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Matchs de footre – Chapitre 3

Matchs de footre - Chapitre 3



C’est pendant le dernier match de poule que l’idée nous est venue. Il ne se passait pas grand chose sur le terrain. On était qualifié et il fallait juste un nul pour nous assurer la première place de notre groupe.

On était tous les deux chez moi. Karine, ma femme était sortie. Elle n’aime pas le foot.

Jonathan, mon meilleur pote, avait plaisanté avec ça.

–  T’es sûr qu’elle est chez des copines ?

–  Où veux-tu qu’elle soit ?

–  Eh, on sait jamais…. on dit qu’on est chez ses copines et on est chez un copain.

–  T’es con… c’est pas le genre de Karine… trop coincée du cul pour ça… Tu vois, à la limite je préfèrerais…

–  Ah bon, elle est coincée ? Elle a pas l’air.

Je me sentais porté à la confidence. On avait déjà avalé pas mal de bières et ma vie sexuelle un peu morne ces temps ci me faisait aspirer à des jours meilleurs.

–  C’est rien de le dire. Dès que j’essaie un truc qui sort de l’ordinaire… Enfin, on baise un peu, mais à la papa.

–  Bah. C’est toujours baiser. Mais… Tu lui en as parlé ?

–  De quoi ? De varier les plaisirs… même pas en rêve… Tu sais, on voit ça au pieu si elles veulent ou pas…. Elle fait le minimum.

–  C’est quoi  le minimum ? Elle aime pas le cul ?

–  Ben j’sais pas… elle te fait quoi toi Mélanie ?

–  Ola ! Tout !

Qu’est-ce que Jonathan entendait par "tout". Ma curiosité était porté au vif d’autant qu’Amélie est vachement bien roulée, tout ce qu’il faut où il faut, quasiment une pouliche de concours. Sur son passage nombreux sont les mecs qui ont les yeux en forme de braguettes…

–  Tout… comment ça, tout ? continuai-je

–  Ben tout… j’vais pas te faire un dessin !

–  Eh si… raconte…

–  Ben tout quoi !

–  Tu veux dire… j’sais pas… levrette…euh…

–  Levrette, oh putain, j’adore, trop bon. J’la déchire à fond en attrapant ses gros nénés.

–  …et…. dans le cul aussi ?

–  Ben ouais.

–  Non mais dans le cul, j’veux dire.. euh… tu la sodomises ?

–  Ouais, j’ais ce que ça veut dire dans l’cul. Ben ouais, j’la prends dans son cul ! Je la troue, à fond, jusqu’aux couilles…

–  Et souvent ?

–  A chaque fois ou presque. J’vais dans tous les trous de toute façons… et surtout quand elle a ses règles…

–  Oh putain…

–  Elle te le fait pas Karine ? Tu l’encules pas ?

Non Karine ne me le faisait pas. Non. C’est pas l’envie qui m’en manquait, un cul serré, étroit… c’est appréciable, mais non, elle faisait pas.

— Non.

–  Tu devrais essayer, c’est bon.

–  J’te remercie, j’ai pas oublié, j’lai fait avec d’autres, mais avec Karine, j’le fais pas. Elle veut pas.

–  Elle te suce,  tout de même ?

–  Oui, quand même… mais…

–  Mais quoi ?

–  Ben une pipe toute simple….

–  C’est quoi une pipe simple ?

–   Ben c’est pas une baveuse…. Elle te fait des baveuses Amélie ?

–  Comment ça  baveuses?

–  Ben baveuses quoi… jusqu’au jus… t’es con ou t’es con ?

J’écoutai la réponse de Jonathan avec attention.

–  Manquerait plus que ça ! Heureusement que je peux juter où je veux… c’est tout de même le minimum syndical ! Toute façon, elle aime bien ça.

–  Que tu jutes dans sa bouche ?

–  Dans sa bouche ou partout. Elle bouffe tout. Elle aime et moi j’adore. Je gicle rarement dans la chatte. J’préfère sur sa gueule, entre ses seins…trop bon ça entre les seins… ou direct dans la bouche.

Je bandais. J’étais hyper excité à l’idée de ce qu’il faisait de sa femme et de ce que j’aurais aimé faire de la mienne. Je l’imaginais branler son gros vit directement entre les lèvres de sa salope de femme… hmmmm !

–  Dans la bouche… tout ton sperme ?

–  J’te promets, elle à les dents du fond qui baignent dans le jus de couilles.

–  Ah putain, t’es heureux, mec, j’te dis pas. Profite d’avoir une nana comme ça…. Et vous faites toutes les positions ?

–  Toutes, j’sais pas, j’sais pas combien y’en a. On se refuse rien. On a envie, on fait…

–  Putain, tu dois pas t’ennuyer parce qu’elle est canon.

Et en disant ça j’essayais de m’imaginer mon pote en train de suater sa belle femme dont j’avais pu admirer les rondeurs à la plage, en monokini…

–  Karine est bien roulée aussi, reprit-il

–  Oui… bien sûr…  J’ai pas à me plaindre… mais ça fait pas tout.

–  Tu devrais lui en parler. Elle est peut-être moins coincée que tu dis… elle attend peut-être que tu prennes des initiatives…

Comment en parler à Karine ? "Dis-donc chérie tu veux bien que je t’encule ? Tu sais, Amélie elle bouffe le jus de Jonathan, beaucoup de nanas font ça, pourquoi pas toi "? Je me voyais mal lui dire cela. J’appréhendais trop la réaction.

–  Connaissant comme je te connais Alex, ça doit te manquer.

–  Grave… Pour être franc… il m’arrive d’aller voir ailleurs, hein… mais c’est pareil… y’a peu de nanas qui font ça… la totale…et toi… tu la trompes Amélie ?

–  Non jamais. On est bien ensemble

–  Si ça se trouve, c’est Amélie qui est avec un mec en ce moment, lui dis-je pour rigoler… en fait parce que je fantasmais que j’aurais pu être cet homme là.

–  Impossible !

–  Comment tu peux en être sûr ?

–  Elle me l’aurait dit !

Mon pauvre Jonathan ! pensai-je, comment tu peux être aussi naïf ?

–  Tu t’imagines sérieusement que si ta femme te faisait cocu, elle te le dirait , t’es taré mec, j’te le dis franchement.

–  D’habitude c’est ce qu’elle fait.

–  Hein ? Tu dis quoi là ?

–  Quand elle veut se taper un autre gars, elle me le dit.

–  Quand ta femme veux te faire cocu, elle te le dit ?

–  Oui, quand un mec lui plait, elle me demande et elle le ramène à la maison.

–  Quoi ? Sérieux ? Et tu laisses faire?

–  Ben, on la prend à deux. C’est la condition. Faut aussi que le mec soit clean.. bien sûr.

–  Non, tu déconnes  là ? Tu te fous de moi ?

–  Juré…

Non, à d’autres, je marche pas… C’est trop gros…

–  Si, regarde…. attends… je.le.chercheeeee… voilaaa….

Et sur son portable, il me montra une photo de sa femme, dont on voyait tout le visage, en train de sucer deux queues qui venaient de cracher toute leurs sauce. Elle avait du sperme tout autour de la bouche, sur le nez, les joues… partout.

–  Tiens, tu vois à droite, c’est moi.. C’est moi, c’est ma queue.. j’sais pas si tu reconnais (j’aurais pu vu toutes les séances de branle devant un porno passées ensemble)… t’as vu le grain de beauté à côté de mon nombril.

–  Puuuutaiiiiiin. De ouf… c’est un truc de malade…. et l’autre mec, c’est qui ?

–  Tu le répètes pas hein ? Faudrait pas que sa femme sache ça.

–  Non, promis. Mais s’il veut pas que ça se sache, faut pas prendre des photos… pas futé le garçon….

–  Il voulait voir… et que j’efface les photos après… J’ai oublié celle-là, mais on le reconnait pas… ou alors faut connaître sa bte de façon intime…. C’est mon patron.

Prendre une fille à deux… ça ne m’était plus arrivé depuis des années. J’en rêvais.

–  Et toi, vous avez jamais fait des plans à trois avec Karine ? Me demanda-t-il.

–  Déjà qu’à deux c’est pas tous les jours, alors à trois…. c’est pour quand les poules auront des dents.

–  Tu voudrais sauter ma femme ? Dit-il tout à trac.

Je me demandais si j’avais bien compris ce qu’il était en train de me proposer ou si je rêvais.

–  Sérieux ? C’est une proposition ?

–  Oui… ça te dirait de la sauter ? Avec moi bien sûr.

–  Ben ouais.

–  Ah, cool… en fait y’ avait un moment que j’avais envie de te le demander…

Bien sûr que je voulais la sauter sa femme… vu tout ce qu’elle faisait en plus !

–  On se fait ça pendant le quart de finale ? On regarde le match chez moi et on la tire après ?

–  Ça marche…

–  Cool…. ça va être un bon plan cul ça…

–  Mais vous direz rien à Karine.

–  Ben non, t’inquiètes !

J’en revenais pas… Amélie… ses gros seins et sa chevelure un peu rousse…. sa bouche pulpeuse… me vider les couilles….j’avais une furieuse envie de me masturber.

Nous gardâmes le silence pendant quelque minutes. Je fantasmais déjà. La deuxième mi-temps se passait, ennuyeuse, mais la coupe du monde venait de prendre un nouvel attrait pour moi.

–   T’es sûre qu’elle voudra bien ? Demandai-je.

–  Quoi ?

–  Amélie ?

–  Pour le plan à trois ?

–  Oui…

–  J’vois pas comment elle refuserait… J’pense que tu vas lui plaire… j’veux dire physiquement…

–  J’pense à un truc…

–  Quoi ?

–  Non, non… laisse tomber… c’est con.

–  Vas-y, dis quand-même. Tu sais on n’a pas froid aux yeux Amélie et moi.

Je m’en étais rendu compte.

–  On pourrait dire à Elian de venir….

–  A Elian… à quatre on n’a jamais fait…

–  Non, mais laisse tomber…

— Attends, attends… c’est pas idiot. On n’a jamais évoqué le principe, mais un de plus un de moins… Oui, ça doit pouvoir se faire. Il est bien gaulé aussi… j’pense qu’elle voudra bien.

–  Bon si elle veut pas, c’est pas grave…  déjà à trois…

–  En gang bang… tous les trois sur elle, ça pourrait être chouette Alex. Bonne idée. J’suis persuadé qu’elle voudra bien… faut que je lui en parle quand même… mais sans trop de suspense.

–  On prévient Elian ?

–  OK… mais tu lui dis que c’est pas forcément gagné quand même. J’vous redis ce soir quand je lui en aurait parlé.

J’avais pensé à Elian parce que c’est avec lui que j’avais fait mes plans à trois du temps de sa copine. Mais elle l’avait plaqué. Il était célibataire en ce moment…. plusieurs fois par semaine… Je l’appelai immédiatement, sûr qu’il devait être en train de s’emmerder devant le match, comme tout le monde.

–  Elian ?

–  Oui ! Salut Alex. Tu regardes la match ?

–  Oui… entre autres…

Et je lui fis la proposition.

–  Jo, y’ a Elian qui propose d’inviter Manu et Corentin. Ils seraient sûrement d’accord, vu qu’ils ont pratiqué chacun avec lui et sa copine.

–  Oula ! Cinq ça change tout ! Là, vraiment… C’est pas la même chose…. je peux rien promettre….dis-lui qu’on le rappelle. Faut que je réfléchisse.

–  Tu crois que cinq mecs, elle voudra pas…

–  C’est pas la même chose que deux… à trois on n’a jamais fait mais bon, ça doit passer, mais en ajouter deux autres, je suis pas persuadé qu’elle marche.

–  Tant pis, si on peut à trois, ce sera bien. Et elle regrettera pas, c’est sûr.

Nous en restâmes là, les yeux toujours fixés sur le petit écran mais la pensée ailleurs.

–  Ça y est, je sais comment on va faire ! dit Jonathan.

–  Faire quoi ?

–  La prendre à cinq…. c’est une vachement bonne idée, un vrai gang bang, ça m’éclaterait bien, je crois que j’ai trouvé.

–  Raconte.

–  Elle rêve d’aller à Tahiti. Pendant le match,  je parie qu’on y va si elle gagne et, si elle perd, hop  ! une pipe. Il suffit qu’on se démerde pour aller dans l’action de jeu la plus favorable… et en la provoquant un peu, elle peut même faire de la surenchère.

–  Tu crois que ça va marcher ?

–  Sûr…

–  Elle acceptera le principe d’une pipe devant trois autres mecs à nous mâter ?

–  Ben, elle le fait quand on est deux… Là, c’est vrai… j’avais pas pensé à ça….on peut dire qu’on s’isolera…

–  OK. Cooool. Je rappelle Elian ?

–  Oui… dis-lui de prévenir Coco et Manu.

En dix minutes, tout le monde était d’accord.

–  Mais si on se foire sur le pari ? Repris-je inquiet.

–  Pourquoi ?

–  On sait jamais comment ça évolue un match…

–  Ouais, t’as raison… faut blinder l’affaire… Déjà, faudra la chauffer… j’peux facilement l’amener à mettre ses nibards à l’air…. et puis si on perd le pari, j’lui demande en lot de consolation un plan avec toi…. Elian, Manu et Coco font mine de partir et une fois qu’on l’a bien prise en sandwich, ils reviennent… Dans le feu de l’action, elle se laissera faire…

–  T’es sûr ?

–  Sûr… Quand on est au lit avec un mec et qu’elle est lancée, il peut y avoir le feu à l’immeuble elle attendra de ne plus l’avoir au cul avant d’appeler les pompiers de peur qu’ils n’éteignent pas le bon… n’importe comment, on se la baise à cinq… ça va être d’enfer…. j’vais même inviter mon collègue Kévin. Il est à moitié black, elle a un faible pour ça… ça la fera craquer. Six, six bites… ça va être génial.

C’est ainsi que pour le quart de finale nous nous étions retrouvés à partouzer la femme de mon pote et, divine surprise, les voisins, un couple jeune et dynamique renforcèrent l’effectif. La fille baisait comme une souveraine. Elle était petite avec des petits seins très ronds et fermes mais savait sucer et encaisser les coups de queue comme une professionnelle et Loïc, son mari, s’y entendait pour nous accoupler à elle à plusieurs et à la satisfaction générale. Amélie ne déméritait pas bien sûr, mais n’atteignait pas au même savoir-faire, mais c’était compensé par la générosité de ses formes et, particulièrement de ses nichons encore plus gros que ceux de karine. Tous les mâles y succombèrent.

Le lendemain, Jonathan m’avertit que ces deux sympathiques voisins avaient tourné des pornos et c’est ce qui expliquait leur expertise au cul. Toujours méfiant je lui demandai :

–  T’es sûr que c’est pas des mythos ?

–  Ils nous ont invités chez eux et montré les films.. alors c’est sûr à 200 % !

–  Vous êtes allé chez eux ?

–  Oui.

–  Baise ?

–  Obligé !

–  Putain, vivement dans quatre jours.

Après cette mémorable soirée j’avais redoublé d’activité sexuelle à la maison. Tous les soirs j’étais monté sur ma femme et elle avait souligné cette fréquence inhabituelle.

–  T’es souvent excité en ce moment !

–  Tu trouves ?

–  Je me demande ce qui te met dans un état pareil. T’es en manque ?

Etait-ce une plainte, un encouragement, un sous-entendu pour mes infidélités dont elle aurait pu se douter ? En tout cas elle ne s’était pas dérobée au prétexte d’ une fatigue soudaine ou un manque de libido. Elle s’était laissée faire. Comment lui dire que j’étais en période d’hyper fantasme et qu’en la sautant je ne faisais que penser à une cohorte de mâle en train de la piner. Si seulement elle était aussi open qu’Amélie. Y’a pas à dire, il avait de la moule ce Jonathan.

Lors d’une de nos parties, je l’avais prise par derrière et j’avais appuyé mon noeud sur le fion, comme pour le faire entrer. Mais elle s’était dégagée d’un coup de reins, sans rien dire. Je m’étais fini entre ses seins, ce que je ne faisais jamais d’habitude. Elle avait laissé faire sans commentaire, mais avait vite pris une serviette pour s’essuyer dès que j’avais terminé et elle était aller se doucher. Elle n’avait pas l’air d’avoir apprécié. Lui poser la question aurait été le plus simple, seulement on n’avait jamais parlé de sexe et j’avais peur de la trouver encore plus coincée que je ne pensais.

Mais, vu ses efforts au pieu, j’avais quand même un peu mauvaise conscience de la laisser pour la demie-finale. Elle en avait profiter pour inviter des copines me recommandant amoureusement de prendre mon temps.

Ça, mon temps, j’allais le prendre… et mon pied avec !

A suivre

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