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Ma femme avide est un objet sexuel – Chapitre 2

Ma femme avide est un objet sexuel - Chapitre 2



Toujours aussi insatiable, ma femme racole à tout va. Nous recevons une invitation pour participer à une orgie, on lui propose d’en être la vedette. Folle de joie, elle accepte. Le jour convenu, nous nous rendons à l’adresse indiquée. Elle se vêt comme indiqué sur l’invitation, d’une jupe très courte, d’un corsage, et de sous-vêtements très sexy, mais impérativement, elle doit emmener avec elle des vêtements de rechange.

Nous sommes reçus par une femme seins nus, et qui ne porte qu’un string. Elle nous dirige dans une grande pièce, où déjà plusieurs personnes évoluent sur une piste de danse, certaines sont entièrement nues, d’autres à moitié. Une femme très mince, à genoux, suce la queue d’un type qui lui donne de temps en temps quelques gifles sonores, la garce a l’air d’aimer ça car elle l’encourage :

Plus fort, j’aime ça huuum !

Une autre est sur le sol à quatre pattes, un homme vigoureux la prend en levrette. Ma femme est rapidement entourée par deux femmes, l’une d’elles se plaque contre ses fesses et l’autre se place face à elle, et entreprend de lui masser doucement les seins, sûrement en signe de bienvenue. Soudain, la femme qui se trouve derrière lui déchire brutalement son corsage et arrache son soutien-gorge, les seins généreux de ma femme jaillissent, les bouts larges et épais qui prônent au centre des aréoles brunes se dressent fièrement. Ma femme pousse un cri de surprise. La femme qui lui fait face pose sa bouche sur un mamelon et l’aspire, Laura se cabre en geignant, la succion est terrible, le bout devient dur, la femme sait y faire, elle tète comme un nourrisson le ferait.

Le téton enfle davantage sous la bouche vorace de la suceuse, la bouche avide passe à l’autre mamelon, qui ne tarde pas à devenir aussi raide que son jumeau. Les mains baladeuses de la deuxième femme glissent sous la courte jupe de Laura, les doigts fureteurs voyagent sur le string, écartent la ficelle qui sépare les deux lobs fessiers, et jouent sur la raie culière.

Un doigt plus hardi que les autres pousse sur l’illet brun, l’anneau ridé cède sous la petite poussée, et avale la première phalange. Le fouineur accentue la pression, l’intrus en entier pénètre le conduit étroit,à chaque va-et-vient, ma femme geint de plaisir. Le ramonage s’arrête, un deuxième doigt rejoint le premier et fouille profondément le rectum si accueillant, Laure serre les dents et reprend ses gémissements lorsque le pilonnage augmente en intensité.

La suceuse cesse de téter, ses mains s’accrochent à la jupette de Laura, et tire fortement sur le fin tissu, la jupe ne résiste pas longtemps et s’éparpille en lambeaux sur le sol.

La femme écarte avec une main le string en dentelle rouge, et fait glisser les doigts fins de son autre main sur la fente suintant. Elle fouille doucement le temple avec trois, elle retire les intrus et les lèche un à un pour en savourer la cyprine suave. Les femmes s’écartent et déchirent le dernier rempart. La femme cesse de fouiller l’anus de ses doigts, elle plaque sa bouche sur la rondelle, sa langue s’enfonce dans le passage entrouvert et en fouille chaque recoin. Laura est maintenant livrée à d’autres personnes, un homme l’enlace, la saisit sous une cuisse, et lui relève la jambe jusqu’à sa taille en la maintenant fermement, elle s’accroche au cou du type pour ne pas tomber. Elle sent contre sa vulve la queue bondée de l’homme, c’est une femme qui maintient l’engin dur comme du bois contre la chatte en ébullition.

IL suffit d’un petit coup de reins, pour que le pieu s’enfonce jusqu’aux couilles. Ma femme rejette sa tête en arrière, et pousse un terrible soupir. L’homme ne bouge pas, il attend que son complice intervient. L’autre homme a la bite large et épaisse, il place son mandrin contre l’anus de la soumise, s’accroche à ses hanches larges et donne un violent coup de reins. Ma femme pousse un cri de douleur, le manche monstrueux s’enfonce de moitié dans le cul de Laura qui grimace. L’homme ressort son manche veineux gorgé de sang, et le replonge brutalement.

Ma femme se cabre, les couilles de l’enculeur viennent en contact de ses fesses rebondies. Les deux mâles commencent à pilonner les orifices en feux de Laura qui grogne comme un animal en rut. Les queux puissantes coulissent dans les entrailles brûlantes de ma femme, les coups de reins sont redoutables et profonds. Ma femme halète de plus en plus fort, elle râle comme une personne à l’agonie, sa tête bascule de gauche à droite. Les assauts redoublent, ma femme pousse un cri terrible, son corps est secoué de spasmes violents, sa jouissance est interminable, elle gicle sur les couilles de son baiseur qui accélère la cadence. Les deux hommes défoncent ma femme fortement, les puissants pistons coulissent en elle sans faillir.

L’enculeur se raidit et se bloque, et envoie plusieurs giclées de sperme épais, au plus profond des entrailles de Laura qui agite sa croupe à chaque giclée. Lhomme reprend ses pilonnages. La paroi qui sépare les deux orifices est si mince que Laura a l’impression que les deux queues sont dans le même trou. La chevauchée et terrible, Laura s’accroche fermement aux épaules de son baiseur, pousse un râle rauque et jouit à nouveau. L’homme lui défonce rageusement la chatte, il s’arc-boute et envoie sa semence à grosses giclées dans la chatte insatiable de ma femme qui pousse des :

Oui oui encore mes cochons, défoncez-moi comme une chienne, je suis à vous, démontez-moi, j’en veux encore, oui encore !

Les deux la déglinguent encore un bon moment avant de se retirer du corps de ma femme. Moi j’ai déchargé dans mon slip, ça ma tellement excité de la voir se faire démonter que je n’ai pu me retenir.

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