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Marie, soumise et rebelle – Chapitre 4

Marie, soumise et rebelle - Chapitre 4



Je me suis esclaffée devant cette réponse ; une fessée, je ne me rappelais pas en avoir reçu seulement une dans ma vie. Jai rougi un peu en pensant à ce que ça ferait dêtre fesses en lair sur les genoux dAntoine pour recevoir des claques de ses battoirs. Jai ri nerveusement en répondant :

Des promesses, toujours des promesses !

Marie, je tiens toujours mes promesses, crois-moi. Tu as le choix, alors, tu nous montres comment tu es jolie dans tes cadeaux, et tu as une bonne fessée après, ou tu en as une tout de suite, mais plus forte et pendant plus longtemps ?

Tu es sérieux, là ? Non, ne réponds pas, cest pas la peine.

Jai vu les yeux brillants des deux hommes et levé les miens au ciel. Bien sûr, les petits vicieux ! Je nallais pas me dégonfler ! Je me suis levée après avoir bu ma coupe cul sec et jai filé dans ma chambre. Une fois nue, jai enfilé bustier et string assorti. Parfait. Jai choisi des escarpins noirs à talon aiguille de maman, je nallais pas défiler en tongs ! Et je suis revenue en marchant comme un mannequin, jambes se croisant lentement, mains en arrière, tête hautaine. Ils sont restés scotchés, yeux globuleux et bouche en cul de poule ; ma revanche ! Jai dansé un peu, fait rouler mes hanches et leur ai tiré la langue avant de repartir, ma coupe à nouveau pleine de champagne à la main.

Dans un état second, jai enlevé ces parures pour mettre le mini string. Ouah le string ! Les trois liens partant du petit triangle étaient fins et élastiques et quand jai remonté les côtés sur mes hanches, le fil du dessous sest incrusté dans ma fente et a disparu dedans. Le triangle était si petit que ma toison pubienne pourtant modeste dépassait de partout et se voyait même par transparence. Jai agrafé le soutien-gorge, il était minimaliste aussi, soulevant mes seins dans un effet pigeonnant, mais laissant mes aréoles roses en dehors. Et comme jétais un peu excitée par la situation, elles étaient gonflées et dures, les mamelons pointant outrageusement.

Un peu pompette, je suis revenue dans le séjour en me dandinant, consciente dêtre quasiment nue devant les deux hommes que jaimais le plus, ceux qui se rapprochaient le plus dun père et dun frère. Ils nont rien dit en me voyant, le silence était lourd dans la pièce, rendant plus suggestives les respirations lourdes des hommes dont les yeux exprimaient maintenant un désir brut. Jai compris que jatteignais doucement un point de non-retour, déjà atteint avec Antoine dailleurs. Jai eu une velléité de résistance.

Je vais me rhabiller, les gars, je vais attraper froid comme ça.

Tu commences à être pénible, là. Viens ici, tu vas lavoir, ta fessée !

Hé, Antoine, jai dix-huit ans, tu peux pas me faire ça, quand même !

Tant que tu réagis comme une gamine trop gâtée, tu texposes à être punie. Allez, viens ici, ne moblige pas à me lever, ça serait plus cher.

Quentin, dis quelque chose Oh, toi, tu mates mon cul et cest tout ce que tu peux faire !

Marie, cest même pas vrai, je peux aussi te sauter, cest dommage que tu ne veuilles pas.

Comment ça, tu ne veux pas quoi ? releva Antoine, estomaqué. Te faire baiser par Quentin ? Marie, écoute bien, tu as voulu baiser avec moi, maintenant il te faut assumer. Ici, il y a deux hommes avec les couilles pleines, et tu vas nous les vider chaque fois quon veut, où on veut, par les trous quon veut. Allez, viens, approche, voilà, ne bouge plus

Jai poussé un petit cri quand il ma fait basculer en avant, me réceptionnant sur ses genoux fesses surélevées dun côté, tête et bras pendant de lautre. Jétais un peu inquiète, mais en même temps émoustillée par la situation. La première claque ma remis les idées en place et je me suis cabrée en protestant.

Antoine, tu tapes trop fort, tu me fais mal Aie ! Arrête je ten supplie ! Aie ! Oh ! Non !

Il tapait fort et comme un métronome, fesse gauche puis fesse droite, je nosais pas lever les mains et me suis mordue un poignet pour arrêter mes cris, réalisant que je pleurais à chaudes larmes. Parfois il glissait un doigt entre mes fesses dans le cloque de mes replis intimes avant de reprendre. Il na pas frappé longtemps, mais quand il ma redressée je flageolais, le postérieur en feu. Jai touché craintivement mes fesses avant de me rappeler du miroir de lentrée devant lequel je suis allée. Elles avaient une jolie couleur rouge qui contrastait avec la pâleur de ma peau, étaient chaudes au toucher, presque brûlantes. Je les examinais toujours quand la sonnette me fit sursauter.

Parfait, cest le livreur qui est pile à lheure ! Réceptionne-le, Marie !

Tu déconnes, pas dans cette tenue, enfin ! Je suis presque à poil !

Je sais, mais je te demande de le faire, me répondit Antoine, inflexible. Tu ne veux quand même pas recevoir une nouvelle fessée devant le livreur, non ?

Non, pas ça, je ten prie, Antoine !

Tu as deux secondes pour te décider.

Je me suis regardée à nouveau, jétais quasiment à poil ! Un string et un soutien-gorge minimalistes en tout et pour tout, cétait presque pire que dêtre nue. Bon ! Un mauvais moment à passer. Jai ouvert la porte.

Bonsoir, votre Bon sang, Marie ! Tu Je

Aurélien ! Tu fais des livraisons Entre, pardon pour la tenue.

Non, tu es canon, je te trouve trop belle. Cest la surprise, je mattendais pas à te voir comme ça. Bonsoir Monsieur ; salut, Quentin, tu vas bien ?

Tu vois, ça va, on fête lanniversaire de Marie, elle a dix-huit ans aujourdhui. Et ses notes au bac, je te dis pas, cest pas nous qui aurions eu ça !

Ouah ! Cest vrai ? Bon anniversaire alors. Alors, ce bac ?

Mention assez-bien, cest tout ce que jai besoin de savoir. Et là, elle nous montre ses cadeaux en faisant un petit défilé.

Aurélien avait presque vingt ans, comme Quentin. Cest un grand brun, il mesure près dun mètre quatre-vingt-dix, je pense. Peau mâte, excessivement velu, je le connaissais depuis les cours de natation avec le lycée, puis de sa fréquentation de la salle de sport. En plus cest un bon pote de Quentin depuis toujours. Chevelure indisciplinée, yeux noisette chaleureux, bouche gourmande, menton perpétuellement mal rasé, cest indéniablement un beau gosse. Javais eu le béguin pour lui vers mes quatorze ans, mais il en avait alors seize et me regardait à peine.

Pose tout sur la table. Tu bois une coupe ?

Cest pas de refus, jai fini de toutes façons. Ici, cest parce que cétait chez Quentin que mon père ma proposé de faire la livraison. Marie, je peux tembrasser ?

Vas-y, elle sera contente, elle a toujours été amoureuse de toi. Cest pas vrai, surette ?

Je nai pas répondu, empourprée encore plus si cétait possible, gauche, les bras devant ma poitrine et les mains sur le pubis. Aurélien a posé sa chasuble jaune fluo de sécurité, et a ouvert les bras, goguenard. Je lai fusillé du regard avant de me décider et de me blottir contre lui. Il ma embrassée sur les joues tout en posant ses mains sur mes hanches nues. Avant de me laisser partir galamment non sans avoir noté mon émoi.

Tu veux pas manger un morceau avec nous, à être là ?

Non, merci beaucoup, mais jai un rancard dans vingt minutes, cest pas possible. Dommage, une autre fois peut-être.

Oui, tu verras, Marie soccupera bien de toi

Il a fini sa coupe et est parti, le visage rouge et les yeux brillants. Pour manger, jai eu le droit de passer ma nouvelle brassière de sport et sa culotte assortie, mais rien dautre. Antoine et Quentin mont tellement tripotée tout le long du repas quau moment du dessert mon ventre était en fusion. Je me suis levée, ai enlevé la brassière et la culotte et me suis caressée en leur disant :

Les gars, je nai plus faim que dune chose, ce soir chaque fois que vous jouirez, ce sera dans ma bouche. Je veux boire tout votre sperme, jusquà la dernière goutte ; et vous avez intérêt à assurer.

Jai crié quand Antoine ma soulevée et jetée sur son épaule ; il ma portée dans sa chambre et ma jetée sur le grand lit. Ce que jai pris ce soir là, je men souviendrai toute ma vie, je crois ; ils mont prise pendant des heures, seuls ou les deux en même temps, par les orifices quils voulaient, avec une nette préférence pour mon anus. La verge de Quentin était aussi grosse et longue que celle dAntoine, après plusieurs essais infructueux il a réussi à lenfoncer dans ma gorge, métouffant plus quà moitié, éjaculant directement dans mon estomac. Moi je peinais à retenir mon envie de vomir et je salivais comme un chien devant un os, à genoux sur le lit, pendant quAntoine pilonnait mon anus en me traitant de petite chienne.

Jai eu droit à ma première double pénétration, Antoine dans mon vagin et Quentin dans mes reins ; jétais agenouillée sur Antoine qui membrassait, Quentin positionné sur moi, ses mains sur mes bras liés mécrasant sur Antoine. Le père et le fils avaient leurs bites séparées par une mince membrane de chair proche de la rupture.

Jai joui un nombre incalculable de fois sous leurs assauts et comme convenu jai avalé leur sperme, plusieurs fois pour chacun deux ; Quentin surtout était insatiable, il ne débandait pas et a continué à me prendre alors quAntoine filait se doucher. Je caressais ses lourds testicules qui cognaient contre ma vulve au rythme effréné de ses coups de boutoir. A la fin de son dernier assaut, il ma couchée sur le dos, ma pliée en deux les jambes écartées et les pieds touchant le lit de part et dautre de ma tête. Je lui ai souri, comblée, alors quil sétait planté dans mon anus distendu, allant profond dans mon ventre ; nous nous sommes embrassés, couverts de sueur, alors quil adoptait une cadence denfer. Pour la première fois de la nuit, il sest vidé dans mes entrailles alors que je gémissais en plantant mes ongles dans ses reins, jusquau sang.

Autant dire quaprès la douche, il a dû me porter pour me déposer dans mon lit où il ma bordée avant de membrasser chastement sur le front.

A compter de ce jour, je suis devenue lamante des deux hommes, jai pris lhabitude de mhabiller plus que légèrement dans lappartement, en sous-vêtements sexy ou même de rester nue. Cétait lété, il faisait chaud et je ressentais du plaisir à les aguicher ainsi. Souvent, Quentin me possédait contre lévier de la cuisine ; je le savais et je lattendais en lavant deux ou trois ustensiles ou des légumes, cambrée, lanus lubrifié, et le vagin trempé. Il ne disait rien, je lentendais se déshabiller derrière moi, je ne le regardais pas, il se guidait sans aucun préliminaire et membrochait dun coup imparable. Accrochée à lévier, yeux clos et bouche bée, je me laissais emporter par un maelstrom démotions. Parfois il refusait de jouir ainsi, me laissant pantelante, les jambes coupées, sachant que je serais à lui quand il voudrait pour lui servir de docile réceptacle.

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