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marie, ma meilleure amie – Chapitre 6

marie, ma meilleure amie - Chapitre 6



Quelques jours passèrent et nous continuions la découverte de nos corps Marie et moi. Au-delà du plan physique, une nouvelle complicité, plus solide que celle qui nous unissait déjà, se créa. Elle m’expliqua le cycle des règles, les siennes étaient irrégulières et douloureuses. C’est pourquoi elle prenait la pilule. "Mais ce n’est pas une raison pour faire n’importe quoi" lui avait glissé sa mère en lui donnant sa première plaquette. Marie était une fille sage. Ce que nous faisions tous les deux était complètement nouveau pour elle. Et pour moi aussi. Elle me raconta qu’une fois un de ses ex l’avait harcelé pour coucher avec elle, elle n’était pas prête, trop jeune.

J’eus une pique de jalousie pendant qu’elle me rapportait cette histoire.

Je lui confiai également que j’étais novice. Beaucoup de mes copains de classe se vantaient d’avoir couché avec leur copine ou avaient fait des choses. Je préférais garder le silence, après tout, ça ne regardait que moi. Et Marie bien entendu.

Elle était arrivé au bout de sa plaquette cette semaine, et ses règles débarquèrent. Elle me montra ses tampons et comment elle les mettait, ça me faisait rire et elle aussi. Durant ces quelques jours où elle était indisposé, nos petites masturbations s’interrompirent. Elle n’avait rien contre me le faire, mais je ne pouvais pas lui rendre la pareille convenablement, cela me gênait un peu. Simplement quelques jours…

Un soir, ses règles terminées, je sentis Marie dans un état d’excitation familier. Nous nous couchâmes tôt ce soir-là, enfin, officiellement.

Marie et moi et moi marchions dans le couloir qui menait à notre chambre, elle était habillée avec son grand Tee-Shirt qui lui servait de pyjama, je trouvais cela très sexy, dès qu’elle se baissait, je pouvais voir sa magnifique poitrine, ou ses petites fesses rondes.

Moi j’étais en short, tenue décontractée et adéquate par ces temps de fortes chaleurs. Nous sommes entrés dans la chambre, et les parents étaient partis en ville, nous étions donc décidés à en profiter.

Je la pris dans mes bras, la déposai doucement sur le lit, nous étions couchés côte-à-côte, et je l’embrassais tendrement, nous nous partagions quelques câlins. Cela faisait déjà une semaine d’abstinence !

Nos mains visitaient le haut de nos corps, redécouvraient à tâtons, puis je m’aventurai vers sa cuisse et continuai ma montée vers son sexe, fis une brève halte vers celui-ci qui était très humide, elle gémit lorsque j’effleurai son clitoris, déjà gonflé de plaisir, elle était très très chaude. Je ne voulais pas m’arrêter là, ma main chatouilla son ventre pendant quelques instants, et elle continua en direction de sa poitrine.

Je pouvais à présent voir son sexe et sa poitrine, ma main se posa sur son sein et commença à le masser, doucement de la base vers son téton durci.

Nous continuâmes nos caresses dans cette position pendant une bonne dizaine de minutes qui furent magnifiques.

Ensuite ma main fit le chemin inverse, elle descendit vers son sexe, et elle commença une masturbation en règle, histoire de rattraper tout ce temps perdu. J’insérai un doigt, puis deux dans le vagin de Marie qui gémit de plus belle.

Elle se redressa et me regarda. Elle non plus ne voulait pas se limiter à une simple masturbation, nous voulions aller plus loin.

Mes lèvres quittèrent les siennes, parcoururent son cou, son torse en caressant ses seins. Ma langue joua quelques secondes avec son téton et continua à descendre… Son nombril, son bas-ventre, son pubis.

Je descendis du lit et plaçai ma tête entre ses jambes que j’écartai , m’offrant son sexe humide. Je pus sentir l’arôme qui s’en dégageait, c’était divin.

Elle avait préparé son coup, ses poils pubiens étaient taillés à la perfection, juste cette petite bande le long de sa vulve, coquette jusque dans son intimité, c’était excitant.

Ma langue arriva vers son clitoris, se rapprocha dangereusement. Marie respirait à peine. Quand ma langue toucha son sexe, elle poussa un gémissement si intense que j’eus l’impression que son orgasme était déjà arrivé. Ca n’aurait pas été du jeu. Elle était surexcitée. Elle commençait à se tortiller, ma langue ne faisait que l’effleurer et ça la rendait folle, elle prit ma tête dans sa main et plaqua mon visage contre son sexe.

Je plongeai.

Le goût était vraiment délicieux, et je visitais son sexe avec ma langue, chatouillant son clitoris. J’insérai un doigt dans le vagin de Marie, qui était bouillant, le retirai pour y mettre ma langue, pour visiter cet endroit si chaud.

Elle prenait un plaisir intense, rien qu’à voir la quantité de liquide qui sortait de son sexe, Elle resserrait ses cuisses autour de mon visage, appuyait toujours ma tête, elle en redemandait. Je léchai, suçai, caressai de ma langue chaque recoin, et chaque contact la faisait tressaillir. J’entrepris d’aspirer son clitoris, en le mordillant très légèrement. Elle hurla, je mis deux doigts dans son sexe à ce moment-là pour sentir les vibrations de l’orgasme provoqué, c’était bon, très bon.

Il fallait qu’elle se calme sur quelque chose… Elle était en nage et son sexe ultra-sensible, elle me libéra de l’étau de ses cuisses, je me redressai et elle me fit basculer sur le lit. Inversion.

Elle vint entre mes jambes, fit face à ma verge, qui montrait toute sa puissance. Elle la regarda pendant un petit moment, elle avait un regard de gamine affamée en face d’un chocolat.

Elle toucha le bout de mon gland avec sa langue. Cela me donna une sensation jamais ressentie jusqu’alors. Mais elle ne s’arrêta pas là, elle contre-attaqua en mettant mon sexe entièrement dans sa bouche, elle l’aspira et fit quelques va-et-vient avec sa bouche. C’était délicieux, le contact de ses lèvres autour de ma verge m’envoyait au septième ciel. Je fermai les yeux. C’était ma première fellation, et j’aimai ça. Elle pompait avec efficacité mon membre qui n’en pouvait plus, je laissais le plaisir monter, monter…

Je ne pus plus me retenir, et la prévins que j’allais jouir à mon tour. Elle stoppa net.

— Ca te gêne si tu jouis dans ma bouche ? J’adore ton petit goût sucré…

J’acquiesçai, si cela lui plaisait, alors moi encore plus, je ne me retins plus. Elle reprit son affaire, j’étais au supplice, sa langue passait et repassait sur mon sexe décalotté. Le point de non-retour fut atteint, je la prévins de nouveau pour la forme, elle ne bougea pas…

Je laissai le plaisir prendre possession de moi, et éjaculai dans la bouche de Marie, des jets de semence vraiment longs et puissants. Je crois que je m’étais retenu exprès.

Je crus qu’elle allait recracher, mais elle avala jusqu’à la dernière goutte, en me regardant, mon sexe toujours en bouche. Elle appréciait, j’étais aux anges.

Elle se releva pour atteindre mes lèvres, m’embrassa. Elle avait le goût de mon sperme dans sa bouche et moi celui de sa cyprine, nos langues s’enroulèrent dans un baiser fougueux.

Cette nuit nous la passâmes dans le même lit, serrés l’un contre l’autre malgré la chaleur, épuisés par ce moment de bonheur.

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