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Mensonge & Cie – Chapitre 1

Mensonge & Cie - Chapitre 1



Monsieur Guillet, ravi de pouvoir enfin vous rencontrer.

Moi aussi. C’est un plaisir de pouvoir candidater à ce poste. J’attends vos questions, mais avant je voudrais dire que Voréal est une entreprise exemplaire et en entrant dans cette société je pense pouvoir apporter…

Woh ! woh ! woh ! Je vois que vous avez préparé votre speech, Monsieur Guillet. Mais même s’il est brillant, il est inutile de perdre votre temps à me le réciter.

Euh… vraiment ?

Mais oui, nous vous connaissons, Monsieur Guillet. Vous êtes actuellement employé chez Huillez & cie. Une belle entreprise. Nous avons même fait affaire avec eux, je crois que vous le savez.

Eh bien oui, c’est possible. Mais je ne m’occupais pas des relations clients à ce moment alors…

Oh si, Monsieur Guillet. C’est même vous qui avez négocié un contrat qui a rapporté gros à votre entreprise, et très peu pour nous.

Vous voulez parler des produits Factol ? C’est vrai que j’ai en entendu parler.

Ne soyez pas modeste. Vous nous avez vendu pour 100 k de produit qui en réalité ne valait presque rien.

Vous le niez ?

Bon, très bien. C’est vrai. Je vous ai niqué. Et j’ai pris une énorme commission dessus. Et si vous espérez me faire chanter à propos de cette commission, laissez tomber. Le boss est au courant, et il est ravi de toute la tune que je lui ai rapportée.

Nous ne voulons pas vous faire chanter.

Alors qu’est-ce que vous voulez ? Si vous savez déjà comment je vous ai enflé, c’est que je ne suis pas ici pour me faire embaucher. Alors, arrêtez de jouer au plus fin et…

Mais nous voulons vraiment vous embaucher, Monsieur Guillet. En fait, c’est précisément grâce à la manière dont vous nous avez entre guillemets enflé que nous vous voulons. Vous avez effectué l’opération de véritable main de maître. Nous n’avons aucun moyen de poursuivre en justice l’entreprise Huillez & cie. Et puis, entre nous, 100 k pour Voréal, c’est peanuts. On ne vous en garde pas rancune.

Alors vous voulez m’embaucher parce que…

Parce que vous êtes un serpent, vous savez manipuler les gens, tordre les contrats, vous êtes précieux, Monsieur Guillet.

Merci, je suppose… Alors comme poste vous proposez de…

Un instant Monsieur Guillet, nous voulons vous embaucher, certes… Mais nous avons quelques autres candidats au moins aussi doués que vous.

Alors finalement, vous le voulez mon speech d’embauche ?

Non, comme je vous l’ai dit, nous savons déjà quelles sont vos compétences. Ce que nous voulons connaître, c’est si vous êtes meilleurs que les autres postulants.

Mmm, et comment comptez-vous savoir ça.

Par un petit concours. Vous allez voir, c’est très drôle, et tout à fait dans le cadre de vos talents. Vous allez devoir vous taper la femme de votre concurrent.

Pardon ?

Vous m’avez très bien compris. Ne trouvez-vous pas ça drôle ? C’est une idée de notre patronne… Et puis c’est une petite revanche sur le fait que vous nous ayez entre guillemets entubé sur les produits Factol.

Vous vous doutez bien que je vais refuser.

Le poste est à 100k mensuel.

Ah.

Et que vous refusiez ou non, votre concurrent obtiendra le poste s’il baise votre femme.

Je vois, et si nous réussissons tous les deux ?

Alors aucun de vous n’aura le poste. Nous avons quatre candidats en tout, et si vous remportez ce premier duel, vous devrez encore affronter la gagnante de l’autre concours. Quoi qu’il en soit, je vous recevrai vous et Monsieur Portini à la fin de la semaine à seize heures. Vous devrez avoir une preuve vidéo de votre réussite. Et voici le dossier de Monsieur Portini, il y a son identité, sa photo, son adresse… À vous de vous occuper du reste.

Je quittais le siège de Voréal complètement désarçonné. Dans quel guêpier m’étais-je fourré ? Je suppose que mon concurrent, Monsieur Portini devait être aussi perplexe que moi.

Est-ce que je devais prévenir ma femme ? Et comment lui expliquer que je devais la tromper si je voulais gagner ? C’était vraiment un enfer cette histoire, j’aurais sans doute dû refuser. Partir pour une semaine en vacance avec elle. Peut-être n’était-il pas trop tard, si je prenais un billet d’avion avant de rentrer et…

Mais non. C’était l’occasion de montrer ce que j’étais capable. Il fallait agir vite, efficacement, et être victorieux. Le tout était de mettre au point une stratégie gagnante.

****

Le soir même, je me garais juste devant la maison de mon concurrent. Une jolie bicoque, mais qui semblait avoir besoin de travaux. Il était facile de deviner que mon adversaire serait prêt à prendre des risques pour obtenir un poste aussi grassement rémunéré.

Je sonnais et trente secondes plus tard une femme vint ouvrir.

Bonjour ?

La femme était une jeune noire élancée avec une superbe chevelure frisée, j’avais déjà vu son visage sur internet après avoir enquêté sur le couple Portini. Elle devait se prénommer Joséphine, elle avait 28 ans, des yeux gris-vert et un sourire ravissant quand elle posait. Elle était mariée depuis 4 ans avec Hervé Portini et d’après quelques messages sur Facebook ils semblaient merveilleusement bien s’entendre.

Et c’était cette femme que j’étais censé baiser.

Bonjour Madame, je pourrais parler à Monsieur Portini ? je crois qu’il m’attend.

Elle n’eut même pas le temps de l’appeler ou de me questionner plus avant que Monsieur Portini apparaissait sur le seuil.

Il était visiblement stressé, et lorsqu’il me vit, il eut une sorte de choc. Je pouvais facilement imaginer ce qu’il éprouvait. Toute cette histoire d’épreuve pour obtenir un poste semblait sortir d’un film de science-fiction dystopique. Et voilà que moi, son redoutable compétiteur, j’apparaissais sur le seuil de sa maison…

C’est vous !

Euh oui… Monsieur Portini, appelez-moi Jérôme et voici ma femme Élodie.

Votre femme !

J’aimerais avoir un entretien privé avec vous si c’était possible.

Un entretien ? Euh… oui pourquoi pas. Ici ? Non dehors ! Ce sera mieux dehors. Chérie, je reviens très vite. Monsieur Guillet est un vieil ami et… enfin tu vois…

Fait comme tu veux… »

Sa femme semblait pour le moins perplexe par ce qu’elle venait d’entendre. J’attendis que Monsieur Portini se prépare puis nous allâmes dans un bar du quartier pour discuter un peu de la situation. Pendant ce temps, Élodie et Joséphine papotaient dans la maison des Portini en buvant elles aussi un petit verre.

Vous voyez, Monsieur Portini, ma femme et moi nous nous sommes concertés. Elle sait tout du concours. Et je regrette d’y avoir participé, j’ai été pris par surprise lors de l’entretien d’embauche. Je suis sûr que vous pensez la même chose. Donc, plutôt que d’attendre une semaine en étant angoissé, je pense qu’on peut conclure un pacte. Nous renonçons tous les deux à poursuivre cette compétition absurde.

Mais si on abandonne, personne n’aura le poste. Et est-ce que vous ne dites pas ça parce que vous doutez de la fidélité de votre femme ? Moi je ne suis pas angoissé, jamais Joséphine ne coucherait avec un autre homme. Surtout avec un homme de plus de quarante ans…

Il était grossier, mais il marquait un point. Séduire sa femme de but en blanc, je doutais d’y arriver, j’étais beaucoup plus âgé qu’elle et depuis quelques années j’avais pris un peu d’embonpoint. Et la vérité était que je n’avais pas non plus une confiance aveugle en la fidélité de ma femme. Alors je ne pensais pas qu’elle m’ait encore trompé, mais je l’avais séduit relativement facilement avant notre mariage. Et quand je me montrais moins attentionné à son égard, elle ne manquait pas de me faire des reproches. Pourrait-elle coucher avec un homme si celui-ci se montrait aussi séducteur que moi ? Ou même plus ? J’aurais aimé dire que non, mais je n’en aurais pas mis ma main au feu.

Écouter, est-ce vraiment la peine de vouloir ce poste à ce point ? Détruire nos couples pour un simple job ? Non, c’est aberrant. Et puis si vous voulez mon avis, c’est un piège.

Un piège ?

Oui, est-ce qu’ils embaucheraient des débauchés ? Des types trompant leur femme juste pour du fric ? Quelle confiance pourraient-ils avoir en nous ?

Vous marquez un pont.

Moi, si un mec trompe sa femme, vous pouvez être sûr que je ne lui donne pas les clefs de la maison… Alors voilà, je vous propose un marché. Nous ne nous mettrons pas de bâtons dans les roues et l’on se montrera respectueux de la femme de l’autre. Au fait, vous n’avez sans doute rien dit à votre femme ? »

Le type rougit un peu. Je savais qu’il ne lui avait rien dit, puisqu’il voulait qu’on se parle à l’extérieur. Et il avait clairement honte que j’ai fait preuve de plus d’honnêteté que lui envers mon épouse.

Non…

Alors ne lui dites rien et je ne lui dirais rien. De toute façon, je pense qu’aujourd’hui est la première et dernière fois qu’on se voit.

Sans doute. OK, je marche avec vous.

Alors voilà, comme on dit : Adieu !

Hé hé, adieu !

Et sur ces bonnes paroles, nous nous séparâmes.

***

Les choses auraient pu en rester là. Mais il faut croire que, derrière son caractère de pleutre, Monsieur Portini était un retors. Deux jours plus tard je recevais un appel de sa part :

Monsieur Guillet ?

Oui.

Votre femme, Élodie, ne vous a encore rien dit ?

Me dire quoi ?

Que je l’ai baisée ! Ah ahah ! Je l’ai baisée quelques heures après vous avoir vu ! Alors espèce de tocard, qu’est-ce que tu dis de ça ?

Ma femme… Vous mentez ! Jamais elle n’aurait fait ça.

Vous ne me croyez pas ? Pourtant rien de plus facile à prouver. Elle était ravie de se faire filmer pendant l’acte, vous avez une adresse e-mail ?

Je lui donnais. Aussitôt un fichier vidéo me parvint, je l’ouvris.

On y voyait en effet Élodie et ce sale con de Portini. La scène devait avoir été prise dans un hôtel. Élodie avait le cul cambré pendant que mon concurrent enfonçait sa queue bien raide dans sa chatte. Il lui tenait les épaules et donnait de petits coups secs, comme un lapin en train de sauter sa femelle. Élodie criait : « baise-moi ! » « Fourre-moi, j’en ai marre de mon mari. Il n’a aucune imagination, toi tu me prends comme une chienne, j’aime ça. »

Portini ne se gênait pour lui répondre : « Oh oui, ça fait longtemps qu’on t’a pas bien baisé à fond, hein… Mais avec moi, tu vas vraiment jouir. Je vais te bourrer comme une salope. »

Élodie avait une expression de joie sur son visage, elle avait vraiment l’air de prendre son pied à se faire tringler. Elle n’avait aucune honte, la queue de mon concurrent s’enfonçait avec une cadence redoublée dans son con et j’entendais les halètements devenir de plus en plus forts. Je pouvais voir les magnifiques seins d’Élodie ballotter en rythme des coups de boutoir qu’elle recevait. « Oh, Hervé, c’est trop bon ! »

Je serais les dents et criais de rage : « Salaud ! Espèce d’enflure, tu ne l’emporteras pas au paradis !

Allons, c’est juste un jeu, Jérôme. Et vous avez perdu… Vous étiez face à plus fort que vous.

Enfoiré.

Et puis avoir une femme de vingt ans moins que vous, c’est pas raisonnable. Elle avait besoin d’une queue de son âge pour lui pilonner la chatte…

Vous aviez promis d’abandonner. Vous n’avez aucun honneur !

Allons, maintenant vous devenez idiot. Je n’allais pas vous dire que j’allais baiser votre femme devant vous, ça n’aurait pas été… poli. Quoi qu’il en soit, je ne crois pas qu’il soit utile que vous veniez la semaine prochaine pour assister au résultat du concours. Alors cette fois, adieu Jérôme, et pour de bon… Oh, comme je n’ai pas mis de préservatif, je vous ai peut-être laissé un souvenir qui va grossir dans les neuf mois qui viennent, ha ha ha ! »

L’ordure raccrocha.

Mais la semaine suivante j’étais tout de même là, au siège social de Voréal. Je vis que Monsieur Portini qui attendait dans le hall avoir un peu peur en me voyant arriver. Il craignait que je sois venu pour lui casser la gueule. Mais il y avait un agent de sécurité pas loin et ça le rassura, il se rengorgea même :

Alors cocu, tu veux voir à nouveau comment j’ai tringlé ta femme ? Je suis sûr que le DRH va trouver que je suis un sacré morceau, t’as regardé la vidéo jusqu’au bout ? T’as dû entendre comme ton épouse a beuglé quand je l’ai fait jouir…

Je ne répondais rien, ce type me répugnait.

Lorsque le DRH nous fit entrer dans son bureau, Monsieur Portini lui donna immédiatement sa clef USB. Et il ne put manquer de se vanter encore. « Vous savez, Jérôme a voulu qu’on abandonne la partie… Vous le croyez ça ? Quelle larve… »

La vidéo où il baisait Élodie fut affichée en plein écran sur l’écran du DRH. Il commentait en même temps la façon dont il s’y était pris :

Je ne veux pas trop me vanter… ça été facile de la convaincre. Quand je suis rentré chez moi, après qu’on ait papoté ensemble au café, ma femme m’a dit que ton couple ne tenait plus trop la route. Tu l’exploitais, elle fait tout le ménage, le repassage, la cuisine… Alors elle en avait un peu marre de toi. Cela dit, chez moi aussi, c’est ma femme qui fait tout le travail de larbin, alors je te jette pas la pierre. Mais, avant de partir, j’ai donné discrètement mon 06 à ta femme, et c’est elle qui m’a rappelé. Elle voulait savoir ce qu’on s’était dit, alors je l’ai invité dans un bar pour en parler… Et puis après quelques verres de vin, et avec mon talent de joli cur, hop à l’hôtel et ni une, ni deux, j’t’encule !

Il finissait de parler quand la vidéo s’arrêta. Le DRH resta songeur puis finit par déclarer : « Intéressant, et vous, Monsieur Guillet, avez-vous une vidéo à me montrer ? »

Je lui donnais une clef usb.

Je vis la figure de Portini perdre de sa superbe. Pour se rassurer, il déclara : « C’est quoi ? toi en train de chialer parce que j’ai volé ta femme ? T’espères prendre la place par la pitié… Tss… t’es pathétique. »

Sur la clef usb, il n’y avait qu’un fichier vidéo. Le DRH la lança :

On voyait Joséphine chez elle, moi à côté d’elle. Elle pleurait, elle était en train de regarder une vidéo, au bruit qu’on entendait on pouvait deviner que c’était la vidéo de Portini en train de baiser Élodie. Entre deux sanglots elle déclara :

Comment il a osé faire ça… me tromper. Quelle ordure ! C’était ça, sa réunion d’hier… Lui et votre femme dans cette chambre d’hôtel sordide.

Je l’ai mérité, je n’étais pas assez bien pour elle, répondais-je.

C’est un salaud.

Peut-être, mais si je m’étais mieux comporté avec elle, jamais elle n’aurait fait ça. Je la laissais tout faire à la maison, je n’étais pas digne d’elle.

Mais ce con me laisse tout faire aussi.

En tout cas, c’est une bonne leçon en ce qui me concerne. Maintenant, je serais aux petits soins pour ma femme.

Elle vous trompe et c’est tout ce que vous trouvez à dire !

Je ne vais pas faire quelque chose de stupide, comme la tromper juste pour me venger. Je vais tirer une leçon positive de cette histoire.

Une leçon positive ? Vous avez peut-être à vous faire pardonner, mais moi !? Ce salaud me trompe et en plus il se comporte comme un goujat avec moi !

Je comprends, mais c’est pas mon problème. Je voulais juste vous informer.

Vous vous foutez de ma gueule ! Vous me balancez ça, et c’est avec votre femme qu’il m’a trompé. Tout ça, c’est votre faute ! C’est votre problème aussi !

OK, c’est ma faute si ça vous fait plaisir. Mais c’est pas à moi de régler vos problèmes de couple. Chacun sa merde… Moi je pense que ça peut renforcer mon couple, je vais voir Élodie, et lui pardonner. Et je lui demanderais de me pardonner aussi. Nous avons chacun nos torts.

Non, c’est trop facile ! Vous ne vous en sortirez pas comme ça. Vous voulez reprendre votre vie pépère après avoir foutu votre merde dans la mienne. Oh non ! Hors de question !

Allons, soyez raisonnable. Ne piquez pas votre crise d’hystérique…

MA CRISE D’HYSTERIQUE !!!!

Ce que vous devez faire est évident, faites comme moi. Pardonnez à Hervé et reprenez votre vie comme avant.

Ah oui ? Vous savez ce que MOI je dois faire. Ce que je vais faire c’est lui rendre coup pour coup, s’il m’a trompé moi aussi je vais le tromper. Oh non ! je ne vais pas reprendre ma vie comme avant !

Bon, je vois que vous êtes énervé, alors quoi que vous décidiez cela ne me concerne pas.

Mon petit salaud, tu vas rester ici. C’est ta faute tout ça, alors on va baiser et après si j’en ai envie j’enverrais une vidéo à ta femme pour lui montrer ce qu’on a fait.

Vous pouvez pas faire ça…

Oh si.

Je préfère partir…

On me voyait tenter de quitter le domicile, mais Joséphine me barrait la route. J’essayais de l’écarter mollement, mais elle résistait et se mit à retirer ma ceinture et à baisser mon pantalon. Je proteste :

Joséphine, ne faites pas ça ! Je veux me réconcilier avec ma femme… je… Oooh.

Joséphine avait ma queue dans sa bouche. On la voyait me pomper avec entrain. Quand la femme de Portini eut son attention concentrée sur ma queue pour la sucer à fond, on me vit faire un gros doigt d’honneur en direction de l’écran, à l’attention de mon compétiteur.

Portini se mit à virer à l’écarlate. Devant le DRH il essayait encore de se contenir, mais se fut de plus en plus dur. Après avoir été pompé avec ardeur, ma queue bien enfoncée dans sa gorge, elle se releva. Son visage avait perdu son expression de colère pour prendre celui d’une femme déterminée à aller jusqu’au bout de son idée. Et son idée était que je la nique. Je lui dis avec le ton d’un mari honnête et fidèle :

Il ne faut pas, ma femme, elle va…

Montre que t’es un homme, baise-moi sur la table.

Elle se dirigea effectivement sur la table du salon, faisant tomber un à un ses vêtements jusqu’à ne plus porter que sa petite culotte. Elle posa un téléphone de manière à pouvoir enregistrer la scène qui allait suivre, ignorant que j’enregistrais déjà tout avec le mien. Je m’approchais d’elle. J’enfonçais ma main dans sa culotte noire, je pouvais sentir qu’elle mouillait. La vengeance l’excitait terriblement. J’enfonçais deux doigts dans sa chatte, puis lui stimulait le clito.

Je lui dis alors : « Si tu veux que je te baise, ne dis rien à ton mari avant vendredi soir, tu promets ?

Comme tu veux. Maintenant, enfile-moi avec ta queue. »

Je fis glisser peu à peu sa culotte, quand elle fut retirée, je lui écartais les jambes. J’enfonçais ma queue dans sa fente, elle se mordit les lèvres. Je sentais qu’elle était vraiment chaude, je la baisais. Elle commença à gémir doucement puis de plus en plus bruyamment. Elle se pressa contre moi, collant ses seins sur ma poitrine. Elle m’embrassa, sa langue trouvant la mienne et commençant à jouer avec. Ses jambes étaient repliées sur ses fesses, elle effectuait des mouvements de bassins pour que je m’enfonce plus en elle. Elle voulait participer, montrer qu’elle trompait son mec avec enthousiasme.

Moi, j’avais développé une aversion pour Hubert, et je voulais lui montrer que je tringlais sa femme comme il avait tringlé Élodie, comme une chienne, en levrette. Je la fis quitter sa position pour la mettre le ventre contre la table. Je positionnais ma bite pour m’enfoncer dans sa chatte à nouveau. Sur l’écran de l’ordinateur, on pouvait voir que sa fente était humide, impatiente de se faire sauter.

Mon chibre accéléra son pilonnage par-derrière, elle se mit à crier. D’abord de simples interjections « Oh ! » « Ah ! » Puis se rappelant qu’elle voulait se venger de son mari elle hurla : « Hervé, quand tu verras ça, c’est la dernière fois que tu me verras nue. Je te quitte. »

Moi-même je lui laissais un message : « Salut Hervé, comme tu vois, je bourre ta femme. Elle est vraiment sensas. Dommage qu’elle veut plus de toi. »

Je prenais mon temps pour l’enfiler. Dans le bureau du recruteur, je regardais mon concurrent devenir violacé. Sa femme prenait maintenant un véritable plaisir à l’humilier :

Tu pourras toujours te branler avec cette vidéo, parce que dorénavant je vais me faire baiser par plein d’autres mecs, sale con !

Puis, ce fut moi qui criais et qui dans un dernier effort giclais ma dose de foutre dans son con. Je me retirais d’elle, me plaçant de façon à ce qu’Hervé ait une bonne vue de ma semence blanche coulant de la fente noire et trempée de sa femme.

Celui-ci serrait les poings et frappa le bureau :

Connard, j’avais couché avec ta femme, ce que t’as fait ne te donnera pas le poste. T’as rien gagné du tout ! rugit-il dans un effort pour garder sa fierté.

Puis il s’adressa au DRH avec un ton geignard :

J’ai couché avec sa femme avant, c’est à moi que revient le poste.

Je le méprisais encore plus. Il venait de voir sa femme se faire farcir par un autre homme, et il pensait encore à son job. Quel type pathétique. Je ne me sentais même pas coupable de ce que j’avais fait. Le DRH se racla la gorge et se sentit obligé de préciser :

En fait, Monsieur Portini, on vous voit bien vous accoupler avec une femme… Mais j’ai bien peur que ce ne soit pas l’épouse de Monsieur Guillet.

Hein ? comment ça ?! Elle est venue avec lui dans ma maison. Elle a parlé avec ma femme.

C’est là que j’intervins.

Oui, elle lui a expliqué que je l’exploitais, que je lui laissais faire toutes les corvées. De la même façon que vous vous exploitez votre femme. C’était une petite amorce pour qu’elle votre épouse vous en veuille dès le départ.

Mais j’ai quand même couché avec elle, votre femme, alors…

Mais Élodie n’est pas ma femme… C’est une prostituée que j’ai grassement payée pour interpréter ce rôle. Je lui ai même donné un supplément pour avoir si bien joué la comédie en prétendant prendre du plaisir avec vous.

Comment ?

D’ailleurs, c’est amusant que vous vous soyez vanté de l’avoir baisé sans protection, car à ce qu’elle m’a dit, elle avait un certain nombre de maladies hautement contagieuses. Il faudra sans doute que vous vous fassiez examiner au plus vite, Hervé.

C’est à ce moment qu’il se mit à éructer des monosyllabes et à se précipiter sur moi pour m’étrangler. Heureusement, le DRH fit immédiatement appeler un agent de sécurité qui parvint à maîtriser le forcené et à le jeter dehors. Une fois seul, il annonça la suite :

Très belle démonstration d’ingéniosité, Monsieur Guillet. Vous semblez être de taille pour le prochain affrontement…

A suivre…

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