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Maroc… Quand tu nous tient – Chapitre 4

Maroc... Quand tu nous tient - Chapitre 4



Après son départ, jai rangé un peu lappart, pas trop, javais quand même beaucoup de mal à marcher avec ce quil mavait mis.

Javais limpression davoir une chatte béante entre les jambes, il me semblait que son énorme barre de chair était toujours présente au plus profond de mon corps ce qui était sur, cest que des millions de « petits Khaled » tourbillonnaient dans moi à la recherche de ce quil ne pouvaient, bien évidemment pas trouver.

Crevé après autant deffort, je navais envie que dune chose, de mon lit.. Sans passer par la douche auparavant Lodeur de ce mec était sur moi, ses phéromones étaient accrochées sur ma peau, son sperme mavait rempli, gavé aussi bien mon estomac que ma chatte

Non. Pas de douche.. Ne pas perdre de si bons sucs qui disparaîtraient sous leau et ma chatte, fécondée, se viderait.. NON. Dormir avec son odeur sur moi, et ses hormones mâles, si puissantes, au plus profond de moi.

Le lendemain, assez tard dans la matinée, le son de mon portable ma réveillé.

SMS reçu.. Simple, laconique.

« A ce soir »

Encore embrumé de sommeil, je me suis levé, me suis préparé mon café, et en le buvant tranquillement, jai senti les effluves émanant de mon corps Je puais le mâle Le sperme, son sperme avait séché le long de mes jambes, mais je sentais encore du liquide séchapper de mon puits de plaisir, et cette putain dodeur de phéromone ne me quittait pas.

Mon deuxième café ma apporté la satisfaction davoir été une bonne femelle qui avait su assumer et répondre aux désirs du mâle.

Mais habitué aux coups dun seul à Marrakech, le troisième café a commencé à me faire réfléchir Le carnet dadresse Rabati nétait pas terminé Il en restait encore pas mal sur la liste à explorer.. Dautres mecs, dautres corps, dautres sexes à explorer..

Après tout, ce troisième café mavait donné la solution Jai le temps Donc pourquoi ne pas profiter encore de ce mec

Portable en main, texto en réponse :

« Ok Quand ? »

« Même heure ma chérie. »

Chérie ???? Première fois au féminin !!!!

Ma foi Je donnais ma chatte aux hommes, du plaisir aux hommes Pourquoi ce fameux « féminin » me gênerait-il ???

Et puis, ce mec était vraiment exceptionnel, alors autant en profiter. !!!!

Pendant une semaine, je nai passé mon temps quavec lui A faire lamour comme des malades ensemble, toujours avec son côté « Docteur Jekyll & Mister Hyde » Mais aussi à se promener dans Rabat, lui à me faire découvrir sa ville, à manger dans de simple restos arabes où des touristes nallaient pas, à maccompagner dans le souk, où, quand je voulais acheter un objet, il parlait, puis vociférait en arabe avec le vendeur pour que le prix soit celui dun marocain et non pas dun touriste.

Je me sentais « sa femme » Et nous allions faire les courses ensemble, soit au Souk, soit au supermarché français. Il ma appris lart des tajines, avec un câlin quand je coupais les légumes, et une pause quand son membre impérieux avait besoin de prendre sa femelle.

Une semaine de rêve, de vie ahurissante devrais-je dire de couple ??? Je ne sais pas.

Un soir, après notre journée à Rabat, nos courses effectuées, il sest approché de moi avec un regard que je ne connaissais pas, regard tendre, quémandeur..

« Je peux dormir là ce soir ? Avec toi ? »

Jamais auparavant Khaled navait passé une nuit entière avec moi.. Il partait au plus tard vers lheure du dernier train, ou du dernier bus Je ne sais pas trop.

« Bien sur »

Et je me suis détourné pour que ce mec, ce mec qui était Mon mec, ne voie pas les larmes perler dans mes yeux

« Je reviens Dans un petit moment, ne tinquiète pas. »

Je lai laissé partir et jai continué à maffairer au repas, à notre soirée, à vérifier que tout était nickel, dans lappart, dans la chambre, dans le lit..

Avant quil parte, je lui avais donné lautre jeu de clé de lappart

(Si on veut gagner au Loto, il faut au moins prendre un ticket, non ?)

Environ une heure après, jai entendu la clé tourner dans la serrure et mon mâle rentrer, une autre rose rouge à la main et un carton dans lautre..

« Tu es gourmand, je voulais aller te chercher des vrais gâteaux marocains »

Je me suis accroché à son cou, à son long corps, humant son odeur

« Merci mon chéri Merci 1.000 fois de. De. Ta chérie »

En 30 secondes, il avait tout posé, mavait poussé sur le canapé, descendu mon short et sest enfoncé dun coup dans moi. Jamais il ne mavait baisé aussi fort non, je dois dire, autant fait lamour avec autant de force. Il me défonçait complètement, son membre énorme me pilonnait, des mots en arabes envahissaient mes oreilles comme son membre me détruisait la chatte

Putain Khaled.. Tu sais que tu es monté comme un âne. Putain pas si fort.

Cest ce que je hurlais dans ma tête, mais jétais silencieux et je subissais avec ce mélange plaisir douleur, ravi dhonorer mon mâle.

La soirée fut vraiment merveilleuse, tendre, avec des baisers à nen plus finir, et une fois couchés, jai ressenti, toute la nuit, le plaisir dêtre possédé sans fin

A peine une heure de sommeil, que Khaled recommençait, encore et encore. On aurait dit quil voulait posséder sa femelle jusquà plus soif

Quel était mon plaisir décarter mes jambes, de mouvrir au désir de mon mâle de sentir cette énorme barre de chair me forer, de plus en plus profondément, ses mains sur mes hanches pour mappuyer encore davantage sur son épieu..

Une nuit comme ça ?? Mais encore et encore..

Après quelques heures de repos bien méritées, au café tardif, son regard a scruté le mien Il voulait me dire quelque chose, mais je sentais quil nosait pas

Il sest levé, a entouré mon corps de ses longs bras..

« Tu voudrais bien venir à la maison demain et prendre le thé avec ma mère et ma famille ? »

Malgré mon âge, malgré tout ce que javais vécu, malgré tout ce que. Je me suis effondré en larmes et jai hurlé. Je narrivais pas à me calmer Les pleurs partaient en fusion. Ses bras tentaient de maintenir mon corps en soubresaut, ses lèvres se posaient sur mon cou, une de ses mains caressait mes cheveux, mon visage

Et dun coup, le calme plat est arrivé. Je me suis tourné vers lui, déposé un léger baiser sur ses lèvres.

« Bien sur, avec plaisir ».

« Je viens te chercher demain vers 16 heures, ça te va ? »

« Jemmène quoi ? »

« Toi. Ça suffit. Je »

Puis le silence, pour la première fois, une rougeur sur ses joues et il est parti en courant.

Abasourdi, je suis allé dans ma chambre pour prendre ce fameux carnet dadresses Rabati. Je lai regardé, puis avec une violence dont je ne me croyais pas capable, je lai détruit à mille morceaux. Il me semblait tellement inutile, futile, et les pages ont rejoint les détritus de notre repas dans la poubelle.

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