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Ma mère toute à moi – Chapitre 4

Ma mère toute à moi - Chapitre 4



Une fois sortis sans bruit de la maison,je me réajustais effaçant du mieux que je pouvais les traces de mes émois.

Puis j’errais dans le quartier jusqu’à l’heure prévue de mon retour. Je retrouvais mon père dans le salon, ma mère préparant le repas dans la cuisine. Elle s’était changée, avait mis un pantalon et un sweat large pas sexy pour un sou. Mais son visage de femme qui avait abusé du sexe était bandant. Les cernes sous ses yeux confirmaient les orgasmes qu’elle avait eu tout à l’heure.

Cette fin de week-end se passa normalement..

Quelques jours plus tard, j’avais mis au point mon stratagème pour inciter mon père à débarrasser sa foufoune de ses poils trop nombreux. Utilisant la même ruse que précédemment, j’avais cette fois sélectionné des images de pornos anciens à l’époque où les fourrures étaient de rigueur. Une fois les images sous les yeux, je prenais mon père à témoin, me moquant de cette mode heureusement has-been qui nous privait des douceurs et de la vision magnifique de leurs chattes dévoilées. Mon père pensif ne répondit rien, mais les photos de minous bien taillés, montrant les magnifiques lèvres glabres des mannequins ne le laissèrent sans doute pas insensible.

Les jours suivants j’espionnais ma mère essayant de savoir, tentant de la voir, là où un fils ne doit pas regarder sa maman, mais je n’ai pas réussi à la surprendre nue, ou à l’observer en train de se changer.

Mon père s’était-il occupé de sa chatte ? Cette question me taraudait l’esprit toute la semaine sans que j’aie la moindre réponse.

Les nuits qui suivirent ce fameux week-end furent tranquilles, mes parents ne me donnaient plus mon spectacle favori et j’attendais tard la nuit avant de sombrer dans un sommeil agité.

J’eu enfin ma réponse quelques jours après, en retrouvant ma mère revenant de l’hypermarché de notre ville, les bras chargés des commissions hebdomadaires. L’aidant à décharger puis à ranger, je pus observer ses différents achats. Je remarquais dans un sac une série de produit hygiéniques style serviettes périodiques, et autres babioles de femme, ainsi qu’un tube de dentifrice qui me parut surdimensionné. Y regardant de plus près, je m’aperçu qu’il s’agissait de crème dépilatoire avec toutes les explications fournies pour enlever la pilosité à un endroit bien précis… Mon père avait exigé, maman allait obéir. Je voulais que maman ait la chatte bien dégagée, maman allait s’exécuter… Un sentiment de puissance et de domination s’emparait de moi tandis que je la regardais de dos, penchée sur les courses, en me disant :

— Bientôt ton minou va être chauve à cause de moi. Tu es à moi maman je fais de ton cul ce que je veux !!!!

Les jours passaient je n’avais toujours pas vu les résultats capillaires de ma perfidie, mais je sus à peu près quand cela s’était passé, lorsqu’une nuit je les entendis chuchoter. Très vite ma mère commença à gémir avec ce bruit caractéristique, que je reconnaissais maintenant facilement, de la femme qui se fait bouffer la chatte. J’en déduisais que sa foufoune devait être dégagée de toute pilosité, mais j’espérais une confirmation visuelle.

De nouveau mon imagination perverse galopait, et je cherchais une nouvelle perversion à lui faire subir au travers de mon cher Papa.

Dorénavant il me faudrait quand même être plus ingénieux, car il ne serait pas dupe très longtemps de mon petit jeu. On ne pouvait pas tomber systématiquement sur des sites de cul lui fournissant de nouvelles idées lors de chaque surf. Le mettre directement dans la confidence de mon fantasme était impossible, donc il ne me restait plus beaucoup d’autres solutions. Continuer comme cela en espaçant les rencontres inopinées ou. l’inciter à aller lui-même chercher des idées..

Je n’eus malheureusement pas l’occasion de réfléchir plus avant à mes projets pervers. Quelques jours plus tard alors que maman et moi attendions son retour du travail pour diner on sonna à la porte.

Légèrement inquiète de par son retard, et de cette visite impromptue, ma mère ouvrit la porte pour se trouver nez à nez avec deux gendarmes. ..

Accident bête, fatigue, fatalité, mon père avait perdu le contrôle de son véhicule, et s’était encastré sous un camion. Il n’était pas mort heureusement, mais dans le coma. Ma mère s’effondra dans mes bras. Je la retenais comme je le pouvais, n’appréciant même pas son abandon. J’étais moi aussi sous le choc.

La suite ? Banale dans ces cas là : Arrivée en catastrophe à l’hôpital, attente dans ces long couloirs anonymes pour avoir enfin des nouvelles, une opération qui dure, un pronostic très réservé quant à un rétablissement complet. Bref rien de réjouissant.

Les jours suivants furent surréalistes. La maison pleine des membres de la famille nous plaignant, s’inquiétant, les visites quotidiennes à l’hôpital, la tristesse dont on ne sait comment se libérer, et puis le temps faisant, l’acceptation que la vie doit continuer . différemment .

Après quinze jours d’angoisse, mon père sortit du coma, mais très affaibli physiquement, ne pouvant parler. Il ne pouvait revenir à la maison. Il fût décidé de le transférer dans un établissement privé ou l’on pourrait s’occuper de lui correctement, en attendant un éventuel retour à la maison quand son état le permettrait.

De mon coté, j’allais mieux. La vie reprenait son cours, ma libido aussi. Maman redevenait l’objet de mes pensés. Elle n’allait pas fort, avait maigri, dormait peu, et notre médecin s’inquiétant de la voir si mal lui avait prescrit des drogues pour dormir. Je la consolais souvent la prenant dans mes bras, me serrant contre son corps, compressant ses petits seins contre mon torse, m’ennivrant de cette sensation nouvelle. Maintenant j’étais le male de la

famille, et il faudrait lui faire comprendre un jour.

Les cachets que maman prenait la mettaient très vite dans un état comateux. Je compris l’intérêt que je pouvais tirer d’une maman shootée, pour pouvoir découvrir un peu plus en détail son joli cul et son tout nouveau sexe, même si je doutais qu’elle ait eu la tête pour s’entretenir la chatte.

Un soir alors que nous étions prêts à nous coucher je la vis prendre ses pilules du sommeil. Déjà comateuse elle ne se rendit même pas compte que je l’observais et avala sans coup férir ses drogues.

Etendu dans mon lit j’attendais., un temps qui me parut infiniment long, que le médicament la réduise à l’état de poupée gonflable prête à être auscultée. j’allais enfin pouvoir la voir en détail, à l’intérieur, la toucher, la palper…, je m’emballais.. Il fallait que je me calme, attendre encore avant que le spectacle ne commence..

(A suivre.)

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