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Logement provisoire : Magali – Chapitre 6

Logement provisoire : Magali - Chapitre 6



Lundi 14 mai

Vous avez mis un terme à votre relation avec Patricia la veille au soir. Sans heurt. Aussi, vous rentrez plus tôt du travail pour intercepter Magali. Vous la surprenez dans l’ascenseur. Elle vous regarde d’un air mauvais.

— Alors ça y est, t’as fini de jouer avec elle ?

— Ferme ta gueule !

— Quoi !?! Je…

— J’ai dit : "Ferme ta gueule !"

Vous vous approchez de Magali et d’un coup sec, ouvrez son chemisier. Des boutons volent. D’un geste rapide, vous passez la main dans la coque gauche de son soutien-gorge et attrapez son téton. Vous le pincez, le tordez.

— Tu… Tu me fais… mal…

— Ferme-la, Mag…

Vous dézippez sa jupe et la poussez jusqu’au sol. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent à l’étage de Magali. Vous sortez. Magali est en string, le chemisier en lambeaux. Elle ouvre précipitamment sa porte et vous entrez avec elle.

— Tourne-toi ! Contre la porte !

Magali obéit. Vous crachez sur votre bite que vous venez de sortir, écartez le string de votre voisine et posez votre gland contre son anus. Vous poussez, elle résiste. Elle crie quand vous gland à peine humide déchire sa rose. Vous entrez votre sexe et l’enculez à sec.

Magali n’est pas propre, du tout, mais vous n’en avez rien à foutre. Elle crie et gémit, entre douleur intense et plaisir intense. Vous prenez votre temps et elle le sent :

— Mon mari va rentrer d’un moment à l’autre…

Elle surveille à travers le judas pendant que vous la sodomisez. Vous éjaculez. Jipé sort de l’ascenseur. Magali crie et file dans la chambre. Vous vous rhabillez, la bite pleine de merde. Vous vous rendez compte que ça pue. Jipé fait tourner la clé dans la serrure et pousse la porte. Vous improvisez et parlez fort :

— Merci pour le paprika, Mag ! Je te le rapporte demain !

Vous vous tournez vers Jipé.

— Oh salut Jipé ! Tu remercieras ta femme pour le paprika. Il faut que j’aille préparer, j’ai des invités. A plus !

Il n’a pas eu le temps d’en placer une que vous avez déjà disparu dans l’escalier.

Dans la soirée, Magali s’excuse et vous promet d’être parfaite à nouveau. Elle vous avoue qu’elle s’est faite sauter par Jipé à votre départ. Vous lui dites de venir mercredi matin. Vous lui demandez aussi de dire à Jipé qu’elle travaille jeudi, jour de l’Ascension, traditionnellement férié.

Mercredi 16 mai

Magali sonne avec quelques minutes d’avance. Chemisier blanc, jupe mi-longue plissée noire, talons hauts. Puis redresse-sein, string ouvert. Puis chatte fraichement rasée, sphincter nettoyé. Malgré ses supplications, vous ne lui léchez pas l’anus mais vous l’honorez de toute la longueur de votre bite. Vous la sodomisez longuement, durement, et Magali est au bord des larmes tant son plaisir est immense. Vous jouissez dans sa bouche.

A midi, vous passez la chercher à son travail et partez faire un tour en campagne. Pour la première fois de sa vie, Magali est sodomisée une deuxième fois dans une même journée. Debout, contre la porte passager de la voiture, vous vous enfoncez entièrement dans son cul. Pour votre plus grand plaisir à tous les deux.

A son retour à la maison, vous êtes là. Magali vient chez vous et reprend dans le cul. Elle a mal, elle prend un pied incroyable. C’est douloureux et excitant. Elle marche bizarrement quand elle quitte votre appartement.

Vous descendez à la cave vers 22h pour y prendre une bouteille de vin. Vous envoyez un message à Magali. Cinq minutes plus tard, elle arrive. Vous vous fermez dans votre cave. Le traîning immonde de Magali ne vous rebute même pas. Son plaisir est proportionnel à sa douleur. Intense. Et vous n’avez pas envie de jouir. Vous baisez vivement son cul et le défoncez. Il n’y a plus de mots. Pour la quatrième fois de la journée, Magali vous prend dans sa bouche alors que vous sortez de ses fesses et avale. Elle marche à petits pas pour revenir à l’ascenseur.

Jeudi 17 mai

Il est 7h30 lorsque Magali vous retrouve au parking pour cette journée de congé. L’heure à laquelle elle part habituellement travaillé le jeudi matin. Elle porte une robe chemise courte, nouée, au bas de laquelle dépassent allègement ses bas et les attaches de sa guêpière quand elle s’assied dans la voiture.

Journée d’exhibition et de baise à tout va. Magali est une vraie salope et vous n’avez même pas à lui dire tellement cela transpire de son comportement et de ses attitudes. Elle vous suce dans un parc, écarte les jambes sur un banc en plein centre-ville, montre ses seins une trentaine de fois et son anus non moins souvent. Sa bouche, son sexe et son cul sont régulièrement squattés par votre bite, à moins que ça ne soit votre langue ou vos doigts. Vous êtes tous deux complètement décomplexés.

En la ramenant en fin de journée, vous hésitez sacrément à la recontacter. Vous avez l’impression d’avoir créé un monstre.

Lundi 21 mai

Le vendredi précédent, vous aviez eu une illumination. Vous aviez indiqué à Magali de draguer son jeune collègue, le stagiaire de 18 ans dont elle vous avait parlé. Pour cela, vous lui aviez fait un plan et Magali devait vous en rendre compte tous les soirs. Elle devait atteindre son but, à savoir, se faire sauter le vendredi à midi par le jeune homme dans la cour intérieure où elle vous avait sucé un mois auparavant. Si elle y parvenait, elle serait récompensée.

A 18h, elle monte chez vous. Pas question de sexe, même pas un baiser. Juste quelques minutes pour vous faire le récit de la journée :

— Alors ? Tu devais "briser la glace".

— Oui, on s’est parlé, en-fin ! J’ai utilisé un problème professionnel pour aller dans son bureau. Il a rougi en me voyant arriver, c’était drôle. C’était juste avant la pause. Alors je lui ai proposé qu’on aille parler de mon souci autour d’un café. Il s’appelle Jérôme.

— Et donc ?

— Tu aurais dû le voir. Un coup de stress par possible. Il a fait tomber deux fois son badge. Heureusement, il s’est repris quand on s’est installé sur les chaises hautes. Il est vraiment mignon. Grand, baraqué, de beaux yeux verts, mmmh…

— Tes seins ?

— Il a marché dans la combine. Je faisais mine de regarder ailleurs. Je l’ai surpris au moins trois fois à regarder ma poitrine.

— Donc, tout va bien.

— Oui, et ça m’a bien excitée, je dois dire. J’ai été me masturber après.

Vous riez.

— Demain, tu vas un peu plus loin, comme on a dit.

— OK.

Elle fait un pas dans votre direction :

— J’ai envie de te sucer.

— On a dit non.

— Même pas une petite pipe ?

— Non, Mag. Après ta réussite.

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