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Ma fiancée me trompe avec… – Chapitre 3

Ma fiancée me trompe avec... - Chapitre 3



25 décembre 2014,

Vous vous rappelez quand je disais ne pas être dun naturel jaloux ? Je nen suis plus si sûr à présent car suite à sa proposition la version « cochonne » de Lucile remue son bassin, toute guillerette, et presse ses fesses humides contre mon sexe, ayant probablement remarqué mon désarroi.

Voyons Je plaisantais ! Tu devrais te détendre un peu.

Mouais Je doute que cela vous étonne mais les paroles « réconfortantes » de Lucile ne sont pas dun grand secours et naméliorent en rien mon humeur.

Ma copine couche avec mon père Et je devrais me détendre ?!

Je ne me souviens pas que tu aies protesté lautre soir, ironise Lucile.

Mon pénis reprend des formes tandis que ma chérie porte ses manuvres les plus habiles à l’aide de ses hanches, de ses fesses et de ses cuisses. Je ne souhaite pas lui faciliter la tâche mais elle sait exactement quoi faire pour abaisser ma garde. Difficile de lui résister dans ces conditions Au final, je nai plus quune idée en tête : la baiser sans ménagement.

Si on mavait dit un jour que je me ferais prendre par le père de mon futur époux, complète ma chérie, allant même jusquà feindre un râle de plaisir. Je ny aurais pas cru

Ce que tu dis est complètement dingue, tu en es consciente ?

Mmmmh Évidemment ! Ton père a réveillé quelque chose en moi Quelque chose que je croyais éteint Ohhhh !

Je me suis retenu autant que possible. Si bien que je ne contrôle plus mes gestes Ma verge se présente naturellement à lentrée de son vagin en ébullition, se fraie un chemin entre ses lèvres gonflées de plaisir, et disparaît à lintérieur en faisant un petit bruit mouillé.

Tu es tout pour moi, confie Lucile entre deux soupirs.

Je ne sais pas si je pourrais te pardonner…

Je Je crois que tu le fais à ta manière. Ahh Jaime quand tu me bourres la chatte !

Je ne réponds pas tout de suite, trop occupé à glisser mes deux mains sous le tissu de sa robe et parcourir son ventre plat et baigné de sueur, accède à sa poitrine qui ne ma jamais paru si démesurée. Je prends donc un malin plaisir à caresser les extrémités de ses tétons, les fais rouler entre le pouce et lindex, avec plus ou moins de fermeté.

Je te trouve bien présomptueuse, lui signalé-je en tirant davantage la pointe de ses seins.

Dis celui qui pour laver son honneur me passe sur le corps Deux fois ! Ohhhh ! Je ne sais pas si les cocus pardonnent tous de cette façon Mais ce nest pas pour me déplaire !

Cest ce que je vois !

Je la tiens fermement par les hanches, accrois mes va-et-vient jusquà ne plus pouvoir distinguer ma verge et laboure son pot à miel si vite que ma chérie ne tient plus en place. Il ne lui faut pas plus de trois minutes pour éprouver les bienfaits de la jouissance.

Ohhhh ! Je Oooohhhh ! Oui Ouiiiiiiii !

Lucile exprime son orgasme par un irrépressible cri de plaisir, se met sur la pointe des pieds et creuse son dos de manière vulgaire. Un filet de mouille sécoule présentement de sa chatoune, fuite le long de ses jambes et sen va former une petite flaque sur le parquet fait de fines lames de bois.

Aaaggh Moi aussi !

Je plonge une dernière fois dans son antre, aussi loin quil mest possible, et la remplis à nouveau de mon sperme chaud. Nos grognements excités se font plus espacés tandis que nous nous affalons au pied de la commode, exténués. Ça me coûte de lavouer mais cest sans nul doute la meilleure baise que nous nayons jamais faite depuis notre première fois.

Je suis vannée, dit Lucile en tentant de ralentir les battements de son cur, la main droite posée dans le creux de sa poitrine.

Jessaie de faire le vide dans ma tête, me remémore les dernières vingt-quatre heures. Puis je regarde ma bien-aimée glisser deux doigts dans son vagin, récupérer le trop-plein de sperme et le porter à sa bouche pour en apprécier la saveur.

Qui êtes-vous ? Et quavez-vous fait de ma fiancée ?

Haha ! Très drôle !

Lucile me sourit dun air mutin, vient se blottir contre moi et inonde mon torse musclé de baisers passionnés. Je ne suis quun pantin entre ses mains Et la raison pour laquelle son stratagème fonctionne si bien avec moi cest parce que je laime à en perdre la raison. Elle le sait. Elle en abuse.

Nos regards se croisent à plusieurs reprises, se font très appuyés. Je décèle dans le sien une ardeur renouvelée, qui me laisse perplexe.

Quel idiot je fais

Bien quelle mait trahi, je laime toujours. Et ses sentiments à mon égard paraissent même plus grands que dans mon souvenir. Tout ça est très confus pour moi.

Je peux difficilement tirer un trait sur ce qui sest passé. À moins dentendre ta version de lhistoire

Je te le dois bien, fit Lucile. Il me faut tout dabord remonter plusieurs années avant notre rencontre. Sache quil y en a eu dautres avant toi…

Je men doutais un peu.

Et tu nas jamais posé de questions les concernant. Sans doute par respect… Je sortais à peine du cocon familial, très portée sur le sexe. Si tu savais toutes les vilaines choses que jai faites Ils ont été nombreux à satisfaire mon appétit sexuel. Beaucoup trop pour que je me souvienne de tous.

Heu Tant que ça ? Et le rapport avec mon père ?

Si tu me laissais terminer Je ne saurais dire pourquoi mais javais alors un penchant très net pour les hommes expérimentés. Jentends par là des partenaires beaucoup plus âgés. Un en particulier qui me faisait grimper au rideau comme personne. Un baiseur sans pareil. Cest sa ressemblance avec ton père qui ma dailleurs le plus troublé.

Jessaie de comprendreTu tes envoyé mon père parce quil te rappelait un de tes vieux amants ?

Nous avons pourtant une vie sexuelle très active. Jamais elle ne sest plainte au cours de nos batifolages… A moins quelle ne me joue la comédie depuis tout ce temps, lui faisant ainsi regretter sa vie de débauche.

Cest un peu plus compliqué que ça, intervient Lucile.

Je me tortille légèrement quand elle saisit mon « attirail » entre ses doigts experts, la dévisage, toujours dans mes pensées. Puis elle me dit :

Je suis pleinement satisfaite de tes services, si cest ce qui te tracasse.

Je devrais me sentir rassuré. Mais après ce que jai vu

Je suis peut-être lamour de sa vie Il nempêche quelle se fait sauter par mon père en souvenir du bon vieux temps. Il y a de quoi se poser des questions, nest-ce pas ?

Cest toi que jaime, enchérit Lucile en serrant plus fort mes testicules. Je vais te fournir une preuve indiscutable

Une dernière pression sur mes parties génitales, la voilà qui se lève et part en direction de la salle de bain, se dénude de manière progressive, laisse derrière elle ses vêtements, puis madresse une illade avant de disparaître dans la pièce voisine. Jentends ensuite le bruit de leau qui coule, réfléchis un moment et men vais la rejoindre

***

28 décembre 2014,

Trois jours à me réconcilier avec ma chérie Nous avons passé notre temps libre à forniquer dans tous les endroits possibles de la maison, faisant bien attention à ce que mon père entende tout de nos ébats. Il ne pouvait y avoir quun seul homme dans la vie de Lucile. Et je voulais quil le sache Je profitais alors des absences de ma mère pour faire le show.

Ahh ! Je Je suis sur le point de jouir ! sécrie Lucile. Cest si bon Ahh ! Ahhhhhhhhh !

Cest le garage qui aujourdhui nous sert de lieu de dépravation. A quatre pattes sur le sol crasseux et encombré doutils en tout genre, Lucile encaisse bruyamment mon gourdin qui va et vient à lintérieur de son fondement, me supplie de la prendre avec plus de fermeté. Mes testicules viennent cogner contre sa vulve, ce qui a pour effet daccroître mon excitation, puis jeffectue un dernier passage dans son conduit anal avant de sortir et arroser copieusement son postérieur, la cambrure de son dos et son impeccable chevelure brune. Lucile sétend de tout son long, émet quelques derniers râles de bien-être, exhibe sa chair barbouillée de taches de cambouis, en plus de mon sperme. Il va lui falloir plus dune douche pour enlever tout ça De mon côté, jai un peu de mal à reprendre mon souffle. Pas facile de tenir la cadence après trois jours de travaux pratiques

Notre petite escapade terminée, je prends la direction du salon où mon père consulte (en apparence) une revue de presse, laisse ma chérie monter à létage pour quelle puisse se refaire une beauté. Mon paternel la suit du regard, profite du spectacle à nen pas douter. Jai une envie folle de lui en coller une Il ma sans doute capté car je lentends me dire :

Je suis fier de toi ! Je ne pensais pas te dire ça un jour On dirait moi il y a vingt ans. Tu devrais quand même ralentir au risque de te ruiner la santé.

Tu es mal placé pour me faire la morale, lui répondis-je, acerbe. Jai gardé le silence tout ce temps Je sais que tu as couché avec Lucile. Pas la peine de le nier, jai tout vu.

Si ma réaction le surprend, il nen montre rien. Je le vois même esquisser un sourire, ce qui a le don de mirriter encore plus.

Je me disais aussi Voilà qui explique ton comportement de ces derniers jours.

Attends Cest tout ? Tu nessaies pas de te défendre ?

Cest toi qui me demande de ne pas nier la vérité.

Et rien de ce que tu diras ne pourra effacer ce que tu as fait. Mais jy tiens quand même

Mon père me raconte tout dans les moindres détails. Comment il a su séduire Lucile sans éveiller les soupçons, les regards en biais ou encore le fil des conversations qui déviaient très vite sur le sexe. Je nen crois pas me oreilles Il répète je ne sais combien de fois à quel point il aime sa femme malgré une vie sexuelle devenue monotone, que son aventure avec ma moitié a remis du piment dans son couple. Je ne sais plus quoi penser après ces révélations Jai toujours envie de le cogner, si ça peut vous rassurer. Mais il y a un gouffre entre le penser et le faire. Il nen reste pas moins mon père.

Au moins tu ne mas pas cassé la figure, termine mon père.

Ce nest pas lenvie qui me manque.

Oh ! Il serait donc malavisé pour moi de demander

Jai déjà ma petite idée de ce quil a en tête.

Tu veux savoir si je te laisserais remettre ça Certainement pas.

Mon air sévère lui fait comprendre de ne pas insister.

Ok. Je nen dirais pas plus. Si jamais tu changes davis

Je ne prends pas la peine de lui répondre. Puis je men vais rejoindre Lucile à létage, qui doit probablement mattendre sous la douche, des idées perverses plein la tête. Quand je la retrouve, cest effectivement dans la salle de bain, la pomme de douche dirigée vers lintérieur de ses cuisses. Elle émet un gémissement très faible lorsque le jet deau passe sur son clitoris, écarte un peu plus les lèvres de son sexe gonflé, et une fois ma présence détectée me fait signe de venir.

Quand je disais être au bout du rouleau

Ouille !

Mon pénis en érection me fait un mal de chien. Pas une minute de répit durant les trois derniers jours Malgré le doigté de Lucile, rien ny fait. Ça mapprendra !

Ouille ! Ouille !

Prescription de ma doctoresse : beaucoup de repos !

***

30 décembre 2014,

Toujours en convalescence ! Jessaie de faire contre mauvaise fortune, bon cur. Et si vous pensez que ma mésaventure a su calmer les ardeurs de Lucile, cest que vous êtes bien naïfs. Sa respiration se fait plus forte à mesure que ma langue approche de son pubis, dérive à lintérieur de ses cuisses avant de sen aller en direction du fruit défendu.

Mmmmmh !

Lucile qui est alors étendue sur le lit écarte doucement les jambes, bredouille je ne sais trop quoi et dune légère pression de la main amène mon visage plus près de son minou. Elle ne peut sempêcher de frémir lorsque ma langue effleure ses lèvres intimes, frétille autour de son clitoris boursouflé. Je me délecte longuement de sa liqueur abondante, contemple sa fente ruisselante de désir et insinue deux doigts à lintérieur, les fais lentement coulisser.

Les gémissements de Lucile se font plus bruyants. Elle aussi est devenue très sensible au fil des jours Son petit bouton damour est plus bouffi que jamais. Puis je la vois élever son bassin, approcher son majeur et chatouiller son anus qui souvre à intervalles réguliers.

Je veux sentir ta bite dans mon cul !

Tu sais bien que cest impossible

Mais cela va faire deux jours ! Ahh Si tu nes pas opérationnel après ça !

Je me joins à la branlette sauvage de Lucile, asticote sa rondelle avec la pointe de ma langue, me faufile au travers après quelques délicates allées et venues.

Je ferai nimporte quoi pour un pénis ! Ahhhhhhhhh !

Le corps de Lucile se tend dun seul mouvement lorsque survient le point culminant de lexcitation sexuelle, qui se traduit par des sensations de plaisir intense.

Cétait pas mal, déclare ma chérie une fois remise de ses émotions. Mais

Mais ça manquait de bite, je sais ! Ta patience sera bientôt récompensée, je te le promets.

Jignore combien de temps je vais encore pouvoir tenir

Tu fais une sacrée salope, ma parole !

Ce nétait pas ton plan depuis le début que de vouloir me sauter à longueur de journée ? Dans le but dassurer ta petite vengeance Regarde dans quel état tu es maintenant.

Jobserve ma bien-aimée plonger sa main droite à lintérieur de ses cuisses, glaner un échantillon de son jus intime qui suinte toujours de son sexe entrebâillé, puis agiter sous mon nez ses doigts englués. Elle ajoute :

Et que dire de moi ? Je me croyais suffisamment forte pour ne pas succomber aux péchés de mon ancienne vie Je ne réponds plus de moi si je nai pas une bite dans les prochaines heures !

Tu ne serais pas en train de dramatiser là ?

Pas du tout ! Je suis comme qui dirait en manque Nimporte quelle bite fera laffaire ! Il y en a justement une qui se trouve au rez-de-chaussée

Hein ? Je Je te linterdis !

Je vois Je me ferais donc baiser par le premier venu que je croiserais dans la rue.

Tu noserais pas ?!

Parce que je taime, je te laisse choisir. Ton père ou un inconnu.

Je ne mattendais pas à ce que la situation change de manière si brusque. La requête de Lucile ou son chantage, en loccurrence me laisse pantois. Jessaie de trouver une solution à mon problème, me perds dans mes réflexions.

Ça sera donc ton père, achève Lucile, ravie.

Je souhaite réagir mais aucun mot ne sort de ma bouche, trop confus pour argumenter quoi que ce soit. Jai beau essayer Ma réaction fait beaucoup rire ma compagne. Puis je la vois sextraire du lit, rassembler chemisette et minishort afin de couvrir son corps nu.

Tu vas quelque part ? lui demandé-je, interloqué.

Devine !

Maintenant ?

Il faut battre le fer tant quil est chaud, tu connais lexpression.

Lucile affiche un large sourire, prend sans délai la direction de la porte, toute joyeuse. Elle est déjà loin quand je réalise son absence, à ma grande surprise. Je ne peux pas la laisser faire Je mhabille si vite que jen perds du temps, trop désordonné dans mes mouvements. Puis je rallie le rez-de-chaussée en essayant de faire le moins de bruit possible, jette un coup dil autour de moi avant de mintéresser à la cuisine où sélèvent quelques murmures sourds. Si seulement je pouvais avoir tord

Je découvre ma fiancée appuyée sur le rebord du comptoir, sa jambe droite relevée et posée sur le plateau en bois, débarrassée de son minishort et la verge de mon père enlisée dans son vagin luisant de cyprine. Je reste dissimulé derrière la cloison, abasourdi.

Ta queue est incroyable ! Charles Je Ooohhh ! Oui

Il était temps pour toi de te soulager, on dirait ! Une vraie chienne en chaleur !

Sur ces mots, et certainement encouragé par les petits cris surexcités de sa partenaire, mon père la saisit brusquement par les hanches et la tire vers lui, intensifie le va-et-vient de son engin. Je le vois chuchoter des mots à loreille de Lucile, qui sempresse de répondre :

Cest exact ! Je suis une belle salope Ahh !

Lucile gémit plus fort lorsque la main de mon père claque sa fesse droite, regarde par-dessus son épaule et laisse entrevoir un magnifique sourire. Cest quelle commence à prendre goût à la fessée La simple vision de Lucile avoir du plaisir me procure une érection forte et douloureuse.

Après ce qui me paraît une éternité, je surprends mon père se retirer de ma chérie, puis solliciter une fellation comme elle seule sait le faire. Elle se met tout de suite à la tâche, assise sur les talons, la grosse verge du vieux dans le creux de sa main droite. Sa langue vient picoter le gland, en réalise le tour, et sattarde un moment sur le frein.

Tu es la reine des suceuses, jubile mon père. Je ne serais pas étonné que mon fils raffole de tes pipes.

Il adore ! Surtout quand je lui fais ça ! Vois par toi-même…

Je Aaaggh ! Cest divin ! Quel dommage quil ne puisse en profiter Mais il a encore des yeux pour regarder Je sais que tu es là, fiston ! Sors de ta cachette !

Je sursaute en entendant la voix de mon père, pris de panique et dans limpossibilité de réfléchir de manière intelligente. Mon cur battant la chamade, je finis par me montrer, les yeux baissés.

Tu peux être fier de ta fiancée, fiston ! Elle est prodigieuse ! Et je ne te remercierais jamais assez davoir reconsidéré ma demande !

Un sentiment horrible mhabite Les évènements auraient certainement été différents si je navais pas entraîné celle que jaime dans ma petite vendetta. Cest une Lucile pervertie que je venais de livrer à mon paternel. Mais ce nest pas le pire Je commençais moi-même à prendre mon pied, en témoigne la superbe bosse qui déforme la toile de mon pantalon.

Assise sur le comptoir, Lucile pose ensuite ses jambes sur les épaules de mon père. Ce dernier prend appui en tenant ses genoux, enfonce nerveusement sa tige dans son intimité et en ressort presque aussitôt, continue son manège un moment avant de la saillir pour de bon. Je ne peux mempêcher de sortir mon membre endolori, légèrement humide.

Ohhhh ! sécrie Lucile, déchaînée. Ne retiens surtout pas tes coups ! Je Mmmmmh ! Oui Je suis folle de ta queue, Charles !

Mon père ne se fait pas prier, engage son vît de façon plus vigoureuse, au grand plaisir de Lucile qui émet des râles satisfaits à chacun de ses coups de reins. Cest quil a de lénergie à revendre le bougre

Son corps imbibé de sueur et parcouru de frissons, Lucile bascule la tête en arrière, se laisse envahir par lexcitation de lorgasme. Elle est très vite rejointe par mon père qui libère sa semence à lintérieur de son intimité, tout essoufflé.

Tu as été fantastique, lâche mon père. Cest mon fils qui en a de la chance !

Je le regarde caresser le clitoris et la vulve baveuse de ma fiancée avec la pointe de son sexe, puis la couvrir de félicitations. De mon côté, je répands le fruit de ma jouissance sur le carrelage de la cuisine, soulagé.

Ces deux-là ont remis le couvert au moins trois fois (en ma présence, tout du moins) avant que je ne sois totalement rétabli. Plus rien na été pareil après cette journée Et je me suis très vite retrouvé à devoir partager Lucile avec mon père, me faisant moins réticent au fil du temps. La savoir heureuse suffisait à mon bonheur, du moment que ça restait en famille.

Les jours défilent Cest le moment des adieux. Mes parents nous serrent dans leurs bras une dernière fois avant notre vol, espèrent nous revoir très vite, un en particulier. Notre mariage étant fixé dans trois mois, ils nauraient pas longtemps à patienter.

***

"Vous connaissez maintenant le début de lhistoire !"

Ps : nhésitez pas à laisser un petit commentaire si vous avez apprécié cette histoire, merci.

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