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Léon mon chien et moi – Chapitre 1

Léon mon chien et moi - Chapitre 1



Comme dhabitude depuis deux ans maintenant, mon ami Léon passait le Mercredi chez moi au prétexte de réviser. Nous avions passé notre dix septième année à quelques jours dintervalles depuis peu de temps.

Cela faisait maintenant plus dun an que Léon voulant surfer sur le net, sétait installé devant mon ordi et curiosité faisant, il avait regardé les derniers sites que javais visités. Comme javais passé un bon moment sur des sites pornos, ça lintéressait dautant plus. Dans le lot je métais attardé plus longuement sur des sites Homos.

Léon rigolard minterpellait:

— « Hé Louis, tu es un cochon, tu adores les sites pornos! – jaime beaucoup aussi »,

Il continuait:

— « et tu as visité pas mal de sites homos jaime beaucoup regarder ça aussi! jaimerais même essayer»

Disant cela il lançait une vidéo ou deux mecs se suçaient mutuellement. Je métais approché de lordi, regardant la vidéo avec lui. Léon que cela avait mis en émoi, bandait: sans aucune gêne il dégageait sa bite tendue pour la masser lentement.

Moi aussi je bandais, une belle bosse déformait mon jogging. Léon toujours sans gêne posait sa main sur ma pine et la massait, puis la dégageait de son carcan. Il se penchait pour me sucer comme sur la vidéo. Je me gardais dautant plus de protester que cela me plaisait et que javais envie de lui rendre la pareille.

Cela sest terminé dans ma chambre en masturbations, suçages, puis en sodomies mutuelles. Nous profitions du moindre moment de tranquillité pour satisfaire nos plaisirs que nous apprécions autant lun que lautre.

Cet après midi là, selon les directives de mon père, je devais repeindre une partie de la tondeuse à gazon. Après nos jeux intimes Léon et moi étions sous lauvent, devant labri de jardin. Moi à quatre pattes, peignant et mon ami assis sur une balancelle, lisait un livre.

Olaf, le Labrador de la maison, qui jusque là sommeillait à lombre, sétait levé, il venait à mes cotés, me gratifiant de quelques coups de langue sur la figure. Je le repoussais, mais il persistait. Puis je ne sais pas pourquoi profitant de ma position à quatre pattes, il tentait de me monter dessus, mimant la saillie dune chienne. Léon qui avait vu le manège, samusait beaucoup, il me lançait « laisse faire ! ».

Le chien était agrippé à mes hanches et limait à tout va, sa pine rouge sortait de son fourreau. Léon sétait approché, très amusé de voir Olaf me prendre pour une chienne. Sans manière il posait sa main sur le fourreau de la pine du chien, qui du coup limait de plus belle.

Sa bite, rosée, marbrée de veines plus sombres avait enflée et pris une belle dimension. Une boule très grosse avait pris forme à la base de sa bite. Il jutait sans arrêt par saccades, le sol était trempé se sa jouissance.

Léon riant me disait « tu as vu cette magnifique pine et tout ce quelle jute? ». Olaf sétait remis sur ses quatre pattes. Mon ami la tête sous le ventre du chien lui suçait goulûment sa grosse pine.

Recrachant les premiers jets après avoir goûté ce sperme il déclarait « pas mauvais». Puis il recommençait pompant consciencieusement cette bite généreuse en foutre. Je le regardais faire ébahi mais excité de la situation. Ma bite bandée à fond je baissais mon jogging pour me placer derrière Léon luis descendre son jogging, je lui salivais son petit trou, je lenculais demblée pour son plus grand plaisir. Je ne tardais pas à jouir, lui lâchant un flot de sperme dans les entrailles.

Je demandais à Léon de prendre sa place pour téter la bite du chien qui ne désenflait pas, crachant toujours ses saccades de sperme. Je me plaçait a genoux la tête sous le ventre de lanimal, la première giclée claquait sur ma langue, le goût nétait pas désagréable, je continuais de pomper.

Léon qui bandait comme un âne en rut profitait que mon cul soit disponible pour menfiler à son tour. Quel bonheur que dêtre ainsi: la bite longue et fine de mon ami dans le cul et la pine du chien en bouche. Nous aurions prolongé ces plaisirs, mais lheure avançait et mes parents nallaient pas tarder à rentrer.

En effet le portail souvrait, la voiture de mes parents entrait. Ils descendaient du véhicule. Mon père me félicitait pour la peinture de sa tondeuse. Puis il me dit le week end prochain nous allons chez ta grand mère pour deux jours, mais son appartement est trop petit pour quon amène Olaf, il faudra le mettre en pension quelque part ou trouver quelquun pour venir lui donner à boire et à manger. Je demanderais aux voisins.

Léon qui avait tout entendu dit à mon père : « Si vous voulez bien je viendrais moccuper de lui, en vélo je suis à 3 minutes, et Olaf me connaît bien! » Le sourire de mon ami était très éloquent pour moi quand il parlait de «soccuper» du chien, au fond de moi je pensais «tu vas en profiter un max gros cochon ».

A suivre

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