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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 16

Maman très chaude, enfants pervers. - Chapitre 16



Chapitre 16 : Nouveau gadget au sex-shop

Le lendemain matin pendant que je cherche dans mon armoire quelque chose pour m’habiller, je repense à Aurélie et que j’ai, de nouveau, eu des rapports sexuels avec elle la nuit dernière. Paul est déjà partit travailler pour rédiger des rapports de son voyage d’affaires et Aurélie est sorti. Eric est avec ses amis Mick et Pierrot pour revoir les photos qu’ils vont choisir pour mettre en place leur site web et je suis seule à la maison.

En cherchant ce que je pourrais faire aujourd’hui je remarque une petite robe bleue dans le coin de mon placard. C’est la robe que Paul a achetée pour moi au début de notre mariage et c’est avec cette même robe que nous avons fait l’amour et créé notre fille Aurélie. Dieu çà me semble si loin !

Je la prends et l’étale sur le lit en me demandant si je pourrais encore entre dedans. A l’époque la mode était aux robes assez amples et peut-être qu’elle m’irait encore.

Je laisse tomber ma robe de chambre au sol et je me dirige vers la commode complètement nue. Je m’examine dans le miroir remarquant que mes gros seins sont encore fermes, mon ventre platenfinlégèrement bombé et de belles hanches aux formes voluptueuses Je suis contente de moi et je me trouve sexy.

Comment m’habiller ? Un soutien-gorgehors de question, il fait trop chaud dehors. Au lieu de cela, je concentre mon attention sur mon tiroir de slips. Brandissant un string mini même pas assez grand pour couvrir mes lèvres de chatte je secoue ma tête en murmurant.

— Trop salope…

Peut-être que si je sortais avec Eric, ou même Aurélie, mais pas maintenant… pas pour aller me promener dehors. Je fouille dans le tas de slip et je tombe sur un string que je ne reconnais pas. Doù vient-il ? Il est rouge et en dentelle avec un petit triangle à l’avant et une fine chaînette qui rejoint la ceinture. Ce qui le diffère des autres c’est une ouverture au milieu du triangle de devant d’une longueur de la fente d’une chatte de femme avec deux petits morceaux de soie qui la recouvre Bien que les bords se chevauchent, on peut facilement se glisser entre et exposer ce qui est dessous. C’est un entre-jambe de slip fait pour baiser, sans l’enlever !

Le problème c’est que je ne me souviens pas d’avoir acheté un tel string ! Doù çà vient ? Aurélie ? Ma fille porterait-elle des sous-vêtements aussi sexy et provocants que çà ? Je n’en suis pas sûre. Gina a des vêtements dans la chambre d’Eric car elle en laisse quand elle passe la nuit avec lui, c’est peut-être à elle ? Parmi les deux possibilités, celle-ci semble la plus probable.

Je regarde de plus près et mon cur bas plus vite. On dirait que ce slip n’a pas été lavé car je distingue un résidu blanchâtre au milieu du gousset ! Un résidu qui ne peut être que la moiteur de la chatte d’une autre femme !

Même si je sais que je suis seule je me tourne vers la porte pour m’assurer que je suis seule et je porte furtivement le string à mon nez. Je respire profondément en fermant les yeux et le parfum intime de la chatte d’une femme arrive dans mes poumons.

— Gina… murmurais-je en rouvrant mes yeux.

C’est Gina, c’est son slip avec une trace de son jus dessus. J’inhale de nouveau en portant ma bouche dessus pour apprécier le parfum de la jeune fille et sentir quelques secondes après ma chatte se mouiller. Pourquoi ce string est dans mon tiroir ? Elle doit l’avoir placé dans mon tiroir quand je n’étais pas là. Je me regarde dans le miroir et remarque que mes tétons sont déjà tendus.

Perversement j’ai envie de déposer mon propre jus sur ce string, je veux que ma chatte se frotte contre le jus de la jeune fille… et se mélange avec le sien… pour… n’en faire qu’un. J’enfile le string et le tirant dans mon entre-jambe je remarque qu’il est très serré. Gina n’a pas des hanches aussi fortes que les miennes et la ceinture creuse rapidement ma peau douce. Le tissu du triangle est petit sur moi mais couvre toujours ma chatte suffisamment mais les 2 minuscules pans de soie se chevauchent à peine et on aperçoit parfois furtivement mes lèvres de chatte sombre à travers la fente quand j’écarte un peu mes cuisses.

Étant seule çà ne me dérange aucunement et me tournant j’admire mon cul complètement visible avec la fine chaînette perdue entre mes fesses. Si Gina veux jouer à ce petit jeu, on va être deux !

Je décide de le garder et j’enfile la petite robe bleue par le haut. Mon dieu je ne me rappelais pas quelle était si courte. Non elle était plus longue mais elle serre étroitement mes hanches ce qui la fait remonter plus haut. Huuummm…Je suppose que je n’avais pas encore eu d’enfants et que mes hanches étaient moins prononcées ! La lisière de la robe couvre mon entrejambes et quelques centimètres en dessous de louverture de mes cuisses.

Haussant les épaules je regarde mes seins qui sont encore exposés. Je boutonne les boutons mais la robe est très tendue sur ma poitrine et les boutons prêts à sauter. Hum, humm…Je suppose que j’ai aussi des seins plus gros maintenant. Je déboutonne les boutons supérieurs pour qu’ils ne sautent pas et dévoile ainsi une bonne partie de ma poitrine.

J’enfile sur une paire de talons hauts qui correspondent et je m’approche du miroir.

— Oh mon Dieu !

Je suis déjà grande avec de longues jambes mais avec cette robe… et ces talons je parais encore plus grande et surtout je suis provocante !

Je me trouve tellement sexy que je m’excite toute seule. Je lèche mes lèvres et regarde autour de moi à la recherche de quelque chose. Mon vibro est enfoui profondément dans une boîte à chaussures sur l’étagère du haut de mon placard et j’ai besoin de quelque chose rapidement !

J’écarte mes jambes un peu et je glisse ma main sous la robe. La soulevant légèrement je me regarde dans le miroir pour voir mes lèvres de chatte bombée située entre les deux pans de soie. Elles sont mouillées ! Je tends mon index et il glisse le long de mon ouverture écopant l’humidité qui si trouve. Je porte mon doigt mouillé à mes lèvres, j’ouvre ma bouche et je me regarde dans le miroir quand… le téléphone sonne !

Surprise je sursaute et abaisse rapidement ma main. On sonne de nouveau.

— Merde ! Fait chier !

Dis-je à haute voix, frustrée par cette soudaine à interruption.

Le téléphone a sonné de nouveau, il ne va pas cesser. Je décroche.

— Allo ! Dis-je avec impatience.

— Kate ? Salut, c’est Sally

Sally ! La jeune fille si sexy du sex-shop !

— Oh Sally, comment allez-vous ?

— Bien, très bien. J’avais envie de vous appeler pour vous voir avec AurélieQu’est ce que vous faite de beau ?

— Oh, un peu de rangement ce genre de chose et Aurélie est chez une amie.

Je ne vais quand même pas lui dire que j’étais sur le point de me baiser… avec quelque chose.

— Oh, çà n’est pas très marrant. Pourquoi ne pas venir me voir à la boutique ? J’ai reçu quelques gadgets nouveaux qu’il faut que j’examine et que je montre. Tu pourrais venir m’aider ce serait amusant. Il faut que tu vois ça ! Et elle se met à rire.

J’aime son rire qui sonne comme une mélodie. Ma curiosité est immédiatement captée.

— Gadgets ? Quel genre de gadgets ?

— Tu n’as qu’à passer et tu verras par toi-même.

« Gadgets» Je pense toute de suite à sex-toys. J’en aurais eu besoin il y a quelques minutes !

— Tu attise ma curiosité. Dans une demi-heure je passe te voir

Je réponds calmement mais à l’intérieur, je suis très excitée.

— Formidable ! J’ai hâte de te voir. Et elle raccroche.

Elle ne croit pas si bien dire ! Je vais enfin avoir quelque chose pour satisfaire mon manque de sexe jusqu’à ce que Paul ou Eric rentre à la maison. Je me regarde dans le miroir et je me demande si je dois y aller comme çà ? Je suis sacrément sexy avec mes seins tout justes contenus dans ma robe, je rattache quand même un bouton et je suis impatiente d’exciter tout homme qui passera près de moi, et je sors de la maison.

Quelque chose me revient à l’esprit sur le chemin. Sally a dit « Je dois montrer mes nouveaux gadgets » puis, « tu pourrais m’aider».

Qu’est qu’elle a voulu dire ? Les montrer à qui ? Des clients potentiels ? Quelle besoins elle a pour que je l’aide ? Soudain, je me demande si j’ai bien fait de mettre cette robe si l’idée de porter cette robe n’a pas examiné si captivante. Et sil y avait des hommes, beaucoup d’hommes ? Je baisse mes yeux et regarde mes seins pour voir que mes aréoles sont visibles et qu’il ne faudrait pas grand chose pour que mes tétons prennent l’air. Plus bas, assise dans la voiture, ma robe de jeunesse dévoile entièrement mes cuisses et je peux presque voir mon slip !

Je ne suis plus très sûre de moi quand je me gare sur le parking du Sex-shop de Sally.

Le parking est plein de voiture et je suis maintenant sûre que la boutique est bondée, bondée avec des hommes ! Qui d’autre viennent dans ces boutiques ?

Je remarque que mes tétons commencent à durcir et que ma chatte devient humide rien qu’a penser à tous ces hommes qui vont forcément me reluquer Mais si je me suis habillée comme çà, c’est forcément pour aguicher les hommes et ce n’est pas pour repartir. Allez, ma grande vas-y !

Je respire un bon coup, ouvre ma porte et sort une jambe dehors et tandis que l’autre est encore dans la voiture quand 2 hommes passe devant moi en me regardant. Merde ! Ils ont sûrement vu entre mes jambes ! Rapidement, je ramené l’autre jambe dehors à côté de l’autre et serre mes genoux en faisant semblant de n’avoir rien vu et essayant de garder mon sang-froid, en sachant qu’ils ont juste vu mon slip. Oh mon Dieu, j’ai un string et mes lèvres de chatte… les lèvres de ma chatte sont probablement visibles.

D’ailleurs un des hommes a le regard fixe et se passe sa langue sur ses lèvres d’un coup sec. Je suis sûre qu’ils ont vu mon string et sans doute plus ! En sortant de la voiture je sens que ma robe étreint mes hanches et n’est pas redescendue sur mes cuisses. Je présente mon dos à ces deux hommes, mais je peux sentir leurs yeux sur moi… sur mon cul. Comment suis-je visible ? Je baisse les yeux discrètement et je constate que le bord de ma robe est au niveau de mon entre-jambe. Ça signifie que les deux hommes peuvent voir mes jambes et mes cuisses jusqu’à mon cul !

Je tire rapidement sur ma robe vers le bas en faisant attention à ne pas tirer trop loin pour ne pas éjecter mes seins dehors. En espérant que tout est en place, je me retourne vers les hommes et je passe devant eux ignorant leur excitation comme la mienne d’ailleurs. Un peu plus loin je les entends dire :

— Putain ! Ça doit être une chaude celle-là !

— Oh, Oui ! La salope ! Tu pense que c’est une star du porno ?

— Sûrement ! T’as vu son slip ? Il dévoile sa chatte ! T’as vu ?

MOI ! UNE STAR DU PORNO ! J’accélère et me dirige rapidement vers la porte. Oh mon Dieu, ils ont vu ma chatte ! Comme c’est toujours le cas dans ces moments là, un frisson vicieux traverse mon bas ventre avant que je reprenne ma respiration et ouvre la porte.

La salle principale du sex-shop est bondée, c’est tout juste si j’arrive à entrer et refermer la porte. Coincée par des hommes devant moi je me soulève sur la pointe des pieds pour apercevoir Sally sur une estrade. A coté d’elle, ce qui me semble être une chaise recouverte par une couverture de couleur brillante avec quelque chose dessous. Sally a un vibromasseur assez grand dans sa main et donne des explications sur les possibilités de cette belle bite mécanique. Elle est magnifique ! Ses longs cheveux noirs tombent en vagues souples sur ses épaules sensuellement dégagées et nues dans une espèce de chemisier blanc qui met en valeur ses gros seins à moitié dénudes. Elle a une jupe courte qui moule parfaitement ses hanches et son cul.

Je la regarde avec envie, excitée par son corps pulpeux et je me rends compte que c’est comme çà que les deux hommes dehors m’ont regardée. Mon Dieu, suis-je aussi dépravée que tous ces hommes ? Ou peut-être que c’est le souvenir de l’intimité perverse que j’ai eu ici avec ma fille qui accroît mon désir sexuel en ce moment ?

Debout, derrière Sally se tient un homme de grande taille et retenant mon souffle je reconnais cette puissance et cette force qui émane de lui !

C’est Adam ! Le doux géant du Club pour hommes, qui a sauvé la jeune fille, Lisa et moi qui a failli être violée par Frank. Mais comment connaît-il Sally ?

Soudain la porte derrière moi s’ouvre et les deux hommes qui ont admiré si profondément les parties intimes de mon corps à l’extérieur sont derrière moi. D’un rapide coup de il je vois qu’ils continus de mâter mes longues jambes et mon cul. Il y a tellement de monde que les deux hommes se pressent contre moi pour pouvoir fermer la porte. Je sursaute en sentant une poitrine se frotter sur moi et une bosse se plaquer sur mon cul. On est serré dans la pièce mais c’est évident qu’il y en a qui profite de la situation en s’enfonçant carrément en moi.

Je tourne ma tête et lance un regard désapprobateur à celui qui frotte son nud sur mes fesses.

— Désolé, c’est sacrément bondé ici, marmonne-t-il.

Je regarde de nouveau la scène pour voir ce que Sally a brandi mais mes yeux se portent tout de suite sur Adam.

Il a bonne mine et porte un jeans et une chemisette. Ses bras musclés sont sur sa poitrine imposante et il est très impressionnant.

Tout à coup je vois Sally qui agite ses mains dans ma direction avec un grand sourire sur son visage et la foule commence à regarder en arrière. Je suis devenu le centre de l’attention des hommes en manque de sexe et sûrement pervers qui remplissent le petit magasin. Je ne peu même pas me sauver car les deux hommes bloque la porte derrière moi. Les hommes voyant Sally s’agiter et me faire signe de la rejoindre, s’écartent un peu et une voie étroite se fait pour que je puisse l’atteindre. Tous me fixent de leurs yeux et quelques exclamations et des sifflets d’approbation fusent autour de moi.

J’ébauche un sourire amical et me dirige vers la scène ou Sally se tient debout. Je regarde Adam qui a un grand sourire sur son visage en me regardant.

— Salut Kate, heureuse que tu sois venue.

Déclare-t-elle en m’embrassant rapidement.

— Sally, vous ne m’avez pas dit que vous auriez des clients ici… autant de clients

Elle sourit en retour et soulevant le vibromasseur épais devant elle et clignant de l’il.

— Je suis aussi surprise que vous car j’ai annoncé cette présentation il y a peu de temps. Laisse-moi terminer ma présentation et je suis à toi.

— OKdésolée pour l’interruption. Comme je le disais un peu de lubrifiant est nécessaire pendant l’acte, et comme ce Monsieur le pense le vibromasseur va faire le reste. Votre femme ou petite amie ou ’’un petit ami’’ t’aimera pour cela.

Elle s’est mise à rire dès qu’elle a dit « petit ami ».

Je suis un peu surprise car je ne peux imaginer n’importe quel homme prendre un truc aussi épais que ce vibro dans le cul. Regardant l’auditoire, je réalise qu’il peut y avoir des gais ici. La plupart d’entre eux ont entre 30 et 40 ans, et j’aperçois même quelques femmes qui s’accrochent étroitement à leurs hommes. Tout le monde nous regarde et je peux dire sans fausse modestie que la plupart des hommes me regarde.

— Ok, notre prochain nouveau produit est un gode qui a été moulé sur la bite de Tony Black, oui messieurs et mesdames il s’agit de son double réel et… il est en vente dès maintenant. Kate, pouvez vous me remettre le gode,

Me demande Sally en pointant son doigt vers la table basse derrière moi.

Bon ! Je vais jouer l’assistante pour m’amuser un peu. Je me dirige vers la table basse et immédiatement des sifflets et des exclamations me signifient que tout le monde regarde mes fesses moulées étroitement dans ma robe trop petite. Arriver devant la table je me demande comment je vais récupérer le gode. Accroupie c’est hors de question, étant donné que ma robe est si courte qu’elle glissera immédiatement au-dessus de mon cul. La seule chose à faire c’est de me pencher et de ramasser le gode sans trop écarter mes jambes pour ne pas montrer de parties intimes.

Sachant que tous les yeux sont fixés sur moi, je me penche en pliant légèrement mes jambes pour attraper le gode.

Dès que je fais çà la foule explose avec des encourageant, des commentaires et des coups de sifflets qui me fait devenir toute rouge. Je regarde brièvement vers le bas pour voir l’état de ma robe et sais la raison de se tohu-bohu. Mon slip, enfin mon string doit être visible, car ma courte robe remonte petit à petit pour couvrir à peine mes fesses.

— Houlà làOui Kate, celui là !

Crie Sally et elle commence à applaudir.

Bien vite, tout le monde applaudi bien content de voir mes fesses qui ne peuvent être cachées par mon string. J’attrape l’énorme gode noir et me redresse rapidement, enregistrant une légère excitation entre mes jambes. Lorsque je me retourne pour faire face à l’auditoire je vois des visages heureux qui me regardent en frappant dans leurs mains. Je reviens vers Sally, totalement gênée, mais qui me lance un sourire encourageant et criant aux spectateurs.

— Très joli, n’est ce pas, Mesdames et Messieurs, et si modeste aussi

— Dans quels films a-t-elle joué !

Quelqu’un a crié dans l’assistance.

Sally se met à rire.

— Mon ami Kate n’est pas une star du porno, pas encore. Bien qu’elle puisse damner le pion à n’importe quelle star porno actuelle, comme vous pouvez le voir, elle est plus chaude qu’elles !

— Sally ! Dis-je choquée par son commentaire.

— Il faut qu’elle fasse vite un film porno, je payerai même plus cher si nécessaire !

Nouveaux applaudissements.

Tellement gênée j’en oublie que je tiens en main un long et épais gode noir en portant cette robe sexy et serrée qui est environ deux tailles trop petite sur moi. Sally me donne un clin d’il et finalement prend le gros gode noir de mes mains. Je prendre du recul, pour me mettre près Adam qui me regarde avec un chaleureux sourire sur son visage.

— Salut Adam, que fais-tu ici, murmurai-je sous les descriptions du gode par Sally.

Il me regarda avec ces yeux bleus flamboyant qui sont vides la plupart du temps.

— Salut Kate,

J’ai vu une lueur d’intelligence qui a été rapidement recouverte par son regard vide.

— Sally m’a demandé de l’aider aujourd’hui pour éviter tout débordement éventuel.

— Ah oui, je comprends

Je n’en dis pas plus car Sally enchaine.

— Parfait ! Et maintenant êtes-vous prêt à voir la dernière création de machine à baiser ?

Elle rit, et profitant de la réaction de la foule.

— Pour faire apparaître cette merveille, j’ai demandé à une amie très spéciale de m’aider, un oiseau exotique. Mesdames et Messieurs, je vous présente…Lola !

Et elle pointe sa main sur l’arrière de la scène.

Un oiseau exotique ? Lola ! Celle que je… que j’ai léché et…Oh Dieu ! Mes yeux suivent le bras tendu de Sally avec un soudain intérêt et ma bouche devient sèche. La porte du Bureau s’ouvre et Lola apparaît dans un silence soudain de l’auditoire. Elle est effectivement belle et exotique, vêtu seulement d’un minuscule bikini qui ne couvre pas grand-chose et laissant son corps presque nu. La partie supérieure est à peine assez large pour couvrir ses tétons et laisse ses seins magnifiques visibles sur tous les côtés. Son corps bronzé brille naturellement, et le minuscule slip du bikini couvre uniquement les lèvres de sa chatte.

J’avale ma salive et tout à coup, le public éclate dans une salve d’applaudissements et de sifflets.

Tout le monde regarde soudainement Lola, qui s’avance, presque nue, sur la scène improvisée. Alors qu’elle est assez près de moi elle me lance un regard satisfait de me voir et parcourt mon corps comme si elle allait bientôt me dévorer. J’en suis toute chaude et je mouille comme une jeune fille devant le grand méchant loup.

— Je vous remercie de votre accueil, crie-t-telle.

Enfin, tout le monde se calme et regarde.

Je la vois se tourner et exposer ainsi au public sa belle paire de fesse ou la fine chaine de son string se remarque à peine, cachée profondément dans la fente de son cul et qui sort au sommet juste pour rejoindre l’autre chaîne fine qui s’enroule autour de sa taille. Elle est si audacieuse ! Moi je ne porterais jamais quelque chose comme ça devant des étrangers, mais là encore, je ne suis pas une strip-teaseuse professionnelle comme elle. Elle est habituée à montrer son corps à tout le monde, c’est son métier.

— Merci encore une fois, et si vous voulez mieux me connaitre venez me voir ce soir dans mon club ! Croyez-moi, vous serez en mesure de voir tout mon corps dans les moindres détails !

Travaille-t-elle au même endroit ? Je me souviens que c’est elle qui a prévenu Adam que Frank était sur le point de me violer dans le salon privé de Max. Est-ce qu’elle c’est fait virée elle aussi ? Mais personne ne sait que Lola m’a aidé ce soir-là, Il va falloir que je me renseigne.

— Mesdames et Messieurs, je vous présente la machine à plaisir ou la Fuck-machine comme disent les anglais !

Crie Sally en tirant la toile de la chaise.

Ça ressemble à une chaise gynécologique mais garnie en cuir foncé et avec des sangles accrochées aux accoudoirs. Les repose-pied sont réglables avec des articulations qui permettent de les espacer. Au fond une ouverture sombre avec un cylindre télescopique muni d’une tige à baïonnettes bien positionné pour la fonction que je devine aisément et j’imagine déjà ce que l’on peut fixer dessus.

Lola tourne autour de la machine en s’exhibant au public alors que beaucoup d’hommes regarde maintenant cette chaise qu’elle vient de dévoiler. Quand elle est proche de moi elle se tourne vers moi et me fixe de ses grands yeux. Son regard m’hypnotise et j’essaye de résister pendant un moment mais finalement mes yeux se précipitent sur ses seins à peine couverts. Elle sourit et se retourne vers le public, tandis que mes yeux, instinctivement, se portent sur son incroyable cul.

— J’ai besoin d’une volontaire pour faire une démonstration des possibilités de cette chaise à plaisirs. Oh, ne vous inquiétez pas, nous n’allons pas faire du hardcore ici. Nous aimerions bien mais nous ne pouvons pas.

Dit Lola en regardant les femmes présentes.

Elles ont toutes un mouvement de recul et apparemment elles ne veulent pas servir de cobaye.

— Alors ? Personne ? Pourtant qu’elle femme digne de ce nom ne voudrait pas monter sur cet engin dernier cri !

Elle se tourne vers moi et me regarde dans l’expectative. Je vous jure, à cet instant, j’ai envie de me sauver de la boutique. Elle ne s’attend quand même pas que je fasse çà devant tant d’hommes ? Je secoue négativement la tête pour lui faire comprendre que ne suis pas volontaire et me rapproche d’Adam. Pour une raison quelconque, je me sens en sécurité quand je suis près de lui.

Lola secoue sa tête évidemment mécontente et se tourne vers Sally. Sally a juste un sourire et lève sa main comme une écolière, laissant tout le monde comprendre qu’elle est volontaire.

— Oui, nous en avons une ! Hurle Lola en prenant la main de Sally pour la faire défiler sur la scène.

Sally porte une jupe plutôt courte, et je suis curieuse de savoir comment elle va monter dans la chaise sans trop en montrer. Je n’attends pas longtemps, Lola place Sally près de la chaise, et après qu’un petit saut vers le haut, Sally est confortablement assise dedans. La chaise fait face à Adam et moi qui sommes debout et j’ai une vue plongeante parfaite sur Sally tandis que les spectateurs la voit de coté. J’admire ses incroyables seins d’au moins 100F contenus dans ce chemisier blanc ordinaire et le contour des anneaux sur ses tétons qu’elle porte toujours. Je me demande si elle ne serait pas adepte du SM. Sally me regarde et sourit, elle sait qu’elle m’excite.

Après avoir sanglé Sally, Lola derrière elle me demande de bien vouloir l’aider. Comprenant ce qu’elle attend de moi je saisis son pied gauche, je le lève en pliant sa jambe et le place dans le repose-pied. Naturellement la jupe courte de Sally se tend et remonte sur ses cuisses tendue et je peux constater qu’elle ne porte pas de slip et que ses lèvres intimes sont assez gonflées. Elle est parfaitement rasée, avec les lèvres de sa chatte rouge foncé et un petit clito qui pointe de sa cachette. Je commence à respirer plus vite et je vois qu’elle ne me quitte pas des yeux.

Lorsque j’ai bien calé son pied gauche, je prends le droit et le tire sur le repose-pied opposé. Il n’y a aucune chance que la jupe courte de Sally couvre quoi que ce soit et dès que je lève la jambe, la jupe glisse vers le haut de ses hanches et plus j’écarte ses jambes et les lève, plus elle glisse vers le haut. Je suis sûre que je rougie mais je ne peux détourner mon regard de sa chatte qui baille déjà.

Quand j’ai fini de lui attacher les mollets je la regarde. Sa respiration est lourde mais elle sourit et je remarque que ses tétons tendent sacrément le tissu de son chemisier tellement elle doit être excitée ! Elle aime s’exposer. Je découvre un tout nouvel aspect de Sally. Un dernier coup d’il entre ses jambes ouvertes et je reviens vers Adam.

Lola donne des explications au public, les paramètres et les possibilités de la machine. Pendant se temps mes yeux glissent de ses seins vers sa chatte et je profite de la vue. Sa chatte est lisse et la peau de ses lèvres brunes me semble déjà humide par son excitation d’être ainsi exposée.

Je relève ma tête pour voir Lola prendre un gros gode sur la petite table derrière la machine. Elle sait exactement ce que je regarde. Je me sens comme une petite fille qui regarde furtivement le sexe de son premier homme nu.

Lola se dirige devant Sally en agitant le gode et ses 2 gros glands en l’air et le verrouille sur le piston. Le gode s’affaisse légèrement a presque toucher le trou du cul de Sally. Les hommes dans la pièce espèrent que Lola va glisser la grosse bite en caoutchouc dans la chatte de Sally.

— Je sais que vous avez tous envie d’une démonstration en direct et moi aussi mais nous ne pouvons pas, c’est la Loi.

Les hommes dans le public laissent éclater leur déception par de bruyants coups de sifflets. Ils veulent voir Sally baisée par la machine.

— Désolés messieurs, si vous voulez voir cette chose en pleine action je suggère que vous passiez commande et que vous l’utiliser sur votre amante ou amant.

Elle appuie sur un bouton et tout à coup, la machine s’anime. Le piston brillant monte lentement et la bite en caoutchouc glisse le long de la raie du cul de Sally et le gros gland atteint son clito. Sally frissonne en ouvrant la bouche avec une expression mêlant surprise et satisfaction, mais ne dit rien. Plusieurs hommes ont applaudi et sifflé en regardant le mouvement sur le côté.

Je regarde avec envie cette belle bite presque aussi vraie que nature répéter son voyage érotique du clito de Sally à sa raie des fesses en passant sur sa rondelle sombre.

Sally à l’air de prendre du plaisir et d’apprécier le contact de cette fausse bite sur son clitoris à chaque fois qu’il va et viens sur sa chatte. Lola tourne une molette sur le boîtier et le mouvement s’accélère. Maintenant j’entends les petits couinements de Sally étouffés par le bruit de l’auditoire. En léchant ses lèvres, elle me regarde un peu haletant, et une légère sueur apparaît sur son front. Elle jouit presque et je vois ses hanches bouger au rythme de la machine, comme si elle allait, à la rencontre de ce pieu venant en sens inverse, avec sa chatte.

Lola continue de donner des explications au public, mais je n’entends rien, je ne vois que Sally et la bite mécanique qui commence à lui apporter du plaisir. Son jeune corps vibre et ses hanches ont un lent mouvement de rotation pour s’adapter le mieux possible a cette queue qui passe devant ses lèvres de chatte ouverte. Mon dieu je voudrais être à sa place !

Je sursaute quand j’entends la voix de Lola.

— Kate, la crème lubrifiante spéciale !

Je la regarde confuse et elle me désigne un flacon sur la petite table derrière.

— Kate va maintenant appliquer une petite quantité de se fluide spéciale sur cette belle bite. Çà va augmenter le plaisir en échauffant les parties nerveuses du cobaye.

J’ai un soupçon d’hésitation mais Lola me montre du doigt la fausse queue qui continue de frotter lentrejambe de Sally.

Mes mains s’approchent de la bite en mouvement et très prés de la chatte de Sally… si proche… Je donne un coup d’il et je vois qu’elle me regarde. Je prends un peu d’huile dans le creux d’une main et regardant entre les cuisses de Sally et automatiquement mes doigts enveloppent la bite mobile, serrent ce pieu épais et un de mes doigt touche Sally juste au-dessus de son clitoris. Oh… sa peau est si douce J’ai une folle envie de la toucher et de sentir les plis doux de sa chatte, je ne peux pas. Pas devant tous ces hommes excités qui me regarde.

Faute de mieux je commence à caresser la bite mobile et à chaque retour en arrière mes doigts frôlent la peau lisse et soyeuse de Sally. Mes doigts s’écartent légèrement et caressent les lèvres de sa chatte et ramassent en même temps du jus entre ses plis chauds. Je frissonne au contact, de même que Sally. Elle a écarté un peu plus ses genoux pour faciliter ma vue sur sa chatte mais personne ne peux voir ce court instant d’extrême intimité entre elle et moi.

En espérant que les cuisses de Sally cachent suffisamment mes mains du public je tends les doigts de ma main et je la déplace vers le bas sur chaque côté de la bite en caoutchouc pour bien toucher les lèvres de sa chatte.

— Huuuummmm

J’entends ce petit gémissement de plaisir sortir de sa bouche fermée. Encore assez bas pour ne pas se faire entendre par personne d’autre que nous.

Je me dis « Si je pouvais seulement aller un peu plus loin… » Je pousse un peu sur le dessus de la queue dans l’espoir de mieux toucher ses tendres plis mais je fais çà au moment ou le gland de la fausse bite est arrivé sur son clitoris et Sally à eu un sursaut en poussant ses hanches plus haut.

Sally a poussé un petit cri "Outch" et la fausse bite a disparu à l’intérieur de sa chatte ! Je sens aussitôt une main de Sally qui me saisi une cuisse juste en dessous de mes fesses, dans une tentative incontrôlée, pour rester toujours comme elle est, t soudainement et violemment pénétrée.

Je regarde son visage de peur elle soit blessée mais apparemment non, elle se concentre pour ne pas crier mais c’est plus d’être soudainement dilatée, que de douleur.

Et tout ce que je trouve à dire tout bas c’est ;

— Je suis désolé,

Pendant que la grosse bite va et vient dans sa chatte écartelée.

Sa crispation se transforme rapidement en une expression de plaisir. Enfin, elle roule des yeux puis regarde entre ses cuisses la respiration haletante. Apparemment personne n’a remarqué ce qui s’est passé, même pas Lola qui continu à vanter les mérite de cette chaise à baiser. Reportant mon regard entre les jambes de Sally je m’aperçois que Lola a augmenté la vitesse sur le cadran. La bite glisse maintenant rapidement dans le vagin de Sally et l’huile que j’ai mis sur cette queue mélangée à son propre jus dégoulinant de son canal d’amour semble faire de l’effet et excite le corps de Sally. Les lèvres de sa chatte étroitement serrées autour de ce gros roulent au gré des mouvements rapides du piston. Sally doit commencer à ressentir les prémisses d’un orgasme car elle serre les dents et des j’entendu des petits sons étouffés à chaque fois qu’elle est pénétrée profondément. Elle va sûrement jouir a force d’être baisée sans relâche.

Je lui prends sa main et la tiens serrée alors qu’elle tente aussi fort qu’elle le peut d’éviter que quelqu’un se rende compte de ce qui ce passe.

— La seconde molette permet de régler la profondeur de la pénétration ce qui est une première sur une machine comme ça. Non seulement vous contrôlez à quelle vitesse vous êtes baisée mais aussi sur quelle profondeur. C’est formidable n’est ce pas !

Commente Lola tout en tournant la molette.

— Ouuggghhhh… gémit Sally quand tout d’un coup le gode s’enfonce profondément à l’intérieur d’elle.

Je lui jette un coup d’il et je remarque qu’elle ferme les yeux et se mord sa lèvre inférieure, essayant désespérément ne pas à crier sous le plaisir qui la traverse. Ses hanches ne sont plus en mouvement vers le bas pour mieux se baiser sur la bite venant en sens inverse, au lieu de cela, elle est poussée vers le haut à poussée de l’épaisse bite comme si elle butait sur quelque chose. Mon Dieu ! Son col d’utérus ! Et si elle la blessait !

Soudain Lola tourne les deux molettes sur Stop et bite mécanique s’arrête.

— OOOoohhh

Il me semble que c’est un gémissement de frustration que vient de pousser Sally.

J’ai bien l’impression qu’elle était au bord d’un orgasme et que Lola, inconsciemment. Lui a ôté ce plaisir.

— VoilaMesdames et Messieurs, si vous voulez en acheter un, adressez vous à notre charmante hôtesse Sally. Quant à moi, j’ai un show à effectuer. Une fois de plus, si vous voulez en voir plus de moi venez à mon club.

Et se tournant vers nous elle s’apprête à dire quelque chose quand elle voit Sally qui réussi à se soulever et glisser doucement la grosse bite hors de sa chatte tout en tenant toujours ma main pour s’aider. Lola ouvre son grand en regardant la bite en caoutchouc trempée du jus de Sally puis nous dit :

— Ça vaut aussi pour vous deux Kate, je me souviens encore de ce que tu m’as fait chez Max J’adorerais recommencer.

Mon visage a du virer au rouge quand elle a dit çà en face de Sally. Elle fait allusion à la nuit ou Frank a réussi à me faire du chantage et que j’ai léché sa… sa chatte et son cul et en public !

— Je ne peux pas… pas maintenant, je dois rentrer.

Dis-je en baissant les yeux.

Lola sourit et tend sa main sous mon menton et soulève ma tête pour que je la regarde dans les yeux.

— Si ce n’est pas aujourd’hui Kate, alors quand ?

Je me noie dans ses yeux mais je réussis à bafouiller :

-Je ne sais pas Lola je vais voir, je te promets de te contacter dès que j’ai un moment de liberté.

— Ok Kate, à très bientôt.

Je me sentais comme une petite fille en face de cette belle femme. Lola se tourne vers Sally et pour la première fois ses yeux glissent le long du corps légèrement en sueur de Sally.

— Merci de m’avoir invité Sally, nous devrions faire cela plus souvent. Je pense que je peux ramener la majorité de ces gars qui viennent me voir au club.

Alors que le Lola continue de parler avec Sally je m’approche d’Adam.

— Je pense que toi aussi tu vas partir ?

Il me regarde de ses yeux bleus flamboyant qui momentanément ont un signe d’intelligence et comme toujours met un certain temps avant de répondre.

— Oui, je vais où Lola va, dit-il simplement.

C’est étrange, pourquoi est-il si lié à cette belle femme ? Est-il son garde du corps ?

— Pourquoi Adam ? Pourquoi dois-tu suivre Lola ?

Il ne répond pas et tourne la tête pour regarder les gens qui sortent du sex-shop.

Pour une raison quelconque, que je me sens bien, en sûreté près de lui et il ce n’est pas parce qu’il est grand et fort, c’est autre chose… quelque chose que je ne m’explique pas.

Lola lui fait signe et ils sortent…

A suivre

Phantome

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