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Maman, ma soeur et moi – Chapitre 4

Maman, ma soeur et moi - Chapitre 4



Alors que je commençais à massoupir, jentendis mes « femmes » monter. Elles passèrent devant la porte sans même un regard mais en riant entre elles et rentrèrent dans la salle de bain. Jentendis, malgré le bruit de leau de la douche, des gémissements. Ces deux cochonnes devaient être en train de se chauffer mutuellement et navaient plus lair de penser à moi. Aussi, je pris le parti de me mettre en chien de fusil et de dormir, en me disant quelles nauraient qu’à me réveiller.

Je ne sais combien de temps javais dormi mais je fus réveillé par une sensation délicieuse en provenance de ma queue! Une bouche chaude et douce jouait avec mon gland et la langue en faisait le tour. Soudain, je sentis des lèvres entrouvertes se poser sur les miennes et une langue partir à la découverte de la mienne. Jouvris les yeux et vis les yeux de Clothilde me fixant dun regard amoureux. Sa langue jouait avec la mienne et explorait toute ma bouche. Après quelques minutes de ce tendre traitement, je vis ma mère descendre sur mon torse et sa langue agacer mes tétons ce qui ne fit qu’accroitre ma tension nerveuse.

Pendant ce temps le bas de mon anatomie continuait de subir les assauts de la bouche dAmandine mais en plus, cette ravissante salope de sa main droite me branlait vigoureusement. Elle tenait bien en main son « cornet de glace » et mettait tout son cur à me branler. Entre ces deux furies, il arriva ce qui devait arriver: je sentis ma bite gonfler encore plus et avant quAmandine eut le temps de se reculer et sans que je puisse la prévenir, je libérais plusieurs jets de sperme quelle se trouva obligée davaler puisque je lui tenais fermement la tête. Voyant cela, ma mère Clothilde alla au-devant dAmandine pour partager ma semence en un joyeux mélange de langues. Pour le côté physiologique de la chose, bien entendu, ma bite commença à subir les lois de lattraction terrestre et descendit rapidement.

Mais cétait mal connaître mes deux coquines, qui après quelques jeux lesbiens sallongèrent chacune dun côté de moi et leurs mains partirent à la rencontre de mon corps rallumèrent mon désir par de douces caresses en évitant toutefois mon bas ventre. Quand mon sexe eut retrouvé une taille « normale », Clothilde mit sa bouche à mon oreille et me dit que jétais maintenant prêt. Elle se mit alors à parler à loreille dAmandine qui sécarta un peu de moi pour laisser ma mère prendre « les choses en main ». Cétait le moins que lon puisse dire puisqu’elle se saisit de ma bite et enserra la hampe dans sa main tout en me regardant droit dans les yeux. Jétais allongé sur le dos quelque peu passif et je la vis, sous les yeux dAmandine qui nen perdait pas une miette, se mettre à califourchon au-dessus de moi tout en continuant à me branler doucement. Elle guida mon sexe tendu vers sa chatte parfaitement rasée et promena le gland sur sa fente déjà bien mouillée. Je sentais sur mon gland la chaleur de son intimité et la seule pensée qui me traversa lesprit à ce moment là fut que jallais connaître le bonheur de devenir un homme et que je ne serais pas comme certains copains qui se vantaient de partie de baises imaginaires mais que la mienne serait bien réelle, qui plus est avec ma mère.

Ne me quittant pas des yeux et avec une infinie douceur, elle commença alors un mouvement de descente qui me fit entrer dans sa chatte tout doucement. Une brève douleur et ça y était: JE VENAIS DETRE DEFLORE PAR MA MERE. La sensation était très agréable et je sentais ma bite prise dans létau de son ventre ultra mouillé et dont les parois se contractaient sur mon organe. Puis avec un doux sourire de fierté je suppose, elle entama des mouvements aller-retour et son visage changea et une barre de concentration apparut sur son front. Nous commencions tous les deux à transpirer légèrement et à haleter en même temps. Je sentais en moi les vagues de plaisir déferler et les gémissements de Clothilde ne faisaient rien pour arranger mon désir qui commençait à monter de plus en plus fort. Ma mère me dit que le plus beau cadeau que je pouvais lui offrir pour fêter la perte de mon pucelage était de jouir en elle sans me retenir. Pendant ce temps-là, Amandine avait posé sa tête sur le ventre maternel et profitait de la sortie de ma queue pour donner des coups de langue sur ma tige.

Je sentais mes couilles qui commençaient à rentrer en fusion et je compris que je nallais pas tenir très longtemps à ce petit jeu. Au bout de quelques minutes, en effet, la sève remonta dans ma bite et jexpulsais dans le ventre doux et chaud de ma génitrice plusieurs saccades de sperme en un hurlement auquel se joignit bientôt celui de Clothilde. Amandine repoussa délicatement notre mère et prenant mon sexe à pleines mains se lenfourna en bouche et à laide de sa langue se mit à le lécher pour bien le nettoyer et aspirât les dernières gouttes de foutre qui finissaient de sortir. Clothilde senleva dau-dessus de moi et se laissât tomber, pantelante à mes côtés en disant à Amandine darrêter de me pomper car cela pourrait être douloureux de solliciter mon membre qui perdait rapidement de sa superbe. Ma mère se leva en déclarant quelle allait prendre une douche et quelle reviendrait vite avec de quoi nous désaltérer. Ma sur se tourna vers moi pour membrasser sur les lèvres en un baiser fougueux et en me murmurant dune toute petite voix que ça allait être son tour mais quelle souhaitait que Clothilde soit là pour nous guider dans la perte de son pucelage anal.

A suivre

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