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L'ordre du chaos – Chapitre 5

L'ordre du chaos - Chapitre 5



Chapitre 5 : Helena

Les combats sont terminés. Il ne reste que le comte et quelques nobles enfermés dans la salle du conseil. J’emmène Helena loin de tout ce tumulte en nous dirigeant vers sa chambre. Connaissant les lieux, je sais où aller. Elle est toujours en état de transe, elle est en manque et réclame du sexe. J’ai beaucoup de mal à la calmer et à la faire revenir à la raison. Elle est encore nue, je n’ai pas pu trouver de vêtements et lui faire remettre son armure, cela aurait pris trop de temps. Je pénètre dans la pièce en la portant à bout de bras. Dès que je la dépose sur son lit, elle se met à se masturber. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire d’elle ? Elle ne peut pas rester dans cet état-là éternellement ! Ça me fend le cur, mais je ne peux rien faire pour elle pour le moment. Je vais devoir l’abandonner, il faut que je retourne voir Jezabel pour m’assurer qu’il n’arrive rien à son père. Ça va aller, elle est en sécurité ici.

Quelque chose me dit qu’il ne va même pas y avoir besoin de poster des gardes pour l’empêcher de s’évader.

Je sors. Je ne fais pas dix mètres que je tombe nez à nez avec ma maîtresse :

Maîtresse ! Vous avez des nouvelles de Monsieur le Comte ?

Oui. Il s’est rendu pendant tes… retrouvailles avec sa fille. Nous n’avons pas eu besoin d’elle finalement.

Il va bien ?

Oui, oui, ne t’en fais pas, soupire-t-elle d’agacement. Je ne vais pas lui faire du mal si c’est ce qui te préoccupe. J’ai l’intention d’en faire mon esclave, tout comme toi. S’il est obéissant, il ne lui arrivera rien.

Ce n’est guère très réjouissant, mais vu les circonstances, c’est la meilleure nouvelle à laquelle je pouvais m’attendre.

Je m’en vais le rencontrer, conclut-elle.

Je viens avec vous.

Non, pas besoin.

Manaëëël ! entend-on de la chambre. Revieeeens ! Baise-moiiiii !

En plus, tu as une demoiselle qui réclame toute ton attention, plaisante la démone.

Vous ne pouvez pas faire quelque chose pour elle ?

Non, c’est ton problème maintenant. Tu sais très bien ce que tu dois faire pour la calmer.

Je ne suis plus vraiment en état.

Oooh… Les hommes… Si c’est vraiment ce qui t’arrête…

Elle me lance un sort, le même genre que celui des succubes. Je me remets soudain à rebander avec une furieuse envie de sexe.

Bon, maintenant que cette affaire est réglée, j’y vais.

Elle me laisse dans le couloir. Je retourne voir Helena. Elle se doigte furieusement en se caressant les seins en m’appelant sans arrêt :

Manaël… Manaël… J’ai besoin de toi… Pitié, prends-moi encore…

Je voulais éviter d’en arriver là, mais c’est manifestement la seule chose à faire… Je grimpe sur le lit et lui présente mon sexe. Elle l’avale comme un bébé à la recherche d’une tétée. Elle me branle d’une main pendant qu’elle se touche de l’autre. J’en profite pour lui presser la poitrine.

Une fois bien lubrifié, je la ressaute comme une chienne. Je suis heureux de pouvoir le refaire avec plus d’intimité. Je sais que ce n’est pas vraiment moi qu’elle veut et que n’importe quelle bite aurait pu lui faire l’affaire, mais je suis content que ce soit moi et pas un autre. Elle est à moi, je compte en prendre soin, et si cela veut dire devoir la baiser, tant mieux. Je vais la prendre jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus.

Après l’avoir fait dans plusieurs positions, elle finit par me chevaucher. Elle laisse libre cours à toutes ses envies. Ses mains sur mon torse, elle s’empale frénétiquement sur ma queue. Son regard est perdu sans son plaisir, le mien sur ses seins qui se balancent. Elle roule du bassin pour mieux me sentir, nous gémissons tous les deux.

Manaël, je veux que tu jouisses encore avec moi…

Oooh, Helena…

Tu veux bien ?

Oui, je vais éjaculer en toi.

Remplis-moi bien, je veux être pleine de toi.

Je sens son vagin se resserrer. Sa chatte est si accueillante et vorace, elle cherche à me traire. La voir bondir comme ça sur moi, si femme, si belle, je ne résiste pas longtemps à ce traitement :

Helena ! Je viens !

Moi aussi ! Aaaaah !

Nous jouissons fortement tous les deux. Je jute sans retenue en elle pour la seconde fois. Je lui donne ce qu’elle veut. Elle s’écroule sur moi durant mes derniers soubresauts. Elle semble être repue, enfin. Peut-être va-t-elle se calmer maintenant.

Le temps passe, nous restons sans bouger. Je la caresse tendrement. Il est peut-être enfin temps de parler un peu de tout ça ?

Helena, je suis désolé.

De quoi ?

De ce qui t’arrive.

Je… ça va, je me sens mieux maintenant.

Je ne comprends pas ce qui t’est arrivé.

C’est son sortilège.

Oui, bien sûr, je comprends, mais… pourquoi a-t-il eu cet effet sur toi ? Pourquoi es-tu devenue… une affamée de sexe ?

Elle rougit :

Parce qu’au fond, c’est ce que je suis.

Je ne te crois pas.

C’est parce que je le cache bien.

Je ne comprends pas, tu ne veux pas essayer de m’expliquer ?

Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Toute ma vie, on m’a dit quoi faire, quoi dire, comment me vêtir. Tu me connais, je n’ai jamais écouté, j’ai toujours voulu suivre mon cur, faire ce que je voulais. Cependant, je me suis toujours fixé certaines limites. Et… le sexe…

Elle prit une pause avant de reprendre :

Je suis la fille d’un comte. J’ai toujours pris mes responsabilités au sérieux. Et à ce titre, je dois rester pure et chaste jusqu’à ce qu’on me trouve un mari.

Tu n’as jamais aimé cette idée de mariage arrangé.

J’ai toujours rêvé d’un mariage d’amour, mais je sais être raisonnable. Mon père peut me pardonne certaines excentricités, mais ça, aimer un homme, coucher avec lui sans son accord, jamais. Alors je me suis retenue, j’ai obéi.

Ça t’a rongé à ce point ?

Elle rougit à nouveau :

Tu as honte de moi ?

Jamais, voyons.

J’ai eu des périodes où je ne pensais qu’à ça. Je me masturbais secrètement plusieurs fois par jour. Ce n’est pas juste, les hommes peuvent coucher avec qui ils veulent, mais les filles… elles doivent jouer les princesses. J’en ai marre ! J’ai envie de baiser moi aussi ! C’est pour ça que… quand je t’ai vu…

Comment ça, « quand tu m’as vu » ?

J’étais amoureuse de toi à l’époque, Manaël. Nous n’étions que des ados, mais je voulais secrètement que tu sois mon premier. Je suis désolée, je sais que je ne devrais pas en parler, mais on dirait que le sortilège agit aussi comme une sorte de sérum de vérité.

Tu m’aimais ?

Je sais, ça a l’air ridicule. C’est pour ça que je n’en ai jamais parlé. Tu étais mystérieux… différent… Sauf que tu t’en fichais de moi.

C’est faux.

Oui. Non, non, tu ne t’en fichais pas, mais tu ne me voyais pas comme ça, je le sais.

Non, c’est faux.

Comment ça ?

Je ressentais la même chose Helena. Et à vrai dire, je le ressens toujours.

C’est… c’est vrai ? me demande-t-elle les yeux pétillants.

Je te le jure…

Elle me répond par un doux baiser.

Manaël ?

Oui Helena ?

J’ai encore envie…

Moi aussi. Je suis un peu à plat, mais je connais le sortilège des succubes. Depuis que j’ai appris qu’une telle chose existait, j’ai été curieux et j’ai voulu l’apprendre. Je ne m’en suis pas servi tout à l’heure parce que je ne voulais pas lui refaire l’amour si ce n’était pas vraiment moi qu’elle voulait. Jezabel m’a un peu forcé la main, mais maintenant que je sais que mes sentiments sont partagés, je n’ai plus de scrupules à avoir. Je me refais bander, et nous repartons pour un nouveau round. Je la prends en levrette. Je me sens libéré d’un poids. Elle me veut, elle m’a toujours voulu. Elle est à moi, rien qu’à moi. Nous nous abandonnons ensemble à notre frénésie animale, quand soudain, la porte de la chambre s’ouvre. Yezabel et le comte pénètrent dans la pièce :

Mais qu’est-ce que… s’exclame ce dernier en nous voyant.

Regardez par vous-même, Monsieur le compte, fait ma maîtresse. Votre fille va très bien, comme je vous l’avais dit.

Mais… Manaël ? Qu’est-ce que vous faites à ma fille ?

Je la baise, mon seigneur, fais-je sans gêne.

Je ne me suis pas arrêté, Helena elle-même a à peine réagi.

Ma… ma fille…

Aah… papaaaaaaaaa…

Qu’est-ce que vous leur avez fait ?! Sorcière !

Qu’est-ce qui vous dérange ? répond la démone. Regardez-les ! Ils sont si mignons ensemble. Votre fille a l’air si heureuse. Vous n’êtes pas content pour elle ?

Papaaaaaaa ! geint Helena. J’ai une bite dans la chaaaaaaaaatte. C’est trop boooooooooooon !

Mon Dieu… ma petite fille… pleure l’homme moustachu.

Votre réaction est écurante. Est-ce de savoir que votre fille découvre enfin le plaisir du sexe qui vous attriste à ce point ? Parce que vous préféreriez qu’elle l’ignore le plus longtemps possible ? Comme c’est égoïste… Vous savez combien c’est bon, pourquoi voudriez-vous lui refuser un tel plaisir ?

Le comte ne répond pas, il nous regarde avec horreur. J’en profite pour prendre Helena plus violemment. Je lui tire les cheveux, je lui donne une fessée, et je la fais crier d’extase. Je n’ai jamais aimé cet homme. Je n’ai jamais oublié le mépris avec lequel il m’a traité ni le nombre de réprimandes auquel j’ai eu droit pour avoir été un peu trop proche de sa fille. Il avait peur que nous tombions amoureux et que je lui vole sa vertu, moi, un moins que rien issu d’une famille de basse caste. Je prends ma revanche aujourd’hui. Cette fille soi-disant trop bien pour moi, je l’ai déflorée et j’en ai fait ma chose. Je veux qu’il n’en rate rien et qu’il sache que la chair de sa chair qu’il a toujours crue innocente est une chienne au fond d’elle.

Aaaah ! Manaël ! Prends-moi ! Défonce-moi ! crie-t-elle.

Vous les avez ensorcelés ! Faites cesser cela tout de suite ! s’emporte le comte.

Croyez-moi Monsieur le comte qu’ils ne font rien contre leur volonté, réplique ma maîtresse. Arrêtez d’être hypocrite, ils ne font rien de mal. Je sais que vous-même enviez leur bonheur.

Qu’est-ce que vous racontez ?! C’est n’importe quoi !

Vous oubliez que je sais lire dans les curs et les âmes, Monsieur le Comte. Vous ne pouvez vous cacher. Je ressens la jalousie au fond de vous, la frustration. Vous prenez vos airs d’homme digne, et pourtant, dès la seconde où vous m’avez vue, vous m’avez désiré.

Mensonge ! Une démone ? Jamais de la vie !

Oh si, vous me désirez, je le sais. Tous les hommes ont cette réaction. Ce n’est pas grave, j’aime ça. Personne ne peut résister à mon charme.

Je ne ressens absolument rien pour vous !

Oh que si… Je vois vos idées perverses au fond de votre esprit. Hmm, les choses que vous voudriez me faire… Mon corps vous excite à ce point ? C’est flatteur…

Non ! Je n’ai… aucune pensée !

Même moi je suis capable de voir qu’il ment.

Vraiment ? Alors vous niez l’envie de voir mes seins ? De vous introduire dans ma chatte ? De me souiller comme une de vos catins ? C’est possible, vous savez. J’aime le sexe et je n’ai aucun tabou. Mais tout se mérite… Servez-moi, et si vous vous comportez bien, je vous récompenserais peut-être…

Je… non !

Vous mourrez d’envie de me toucher.

C’est faux !

En êtes-vous bien sûr ? J’ai la chatte qui mouille à regarder ces deux tourtereaux en train de baiser. J’ai envie de me doigter. Vous n’avez pas envie de la voir ? De me la lécher ?

Je… je…

Elle s’assied sur une table en écartant les cuisses :

Vous pouvez, Monsieur le Comte. Il n’y a qu’un bout de tissu qui vous sépare de ce que vous désirez. Soumettez-vous à moi, faites-moi jouir avec votre langue.

Le pauvre homme semble partagé entre sa fierté et son instinct primal. Il s’avance vers elle, chancelant.

Agenouillez-vous, Monsieur le Comte.

Il obéit. Elle le récompense en lui dévoilant son antre trempé. Elle n’a plus besoin de parler. Devant une telle splendeur, il ne résiste plus, il plonge entre ses cuisses et démarre un cunnilingus.

Vous avez pris la bonne décision… ronronne la démone.

Si faible… Elle n’a même pas eu besoin d’utiliser de la magie. Je compatis, elle m’a eu comme ça aussi. Cette salope, je la désire toujours. Je deviendrais fou si je n’avais pas Eliana pour me soulager. Je ne sais pas si c’est à cause de ce qu’elle voit, mais Helena se met à jouir. Chacun de ses orgasmes est comme une victoire. Je lui propose de continuer en me chevauchant de dos, afin qu’elle puisse mieux voir son père. Elle n’a pas besoin de beaucoup d’encouragement. Je m’allonge sur le lit tandis qu’elle grimpe sur moi, attrape ma bite, et se l’enfonce dans le vagin. On aurait du mal à croire qu’elle était vierge il y a quelques heures.

Yezabel gémit bruyamment. Apparemment, Monsieur le Comte s’occupe bien d’elle. Elle resserre les cuisses pour emprisonner son visage. Elle lui tire les cheveux en se tortillant de plaisir :

Oh ! Oui ! Continue, esclave ! Fais plaisir à ta maîtresse !

Hmpf ! fait le comte.

Helena s’empale désespérément sur ma queue. Je caresse son corps fabuleux et joue avec ses seins autant que je peux. Je raffole de son vagin brûlant. Elle gémit, elle soupire, elle m’appelle par mon nom. Je lui donne des coups de bassin par surprise et déclenche en elle un nouvel orgasme.

Oh ! Oui ! Je viens ! Je viens !

C’est Yezabel qui jouit en même temps. Je me demande ce qui l’a excitée le plus : soumettre un noble, ou le cunni en lui-même.

Oh ! Vous avez été parfait Monsieur le Comte. Mais on dirait que nos tourtereaux n’ont toujours pas fini. Et si nous les observions un peu ?

Cela ne doit pas lui plaire, mais il ne proteste plus. Etant passé par là, je me doute qu’il ne doit penser qu’à une seule chose en ce moment : se soulager un bon coup ! Hélas, ce n’est pas Yezabel qui va l’aider. Il va devoir attendre qu’elle le libère pour qu’il puisse aller se branler. Je me demande si le spectacle lui fait de l’effet, en tout cas, je suis bien décidé à lui offrir un show, et bizarrement, je ne suis pas le seul :

Regarde-moi, papa ! s’écrire Helena. Je chevauche une bite ! La bite de Manaël ! J’adooooore !

Elle se comporte comme une vraie traînée au plus grand désarroi de son père. Je lui laisse entièrement le contrôle. Elle se déhanche comme une folle, elle roule du bassin, elle me fait un bien monstrueux. J’aime la voir se faire du bien toute seule et assumer son plaisir.

Oh, papa. Pourquoi je n’ai jamais pu faire ça avant ?! Pourquoi ! Pourquoi ! J’en veux encore ! J’en veux tout le temps ! J’aime la queue !

Elle continue pendant encore plusieurs minutes comme ça, Yezabel obligeant le comte à ne rien rater. Elle finit par atteindre l’orgasme une nouvelle fois. Elle mouille énormément sur ma queue. Je n’en peux plus, il est temps pour moi de jouir à mon tour. J’aurais pu la rejoindre, mais j’avais d’autres plans depuis le début. Nous descendons du lit et lui demande de me faire une pipe. Elle me pompe devant son père :

Ooh, oui Helena. Suce-moi bien. Finis-moi pour que je puisse t’éjaculer dessus.

Quelle bonne petite soumise, elle s’applique terriblement bien ! On dirait qu’elle en a autant envie que moi. Elle me branle d’une main, en même temps, je lui baise la bouche. Elle peut goûter à sa propre mouille. Je me retire lorsque je me sens venir et me masturbe devant son nez. Elle me fixe avec des yeux suppliants tout en se doigtant d’impatience.

Allez ! Prends ! Salope !

Je lui gicle dessus en pleine figure. Je souille sa noblesse. Elle accueille ma douche de sperme en fermant les yeux. Monsieur le compte est en plein désarroi, sa propre fille se comportant comme une roturière. Je me vide les couilles jusqu’à la dernière goutte. Elle a du foutre partout sur le visage et les seins. Une longue traînée descend de son cou à sa chatte. Elle est magnifique.

Bravo, mon familier ! me félicite ma maîtresse. Quel bon amant tu fais ! Ne sont-ils pas merveilleux, Monsieur le Comte ?

Ce dernier ne dit rien, bouillonnant de rage intérieurement. J’ai enfin eu ma revanche. Il n’a eu que ce qu’il méritait. Lui et Yezabel quittèrent la pièce après ça, ils ont sans doute beaucoup de choses à discuter.

Le jour suivant, nous reprenons le chemin du château. Yezabel a laissé le comte en place à Monalite sous bonne surveillance. La ville lui appartient désormais, et il n’est plus qu’un vassal. Helena, elle, m’a accompagné et a emménagé dans mes appartements. Officiellement, elle est mon esclave, mais je n’aime pas ce mot, et je n’aime pas non plus la savoir esclave de ses pulsions. Je vais demander audience avec Jezabel pour voir s’il y a moyen de remédier à la situation :

Maîtresse, combien de temps votre malédiction va-t-elle durer ?

Malédiction ?

C’est comme ça que tu l’appelles, mon familier ?

Vous avez très bien compris ce que je voulais dire.

Eh bien. Cela durera aussi longtemps que je le désire. Autrement dit pour toujours. Pourquoi, cela te pose un problème ?

Je vous en prie, libérez-la !

Pourquoi je ferais une chose pareille ?

Elle n’est plus elle-même comme ça !

Au contraire, elle est exactement qui elle est ! Quoi ? Cela ne te plaît pas d’avoir une femme qui ne demande qu’à ce que tu la sautes à longueur de journée ?

Elle va rester tout le temps comme ça ?

Non. Enfin, pas forcément. Elle est un peu comme une adolescente qui découvre le sexe. Avec le temps, cela devrait s’améliorer. Peut-être. Tu ne peux tout de même pas la blâmer d’aimer ça ?

Je n’obtiendrais rien d’elle. Je ne peux plus que compter que sur moi. Je ne suis pas un grand sorcier, mais je peux faire des recherches pour essayer de contrer le sort. La question n’est pas que j’aime ça ou non, je ne veux pas simplement que toute sa vie ne soit dictée que par sa soif de sexe. Il faut qu’elle apprenne à se contrôler.

Il est tard, je retourne dans mes quartiers. Helena est sur le lit en train de se masturber :

Aaaah… Manaël… Je suis désolée. Tu n’étais pas làààààà.

Tu as encore envie ?!

Ouiiii !

Je me sens obligé de l’aider en allant la baiser. Cette fois, je n’ai aucun mal à bander naturellement. Je me retiens autant que je peux pour la faire jouir un maximum de fois avant de craquer et d’éjaculer dans sa chatte. Elle semble comblée, pour le moment.

Au fait, je n’ai jamais osé te demande, lui dis-je après l’amour.

Oui ?

Comment ça se fait que tu étais à Monalite ? Tu n’étais pas partie épouser le fils d’un Duc ou quelque chose comme ça ?

Oui, je devais, mais cela ne s’est pas fait.

Pourquoi cela ?

Parce que… il n’était pas toi, tout simplement.

Ton père a dû être ravi…

Tu n’imagines pas à quel point. Cette alliance comptait beaucoup pour lui. Je m’en suis longtemps voulu d’être aussi égoïste. Plus maintenant.

Tu sais… le jour où… ton père a mis fin au siège, j’espérais beaucoup que tu sois revenue avec lui.

Moi j’aurais voulu n’être jamais partie. Sans ça, ce félon n’aurait jamais attaqué Monalite. Je n’ai jamais pu te remercier pour tout ce que tu as fait pour la ville.

Pour ce que cela a servi maintenant que Jezabel l’a conquise…

Cela ne change rien, tu as été incroyable.

Nous nous endormons dans les bras l’un l’autre. Elle se serre tout contre moi. La nuit, elle me réveille avec une pipe :

Manaël…

J’ai compris le message. Je la prends comme une chienne, mais avec la fatigue, je jouis un peu trop rapidement :

Oh, non. J’en veux encore. Encore !

Je ne pensais pas que le sort des succubes me serait aussi utile. Je me refais bander et repars à l’assaut. Elle est insatiable, je ne me forcerais pas comme ça pour quelqu’un d’autre. Faut dire que c’est toujours un véritable plaisir de lui démonter la chatte, je ne m’en lasse pas. Cela devient rapidement notre quotidien. Elle a tout le temps envie de se faire prendre, et je suis obligé d’utiliser le sortilège plusieurs fois par jour pour être capable de la satisfaire. C’est éreintant, mais terriblement excitant. J’ai l’impression d’avoir éjaculé des litres de sperme en et sur elle. Je ne sais pas encore combien de temps elle va rester comme ça, mais pour le moment, je dois bien l’avouer, cela ne me dérange pas.

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