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Ma vie dérape – Chapitre 1

Ma vie dérape - Chapitre 1



Ma vie était simple. Une jeunesse remplie, des amis, des rencontres, des histoires, des conquêtes et même une aventure avec une femme plus âgées. Puis vint ma rencontre avec Mel, la femme de ma vie.  Depuis nous vivons heureux, avec nos passions et amis respectifs, l’appartement, le travail et notre fille de quelques mois.

J’ai 30 ans, brun, grand, les yeux marron. N’étant pas grand sportif, l’âge commence à me donner du ventre comme beaucoup d’hommes.

Je suis artiste, ce statut me permet d’avoir un réseau d’amis et de connaissances dans beaucoup de villes et de régions différentes. J’aime les choses simples, le cinéma, la musique, les comics, les mangas et les Bd.  Et j’ai une addiction depuis mon adolescence : j’aime le porno (vidéo, photos, Hentai…) ma compagne connaît ce côté secret et ne m’empêche pas de prendre du temps pour ça lorsque j’ai du temps libre et que je suis seul. (Cela  m’empêche d’aller voir ailleurs)

Alors que j’étais en formation, Mel et ma fille sont remontés dans le nord, chez ma belle-famille afin d’en profiter avant la reprise de la saison. De mon côté, je m’étais mis en tête d’organiser une soirée d’anniversaire pour ses 30 ans. J’étais aidé par Maeva, sa collègue et meilleurs amie. (blonde, les yeux bleus/vert et des formes généreuses qu’elle sait mettre en valeur avec classe)

Ce soir-là, il était prévu que je passe chez Maeva pour organiser tout ça. Sortant de formation je me suis rendu chez elle car elle ne travaillait pas ce jour-là. Crevé par cette journée, j’ai décidé de passer directement par le jardin (elle vit au rez-de-chaussée) et de frapper directement à la fenêtre du salon. Elle était dans sa cuisine et est venue m’ouvrir.

-Salut, tu passes par le jardin toi ? ce n’est pas banal ça ! dit-elle est rigolant

-Oui, désolé, c’était plus simple comme ça

-Oui tu as raison. Entre je t’en prie.

-Merci.

-On va se poser dans le canapé pour parler de tout ça

-Ok, je te suis

-Comment c’est passé ta journée de formation ?

-C’était bien, et toi ta journée de repos ?

-Moi je suis resté tranquille et je t’attendais.

-Ha ha je me fais désirer ?

-Oui c’est ça. Vous les mecs vous vous faites toujours attendre quand vous venez chez moi . Elle éclate de rire.

-Tu reçois beaucoup de mecs chez toi ?

-Tu me connais je suis une abeille qui aime butiner différentes fleurs. (Maeva est libertine et ne le cache pas à ses amis)

-Oui c’est vrai.

-Tu veux boire quelque chose ? un coca comme d’habitude ?

-Tu me connais bien, oui volontiers.

Nous organisons l’anniversaire de ma miss comme convenu. Maeva est une femme qui aime regarder ses interlocuteurs, droit dans les yeux. Je me rends compte que c’est la première fois que je parle seul avec elle. Lors de nos diverses soirées, son regard passe d’une personne à l’autre au gré des discussions. Plongé dans le bleu de ses yeux je m’aperçois que je ne suis plus vraiment la conversation et elle s’en rend compte. Elle me pose alors une question qui m’extirpe de mon état lunaire.

-Hey, ho tu m’écoutes ?

-Mince, pardon Maeva.

-ce que je dis ne te convient pas ?

-Si au contraire, c’est pour l’anniversaire de ma miss

-Mes suggestions ne te plaisent pas ?

-Si, désolé, j’étais dans la lune, pardon Maeva.

-Comment tu peux être dans la lune on est l’un en face de l’autre, tu abuses.

-Oui je sais, ce doit être la journée de formation.

-Tu pensais à quoi ?

-Je ne pensais à rien en particulier, j’étais ailleurs c’est tout.

-Tu ne veux pas me dire.

-N’insiste pas, je te dis j’étais plongé dans tes yeux je t’écoutais et d’un coup je me suis rendu compte que je ne suivais plus. Mais je ne pensais à rien en particulier.

-Tu me fais marcher.

-Non je t’assure tu regardes avec insistance quand tu parles à quelqu’un et là je me suis perdu dans tes yeux. Désolé…

-C’est mignon ce que tu dis là.

-Ne dit pas de bêtise, ça se fait pas de perde le fil de la discussion comme ça.

-Tu as eu une grosse journée aussi.

-Oui, j’aimerai biens que la miss soit là d’ailleurs, ça m’aurait arrangé.

-Ha bon pourquoi ?

-Je ne sais pas si c’est le stress j’ai mal aux épaules, je lui aurais demandé un massage.

-Pourquoi tu ne me demandes pas ? Je boss au même endroit qu’elle n’oublie pas.

-Je ne vais pas te demander un massage c’est ton jour de repos.

-Ne soit pas ridicule, j’aime mon métiers comme la miss et ça me fait toujours plaisir de masser.

-Tu es sûr ?

-Mais oui, vient on va chercher la table de massage.

Je l’aide à porter la table dans le salon et nous l’installons.

-Bon tu vas te mettre à l’aise, par contre je ne vais pas fermer le volet ça ne te dérange pas de porter mon bandeau pour dormir ?

-Ha mais ne te prend pas la tête je peux m’en passer.

-Tu ne vas pas réussir à te détendre vu le soleil qu’il fait dehors, je t’apporte ça.

Elle m’apporte le bandeau ainsi que deux serviettes, une à mettre sur la table de massage et l’autre sur moi.

-Tu peux tous retirer je suis pro n’oublie pas.

-Tout ? tu es sûr ? Tu n’es pas obligé de masser autre chose que mon dos.

-Ne t’inquiète pas ça ne prendra pas plus de temps et un massage complet, est toujours plus réparateur qu’une partie du corps. Elle s’éclipsa pour me laisser m’installer.

Une fois installer je lui fis signe que j’étais prêt. Bien installé sur la table sur le ventre, je sens la serviette se replier afin qu’elle ne couvre plus que mes fesses. Elle mis de la musique zen et commença le massage. Elle avait une manière différente de masser que celle de Mel, peut-être était-ce dû au fait qu’elle n’était pas ma copine. Toujours est-il qu’elle me massait plus fermement . Elle commença par mon dos et il en avait besoin, le stress de ses derniers jours m’avait fait de gros noeuds au niveau des épaules. Elle fit le tour de la table pour me masser les jambes, puis elle remontait vers mes fesses, elle les massaient sous la serviette ce qui me donna presque instantanément une érection.

-Tu as un bon petit cul dit donc, elle en a de la chance Mel.

-Ne dit pas de bêtises je suis un mec tout ce qu’il y a de plus lambda.

-Nan franchement pour un garçon qui ne fait pas de sport tu as de belles fesses.

-Merci, mais il y a un sport que je n’ai pas banni totalement. Lui dis-je en riant.

Elle me donna une fessée.

-Tu m’autorises à retirer la serviette ? ce sera plus simple de te masser.

-heu…oui si tu veux. Lui dis-je mal à l’aise

Elle retire la serviette et la pause sur le canapé. Puis elle reprend son massage. Ses mains passent du haut des mes cuisses jusqu’à mes épaules puis redescendent lentement. Je commence à me détendre (toujours en érection) quand elle se mît à laisser courir le bout de ses doigts sur ma peau.

-Je remets la serviette sur ton joli petit cul pour que tu puis-ce te retourner.

-Non, ça va aller Maeva merci, ça m’a fait du bien la déjà.

-J’ai l’impression que tu veux couper court au massage, il y a quelque chose qui te gène ?

-Non rien

-Tu es sûr ?

-Bon ok, c’est mon ventre, je prends de l’âge mais j’ai un peu honte de le montrer.

-Mais enfin, je masse plein de gens tu sais, des très gros parfois et je ne rigole pas du physique des gens. Allez retournes-toi !

-Non ça va aller.

-Ne soit pas ridicule c’est bon on est entre nous.

-Non c’est bon.

-Mais qu’est-ce que tu as ?

-Rien je n’ose pas le dire

-Ha je vois…tu bandes c’est ça ?

-Heu….oui c’est ça.

-Ça arrive tout le temps à la thalasso, t’inquiète j’en ai vu d’autres.

-Oui mais là on est dans un cadre privé.. .

-Mais ce n’est rien je t’assure.

-Tu es sûr ?

-Oui c’est bon allé elle sera cachée par la serviette de toute façon.

-Bon, ok

Je me retourne en gardant la serviette sur ma taille afin de cacher mon érection et me place sur le dos, la serviette est tendue vers le haut.

-Ha oui quand même ! elle éclate de rire

-Haaaa MAEVA !

-Je rigole, je rigole. Allé on reprend.

Elle reprit le massage en commençant par mon torse puis mon ventre. Elle me massait les jambes et remontait jusqu’à l’aine, faisant palpiter mon sexe toujours tendu. Je sentais ses mains passer sous la serviette, parfois ses avant-bras effleuraient ma hampe et parfois c’était le bout de ses doigts qui frôlaient mes couilles. J’étais gêné au plus haut point et je n’osais plus rien dire. Puis sans un mot, elle retira la serviette. Trop mal à l’aise pour dire quoi que ce soit je la laissais continuer son massage. L’excitation grandissait chaque fois qu’elle s’approchait de ma queue et je me mettais malgré moi à respirer de plus en plus fort. Quand soudain je sentis quelque chose de moite et brulant se placer autour de ma queue lentement centimètre par centimètre jusqu’à mes couilles. Maeva venait d’enfoncer ma bite jusqu’au fond de sa bouche. Elle la laissa un moment au fond de sa gorge, j’entendais le bruit sourd d’un haut-le-coeur tandis que je sentais sa salive couler sur mes couilles et entre mes cuisses puis elle relâcha son étreinte laissant ma queue luisante ressortir.  Elle entrepris alors une pipe incroyable en gorge profonde, j’entendais alors des bruits  obscènes de succions et de salive mélanger à des bruits de renvoi. Elle s’infligeait elle-même une fellation digne d’un film hardcore.  Un de ses va et vient alla semble-t-il trop loin et elle lâcha ma queue pour tousser. Je me décidais enfin à dire quelque chose.

-Tu n’es pas obligé de faire ça Maeva…

-Je ne me sens pas obligé je te rassure.

-Pourquoi fais-tu ça, c’est à cause de mon érection ?

-Je dois bien avouer que tu as une très belle queue et ça m’a donné envie de te sucer presque immédiatement. Mais ce n’est pas la seule raison.

-Que veux-tu dire ?

-Tu vas me prendre pour une grosse salope.

-Comment ça ?

-Retire le bandeau de nuit.

Lorsque j’ai retiré le bandeau, j’ai découvert le visage de Maeva maculé de mascara dégoulinant dû à cette superbe gorge profonde, m’attardant à peine sur l’état de son visage mon regard c’est immédiatement porté ailleurs. En effet Maeva était vêtue d’une nuisette noire ultra sexy et totalement transparente me révélant ses seins et un minuscule string ne cachant rien de ses cuisses et ses hanches généreuses ni de ses grosses fesses.

-C’est pour ça que tu insistais pour me masser ?

-Oui…je suis désolé, j’avais tout planifié à ton arrivée. Les allusions aux mecs qui venaient me voir et tout le reste.

-Tu es une petite garce !

-Pardon, si tu le dis à Mel, elle va me tuer…

-Et tu crois qu’elle ne va pas me tuer si je lui dis que tu m’as sucé et que je n’ai rien fait pour t’en empêcher ?

-Désolé d’en avoir profité j’ai bien vu que tu n’osais rien me dire et j’avais trop envie de sucer ta queue.

-Tu en as bien profité c’est bon ?

-J’aurai bien aimez-en profiter davantage …

-Mais tu es une petite salope !

-Une grosse salope qui a joué la conne et qui a la chatte en feu maintenant…

-Arrête de m’allumer comme ça Maeva, on ne peut pas…

-Je veux que tu me baises comme une grosse chienne !

-Arrête…

-Je meurs d’envie que tu défonces ma bouche et ma chatte de petite PUTE.

Je me suis redressé d’un bon, me suis avancé vers elle et l’ai attrapé par les cheveux et lui ai dit

-Mets-toi à genoux salope ! Elle c’est mise à genoux devant ma queue tendue et je l’ai giflé puis j’ai attrapé ma queue pour lui donner un coup sur le visage.

-C’est ça que tu veux petite pute ? ouvre la bouche ! j’étais dans un état second je ne me contrôlais plus. J’ai commencé à lui baiser la bouche en l’agrippant par les cheveux et la nuque.

-Suce-moi ça salope ! Tu as une bonne bouche, je vais défoncer ta gorge tu vas voir ! Le bruit obscène de toute cette salive me rendait dingue, j’ai baissé les bretelles de sa nuisette pour laisser apparaître ses seins que j’ai commencé à maltraiter, je leur donnait des claques puis je pinçais ses tétons, la bouche pleine de ma queue je l’entendais se plaindre de se traitement. La salive était abondante elle coulait sur mes couilles, mes cuisses et atterrissait même au sol.

-Relève toi petite garce met toi à genoux sur le canapé ! elle se dirigea vers le canapé j’ai arraché ce qui lui restait de vêtement et ai retirer son string.

-Tu ne mérites pas que je te lèche petite pute je vais te baiser tout de suite !

-Oui vas-y baise-moi ! j’ai enfoncé ma queue jusqu’aux couilles d’un coup de reins violent en agrippant ses cheveux d’une main et en tirant bien sa tête en arrière pour lui cambrer le dos. Le traitement était violent, le son de mes couilles qui claquait fort et ses cries en témoignait, elle prenait chere la garce. Je lui donnais de grosses fessées sur ses grosses fesses.

-Oui continue défonce-moi comme la grosse pute que je suis.

-Tu es une vraie salope toi !

-Oui! Oui! Depuis que ta meuf m’a parlé de toi il y a 4 ans j’ai envie que tu me défonces !

-Si j’avais su que tu étais si bonne je t’aurai baisé bien avant.

-J’aurais dû t’allumer plus tôt

Je m’agrippe à ses hanches à pleines mains et la baise violemment. Elle hurle dans l’appartement, ce traitement ne m’est pas indifférent et je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer.

-Où veux tu que je gicle petite pute ? tu veux que je te remplisse la chatte ?

-Nan s’il te plait recouvre moi de ton foutre brulant

-Ok viens là, salope ! mets-toi à genoux comme une chienne

Une fois à genoux devant moi elle se mit à me branler intensément, je sentais mon jus progresser dans ma queue et j’avais la sensation que j’allais exploser.

-Ha putain je vais jouir

-Vas-y éclabousse-moi ! Mon foutre jailli et je lui éclaboussais le visage, les cheveux, les seins et le ventre de grosses giclées. Elle continuait à me branler comme une folle

-Je vais te vider les couilles

-ha je sens que ça viens encore. Elle ne s’arrêtait plus de me branler et pour la première fois je sentais encore mon outre dans ma hampe et une seconde série d’éjaculations l’éclaboussait encore.

-Rolala tout ce sperme tu m’as gâté dit donc. Je reprenais mes esprits peu à peu.

— Pardon d’avoir été si vulgaire et brutal ma petite Maeva.

-Ne t’excuse pas je l’ai bien cherché aussi. Fit elle en rigolant.

-Tu ne m’en veux pas ?

-Bien sûr que non c’était génial, je n’imaginais pas que tu baisais si bien qu’elle pied.

-Merci tu es sacrément sexy aussi tu sais ?

-Tu me flattes, merci. Bon je vais aller à la douche et on reprend ?

-Quoi tu veux baiser encore ?

-Mais non, mdr, l’organisation de l’anniversaire tiens. Nous avons éclaté de rire.

-On en reste là du coup ?

-Je dis pas non à une autre baise , une autre fois mais tu sais que je suis libertine, j’aime en profiter mais je ne veux pas gâcher votre histoire à Mel et toi. Donc que tout ça reste entre nous.

Ce soir-la après une bonne douche (séparé, on reste des potes quand même) nous avons continué d’organiser l’anniversaire et avons fixé un autre rendez-vous.

La suite bientôt…

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