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L'élu – Chapitre 3

L'élu - Chapitre 3



Les yeux de Nicolas brillaient et il semblait entouré d’une aura de pouvoir. De la puissance à l’état pur. Il commença à s’élever du sol de quelques centimètres sans s’en apercevoir. Nicolas regarda ses mains, elles étaient parcourues de petits éclairs bleus, il commença à paniquer.

Lucie !

Il baissa la tête pour la regarder et vit qu’il flottait maintenant à près d’un mètre du sol

Lucie, qu’est-ce qui m’arrive !

Émergeant doucement de son orgasme, elle releva la tête :

Qu’est-ce que…

Le voyant flotter, elle bondit sur ses pieds, tandis que Nicolas paniquait de plus en plus.

Lucie, fais quelque chose !!

Calme-toi, tout va bien se passer, respire un grand coup…

Je n’arrive pas à me calmer, je contrôle rien ! Regarde, j’ai des éclairs qui sortent de mes mains !

Il tendit ses mains vers elle pour lui montrer, et soudain, un éclair jaillit de ses mains pour aller percuter Lucie… qui réussit à l’éviter d’un bond.

Fait attention !! garde tes mains vers le haut !

Il s’exécuta

S’il te plaît, fais quelque chose…

Ferme les yeux et écoute-moi attentivement…

Nicolas ferma les yeux

Bien maintenant, essaie de visualiser la magie qui est autour de toi, est-ce que tu peux la voir ?

Euh… oui, je crois… je vois des espèces de nappes brouillard bleu qui s’échappent de mon corps.

Très bien, essaye de faire le faire revenir à l’intérieur de toi…

Nicolas se concentra et tenta de rappeler cette espèce de fumée bleue à l’intérieur de lui-même, il commença à redescendre sur le sol, ses mains arrêtèrent de faire des éclairs, mais on pouvait toujours voir à travers ses paupières ses yeux qui brillaient de mille feux.

Je crois que j’y arrive !

Très bien ! Une fois que l’énergie est dans ton corps, tu dois la rassembler dans une petite sphère au niveau ta poitrine.

Après plusieurs minutes d’intense effort, il rouvrit les yeux.

Je crois que j’ai réussi…

Oui, je pense aussi, tes yeux ont retrouvé leur couleur normale.

Mais qu’est-ce qui s’est passé ?

Tout en se rhabillant, elle commença à expliquer :

Bon, je ne suis pas experte, mais voilà ce qu’on nous a appris à l’académie de magie : chaque personne peut stocker une certaine quantité d’énergie magique, que nous appelons tout simplement énergie. Cette énergie est stockée dans un réservoir spirituel. Là, ce qui s’est passé, c’est que tu as reçu une énorme quantité d’énergie qui a débordé de ton et même de ton corps ! Je savais que ça serait puissant, mais je n’imaginais pas à ce point ! D’ailleurs, tu es particulièrement doué : je ne savais pas que c’était possible de réussir à canaliser autant de pouvoir du premier coup et sans aucun entraînement…

Elle le regarda, très excitée :

Normalement, il faut des mois avant de réussir à ne serait-ce que visualiser son réservoir, quant à faire déborder de l’énergie de ton corps, eh bien… je t’avoue que je n’ai jamais vu ça, je l’avais appris en théorie dans mes cours à l’académie, mais les sources de pouvoirs sont trop rares et trop faibles sur Barsum pour que quelqu’un fasse une « overdose ». Tu vas pouvoir faire des choses inimaginables ! Il faut que j’aille te présenter au grand conseil…

Soudain, le visage de Lucie devint livide.

oh non…

Qu’est-ce qu’il y a ?

Eh bien… tu vois… c’est que … je n’étais pas censée aller sur terre… c’est interdit et je risque de me faire virer…

Mais tu n’es pas la grande sorcière ?

Non c’est… mais attends, qu’est-ce que je raconte ? Si, effectivement, depuis que je t’ai sucé, je suis censée être la grande sorcière, et toi, le grand sorcier… Reste encore à réussir à faire valoir nos droits, ils ne voudront pas nous laisser leur place comme ça… Je t’explique, le grand conseil est dirigé par la grande sorcière. Lorsqu’il n’y a pas de grand sorcier, c’est-à-dire d’élu, la grande sorcière est élue parmi les membres du grand conseil par toutes les sorcières ayant terminé leur formation. Les apprenties doivent obéir à des règles très strictes sous peine de graves sanctions. Or il se trouve que je n’ai même pas terminé ma formation… là, j’étais en vacances et les cours reprennent dans deux semaines, je suis censé entrer en dernière année, mais mom escapade risque d’avoir des conséquences.

Mais si tu es aussi puissante que tu le dis grâce à mon sperme, elles ne pourront sûrement pas se séparer de toi … et de moi non plus.

Oui, tu as raison… Maintenant que je suis chargée à bloc, je pense qu’on peut partir. Je vais te présenter au conseil au plus vite et on verra bien ce que le conseil décidera.

Euh OK… juste une question, comment comptes-tu y aller, parce que là, on est en plein milieu de la forêt…

Lucie sourit :

Tu as raison de poser la question, il est strictement interdit de se téléporter en ville, trop de risque de percuter quelqu’un… Donc on va voler !

Il la regarda d’un air interdit :

On va voler ?

Elle siffla une note aiguë, et aussitôt, deux pégases accoururent dans la direction.

A dos de pégase !

euh c’est pas un peu dangereux ?

Pas tant que tu ne leur arraches pas de plume.

Elle enfourcha son pégase

Vas-y, n’aie pas peur, fais comme moi !

Il tenta de l’imiter, mais retomba vite sur ses fesses. Après quelques tentatives infructueuses, il finit par réussir à s’installer.

Accroche-toi bien !

Lucie murmura quelques mots à l’oreille de sa monture et celle-ci s’élança au galop dans la prairie :

En route pour Iraëla !

Très vite, la première monture fut suivie par son congénère dont le cavalier n’était que très peu rassuré. Au dernier moment, juste avant de percuter les arbres, les chevaux étendirent leurs longues ailes et décollèrent, frôlant la cime des arbres au passage.

Youhouhhh !! criait Lucie en tendant les bras en l’air, Nicolas lui agrippait la crinière de toutes ses forces.

Détends-toi ! Regarde en bas, c’est magnifique !

En effet, la forêt défilait sous les ailes des deux créatures tandis qu’elles se rapprochaient de plus en plus des nuages. Bientôt, on pouvait apercevoir la lisière de la forêt et des champs, annonçant la présence d’hommes. Les pégases passèrent bientôt au-dessus des nuages et on ne pouvait plus voir le sol d’en haut. Nicolas risqua un coup d’il vers le bas et écarquilla les yeux :

On se croirait sur une mer de coton !

Lucie gloussa et fit piquer son pégase vers le sol.

Qu’est-ce que… arrrgh.

Son pégase venait de la suivre ! En passant sous les nuages, une grande ville apparut à leurs yeux. La ville était entourée d’une muraille, et en son centre, on pouvait apercevoir une deuxième enceint qui renfermait un grand palais, et au milieu du palais, une gigantesque tour dont le sommet se perdait dans les nuages. Les pégases continuaient de perdre de l’altitude tandis que Lucie expliquait :

Au centre de la ville, c’est l’académie, et c’est au sommet de la tour que siège le grand conseil. Tout autour, c’est la ville avec ses habitants, ses marchands, ses voyageurs, etc. On va atterrir devant la porte sud de la ville, on n’a pas le droit de rentrer en volant, de toute façon, d’anciens sorts empêchent n’importe qui ou n’importe quoi de rentrer en volant.

A ce moment même, les chevaux ailés atterrirent et finirent leur course juste en face d’une gardienne qui les regarda, hébétée. Elle était de taille moyenne avec de beaux yeux marron, son casque cachait une longue chevelure brune tandis que son armure épousait parfaitement sa magnifique silhouette bien proportionnée, ces détails n’échappèrent pas à l’il attentif de Nicolas. Alors que les deux cavaliers descendaient de leur monture, elle se repris bien vite et apercevant la robe brune des apprentis, elle s’écria :

Qui êtes-vous ? Et que faites-vous avec un homme ?

Je suis Lucie Vauclair, apprentie du 5ème cercle, laissez-moi passer.

Lucie Vauclair ? Une lueur brilla dans les yeux de la gardienne. Vous êtes en état…

Coupant la gardienne sans qu’elle puisse finir sa phrase, Lucie s’écria :

Je demande audience auprès du grand conseil !

La gardienne s’arrêta en plein milieu de sa phrase :

Très bien, je suis obligée de vous mener escorter au grand conseil dans ce cas, mais lui, qu’en fait-on, et où l’avez-vous trouvé ? Vous savez très bien que les hommes n’ont pas le droit de quitter leur femme, et que seules les sorcières accomplies peuvent se marier.

Nicolas ouvrit la bouche, mais Lucie le fit taire d’un regard.

Il est avec moi. J’en répondrais devant le conseil.

Oui peut-être, mais moi, je réponds aux ordres de la reine, et je vais devoir faire un rapport…

Je pense qu’on peut s’arranger, déclara Lucie.

Les deux femmes se tournèrent vers Nicolas qui n’en menait pas large.

Bon, allez, suivez-moi, déclara la gardienne en se dirigeant vers le poste de garde. Lucie lui emboîta le pas, bientôt suivie de Nicolas.

C’est moi Lucie, ne réponds pas, je te parle par télépathie, pense à ta réponse et je t’entendrais.

Quoi ? Mais qu’est-ce qui se passe ???

Je te l’ai dit, les hommes sont très rares sur cette planète si bien que pour payer notre passage, tu vas devoir prendre la virginité de cette belle gardienne.

Attends, tu veux dire qu’ici, pour corrompre les gardes, il suffit de les baiser ??

Oui, j’espère que ça ne te dérange pas, je ne veux pas te forcer…

Oh non, c’est avec plaisir !! J’aime beaucoup rendre service, tu sais.

Lucie lui lança un sourire.

Je me disais aussi.

La gardienne ouvrit la porte :

Toi, la sorcière, tu restes ici.

Lucie répliqua :

Non, je ne crois pas, vous pouvez vous faire défoncer la chatte autant que vous voulez, mais seule une sorcière a droit de recevoir de la semence. Pas besoin de vous rappeler ce que vous risquez sinon…

OK, OK…

Elle les guida en haut d’une petite tourelle où se trouvait une chambre avec un petit lit. Elle ferma la porte et la verrouilla derrière les deux voyageurs. Elle se mit aussitôt à genoux devant Nicolas, déboucla sa ceinture, et descendit son pantalon.

Tes habits sont très étranges…

Sans rien dire de plus, elle extirpa de son caleçon son sexe qui commençait déjà à grossir. Elle laissa glisser le vêtement désormais inutile, au sol, tout en commençant à branler doucement son énorme phallus, elle s’exclama doucement :

Je ne savais pas que c’était aussi gros, ça ne rentrera jamais !

Lucie qui entre temps s’était installée confortablement sur une chaise pour assister au spectacle répondit fièrement :

Et encore, il ne bande pas encore totalement !

Sans plus attendre, la gardienne commença à lécher de haut en bas la longue tige de chair, en profitant pour suçoter son gland du bout des lèvres. Nicolas laissa sortir un petit gémissement… la guerrière répondit en enfonçant la bite dans sa bouche le plus profondément possible. Elle commença à faire de lent va-et-vient le long de sa bite, jouant de sa langue à l’intérieur de sa bouche tout en malaxant doucement ses bourses.

Nicolas poussa un gémissement et tourna la tête. Il aperçut Lucie qui avait les jambes écartées et qui se doigtait devant la scène. Sentant qu’il n’allait plus pouvoir tenir bien longtemps, il s’arracha à la douce étreinte des lèvres de la gardienne et la fit se tourner à quatre pattes devant lui. Il ouvrit violemment la jupe d’armure faite de longue plaquette de métal et déchira sa culotte avant de s’enfoncer d’un coup jusqu’à la garde dans sa chatte. Il commença à la pilonner violemment, la faisant crier de plaisir un peu plus fort à chaque coup.

Après quelques minutes de ce traitement, il la sentit se tendre autour de son membre en hurlant de plaisir avant de retomber mollement sur le parquet. Il se retira d’elle tandis que Lucie s’approchait et s’agenouillait devant lui.

Vas-y, lâche-toi !

Elle avait trois doigts qui fouillaient sa chatte, tandis que son autre main saisissait son membre et le branlait vigoureusement devant sa tête. Il n’en fallut pas plus pour Nicolas qui lâcha plusieurs jets de foutre en plein sur sa tête, quelques-uns atterrirent dans sa bouche, tandis que les autres s’écrasaient sur sa tête. Au même moment, elle lâcha un long râle de plaisir, et en voyant sa tête, Nicolas ne put douter qu’elle venait d’être prise d’un très puissant orgasme.

Entre deux respirations Nicolas fit remarquer en rigolant :

Je ne savais pas que se prendre un facial pouvait déclencher un orgasme aussi violent !

Lucie sourit :

Seulement avec ton sperme. Nicolas regarda son visage de plus près, c’était un magnifique tableau que de voir son visage recouvert de son sperme. Tout à coup, le sperme commença à disparaître, comme aspiré par la peau de Lucie.

Comment est-ce que tu arrives à faire ça ?

Ahahh secret de sorcière ! La première chose qu’on nous apprend à faire, c’est à ne pas perdre une seule goutte de semence. Tous les moyens sont bons…

Nicolas se tourna vers la gardienne qui s’était endormie après son orgasme :

Qu’est-ce qu’on fait d’elle ?

On la laisse ici, on a perdu assez de temps, il faut absolument qu’on arrive à l’académie avant le coucher du soleil.

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