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Maman mon Amour – Chapitre 1

Maman mon Amour - Chapitre 1



Ma mère était très jeune quand je suis né, mon père, un copain de lycée de ma mère, qui la laissé dès quelle à été enceinte.

Je suis élevé par mes grands-parents, que je considère comme mes parents et la mère comme ma grande sur, avec laquelle cest établi une grande complicité (on se dit tout, nos joies, nos peines, nos amours ).

Ma mère réussie des études de commerce et travail pour une grande société Française avec un poste de Direction Marketing et habites un appartement à Montparnasse.

A 44 ans, elle a des relations sexuelles de courte durée, elle change souvent damant et ne peut pas avoir une relation de plus de quelques mois. De mon coté, jai 27 ans et habite Lyon dans un 2 pièces vers La Part Dieu et je travaille dans un grand institut de recherche médicale, je vis depuis 4 ans avec une femme de 2 ans plus jeune que moi et travaille dans une compagnie dassurance.

Avec ma mère, nous nous appelons au moins deux fois pas semaine pour nous raconter nos petites histoires.

Lors dune mutation, mon amie part pour Paris, et nous nous retrouvons pour chaque week-end, soit à Paris ou à Lyon, cette situation dure quelques mois, jusquau jour ou elle mannonce quelle à un amant et quelle me quitte.

Je nai pas pu lui demander une explication, sa décision était prise et il ny avait pas à y revenir.

Je restait donc seul à Lyon, un peu désemparé, jappelle ma mère pour la tenir au courant et lui demander conseil, celle-ci me dit que ce nest pas grave, quelle naimait pas beaucoup mon amie, que je vais retrouver quelquun de bien mieux et quelle se propose de venir à Lyon le week-end prochain afin que je ne sois pas seul.

Jaccepte et lui dis que mon appartement est un peu petit et que je ne pourrais pas lhéberger. Ne tinquiètes pas, me dit elle, je moccupe de mon billet de TGV et de me réserver une chambre dans un hôtel voisin.

Le vendredi matin suivant, ma mère mappelle pour me donner lheure darrivée de son train, et me fait par de la difficulté de trouver une chambre, tous les hôtels sont complets. Je lui dis, ne tinquiètes pas, nous en trouverons un dans la proche banlieue samedi à ton arrivée.

Samedi matin, à lheure dite, jattends ma mère dans le hall de la gare de La Part Dieu. Le train entre en gare avec une petite minute de retard et après quelques instants, je serre ma mère dans mes bras et lui propose de passer à la maison pour déposer sa valise et aller déjeuner, puis de trouver un hôtel, ce quelle accepte.

Nous sommes arrivés dans lappartement et elle me demande de faire un brin de toilette pour se rafraichir un peu, je lattends quelques instants et décide de lemmener déjeuner dans un petit bouchon lyonnais.

Arrivé au restaurant, ou jai quelques habitudes, Mes amis me demandent si cest ma nouvelle conquête, je leur dis que cest ma mère, ils sont tous étonnés et me ne croient pas, effectivement, elle ne fait pas son âge, tous au plus 7 ou 8 ans de plus que moi.

Le déjeuner se passe bien, elle me remonte le moral et me dit que je suis jeune et quil ne faut pas men faire, si elle est partie avec un autre, cest quelle navait pas grand sentiment pour moi, quil ne faut rien regretter.

Après le repas, nous faisons un petit tour dans Lyon et ma mère sinquiète de son hôtel, Je lui propose de prendre ma chambre et je dormirai sur le divan, ce ne sera pas bien confortable, mais pour une nuit et puis demain matin, nous pourrons prendre le petit déjeuner ensemble.

Elle accepta ma proposition et me dit comme cela nous ne sommes pas pressés.

Laprès-midi, nous avons fait un petit tour au bord de la Saône et avons visité Pérouges, petit village au nord Est de Lyon (un des plus beaux villages de France).

Le soir venu, nous rentrons sur Lyon et allons diner dans un restaurant de la place Bellecourt, et nous rentrons vers 23 heures. Assis sur le canapé, nous parlons de notre journée et de choses et dautres concernant notre vie sentimentale.

Vers 1 heures du matin, nous décidons daller dormir, Ma mère me dit : « Ton lit est assez grand pour nous deux, tu seras mieux que dans le canapé ». Je lui laisse la salle de bains, je regarde un peu la télévision en attendant quelle soit couchée, je prends une douche et passe un tee-shirt et un caleçon (dhabitude, je dors tout nu) et viens la rejoindre dans le lit.

Après un bon soir et une bise, je mendors très rapidement.

Le dimanche matin, je me réveille vers 8 heures et sens ma mère collée contre moi, ses seins durs et fermes dans mon dos, un peu gêné par cette situation, jessaye de me libérer sans la réveiller afin daller chez le boulanger chercher des croissants pour le petit déjeuner.

Hélas, je narrive pas à me séparer et évidemment je la réveille. Elle me dit à moitié endormie : « Ne bouge pas, je suis trop bien » et me serre encore plus contre son corps. La sensation de son corps dans mon dos me déclenche une bonne érection, jessaye de me libéré à nouveau mais elle me retient, sentant mon excitation, elle me demande de me mettre sur le dos, et membrasse sur la bouche et fait pénétrer sa langue pour trouver la mienne, nos langues se mêlent et elle remonte mon tee-shirt pour le retirer et embrasse ma poitrine, dans lexcitation, jembrasse sa poitrine au travers sa nuisette transparente quelle retire rapidement. Ma langue embrasse son corps et elle fait de même.

Nous nous caressons et embrassons nos corps, puis elle me demande de lui faire lamour en me disant : « Je veux faire lamour avec lhomme que jaime », nous nous retournons de façon que je sois sur elle et ma mère dirige mon sexe dans le sien tout mouillé. Il ne faut pas beaucoup de temps, pour que nous jouissions lun dans lautre et sans un mot, nous restons unis pendant un bon quart dheure. Je venais de faire lamour avec ma mère. Nous restons allongé lun contre lautre jusquà mon lever pour préparer le petit déjeuner (sans croissant).

Après un petit déjeuner, je me blotti dans ses bras et contre son corps, je me remis à bander, sapercevant de mon état, ma mère prend mon sexe dans sa bouche, et me suce jusqu’à ce que je jouisse en elle, puis me fait à nouveau lamour et me demande de la prendre par derrière, ce que je faits sans tarder, ses fesses sont très belles et jai tellement envie delle. Toute la journée se passe en se faisant lamour.

Puis lheure de son train approche, je tente de la garder encore une nuit, mais elle veut rentrer, elle a une réunion importante demain matin.

Après une bonne toilette, je la raccompagne à la gare de La Part Dieu. Après des longues embrassades et en se promettant de se revoir bientôt, elle prend possession de sa place et le train démarre.

Je rentre chez moi, avec pleins de souvenirs dans la tête. Au milieu de la nuit, le téléphone sonne, cest ma mère, pour me remercier de ce week-end inoubliable et me demande de venir la rejoindre à Paris le week-end prochain.

Le vendredi suivant, je prends le TGV en fin daprès-midi et 2 heures après, ma mère mattend sur le quai et à peine descendu du train nous nous étreignons très fort comme des amoureux de 20 ans, le trajet entre la gare de Lyon et Montparnasse me semble très long (une envie folle de me serrer contre elle et de faire lamour).

Le lundi matin arrive vite et je dois regagner Lyon, avec une seule idée en tète, de se retrouver le plus souvent possible.

Ma mère me demande, si je pourrais me faire muter au siège à Paris pour être toujours ensemble, idée qui fait son chemin pendant le voyage de retour.

Arrivé au bureau, je prends rendez-vous avec la DRH, pour étudier la possibilité de mutation.

Plusieurs mois après, et de nombreux aller et retour vers Paris, jobtiens enfin mon départ définitif pour Paris. Le déménagement fut rapide, et je me retrouve tous les soirs dans le lit de ma mère chérie.

Mes grands parents saperçurent très vite de notre relation (un peu de notre faute) et après leur désapprobation, mais voyant que nous resterions ensemble, ils nous disent : « Si après tout, cest votre bonheur ».

Devant les réflexions de nos voisins, qui eux aussi se sont aperçus de notre relation, nous décidons dacheter un autre appartement Ave de Suffren , là au moins personne ne connait notre lien de parenté et nous considère comme mari et femme.

Depuis 6 ans maintenant, nous vivons au grand jour notre amour et nous ne voyons plus les amis qui nont pas compris.

Merci, Maman Mon Amour.

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