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ma femme et moi – Chapitre 2

ma femme et moi - Chapitre 2



Lecteurs de magasines très ouverts sur la sexualité, individus et couples, nous avions conclu que nous n’étions pas anormaux, mais plutôt de notre temps, pouvant découvrir le plaisir à travers ses multiples facettes.

Nous avions convenu de tout faire pour partager les plaisirs que pourraient nous apporter nos fantasmes,

« L », je l’appellerai ainsi, ayant envie de montrer son corps, moi aimant la voir s’offrir. Ne sachant pas quelles limites nous donner, nous avions décidé de voir comment les choses se présenteraient, et suivant nos envies, nous déciderions au moment opportun.

Mon épouse me promit de faire tout ce que je lui demanderais, elle me raconterais en détail les faits si je n’y assistais pas directement,

Nous étions en plein congé d’été et comme beaucoup, nous sommes partis sur la côte atlantique, faire du camping.

Dès le premier jour, ma femme me dit qu’elle avait remarqué que je ne me privais pas de regarder les seins des femmes qui faisaient du mono sur la plage. J’avouais qu’effectivement je trouvais ça pas mal. A l’époque sans être rare, peu de femmes pratiquaient le topless,

« Ça te plairait que je le fasse? »

Complexant sur sa poitrine relativement menue, je fus très étonné de sa proposition et lui fis la remarque.

« Justement me dit-elle en rougissant, ce serait un bon exercice pour décomplexer, surtout si je vois que les hommes me regardent et que je leurs plais. »

Je compris de suite qu’elle voulait continuer notre expérience, nos regards se croisèrent et le même petit frisson nous parcourut.

« Tu sais très bien que tu plais aux hommes, j’ai aperçu ton petit manège avec un des jumeaux ce matin »

En effet, nous avions planté notre petite tente sur un emplacement tout au fond du camping et nos voisins, des jumeaux sensiblement dans nos âges, nous avaient aidé à nous installer et nous avions fait connaissance. Ils avaient une caravane pliante avec un grand haut-vent et nous firent visiter leur installation. Durant cette visite, l’un d’entre eux légèrement en retrait ne pouvait s’empêcher de déshabiller « L » du regard, elle l’avait remarqué et leurs regards se rencontraient souvent.

« C’est vrai’ avoua-t-elle, la façon dont il me regardait m’a rappelé le type de l’autre jour et j’en ai ressenti un certain trouble »

« Tu as envie de l’allumer? »

« Si tu me le demandes, je suis prête à le faire, il me plaît bien, enfin je ne sais pas lequel, mais bon… »

« Tu es prête à aller jusqu’où? » « C’est toi qui me guides, dit-elle en m’embrassant »

L’après-midi nous nous sommes installés sur la plage, nos deux voisins, déjà entrain de se baigner à une vingtaine de mètres nous aperçurent et l’un deux se dirigea vers nous,

« C’est le moment, enlève ton haut, dis-je à mon épouse »

Elle me regarda dans les yeux, puis en deux secondes offrit aux caresses du soleil sa petite mais jolie poitrine, les mamelons sombres déjà érigés par l’excitation.

Le jumeau eut un temps d’arrêt, admira du coin de l’il cette poitrine dressée devant ses yeux, puis avec une certaine gêne nous invita à la baignade. N’aimant pas l’eau, je déclinais l’invitation mais dit à « L » qu’elle pouvait se joindre à eux si elle le désirait, Elle se leva et suivit notre homme.

Allongé sur le ventre, mes yeux cachés par mes lunettes de soleil, je ne perdais pas une miette de ce qui se passait à quelques enjambées de moi. Je faisais semblant de faire la sieste.

Avancés dans l’eau jusqu’au bassin ils se passaient un ballon, s’aspergeant, riant, sautant pour attraper la balle ; chaque saut d’ « L » secouait sa poitrine ferme la mettant encore plus en valeur.

Souvent leurs regards pointaient dans ma direction, mais devant mon inaction ils finirent par m’oublier.

Au bout de quelques minutes, ils se rapprochèrent d’elle, et l’empoignant à bras le corps ils la lancèrent chacun leur tour dans l’eau, dans de grands éclaboussements, au milieu desquels je ne distinguais que des têtes émergeant de temps à autre.

Ce chahut durât une dizaine de minutes puis l’eau se calmant j’apercevais la tête de mon épouse se dirigeant en nageant vers un petit ponton ancré un peu en profondeur à une trentaine de mètres du bord. Elle était suivie de l’un des jumeaux, elle contourna le ponton et s’arrêta sur le côté pleine mer, cachés du côté de la plage je ne pouvais plus les voir d’où j’étais et le ponton étant désert, personne ne pouvait déranger leur tète à tête qui dura une bon quart d’heure, suite à quoi le jumeau revint seul, parla avec son frère, ils ramassèrent leurs affaires, passèrent à mes côtés pour quitter la plage et l’un d’eux me dit « on sera là ce soir vers vingt deux heures, venez prendre un verre »

Au bout d’un moment « L » revint, prit ses affaires et sombrement me dit de rentrer, elle voulait prendre une douche.

Nous sommes rentrés et avons pris notre douche séparément, puis elle m’a rejoint sur le matelas de la tente, s’est lovée contre moi sans rien dire. Devant ce silence, je me retournais face à elle, et lui dégageant la figure des mains je l’obligeai à me regarder, le regard interrogateur.

« Ne me regarde pas j’ai trop honte » « Honte de quoi? »

« De ce qui s’est passé » « Et que s’est-il passé? »

« Bien, tu n’as pas vu? » « Pas grand chose, non »

Tremblante, elle me dit qu’elle savait maintenant qu’elle plaisait, les jumeaux lui en avaient donné la preuve et qu’elle avait honte parce qu’elle avait pris du plaisir et en plus sans moi.

Je lui rappelais nos accords, qu’elle avait suivi la direction que je lui avais montrée, que le but était de prendre le plus de plaisir possible et que c’était parfait si elle en avait eu,

« Oui mais toi? » « Dans nos accords, lui rappelais-je, tu dois tout me raconter et en détails »

Suivit un moment de silence, puis elle approcha sa bouche de mon oreille et chuchotant presque elle me narra les événements,

Tout d’abord, c’était plutôt gentil, on se renvoyait le ballon, ils regardaient souvent vers toi puis comme tu ne bougeais pas, ils t’ont oublié.

Moi je suis tombée sur une algue qui flottait et je leur ai lancé à la place du ballon. Ils se sont alors jetés sur moi en criant qu’il fallait pas faire ça, ils me prenaient dans leurs bras et ils me balançaient dans l’eau, revenaient à la charge pour me faire boire la tasse.

Mais ils profitaient de la situation pour me toucher, timidement au départ, juste des effleurements sur les seins, puis, comme je laissais faire, les caresses sont devenues plus franches.

A un moment, un des deux, dans mon dos, me ceintura et posa directement ses mains sur ma poitrine, prenant un sein dans chaque main, il me les a tripotés, jouant avec la pointe de mes tétons qui se mirent à durcir comme jamais, j’en avais presque mal, mais en même temps, j’étais très excitée.

Nouveau silence, je l’embrassais tendrement, pris sa main et la déposais sur ma verge que le récit commençait à tendre. Tout en me caressant elle continua.

Sentant que ça tournait plutôt chaud j’ai voulu tout arrêter, j’ai réussi à me dégager, mais je ne sais toujours pas pourquoi, au lieu de venir te retrouver, je suis partie en nageant vers le radeau.

Tout en nageant je me suis aperçue que l’un d’eux me suivait et j’ai lu dans ses yeux son désir, d’homme, comme ce matin et le désir est monté en moi, j’avais envie qu’il fasse quelque chose.

Rien que de te le raconter, je revis ce moment et je sens que je mouille autant que tu bandes. Chose que je vérifiais sur le champ, son sexe était en effet trempé et déjà bien ouvert.

Je me suis mise à l’abri des regards de la plage, sur l’autre côté, j’ai pris appui sur le ponton et me retournant en lui faisant face, j’ai réussi à me caler. Il m’a rejoint, nous avons récupéré notre souffle, sans un mot. Il me pénétrait de son regard brûlant et je fondais littéralement, il a posé ses lèvres sur ma bouche et sa langue est venue au contact de la mienne, je l’ai d’abord laissé faire, puis, j’ai répondu à son baiser, sa main recommençant à caresser mon corps, les seins puis, sans prévenir, il a glissé sa main dans ma culotte, je n’en pouvais plus et j’ai écarté mes cuisses lui libérant le passage, il m’a titillé le clitoris et malgré l’eau je sentais ma vulve très chaude et mouillée. Un de ses doigts m’a écarté les lèvres et ma pénétrée. Arrêtant de m’embrasser, il a pris son souffle, s’est laissé couler et disparaissant vers le bas il m’a retiré la culotte, entièrement, puis remontant il s’est installé entre mes cuisses ouvertes, et a commencé à frotter son dard, qu’il avait sorti, contre ma vulve, entre mes lèvres bien écartées. J’étais folle de plaisir et je n’ai pu m’empêcher de le prendre dans ma main, il était très dur, chaud et très doux. Plus long que le tien, plus fin aussi.

J’ai commencé à le masturber lentement, il a repris ma bouche, sa langue jouant avec la mienne. Son pouce allait et venait le long de ma chatte, je n’en pouvais plus, j’ai glissé ma main vers ses couilles et je me suis positionnée pour qu’il s’enfonce en moi, mais certainement trop excité il a éjaculé aussitôt avant de me pénétrer, malgré l’eau je sentais son sperme chaud sur ma vulve.

Nous étions tous les deux très excités par son récit, revivant les choses en me les racontant et nous fîmes l’amour à ce moment, totalement nous abandonnant l’un à l’autre.

Plus tard elle me raconta la fin. Il l’avait embrassée de nouveau lui redonnant sa culotte de bain puis l’avait quittée sans un mot.

Finalement me dit-elle c’est pas plus mal qu’il ait giclé rapidement car je crois que bouillante comme j’étais je l’aurais laissé me prendre et là ça craint, je n’ai été qu’à toi, je ne sais pas si je dois aller jusqu’au bout. Je sais que je risque pas grand chose avec la pilule, mais bon. Et puis je suis à toi, pas à un autre, s’il te plaît évitons-les maintenant, la première fois c’était pas loin

« Trop tard nous sommes invités ce soir pour boire un verre après dix heures ».

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