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Mes charmantes voisines – Chapitre 1

Mes charmantes voisines - Chapitre 1



Présentation

Dans le quartier où jhabitais, petit quartier pavillonnaire de la région parisienne, tout le monde se connaissait et surtout, tous les voisins me connaissaient, mayant vu grandir près de chez eux.

Mon éducation était telle que dès mon plus jeune âge je disais bonjour et je faisais la bise à toutes mes voisines.

Quelques unes ont marqué mon adolescence, en plus de léducation très spéciale que je recevais par certaines personnes (Pierre, Jacqueline, Martine, Annick) certaines voisines mattiraient par leur physique ou tout simplement par leur gentillesse.

Je vais vous raconter comment certaines mont fait profiter de leur expérience en croyant me déniaiser, alors quelles ne faisaient que parfaire mon éducation.

Je ne commençais à regarder certaines voisines autrement que comme tel, après les premières vacances durant lesquelles Pierre et Martine puis plus tard Jacqueline et Annick commencèrent à faire mon éducation sexuelle. Cest durant le printemps qui suivi mes 16 ans quune de mes voisines qui avait perdu son mari lannée précédente « soccupa » de moi. Son mari et elle était originaire d’Italie, lui, une force de la nature, ouvrier du bâtiment à la retraite décéda dans sa 70 ème année.

Elle, plus jeune que lui de 5 ans, répondait au joli prénom de Valentina, de belles rondeurs, et depuis le décès de son mari, elle passait de nombreuses heures dans son jardin à soccuper de ses fleurs et du potager que son défunt mari entretenait avec amour plusieurs heures pas jour également. Elle était très souvent vêtue de blouses en nylon assez légère, ses formes se dessinaient parfaitement moulées par le nylon de ses blouses. Elle avait une poitrine assez forte et ses cuisses, que lon voyait émerger du bas de ses blouses étaient un peu grasses. Dès quelle sortait dans son jardin, elle portait des claquettes et était toujours pieds nus dedans.

Puis une seconde voisine perdit également son époux quelques mois plus tard, celle-ci se prénommait Andrée et était très sophistiquée, un mari ingénieur qui lui laissait une confortable retraite, une maison avec un beau morceau de terrain recouvert de pelouse au milieu de laquelle son époux avait créé de petits parterres de fleurs.

Toujours tirée à 4 épingles, Andrée allait régulièrement chez le coiffeur et shabillait toujours avec goût. Elle portait toujours des robes qui se boutonnaient sur le devant, et malgré son veuvage, ses robes étaient toujours de couleurs vives et, tout du moins je le trouvais, la moulait parfaitement. Dans la rue, sa réputation nétait pas très bonne, elle passait pour quelquun imbue de sa personne et étalant ostensiblement ses moyens aux yeux de qui voulait bien lécouter. Les gens jasaient et après le décès de son époux qui avait 10 ans de plus quelle, les ragots allèrent bon train sur sa façon de shabiller que les voisins trouvaient passablement vulgaire, alors que moi jaimais bien, je la trouvais très belle, malgré son âge, dans ses robes qui la mettaient en valeur et surtout soulignaient des courbes que jadorais regarder à la dérober dès que jen avais loccasion.

Puis trois ans plus tard, deux nouvelles voisines me firent connaître le bonheur, par contre elles étaient mariés et pas vraiment heureuses, mais jai comblé, dans tous les sens du terme, la solitude dans laquelle elles étaient.

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