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ma soeur Coralie – Chapitre 1

ma soeur Coralie - Chapitre 1



La complicité extrême entre frère et sur existe t elle? Oui, et nous ne sommes pas les seuls, surtout quand le frère est l’aîné et qu’il ne dépasse pas sa sur de 2 ou 3 ans, ce qui s’avère être mon cas.

Xavier 19 ans, jeune canadien, de taille moyenne, cheveux roux, d’ailleurs je suis un rouquin, sportif, je pratique le hockey au lycée. Ma sur Coralie, 17 ans et 5 mois, mais c’est plutôt une brune que rouquine, même taille que moi, sportive aussi, elle pratique le volley bal au lycée. Très beau corps. Nous avons en commun des idées et des comportements très similaires depuis notre plus jeune âge. Toujours ensemble, inséparables dans nos bêtises de mômes, beaucoup de gens du quartier nous prennent pour des jumeaux et aujourd’hui encore c’est assez fréquent. Depuis toujours, il est impensable pour nous de sortir l’un sans l’autre. Une complicité extrême, absolue, nous unit. Et il nous semble tout à fait naturel de nous tenir par la main ou par la taille dans la rue ou en soirée. Ceci laisse penser à beaucoup, qui ne nous connaissent pas, que nous sommes plutôt des amis que frère et sur. Cela nous amuse beaucoup et évidement nous en rajoutons presque sans y penser, main sur la fesse lorsqu’elle passe devant moi, main posée négligemment sur un sein lorsque je passe mon bras autour de son cou lorsque nous sommes assis côte à côte, sur un canapé par exemple. Ce jeu est devenu une seconde nature au point que nous sommes comme cela aussi dans notre vie de tous les jours. Il y a toujours eu une certaine impudeur entre nous. Petits, il était naturel d’être nus ensemble pour notre toilette et, enfants, notre mère nous fait notre toilette ensemble, nus, et à beaucoup d’autres occasions, comme des jeux d’été ou des baignades. Nos parents n’ont jamais condamné ces pratiques.

Depuis la rentrée scolaire 2011/2012, où c’était ma première année à la fac, il n’était plus trop possible de continuer ceci, mais même si maintenant nous préservons naturellement une certaine intimité, aucune gêne n’existe si les circonstances font que nous nous trouvons nus en présence de l’autre, mais cela est de plus en rare. Je l’accompagne volontiers dans les magasins. Ma sur, par exemple, me prend comme conseiller dans le choix de sa lingerie et le top ; j’entre avec elle dans les cabines d’essayage, alors qu’avant c’était ma mère. Mon avis l’intéresse plus que celui de notre mère afin de rester jolie, sexy et désirable pour les autres garçons, car il n’existe aucune forme de jalousie entre nous et il nous apparaît comme normal que chacun mène une vie amoureuse.

. Je la vois donc très souvent en sous-vêtements, qu’elle aime, et moi aussi, très transparents. La transparence de sa lingerie laisse apparaître clairement quelque chose de nouveau pour moi, sa toison pubienne. Je déteste les poils, quels qu’ils soient, où qu’ils soient. Je ne sais pas trop pourquoi, mais c’est comme ça. Je n’aime pas, je trouve que cela fait sale. Elle a des jambes somptueuses qu’elle entretient et épile très régulièrement, mais pas son sexe. Je ne sais pas pourquoi, et c’est une des rares choses dont nous n’avons jamais parlé. Je suppose qu’elle a ses raisons puisque rien ne l’empêche de changer cela. Nous gardons tout de même chacun nos petits coins de mystère et ce sujet-là en fait partie, car il n’existe aucune forme de jalousie entre nous et il nous apparaît comme normal que chacun mène une vie amoureuse. De toute façon, l’adolescence a un peu rompu cette intimité car, par la force des choses, nous nous déshabillons moins, si l’on peut dire.

Il fallait attendre la période des vacances. L’idée de nous retrouver m’enchante et j’accepte la demande de l’accompagner à sa soirée sans beaucoup d’enthousiasme car j’avais une petite amie.

La soirée des jeunes lycéennes n’est pas un top pour moi, soirée banale et sans grand intérêt et, comme beaucoup de soirées de jeunes maintenant, un peu trop alcoolisée. Pour contrebalancer le manque d’ambiance, je suppose, Coralie a bu un peu plus qu’à laccoutumée. Ce qui n’est pas difficile car nous ne buvons que très peu l’un et l’autre. Vers une heure du matin on devait rentrer chez nous. Le hasard a voulu qu’une de ses amies vienne avec nous pour passer la nuit ; c’était impossible qu’elle rentre chez elle, elle n’avait ni le moyen, ni le temps ; elle habite dans un village distant d’une cinquantaine de kilomètres. Nous arrivons chez nous, et qu’elle ne fut ma surprise, je ne reconnais plus ma chambre, elle est sens dessus dessous. Pas moyen dy mettre les pieds. Je pose la question a ma sur. Elle m’explique que les parents rénovent leur chambre, et que, pour la nuit, je peux dormir dans la sienne. La sienne n’était pas aussi reluisante que la mienne, il y avait au beau milieu un seul grand lit, mais aucun problème sur ce point ; nous dormons souvent ensemble. En fait, nous aimons beaucoup cela depuis toujours et nous trouvons toutes sortes de raison pour le faire.

Et nous voilà à reprendre immédiatement nos vieilles habitudes et c’est donc avec plaisir que je constate que rien n’a changé entre nous, tous nos réflexes se remettent en place instantanément. Mais il y avait une autre personne avec nous.

— ça ne te gène pas qu’on partage le lit a trois ?

— qui moi, non ?

— alors, c’est bien, je meurs de sommeil, dit Coralie.

J’étais debout devant le matelas, tandis que Coralie est déjà sous le drap ; elle dort au milieu, entre moi et son amie Magali, qui est aussi belle que ma sur ; je serais très heureux de la baiser, mais ce n’était pas possible, pour le moment du moins ; à la différence de Coralie, Magali, en sortant de la douche portait juste une toute petite robe noire moulante, très courte. Un peu plus qu’avec la simple petite culotte que portait Coralie en sortant de la salle de bains. Coralie a su garder ses très jolis petits seins, bien fermes. Je le sais pour les avoir très souvent palpés ; ainsi que les courbes harmonieuses de son corps qui les mettent vraiment en valeur. Le fait de ne l’avoir pas vue pendant quelques temps me permit de constater à quel point elle est jolie et bien foutue.

Et nous voilà partis. Après avoir éteint les lumières, je m’allonge à côté de Coralie, vêtu de mon short. Coralie bouge constamment, cela devait être un sommeil léger et inconfortable ; fréquemment pour trouver une bonne position. Ce qui m’empêche de dormir, alors que Magali ronfle, elle était morte de fatigue.

Soudain, Coralie me tourne le dos, tout en poussant son derrière sur moi et au lieu d’en faire autant et de lui donner mon derrière, je reste dans cette position ; ses belles fesses bien rondes dégagent une chaleur qui traverse les étoffes me faisant sentir tous les détails de son derrière. La pression de ses fesses s’accentue sans raison valable. Mon membre émoustillé commence à prendre des proportions honorables, et, cette pression plus nette, l’encastra dans une position confortable, à la verticale, dressé sur l’étoffe soyeuse, dans une vallée chaude et douce. Chaque mouvement de son corps, même le plus simple, était une occasion de parfaire cette situation jouissive, me donnant beaucoup plus d’assurance ; voyant que la paire de fesses ne s’éloignaient pas de moi, je n’enhardis alors encore plus en me plaquant carrément, allongeant mes jambes, laissant mes cuisses s’avancer pour épouser toutes les formes de son corps. Aucun geste ne venant me décourager, j’avance ma main pour la poser à hauteur de la hanche, sur le côté de sa fesse ; un simple contact ; j’en jouissais, effaré de mon audace, prêt à battre en retraite à la moindre réticence.

Voyant qu’aucun mouvement ne venait me décourager, encore une fois, je referme ma main qui épouse parfaitement le galbe divin du haut de sa cuisse. Je fais jouer la pression de mes doigts pour être sûr que, pour Coralie, cette caresse n’est pas fortuite si jamais elle est réveillée. Aucune réaction ; je continue avec ma main, la poussant un peu plus loin sur son intimité, et le contact devient caresse, la dentelle de sa culotte rendait le contact très doux, je sens sa culotte, aucun doute de devrait subsister. Coralie est consciente, elle me le confirme en écartant ses jambes.

Ma main contourne sa hanche, sent la présence de chair plus mole, douce au toucher et plus chaude. Je suis comme fou, son petit minou, juste un peu charnu, je le pince doucement avec mes doigts ; c’est la première fois que je caresse la chatte de Coralie, avec une main tremblante ; mes jambes deviennent lourdes, impossible à bouger tant est grande mon émotion ; je sens des poils, la situation semble agréable pour Coralie, elle ondule légèrement et sensuellement, entraînant dans la foulée ma verge dans son entrejambe. Rien ne m’arrête, je palpe doucement la bosse de sa chatte ; enfin, ma main découvre le frêle rempart d’une adorable culotte en satin ornée en dentelle.

À cet instant, jai cru que j’allais défaillir tant mon émotion était forte, mon cur bat trop fort à mon sens, en faisant trop de bruit. Presque inconscient, paume en l’air, je glisse de nouveau mes doigts pour caresser le tendre arc duveteux ; quelle douceur ! Mon adorable sur me facilite la tâche en ouvrant ou en serrant ses cuisses, me donnant le courage de continuer ;mes doigts deviennent très agiles, manuvrent pour passer en dessous de la culotte ; par maladresse, j’ai failli la déchirer quand j’ai tiré un peu sur le tissu pour passer plus aisément ; je sens sa toison peu fournie, moins dense que ma petite amie ; mon doigt en glissant entre les poils trouva une faille, surprit de trouver un mucus, presque liquide, curieux et anxieux d’ aller plus loin avant qu’elle ne me stoppe. Je fais aller et venir mon doigt sur le bout de la faille, sans l’enfoncer me laissant découvrir sa vulve ; en remontant, je titille un petit bouton rond et dur. En la caressant, elle devient ma complice ; sans l’attirer elle s’encastre en moi davantage, ce qui me donna du courage pour remonter ma main et caresser sa poitrine, dans une position inadéquate, avec beaucoup de prudence pour ne pas attirer l’attention de son amie, que je peux toucher de la main, qui s’inonde, ce qui lui fait de l’effet. Coralie défaille, sous son corps fléchi, elle s’est abandonnée à moi. Elle tremble, je la soutiens, je sais qu’elle est au bord de la jouissance, une envie folle de la posséder, mais c’est très difficile, on risque de réveiller Magali et aussi, je ne sais pas si elle va accepter. Et je ne me suis pas trompé ; Coralie, d’une main de fée, calmement, prend ma verge en pleine érection, l’abaisse et la glisse dans l’entrecuisse, dans sa main,et, par pression, me branla ; je suis complètement dépassé, il m’est difficile de la pénétrer sans son consentement. Ma verge est encastrée entre la culotte et son minou bien lubrifié, qui se paume, engloutie dans le plaisir de cette position hors norme. Le gland décalotté ne peut pénétrer sa vulve ; je m’agite dans sa raie, elle serre ses cuisses ; ne pouvant plus me retenir, je décharge dans sa culotte. Le moment de honte s’est un peu dissipé ; j’essaie ensuite de me concentrer un peu plus et de faire le vide dans ma tête, mais toutes sortes de pensées me viennent à l’esprit. Je prends conscience que je venais presque de pénétrer le sexe de ma propre sur jusqu’à l’amener à la jouissance. J’essaye de me rassurer en me disant qu’elle était consentante et même demandeuse, mais c’était tout de même ma sur, et était-elle en état de prendre conscience réellement de la situation ? N’avais-je pas abusé de cette situation ?

D’un autre côté, je me disais aussi que ce n’était pas si grave, ce n’était que des caresses tendres, très ambiguës certes, mais sans conséquence non plus. Mais, en fin de compte, j’ai gaffé, et c’était impardonnable, mais c’était le début d’une nouvelle vie entre nous deux.

    suite…../….

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