !

— Oui c’est clair que j’ai ce charisme naturel, depuis toujours, j’ai toujours impressionné les hommes dans ma vie, j’ai ça dans le sang !

— Les hommes sont si bêtes, si primaires. On peut en faire ce qu’on veut vraiment, ils ne pensent qu’avec leur zigounette, c’est dire ahahah !

— Ahahaha je suis tellement d’accord avec vous Laura, ça les mène pas loin tout ça.

D’un coup, Laura jette un il vers moi, puis dit :

— Oh Cindy, je crois que la cordelette est en train de se desserrer.

— Ah bon ? Vous êtes sûre ?

— Oui oui. Je suis désolée, je veux pas paraître fayote, je préfère vous dire la vérité, je déteste mentir, et je viens de le remarquer, je ne sais pas si c’est normal, je voudrais pas que ça vous porte préjudice.

— Oh mais vous avez bien fait ! Je vais la resserrer, il est puni, il ne doit pas avoir de répit !!!!

— Non… laissez… je… je vais m’en occuper, je suis plus près, et puis vous avez assez de travail comme ça avec mon dossier… enfin, si vous voulez…

— Oh, eh bien merci beaucoup Laura, si ça ne vous gêne pas… vous êtes vraiment sûre ?

— Oui oui oui, je vous dois bien ça après tout ce que vous faites pour moi.

— Bon, bien allez-y alors, merci.

Je ne comprends pas pourquoi elle dit ça, sachant que la cordelette est toujours autant serrée, et qu’elle me compresse les boules et la verge, me faisant souffrir, le sang affluant dans la verge, la rendant raide de plus en plus. Puis je comprends quand je vois la cliente, qui me fixe du regard, avec un large sourire coquin, se mordillant les lèvres, semblant totalement excitée. Elle attrape la cordelette des deux bouts qui pendant de chaque côté de mes couilles, puis refait un nud supplémentaire, en serrant encore plus mes couilles et ma verge. La pression me compresse terriblement les couilles, les rendant violettes, ma verge commence à être cisaillée par les enroulements de la cordelette, et la pression du nud de la cordelette me fait raidir encore plus la verge, qui se retrouve bien à l’horizontale.

Cindy ne s’occupe pas de nous, elle est concentrée sur son travail et ne nous remarque pas.

Laura est face à moi, dos au bureau de Cindy, elle profite de ce moment d’inattention de Cindy pour soulever sa jupe, elle descend sa culotte jusqu’aux cuisses, me montre sa chatte, la caresse, se lèche les lèvres, ce qui a pour conséquence de me faire bander comme un dingue, mon sexe étant maintenant dressé à la verticale, complètement bandé.

La cliente remonte sa culotte, et rebaisse sa jupe, se retourne vers Cindy et dit :

— Hum, Cindy, je crois que votre puni recommence à bander, ne l’avez-vous pas interdit d’érection ?

Cindy lève les yeux, regarde, et rentre dans une colère noire :

— Quoiiii ???? Qu’est-ce que je vois ???? Mais quelle honte !!!! Vous continuez à bander devant ma cliente !!!!

Laura rétorque :

— Oui, quelle honte vraiment ! Vous allez le punir j’espère !!! »

— Oh que oui ne vous inquiétez pas !!! Il va regretter je vous le dis !!!!

Laura me regarde avec un sourire moqueur.

Cindy s’énerve et dit :

— Je vais bien le punir, asseyez-vous et regardez bien Laura, comment on corrige un cochon !!!!

— Merci, je ne vais pas en louper une miette !

Laura me fixe avec un air très strict, une expression hautaine du visage, semblant feindre l’indifférence.

Cindy sort une longue baguette fine en bois de 45 centimètres de long et de deux millimètres de large de son tiroir, elle s’approche de moi, et me dit :

— Alors cochon, tu bandes devant ma cliente, tu aimes ça bander hein ? Eh bien on va voir si tu vas continuer longtemps, je vais te fouetter la bite jusqu’à ce que tu arrêtes, tant que tu bandes, je continue, c’est clair ?

— Oui…

— Oui qui ?????

Cindy me colle une gifle allez retour dans la figure.

— Oui Madame BONNIN !

Cindy commence à me fouetter le gland de gauche à droite une dizaine de fois :

— Tiens !!! Tchac tchac tchac tchac tchac tchac tchac tchac !!!

Je crie, je pleure :

— Madame pitiéééé arrêtez !!!

— Arrête de bander alors cochon !!! Sinon je continue !!!!

La cordelette est si serrée que malgré la douleur de la flagellation, mon sexe reste dur et en érection.

Cindy devient rouge de colère :

— Mais c’est pas vrai !!!! Un vrai animal !!! Tu vas débander gros cochon putain !!!

Elle me fouette la verge de gauche à droite, de haut en bas, de plus en plus vite, de plus en plus frénétiquement.

Je hurle de douleur, j’ai la verge qui saigne, les collègues de Cindy me regardent à travers la vitre, complètement ébahis, subjugués et excités à la fois par la scène.

Je sens que la cordelette maintient mon sexe en érection malgré la douleur des coups de baguette, je supplie Cindy :

— Pitiééééé Madame BONNIN !!! La cordelette est trop serrée !!! C’est elle qui me maintient en érection !!!! Je vous en prie, je ne peux pas contrôler ça !!!!

— Quoi ??? Tu me demandes de te desserrer la corde ? Tu es censé être puni je te signale ! Tu crois vraiment que ça changera quelque chose ? Je demande à voir, à mon avis tu es un tel cochon, tu vas continuer à bander ! Je vais la desserrer alors, mais si tu bandes je te préviens que tu vas vraiment passer un sale quart d’heure !!!

Cindy desserre la cordelette, ma bite libérée par le déroulement de la corde devient toute mole.

Cindy est surprise :

— Ah ! Visiblement tu disais peut-être vrai ! Bien, restes comme ça, et ne nous interromps plus, nous avons du travail la cliente et moi !

Laura est dégoûtée, elle me regarde avec agacement. Je l’ai vaincue, tant que je n’ai pas la cordelette autour du sexe, je peux tenter de contrôler mon érection, et elle n’assistera pas à la punition de Cindy.

Cindy reprend le dossier de Laura, elle lui pose des questions, mais Laura répond un peu de façon évasive. Elle semble visiblement plus intéressée par l’idée de me voir puni que par son dossier, semblant chercher un moyen de me faire bander sans éveiller les soupçons de Cindy. Cela semble l’exciter beaucoup de faire la fille innocente et de me faire passer pour un pervers, elle semble jubiler de jouer avec moi ainsi.

Elle regarde tout autour d’elle, sur le bureau, puis elle aperçoit mon téléphone portable, laissé sur le bureau de Cindy quand elle m’avait ordonné de me déshabiller.

Elle remarque que Cindy utilise son portable, et en déduit qu’il doit s’agir du mien.

Elle l’attrape discrètement, et me regarde exprès pour voir ma réaction.

Je rougis, et grimace en la voyant prendre mon téléphone.

Elle sourit, comprenant qu’il s’agissait bien de mon téléphone.

Heureusement, il est verrouillé par mot de passe. Elle ne le trouvera pas sans me demander, et ça ferait trop suspect.

Elle semble agacée, elle serre les dents, fronce les sourcils.

Puis elle remarque mon dossier sur le côté du bureau, mais elle ne sait pas s’il s’agit bien du mien ne connaissant pas mon nom.

Elle interpelle Cindy, au culot :

— Euh, Pardon Cindy mais vous avez laissé un dossier ici, un certain Alexandre LONBAR, c’est un client à vous ?

— Ah ! C’est le dossier du jeune homme tout nu à côté de nous actuellement ! Il l’a laissé traîner, vraiment quel petit con ! Donnez-le-moi je vais vous débarrasser le bureau.

— Non non, ça ne me gêne pas, ne vous dérangez pas pour ça, il est juste sur le coin de la table, je disais ça pour vous rendre service, au cas où ça soit un dossier important.

— Ah OK. Vous êtes sûre ? Si jamais il vous gêne donnez-le-moi.

— Oui OK pas de problème.

La cliente a gagné. Elle sait que le dossier m’appartient, avec toutes mes infos personnelles dessus.

Elle regarde le dossier, discrètement, pendant que Cindy est occupée à remplir son dossier, puis elle commence à taper sur mon téléphone pour tenter de trouver mon mot de passe de déverrouillage.

Elle reste calme, concentrée sur mon téléphone, avec un visage neutre.

Le code de déverrouillage comporte quatre chiffres, avec les infos dans mon dossier sur ma date de naissance, mon adresse, elle allait finir par trouver.

En quelques secondes, elle déverrouille mon téléphone.

Elle me regarde avec un large sourire moqueur, de satisfaction, semblant dire « Hum je t’ai eu, on va voir ce que tu caches dans ton téléphone petit cochon ».

Je suis foutu. Mon historique internet avec mes recherches de femmes dominatrices, de vidéos femdom, de fétichisme du pied féminin. Elle va tout voir.

La cliente fouille dans mon téléphone, je ne vois pas d’où je suis ce qu’elle voit, mais je la vois faire glisser son doigt sur mon écran de téléphone, et je vois son visage sourire de plus en plus, ses yeux s’ouvrir en grand comme par stupéfaction de ce qu’elle découvre.

Elle s’arrête sur un dossier, me regarde, et arbore un visage de satisfaction, semblant signifier qu’elle vient de trouver quelque chose de compromettant.

Elle pose mon téléphone sur le bureau, puis dit à Cindy avec un ton théâtral, en haussant la voix afin que j’entende clairement ce qu’elle dit :

— Cindy, cela vous dérange si j’ÔTE MES CHAUSSURES ????

Laura tourne la tête vers moi en disant cela, avec un large sourire, et observe ma réaction.

Le simple fait d’entendre cette phrase me fait rougir, et mon sexe commence à se dresser.

Merde, cette pute a vu mes dossiers photos de pieds féminins, elle a compris que j’étais fétichiste et que cela me faisait bander à mort.

Cindy répond :

— Oh, comme vous voulez Laura, pas de souci, vous avez des chaussures à talon je suppose ? Je comprends tout à fait vous pouvez les enlever.

— Ah merci Cindy ! Donc alors je PEUX ENLEVER MES CHAUSSURES A TALON ET ME METTRE PIEDS NUS ALORS ???

Elle dit bien fort cette phrase, en me regardant d’un il, ma bite se dressant encore, rien qu’à imaginer la chose…

Cindy répond :

— Oui oui, pieds nus si vous voulez, ne vous gênez pas Madame.

La cliente retire ses chaussures à talon, dévoilant ses pieds nus, aux longs orteils fins, vernis en rouge bordeaux, avec un bracelet à la cheville.

Je suis foutu. La cliente a exactement le type de pied féminin qui me rend dingue. Elle a vu dans mon dossier que j’aime ce genre de pied féminin, les filles aux grands pieds, pointure 42-44, et aux orteils longs, fins, et vernis.

A la vision de ses pieds nus dévoilés, mon sexe durcit d’un coup, je rougis terriblement, je baisse la tête pour tenter de ne pas montrer ma gêne, je tente de détourner le regard de ses pieds, de penser à autre chose.

La cliente croise ses jambes, la jambe gauche posée sur la droite, faisant balancer son pied gauche dans le vide, agitant ses orteils, à quelques centimètres de mon sexe.

Je tente de regarder ailleurs, mais je sens que son pied est en balancement très près de mon sexe, et mon excitation perverse me donne furieusement envie de regarder.

Laura voyant que je suis proche de craquer, décide d’en rajouter :

— Hum Cindy, j’ai terriblement MAL AUX JAMBES !!! Cela vous dérange si je les tends sur le côté ?

— Non Laura, pas de souci.

Laura s’assoit sur le côté, dos contre l’accoudoir de la chaise, et tendant ses deux jambes bien droit, en direction de mon sexe. Elle rapproche discrètement la chaise de quelques centimètres, faisant en sorte que ses pieds arrivent pile sur mon sexe.

Je sens ses pieds chatouiller ma verge, passer sous mon sexe et caresser mes couilles, je me mets à bander d’un coup.

La cliente fait l’innocente, elle continue de parler avec Cindy comme si de rien n’était, tout en me tripotant la bite :

— Alors Cindy, vous pensez que pour mon dossier, c’est bon ? Je n’ai pas besoin de vous fournir

D’autres justificatifs ?

— Non Laura, je pense que tout est en ordre, vous avez un projet en particulier avec votre mari ?

Cindy relève la tête doucement et cherche un trombone sur son bureau. A ce moment, Laura détend ses jambes, les plie, ce qui fait que ses pieds sont au niveau de la chaise, en bas, et plus sur mon sexe, afin de ne pas éveiller les soupçons de Cindy, qui attrape le trombone, l’épingle sur le dossier, et regarde Laura.

— Oui mon Mari veut que nous aménagions une vieille ferme, à retaper, on veut vivre à la campagne avec nos futurs enfants.

— Ah, c’ est super ça ! Vous avez bien raison.

Cindy retourne au formulaire de Laura, et continue de le remplir, les yeux rivés dessus, laissant le champ libre pour Laura. Elle en profite pour retendre ses jambes, et commence à me masturber avec ses deux pieds, tout en parlant à Cindy :

— Oui la campagne c’est bien pour les enfants, et pour nous aussi. La vie citadine c’est bien, mais il y a des inconvénients. Je pense que ça nous fera vraiment du bien de changer d’air !

— C’est clair !

Je bande comme un fou, la sensation des pieds nus de la cliente frottant ma verge à toute allure, allié au fait qu’elle m’ignore et parle avec Cindy de banalités en même temps me font monter la sève. Je sens que je vais bientôt jouir.

Cindy s’arrête d’écrire et lève la tête vers Laura, Laura détend ses jambes à nouveau, laissant mon sexe bien bandant, au bord de l’explosion.

— Vous avez bien donné la copie de votre bail à notre secrétaire j’espère ?

— Oui on l’a fait le mois dernier.

— Ah ouf… j’ai eu peur, comme je me souvenais plus vous l’avoir dit.

— Pas de soucis Cindy, c’est fait.

Cindy retourne au formulaire, et continue de le remplir.

Laura retend ses jambes, et reprend sa branlette pédestre.

Elle m’astique de plus en plus fort, de plus en plus vite, son bracelet à la cheville se choquant contre mes boules. Je m’apprête à gicler, je peux plus me retenir, l’excitation est trop forte, je sens le sperme sur le point de jaillir :

— On est quel jour déjà ??? -Cindy lève la tête d’un coup.

La cliente détend ses jambes d’un coup, à l’instant où je commence à jouir, totalement surprise et prise de court par la question soudaine de Cindy.

Ma verge est toute dressée, et j’expulse des jets de foutre puissants, le sperme giclant et se déversant par terre en grande quantité, sous le regard abasourdi de Cindy, et de la cliente qui semble aussi surprise de me voir gicler alors qu’elle avait arrêté de me masturber.

Mon éjaculation interrompue à la dernière seconde, à l’instant pile où les premières gouttes de sperme sortaient ont eu pour effet de me faire gicler avec une totale absence de jouissance, la masturbation de ma verge ayant été interrompue par Laura.

Je me suis donc vidé sans ressentir aucun plaisir dû au fait que Laura n’a pas continué à me masturber quand l’éjaculation commençait, et la seule chose que j’ai ressentie était une immense honte, et une sensation d’avoir été totalement humilié dans ma qualité de mâle.

Cindy hurle:

— Mais ????? JE RÊVE !!!!!!! Tu viens de gicler dans mon bureau par terre !!!! Et devant ma cliente en plus !!!!

— Aaaaaaah oui c’est vrai beeeeeerk !!!! Mais quel gros dégueulasse !!!!

Cindy rentre dans une colère folle :

— C’est vraiment la goutte de trop, si je puis me permettre le mauvais jeu de mots !!! Tu vas vraiment prendre cher, petite salope !!! Tu vas être ma pute jusqu’à ce que je décide que j’en ai assez de toi, compris petite merde ?

— Oui Madame BONNIN…

— Et tu vas t’excuser devant ma cliente de suite !

Laura regarde Cindy me gronder comme un enfant, et jubile de me voir totalement soumis, anéanti par le charisme de cette femme, qui fait de moi ce qu’elle veut.

Elle tente de ne pas montrer son excitation, et affiche un visage colérique, sourcils froncés, comme si elle était outrée par mon comportement :

— Hum ! Je ne sais pas si des excuses suffiront ! Je suis vraiment choquée, dégoûtée, limite violée par ce que je viens de voir ! Je suis une cliente, et je n’ai pas à voir un homme exhiber son sexe sans aucune pudeur et se vider les couilles devant moi ainsi !

— Oui Laura je vous comprends tout à fait. C’est intolérable ! Que désirez-vous qu’il fasse pour s’excuser ? Allez-y, il est puni, c’est ma petite pute, il doit m’obéir, il doit donc aussi vous obéir puisque vous êtes ma cliente !

— Oh, vraiment ? Je peux exiger ce que je veux de lui ?

— Oui, tout ce que vous voulez Laura, il a pas le choix, et s’il refuse croyez-moi il le regrettera !

— Hum, alors il peut venir chez moi ce week-end afin que je m’en serve de larbin pendant que mes copines seront là ?

— Oui, il le fera.

— Oh et bien merci, ça devrait suffire à couvrir le préjudice que j’ai subi.

— Bien, dans ce cas il viendra chez vous ce week-end, et il a intérêt à vous obéir, sinon appelez-moi, je viendrai sur le champ m’occuper de son cas !

— Entendu Cindy !

Cindy se tourne vers moi, et me dit d’un ton agressif :

— Petite pute, t’as compris la dame ? Tu iras chez elle ce week-end, et si tu ne la satisfais pas, tu auras affaire à moi, compris ?

— Oui Madame…

Cindy se lève de son bureau, et serre la main de Laura en lui disant :

— Bien Laura, pour votre dossier je vous appelle dès qu’on a du nouveau, rentrez bien, et n’hésitez pas à m’appeler si vous avez des questions.

— Oui merci beaucoup Cindy, vous m’avez bien aidée, et puis j’ai passé une bonne heure en votre compagnie, malgré la présence de ce gros pervers dégueulasse !!!

— Oui Laura, je vous présente mes excuses au nom de Bouygues Immobilier, j’espère que le mal sera réparé ce week-end, tenez-moi au courant.

— J’y manquerai pas, au revoir.

— Au revoir Laura.

Laura passe devant moi, me regarde avec un sourire vicieux, moqueur, me tire la langue comme une gamine qui se moque de moi et semble dire « nananère, j’ai gagné, tu vas être ma pute à moi aussi ».

Elle sort du bureau et referme la porte.

Cindy me regarde, et s’adresse à moi avec un ton humiliant :

— Tu vas tellement être humilié, tu as pas idée petite pute. Tu m’appartiens, et je vais trop m’amuser avec toi !

— Oui Madame BONNIN.

— Ahahaha ! Petite salope ! Depuis notre première rencontre j’ai compris que tu étais soumis, que tu aimais que je te parle mal, je l’ai remarqué tout de suite !

— Oh… mais…

— Mais quoi ? T’es foutu, tu m’as fait chanter, et en plus je sais que tu aimes ça, tu es à moi maintenant !

— Oui Madame…

— Ahahaha, j’ai vraiment un boulot super en fait ! Je fais plein d’erreurs, et au lieu d’être sanctionnée c’est mon client qui me dédommage financièrement, et qui, en plus, devient ma pute. Si tous mes clients pouvaient être comme toi, je serai la reine du monde ahahaha !

Cindy a désormais une totale emprise sur moi. Elle avait deviné depuis le début que j’étais soumis, et elle m’a manipulé entièrement. Je suis foutu maintenant, condamné à être son esclave sexuel, son larbin, son prisonnier. Et je suis même le larbin de la cliente pour le week-end prochain, que va-t-il se passer chez Laura ?

— Bien cochon, rhabille-toi, on est dans un bureau public ici, tu te crois où ???

Cindy m’humilie de plus en plus, jouant sur mes nerfs, sur le paradoxe de la situation.

— Oui Madame, pardon, je me rhabille.

— Casse-toi maintenant, je t’autorise à te rhabiller ici, tu as de la chance, je suis trop bonne, remercie-moi !

— Merci Madame BONNIN !

— Et tu as intérêt à aller chez Laura, sinon ce que tu as subi ici ça sera vraiment rien à côté de ce que je te réserve.

— Oui Madame j’y serai promis !

Je me rhabille, toujours sous le regard de Cindy qui s’impatiente.

— Je… je m’en vais alors Madame… au revoir.

— Au revoir mon petit cochon ahahah !

Je rentre chez moi, totalement humilié, mais soulagé que cela soit enfin terminé, enfin, jusqu’au week-end suivant, où je ne sais pas à quoi m’attendre…

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