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Ma drole de famille – Chapitre 12

Ma drole de famille - Chapitre 12



Chérie, tu me fais me découvrir moi-même, je naurais jamais pensé faire ce que jai fait devant toi.

Te masturber ?

Oui, le reste je lavais déjà fait avec dautres femmes, je me suis même mis ma propre main, mais mon rêve serait quHenri puisse me mettre sa main, tu as vu les paluches quil a ?

Oui, de sacrées paluches.

Tu las déjà fait toi aussi.

Oui, plusieurs fois, avec des femmes et des hommes, même anal.

Moi jamais anal, je ne suis pas très fana de sodomie, jaime bien, mais à petite dose, je naime pas les gros sexes, alors tu penses bien quune main cest beaucoup trop, au contraire dHenri qui aime bien se faire remplir le cul par une belle bite. Mais jaimerais bien quil me fiste avec sa grosse paluche.

Oui, et sil pouvait te le faire, ça te dérangerait quil me le fasse ?

Ou ça, devant ou derrière ?

Les deux mon général.

Pas du tout, mais comment lamener à le faire, je ne crois pas que je vais lui parler de ce que nous venons de faire, je ne sais pas ce quil en penserait, il est très famille.

Je peux te dire quil ne me regarde pas comme sa fille, mais comme une femme quil mettrait bien dans son lit.

Elisa me regarde bizarrement.

Ça te choque ce que je viens de dire ?

Non, mais je suis gênée que tu ressentes ça, tu es quand même ma sur, et il te considérait comme sa propre fille il y a encore sept ans.

Ok, mais il ne ma pas vu pendant ces sept ans, jai changé, je suis devenue une autre femme, et je dois te dire quaprès ce que tu mas dit sur votre couple, ça ne me dérangerais pas du tout de participer à vos petits jeux.

Tu es sérieuse ?

On ne peut plus sérieuse. Tu sais que jaime le sexe, cest même une vraie addiction chez moi. Jaime faire lamour avec des hommes, des femmes, les deux ensembles, plusieurs hommes, plusieurs femmes, tout ce quon peut imaginer et dans toutes les positions.

Ok, mais Henri est ton beau-frère.

Bien sûr, mais nous sommes toutes les deux issues de la même mère, nous sommes surs et ça na rien empêché, Henri nest pas ma famille de sang, cest juste lhomme qui a épousé ma sur.

Si tu veux, bon, on verra.

Tu naimerais pas partager ton homme avec ta sur ?

Ce nest pas le problème, je le partage avec dautres femmes et pour linstant, ça se passe très bien. Je ne vois pas ce qui pourrait être différent, seulement, en même temps, quand je le partage, je suis avec un autre homme, chacun a son partenaire, nous navons encore jamais fait de partie à trois.

Cest une bonne occasion tu ne crois pas, ça ne te plairais pas de tenvoyer en lair avec ton homme et ta sur en même temps ?

Cest vrai que ça devrait être assez chouette.

Tu vois bien.

Oui, mais il y a un problème.

A oui lequel ?

Les enfants, comment faire, ils sont toujours avec nous quand nous sommes ici, et je ne vois pas comment faire pour être seuls sans eux toute une journée ou même une soirée.

Ils nont pas de soirées étudiants ou autres ?

Oui, mais jamais tous les trois ensembles.

On trouvera bien, ne ten fais pas.

En attendant, jai fait ce que tu mas demandé, mais jattends toujours que tu me fasses voir comment tu fais.

Ok, laisse-moi ta place.

Elle sort du lit, je mallonge à sa place, la regarde droit dans les yeux, écarte les jambes et pose ma main sur mon sexe. Je me caresse un peu le clitoris, juste pour être assez humide, ce qui arrive très vite. Je plonge ma main dans mon vagin déjà bien trempé, je me lubrifie bien les doigts et remonte vers mon clitoris. Avec mon majeur, je le malaxe, le titille et le fais rouler dessus avec un mouvement circulaire. De temps en temps, je plonge ma main au fin fond de ma chatte, comme Elisa, de plus en plus profond. Au bout dun moment, mon corps nen peut plus dattendre, je me laisse aller. Je regarde toujours Elisa droit dans les yeux, elle soutient mon regard.

Regarde chérie, cest pour toi.

Elle me regarde encore plus intensément. Je sens une vague monter en moi, grossir, menvahir entièrement, mon ventre se crispe, mes muscles se tendent, mon corps se soulève, mon cur semballe, je ne suis quun sexe qui se précipite dans lextase pour finir par me faire exploser dans un sublime orgasme que je prolonge le plus possible. Je suis à peine retombée sur le lit que je sens une main qui senfonce sans hésiter au fond de mes entrailles. Une bouche se pose sur mon bouton damour, laspire, le lèche, le suce, le mordille, tout ce quil faut pour le faire exploser. La main senfonce de plus en plus, un doigt vient caresser mon col, la main souvre quand elle se retire, sort une seconde et vient se planter en moi violemment, poing fermé pour senfoncer encore plus loin si cest possible. Je ne résiste pas très longtemps, de nouveau cette vague me submerge, enveloppe mon corps, me soulève dans les nuages pour me faire entrer dans le septième ciel. Je ne sais plus où je suis, je me laisse aller à ce plaisir intense, profond, entier. Quand je reviens à moi, Elisa est assise à côté de moi et me regarde tendrement.

Tu es très belle quand tu jouis.

Toi aussi chérie, nous sommes toutes belles quand nous jouissons, cest le bonheur qui nous embelli.

Il va falloir se préparer, ils vont bientôt arriver.

Ok, à la douche.

Ok, mais chacune chez elle, sinon ça va dégénérer.

Comme tu veux.

Elisa se lève et quitte la pièce, je vais dans la salle de bain pour me doucher, ce qui me prend tout juste cinq minutes. Jenfile un peignoir et je sors de la salle de bain. Je choisi les vêtements que je vais porter dans la soirée et enlève mon peignoir pour les enfiler. Cest le moment que choisi Paule pour entrer dans ma chambre sans frapper.

Ho, excuse-moi, je croyais que tu étais dans la salle de bain, je venais juste poser une robe et des chaussures qui tappartiennent je crois.

Je blêmi, je les ai oubliés au bord de la piscine. Paule me regarde bizarrement.

Dis donc, ça sent une drôle dodeur ici, je jurerais quil sest passé de drôle de choses dans cette chambre.

De quoi tu parles.

Ecoute Laure, je ne suis pas dupe, je sais très bien ce que font les parents quand ils sortent certains soirs.

Pardon ?

Tu nes peut-être pas au courant, mais ta sur et ton beau-frère vont dans des clubs très particuliers.

Comment ça très particuliers ?

Des club échangistes, papa et maman sont ce quon appelle des libertins, ils baisent avec dautres personnes dans ces fameux clubs.

Mais comment tu sais ça toi ?

Facile, une fois en nettoyant la voiture de papa, jai trouvé une carte de visite dun club à vingt-cinq kilomètres dici. Jai vérifié sur internet et je suis tombé sur le site dune boite libertine. Jai vu plein de photos de la boite, et des exemples de ce qui sy passait. Je nen ai pas parlé aux parents, et de toutes manières ils sont adultes et ils font bien ce quils veulent. Mais je sais que dans ces clubs, les femmes ont souvent des relations lesbiennes entre elles et je présume que cest le cas pour maman. Et là, dans cette chambre, jai limpression quon a fait lamour il ny a pas très longtemps.

Je suis livide, je savais mes nièces intelligentes, mais là, elle me scotche. Je ne sais pas quoi lui répondre de plausible, il est évident quil sest passé quelque chose ici, dautant que tous mes ustensiles sont étalés sur la table basse avec le double gode par terre. Paule me regarde avec un petit sourire triomphant. Elle attend ma réponse de pied ferme. Je décide de dire la vérité.

Tu as raison, il sest passé quelque chose ici.

Tu as fait lamour avec maman ?

Oui.

Elle me regarde, et jai limpression quelle est soulagée, comme si elle sétait soudain libéré dun énorme poids. Elle vient vers moi et pose ses lèvres sur les miennes, juste une seconde.

Cest formidable, je vois que ma mère et un peu comme moi, quelle aime les femmes, je vais pouvoir lui parler de mes problèmes.

Oui, mais elle naime pas que les femmes, elle aime surtout les hommes.

Ok, mais elle est capable de me comprendre, javais très peur de lui parler de mes penchants sexuels. Maintenant je vais pouvoir lui en parler, je sais quelle comprendra.

Ok, tu me laisse mhabiller maintenant ?

Juste un petit instant.

Elle se penche vers moi, ma saisie par la taille pour mapprocher et ses lèvres se posent sur un de mes seins pour en titiller le téton. La réaction est immédiate, il devient très dur. Elle passe à lautre sein pendant que ses mains me caressent les fesses et viennent explorer mon petit bouton. Ces lèvres sur mes seins et ce doigt tournoyant autour de mon clitoris me font exploser de plaisir. Je jouis une nouvelle fois en inondant mes cuisses. Paule se redresse, satisfaite de son uvre et pose un baiser chaste sur mes lèvres.

Maintenant, je te laisse, à tout à lheure.

Paule quitte la pièce et je me précipite pour ranger ma trousse et la mettre en lieu sûr. Je file prendre une nouvelle douche pour me calmer. Jenfile un corsage ample sur une jupe pas trop courte. Jhésite un peu, mais je fini par enfiler un string. Une petite demi-heure plus tard, je descends au salon, tout le monde est là à discuter de choses et dautres. Nous passons à table pour manger, ce qui dure une bonne heure, et nous finissons au salon avec un petit Armagnac pour les adultes. Elisa est radieuse, je ne lavais pas vue comme ça depuis mon arrivée, Henri à lair très heureux aussi, il me regarde de temps en temps à la dérobé, il faut dire que jexpose bien mes jambes, malheureusement, je ne peux pas lui montrer plus. Vers vingt-deux heures, je monte me coucher, la journée a été chargée et mon corps demande un peu de repos. Je me couche après une bonne douche et mendors très rapidement.

Le lendemain, je me réveille assez tôt, il est à peine sept heures trente, jenfile mon peignoir et descends pour préparer le petit déjeuner de tout le monde. En descendant, jentends du bruit dans la cuisine. Je ne sais pas qui cest, mais de toutes manières, cest quelquun que je veux exciter un peu, les filles, Michel ou Elisa pour des raisons évidentes, mais aussi Henri pour voir comment il réagit. Je détends un peu la ceinture de mon peignoir et ouvre légèrement le haut du peignoir, dégageant un peu plus ma poitrine. Quand jentre dans la cuisine, cest Henri qui est déjà là, il est prêt à partir ayant déjà déjeuner. Le café est prêt dans la grande cafetière.

Bonjour Henri.

Il vient vers moi pour membrasser sur les joues, je remarque que ses yeux nont pas quitté mon décolleté. En lembrassant je fais un petit mouvement qui augmente louverture, ce qui fait quil a une vue plongeante sur ma poitrine nue. Il ne se prive pas dy jeter un regard appuyé.

Bonjour Laure, tu as bien dormi ?

Je dors toujours bien depuis mon arrivée, ce doit être le climat ou lambiance de la maison.

Elle te plait cette ambiance ?

Oui, beaucoup.

Quest-ce quelle a de spéciale ?

Tout le monde soccupe de moi, je suis choyée.

Je ne moccupe pas tellement de toi moi.

Oui, tu nas peut-être pas le temps.

Pendant cette conversation, jai été vers lévier, et je me suis arrangé pour que mon peignoir souvre légèrement, il dégage pas mal ma poitrine et mes jambes pratiquement jusquen haut des cuisses, à la limite de mon sexe. Henri me regarde intensément, jai limpression quil se pose des questions, et quil se demande si mon attitude est voulue pour lexciter ou tout à fait naturelle.

Je me sers un café et vais massoir. En faisant ce geste, mon peignoir souvre complètement, libère entièrement mes jambes et dévoile mon sexe. Je rabats prestement un pan pour me couvrir et me glisse sous la table. Je sens Henri au bord de me sauter dessus, mais son esprit reprend le dessus et il se dirige vers la porte.

A ce soir Laure, je ne rentre pas à midi, je serais à la ville, Michel doit me rejoindre dans la matinée et nous déjeunerons ensemble.

Ok, à ce soir, bonne journée.

Merci, toi aussi.

Il quitte la pièce non sans avoir jeté un dernier coup dil dans ma direction. Cette confrontation ma un peu excitée, je porte ma main sur mon sexe pour constater quil est bien humide, je glisse un doigt entre mes lèvres. Cest le moment que choisi Michel pour entrer, juste vêtue dun petit short de sport et dun tee-shirt.

Bonjour tata, dis donc, tu narrêtes pas.

Michel sil te plait, un peu de respect pour ta vielle tante.

Il éclate de rire et vient coller ses lèvres sur les miennes deux seconde.

Si je te dis toujours aussi bandante tata, cest un manque de respect ?

Non, pas du tout, cest un compliment.

Il se sert un café et sinstalle pour déjeuner avec moi. Aucuns gestes équivoques, juste une grande complicité comme avant. Au bout de quelques minutes arrivent Elisa, Paule et Aline, toutes les trois en peignoir. Tout le monde déjeune, mais je vois que Paule sest mise à côté de sa mère et a lair très détendue. Je les quitte pour aller me préparer quand je reçois un coup de téléphone de Sophie.

Allo ?

Coucou, cest Sophie, je nai pas encore la réponse des propriétaires. Quest-ce que tu fais aujourdhui ?

Rien de particulier, je comptais rechercher un maître duvre pour les travaux au cas où.

Ça tombe bien, je suis avec un ami qui travaille dans le bâtiment comme responsable des travaux, il pourrait tintéresser.

Ok, on peut se voir quand ?

Tu peux être à lappartement dans une heure ?

Sans problèmes.

Ok, je ty attends, fais toi belle.

Je me prépare, je présume que le « fais toi belle » veut dire quelle a quelque chose derrière la tête. Je fouille dans ma garde-robe et y redécouvre une robe que javais totalement oubliée. Cest une robe blanche, assez moulante, boutonnée sur le devant, une petite fente derrière et avec, évidemment, la possibilité de ne pas boutonner tous les boutons. Je vais prendre une douche sans oublier de me faire une toilette très intime, devant comme derrière. Je suis propre, même là où on ne lattend pas. Jenfile la robe à même la peau en laissant deux boutons en bas et un en haut. Une paire descarpin blanc aussi et le tour est joué. Un tour sur moi-même devant la glace me confirme que jai eu raison. Je tombe sur Elisa quand je descends pour aller prendre ma voiture.

Tu es bien belle et bien sexy pour une matinée, tu as rendez-vous ?

Exactement, avec Sophie et un mec pour les travaux de lappartement, jattends encore la réponse des proprios mais je veux savoir à quoi mattendre si je fais ce que jai envie de faire.

Ok ma chérie, bonne journée, tu sais quon se voit ce soir ?

Oui, tu emmènes les filles.

Oui.

Je lembrasse en partant, récupère ma voiture et me dirige vers lappartement. Arrivé devant limmeuble, je vois Sophie, en minijupe et corsage rouge, qui me fait des grands signes, je mapproche pour mimmobiliser devant elle. Elle entre dans la voiture en dégageant ses cuisses jusquau sexe quelle a laissé libre. Cette vue ne me laisse pas indifférente, et elle le sait.

On va se mettre dans ce que jespère être ton futur garage, prends la descente à droite.

Elle me guide jusquà le garage, louvre avec une télécommande et je me gare. Nous descendons de la voiture, pour prendre lascenseur et rejoindre lappartement. Evidemment, une fois dans lascenseur, elle se jette sur moi pour membrasser fougueusement.

Jen avais tellement envie, tu es magnifique, cest pour qui, moi ou lui ?

Pour linstant toi, lui, je ne le connais pas encore.

Tu vas être agréablement surprise je pense.

Mais tu es seule ?

Oui, Alexandre nous rejoint tout à lheure.

Ok, je vais en profiter pour mieux voir ou je peux mettre mes meubles.

Une fois dans lappartement, jen fais une nouvelle fois le tour pour mieux visualiser lagencement de lensemble. Sophie est là, virevoltante, apparemment heureuse. Elle vient de temps en temps membrasser, comme pour sassurer que nous sommes toujours amies. Au bout dune vingtaine de minutes, on frappe à la porte.

Ce doit être Alexandre, jy vais.

Elle se dirige vers la porte, mais ho surprise, ce nest pas Alexandre, mais Lisa, elle aussi en minijupe et corsage rouge. Elle se précipite vers moi et membrasse.

Salut, comment vas-tu ?

Très bien et toi ?

Ça va, ça va.

Vous avez fait exprès de vous habiller de la sorte ?

Oui, nous devons rejoindre dautres filles habillées pareil pour nous balader dans les rues et voir les réactions de passants.

Ça risque dêtre drôle.

On lespère.

Elle reste collée à moi, et ses mains nen perdent pas une miette et parcourent tout mon corps en quelques secondes. Je suis à peine revenu de ma surprise quon frappe de nouveau à la porte. Cette fois ci, cest Alexandre. Je vois entrer un homme dune trentaine dannées, grand, blond, athlétique, les yeux bleus clairs et un superbe sourire. Je flashe. Il vient vers moi pour me serrer la main doucement.

Bonjour madame, je me présente, LEGRAND, Alexandre LEGRAND, oui, mes parents ont de lhumour, je suis chef de travaux, Sophie ma dit que vous cherchiez un professionnel pour surveiller les travaux de lappartement.

Cest exact, mais à la condition que je puisse lacheter. Si vous voulez bien me suivre, je vais vous montrer ce que je compte faire.

Allons-y.

Je montre à Alexandre tout ce que je veux faire, il écoute scrupuleusement ce que je lui dis, prend des notes, mais je remarque tout de même quil est aussi très intéressé par ma personne, ce qui ne me déplais pas du tout. La matinée se passe, il est lheure de déjeuner. Sophie et Lisa doivent nous quitter, elles doivent aller à leur rendez-vous avec dautres copines pour affoler la rue. Je reste donc seule avec Alexandre.

Permettez que je vous invite à déjeuner.

Volontiers, je suis à vous dans deux secondes.

Je vais aux toilettes, mais javais oublié quil ny avait pas de serviettes, je reviens donc les mains trempées. Alexandre sort dune poche un paquet de mouchoirs jetables, en extrait deux et vient menvelopper les mains avec pour les sécher. Je me laisse faire. Il me regarde droit dans les yeux, je soutiens son regard. Alexandre continu de me sécher les mains en me regardant, nos têtes commencent à se rapprocher lentement, je me sens attirée par son regard, je me laisse aller jusquà ce que nos bouches se rencontrent. Nous échangeons un merveilleux baiser plein de fougue et de tendresse tandis quil me tient toujours les mains. Quand nous nous séparons, il ne lâche pas mes mains, il sécarte un peu et me regarde tendrement.

Tu es magnifique et tellement douce.

Il ne faut pas tirer trop vite de conclusions, commençons par nous connaitre.

Ok, commençons au restaurant.

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