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Mes premiers émois avec mon père – Chapitre 1

Mes premiers émois avec mon père - Chapitre 1



Cette histoire commence l’année de mes seize ans ; je suis sensible aux filles, leurs formes et leurs parfums depuis quelques temps déjà. Au cours de ma quatorzième année je découvre cependant de nouvelles émotions en regardant les hommes. Cela commence dans les vestiaires avant et après les cours déducation physique. Il y a des garçons dont les corps sont plus matures que le mien. Je suis plus petit que la moyenne, je suis plutôt frêle et je nai pas du tout de poils. Les corps que jobserve sont musclés et poilus. Surtout autour des sexes très développés. Je trouve les sexes des autres plus longs et plus épais que le mien.

Les soirs après ces premières observations je ne pense plus aux filles, je ne pense quà ces corps de garçons qui sont pour moi des corps dhommes. Je ne peux mempêcher de me masturber frénétiquement en pensant aux corps que jai observés dans la journée et repenser aux muscles, aux poils, aux sexes que jimagine en érection.

Mes observations vont continuer et bien évidemment un des garçons va un jour me surprendre les yeux rivés sur son entrejambes. Il sappelait Philippe, il avait un physique quasiment dadulte, très poilus avec un sexe qui me paraissait énorme. Quand jai levé les yeux de son sexe il me regardait mais il na rien dit. Nous rentrions du gymnase au collège à pied. En sortant des vestiaires Philippe me dit discrètement de rester à côté de lui. Nous nous mettons en rang par deux et Philippe nous fait mettre au dernier rang. Je reste à côté de lui et il ralentit pour nous éloigner un peu de la colonne. Et il me dit :

« Quest-ce que tu regardais dans les vestiaires ? »

Je ne réponds pas

« Tu regardais ma queue »

Je ne réponds pas

« Si tu ne me réponds pas je le dis à toute la classe et on va tous se foutre de ta gueule »

Je suis affolé à lidée que tout le monde sache ce que jai regardé dans ce vestiaire et je décide de répondre. Mais comme je ne sais pas mentir, je décide de dire la vérité.

« Oui Philippe, je regardais ton sexe . »

« Tu sais comment on appelle les mecs qui mate les autres mecs à poils ? »

« Non »

« Des pd, des tapettes »

« Je ne suis pas un pd »

« Je sais depuis toujours que tu en es une »

« Une quoi ? »

« Une tapette »

« Alors si tu veux que je me taise tu téloignes de moi et tu ne me regardes plus ni à poils ni habillé, compris tapette ? »

« Oui Philippe »

Jai rejoint le groupe et je napprochai plus Philippe. La peur que jai eue à ce moment là, quil parle aux autres, était infondée. Lavenir me la montré.

Ce court dialogue ma troublé. Jai très peur que Philippe raconte à tout le monde que je suis un pd, mais je me surprend moi-même à ne pas être offusqué par les mots quil a utilisés à mon encontre.

Le soir chez moi je nétais pas très bien. Je ressentais un mélange de trouble de honte de gêne et paradoxalement une sensation dapaisement. Ma mère le soir sen aperçu et me questionna.

« ça ne va pas mon grand ?»

« Tout va bien maman »

« Mon chéri quand tu me réponds comme cela cest que ça ne va pas »

« Mais si maman, ça va très bien »

Le repas se passe. Je vais regarder la télé avec mon père dans le salon ma mère reste dans la cuisine. Dans le salon je suis en face de mon père et je le regarde comme jamais je ne lai regardé. Mon père na jamais été proche de moi. Jai toujours eu limpression quil me déconsidérait, quil me rejetait. Je le craignais, jen avais un peu peur. On ne se parlait que rarement.

Je lobserve et je ne vois pas que mon père, je vois un homme. Et je ne peux empêcher mes yeux de sorienter sur son entre jambes. Je reste un moment le regard figé sur cette partie de lhomme qui est assis devant moi. Au bout dun moment je lève les yeux, mon père était en train de me regarder. Il se remet à regarder la télé comme sil navait rien remarqué et me dit :

« Alors Eric quest-ce qui ne va pas tu nas pas lair en forme »

Je reste silencieux.

« Tu sais tu peux tout me dire à moi.. »

Je suis étonné de la proximité quil semble vouloir établir avec moi. Il na jamais fait cela.

Ça me réchauffe le cur Je me sens un peu rassuré mais que lui répondre ? . Je me décide à me confier un peu à mon père.

« Papa, tu sais le grand de ma classe, Philippe, il ma dit que jétais un pd et une tapette »

« Mais pour quoi cela Eric ? » Il avait lair de me le reprocher.

« Je ne sais pas papa »

« Si il recommence dis moi le, OK, jirai voir ce grand imbécile »

Je ne voulais surtout pas quil aille voir Philippe. Notre dialogue sest arrêté là.

Quelques jours après à la sortie dun cours Philippe me dit doucement « à la fin du prochain cours reste dans la salle jai quelque chose à te dire »

A la fin du cours suivant nous voilà seuls. Il sapproche de moi.

« Alors petit pd tu continue de mater des queues ? »

« Non pas du tout »

« Tu mens comme une fille »

Je rougis, je suis gêné.

« Je sais que tu es un pd, la preuve, je te traite de pd et tu ne dis rien. Je suis sûr que je te mettrai la main au cul comme on le fait aux filles, tu ne dirais rien »

Je rougis je ne dis rien. La situation est honteuse pour moi.

« Tourne toi tapette »

Malgré moi jobéis. Je porte un djinn assez serré qui moule bien mes fesses. Une fois le dos tourné je sens une main se poser sur une de mes fesses.

« Alors, Eric, tu la sens ma main ? »

Il me pétrie la fesse gauche. Je ne réponds pas.

« Tu me réponds tapette ? »

« Oui Philippe »

« Oui quoi ? »

« Oui Philippe je sens ta main »

« Et tu ne dis rien ? »

« Non Philippe »

Je me sens humilié, jai honte mais je me laisse faire.

« Il ny a que les pd qui aiment quon leur touche le cul tu le sais ?

« Non Philippe »

« He bien tu es un pd » me dit-il tout en me malaxant les fesses. Javais limpression à ce moment là que je dépendais de lui, je lui étais soumis. Il me tripotait les fesses et je me laissais faire sans rien dire. Je me sentais humilié. Au bout dun moment il arrête de me tripoter sen va et me dit : « on se reverra petit pd »

Je quitte aussi la salle de classe, je suis troublé, jai peur que quelquun nous ai vu je sens que mes émotions changent. Jai aimé cette main sur mes fesses, ses caresses, jai aussi aimé la façon dont il ma parlé, cela ma excité.

Les jours passent. Je me sens troublé par les hommes surtout les vrais hommes adultes bien bâtis poilus. Je les regarde, je mate leur entre-jambe en essayant de deviner ce qui sy cache. Le soir dans mon lit je ne me masturbe quen pensant aux hommes que jai croisé.

Un soir devant la télé, je suis seul avec mon père je regarde la télé mais je le mate aussi et je crois quil sen aperçoit.

« Eric, ton copain de classe qui ta embêté. Tu ne men as plus reparlé il a arrêté de tembêter ? »

Jhésite à parler mais jen ai envie, juste pour me libérer de ce qui marrive. Jai envie de me livrer à mon père et je vais le faire

« Non, papa, il continue. »

« Qua-t-il fait ??? »

« Il me dit que je suis un pd et il ma tripoté les fesses. »

Mon père me regarde étonné le regard interrogateur.

« Et quas tu fait Eric ? » toujours sur un ton suspicieux.

« Rien »

« Tu tai laissé toucher le cul par un mec et tu nas rien dit ???? »

Ce mot vulgaire utilisé par mon père me surprend et me plait.

« Non papa »

« Tu avais peur de lui, cest pour ça que tu nas rien dit ? »

« Non, papa je navais pas peur »

« Ne me dit pas que ça ta plu »

Je ne réponds et je mate son entrejambes. Il me regarde je ne réponds pas et il me dit doucement pour ne pas que ma mère qui vient de se coucher nous entende :

«Tu peux tout me dire, Eric, quand il ta caresser les fesses ça ta plu ? »

« Je ne sais pas papa »

« Eric, si un homme gentil te proposait de te caresser les fesses sans que personne le sache tu accepterais ? tu aimerais ???? »

Je sens que mon père veut se rapprocher affectivement de moi. Il est attentif, chaleureux. Sa question ma excité. Je veux être sincère avec mon père je ne veux pas lui mentir. Je veux faire durer cette proximité qui a commencée.

« Oui papa »

« Tu sais que ce sont les femmes qui aiment que les hommes leur touche les fesses »

Je ne réponds pas. Je mate lentrejambe de mon père et je vois quil bande. Je me dis que je peux être sincère avec lui, ce que je lui dis ne le dégoutte pas comme jaurais pu le craindre.

Il me dit « approche toi Eric. Viens »

Je me met debout devant lui, il me place de profil, je suis en djinn et sweatshirt il me regarde. Et me dit :

« Jai toujours penser que tu étais un garçon étrange et ce que tu viens me dire ne métonne pas je savais quun jour ça arriverait »

Je ne sais quoi répondre.

« ça te plairait que je te touche les fesses ? »

Je suis étonné et soulagé. Je sais que mon père me comprend.

« Oui papa »

Il se lève de son fauteuil, se penche pour me parler doucement dans loreille « il faut que personne sache tout ça Eric, ok ? »

« Oui papa cest notre secret »

Il pose une main sur mes fesses et me les caresse. Cest agréable. Je me sens en sécurité Il continue de me parler doucement dans mon oreille :

« ça te plait ? »

« Oui papa »

« Tu veux que jarrête ? »

« Non »

« Il te disait quoi Philippe quand il te tripotait ? »

« Il me disait que je suis un pd et une tapette »

« Et ça ta fait quoi dentendre ça ? »

« Au début je me suis sentie honteux »

« Et après ? »

« Je navais plus honte »

« Tu veux que je te le dise aussi ?»

Je suis étonné de la question. Je me suis dit que si mon père me le disait ça me plairait peut-être vraiment.

« Oui papa dis moi le »

« ça te plait de te faire toucher le cul petit pd ? »

« Oui papa ça me plait beaucoup, ça mexcite »

Ma queue est tendue au maximum. Mes pensées divaguent sous les caresses appuyées de mon père.

« Tu vois Eric je pense que tu es une vrai petite tapette et je le pense depuis longtemps ? Regarde te faire toucher le cul te fait bander »

Je ne réponds pas. Mais ce que me dit mon père est vrai et me plait.

« Tu préfères être traité de petit pd ou de petite tapette ? »

Il narrête pas de me malaxer fortement les fesses il me retient de lautre main sur ma poitrine.

« Je préfère tapette »

« Parle doucement il ne faut pas quon nous entende. Cest notre secret ok tapette ? »

« Oui papa » Ce que me dit mon père mexcite.

«Maintenant tu vas aller te mettre en pyjama et tu reviens me voir ok ? »

« Ok papa, je reviens »

Je suis très excité, cette situation inédite pour moi était inespérée je suis avec un homme adulte, en sécurité puisque cest mon père. Il me laisse le choix de continuer ou darrêter. Tout cela fait que je me sens bien.

Je reviens voir mon père en pyjama en éponge assez moulant.

Mon père : « cest bien tapette. Mon chéri si je tappelle tapette il va falloir que je te parle au féminin. Parce que tapette cest féminin. Ça ne te gêne pas »

« Non papa pas du tout »

« Alors maintenant tu es ma chérie petite tapette »

Il recommence à me tripoter les fesses et je sens beaucoup mieux sa main et ses caresses à travers la fine éponge de mon pyjama. Je me surprends à me cambrer pour appuyer mes fesses sur la main qui me caresse.

Tout en me laissant caresser par mon père je le mate et me rend compte que son pantalon est déformé par sa queue bandée qui me paraît énorme. Il me voit le regarder.

« ça fait longtemps que tu mates ma queue hein tapette »

« Oui papa »

« Tu as vu dans quel état tu me mets. Regarde comme elle est dure »

Il me prend une main et la pose sur sa queue bandée. Je la prend en main je la serre, elle est très dure et chaude. Je suis excité comme jamais.

« Tu sens comme elle est dure ma tapette chérie ? »

« Oui papa elle est très dure. »

« Ma chérie si tu veux la voir je te la montrerai. »

Mon père me parle non plus comme à un garçon mais comme à une fille je ne me comprends plus moi-même, cela non seulement ne me déplaît pas mais jaime sa façon de me parler. Je sens que le fait de me considérer comme une fille le rend beaucoup plus proche de moi et ça me plait.

Je continue de caresser sa queue tendue à travers le tissu de son pantalon.

« Tu as un très beau cul petite tapette, tu pourrais me le montrer. »

Le mot cul dans la bouche de mon père mexcite. Il parle de mon cul.

Je suis prêt à tout accepter de mon père je veux quil soit satisfait et content de moi.

« Oui papa je vais te le montrer »

Jarrête de caresser son sexe, je me dégage de ses mains, lui tourne le dos et baisse mon pantalon de pyjama juste au dessous de mes fesses et je remonte mon sweatshirt bien au dessus de mes reins. Je sens les mains de mon père se poser sur mes fesses mais cette fois sur la peau. Je sens sa peau sur la mienne. Mon excitation est extrême, jen gémis.

« Tu as un très très beau cul, je comprends que Philippe ai eu envie de jouer avec, tu as un cul magnifique. »

Ces compliments mexcitent énormément. Je suis fier de plaire à un homme mûr

« Tu aimes mes caresses petite tapette ? »

« Oui papa, jadore, merci »

« Tu sais ma chérie que tapette, même si ce mot te plait, cest une insulte. » me dit-il tout en malaxant mes fesses.

« Je sais papa. Mais ça me plait. »

« Tu aimes être insultée petite tapette ? »

« Oui papa je crois que oui »

« Tu veux que je tinsulte comme une fille? »

A force de me traiter ainsi je me découvre aimer être traitée comme une fille par mon père. Ma queue me fait mal tant je suis dur dexcitation.

« Oui papa »

Il sapproche de mon oreille et me chuchote tout en pétrissant mes fesses :

« ça te plairait que je te traite de salope »

Je suis très surpris par ce mot mais je veux lui plaire.

« Oui papa »

Et il me chuchote : « tu es une salope »

« Oui papa »

« Dis à ton père que tu es une salope »

Jhésite un moment, mon père ajoute :

« Dis-le ma chérie tu verras une fois que tu lauras dit tu te sentiras bien et ce ne sera plus tabou pour toi »

Je me sens humilié.

« Oui papa, je suis une salope »

« Répète-le tapette »

« Oui papa, je suis une salope »

Je suis surpris de sentir que non seulement je me libère mais que cest un aboutissement pour moi je suis heureux. Ou heureuse je ne sais plus

« Reprend ma queue en main salope »

Jobéis immédiatement, je prends en main son sexe dur et je fais des va-et-vient sur le tissu de son pantalon. Je me tourne pour regarder ma main en mouvement son sexe paraît énorme.

« Vas y salope branle-moi » me dit mon père en me pétrissant les fesses avec vigueur. Je sens son excitation montée. La mienne aussi. Mon père soccupe de moi, il me guide jobéis je me sens bien, en sécurité et aimé.

« Tu veux la voir ma queue ??? »

Mon père me propose ce sur quoi je fantasme depuis des mois.

« Oui papa montre la moi »

« Bon, met toi nue et assied toi. »

Je finis de me déshabiller et je massois nue sur le canapé. Je me sens bien nu devant mon père. Mon sexe est raide. Il se met face à moi, assez proche. Il défait sa ceinture, les boutons de sa braguette, écarte le pantalon qui glisse sur ses jambes. Je vois son slip blanc complètement déformé par la queue bandée. Une tâche apparaît sur le tissu au bout de sa queue. Je ne peux mempêcher de porter ma main à sa queue et de recommencer mes va-et-vient. Mon père me laisse faire. Son bassin avance pour appuyer sur ma main.

« Dis moi tapette regarde moi »

Je regarde mon père tout en continuant mes caresses. Son regard est doux et je le sens plein de compréhension à mon égard. Il na jamais eu autant dattention pour moi.

Il me dit doucement « ça te plait salope ? »

« Oui papa ça mexcite »

« Si tu me demandes de baisser mon slip je le ferai pour toi, mais si tu veux arrêter, on arrête là ma chérie »

Je suis hésitant. Jaime ce moment mais je sens que tout change pour moi et tout ce qui mentoure.

« Oui papa baisse ton slip sil te plait »

Ce quil fait immédiatement. Sa queue se détend dun coup, elle est proche de mon visage, pointe vers le haut, le gland est dégagé, elle est longue, épaisse, parcourue de veines. Elle sort dune forêt de poil qui lentoure et qui remonte sur son ventre. Ses couilles sont grosses mais beaucoup moins poilues. Jai peur et je suis en même temps fasciné. Lodeur qui se dégage de cette partie du corps de mon père, menvoute, me plait et mexcite. Jai envie que ce moment ne se termine pas. Je tends mes mains pour caresser sa toison noire et épaisse.

« Tu aimes les poils ma chérie ? »

« Oui papa, ils sont très épais et doux et jaime ton odeur »

« Vas y chérie amuse toi. »

Après lavoir caresser je prends en main sa queue. Elle est à la fois dure, douce, chaude et épaisse et je commence à le branler. Je suis très excité.

« Tu as déjà branler des hommes ? »

« Non, papa jamais »

« Alors tu es douée, on dirait que tu as toujours fais ça, hoooo tu es bonne tarrête pas continue salope »

Il me dit que je suis bonne, je ne comprends pas trop. Je sens mon père très excité, il se contracte. Je sens quil a envie de parler plus fort mais il se retient pour ne pas réveiller ma mère.

« Branle moi salope. Hmmmm »

Son gland est gluant de jus transparent qui afflue avec son excitation. Jaccélère mon mouvement tout en continuant de caresser ses couilles avec douceur.

« Tarrête pas salope, tu es trop bonne. Je vais jouir, je vais jouir »

Je le sens se tendre, son bassin s avance et un premier jet gicle de son gland et atterri sur mon visage. Je baisse sa queue et trois autres jets viennent sur ma poitrine.

« hooo salope tu es une super branleuse. Cest trop bon »

Son sperme dégage une forte odeur qui me plait et mexcite.

Les jets sarrêtent, mon père se calme. Jenlève le sperme que jai sur mon visage. Mon père le remarque et me dit :

« Tu en as de partout cochonne. Essuie toi ».

Il me passe un papier absorbant et jessuie ce liquide épais, poisseux, très odorant.

« Aller rhabille toi et va te coucher, et noublie pas cest notre secret, tout cela reste entre nous. Ok ? »

Il me passe une main dans les cheveux.

« Oui papa cest notre secret à nous »

Maintenant je sais que mon père maime.

Je remets mon pyjama et je vais dans ma chambre.

Je me branle tout de suite. Je suis trop excité je ne reviens pas de tout ce qui mest arrivé. Je suis passé dun statut de mateur dhommes plus ou moins discret sans aucune pratique sexuelle à un garçon traité comme une fille par mon père que jai branlé jusquà éjaculation. Jai aimé être traité comme une fille par mon père, jai même aimé être insulté, ça ma excité. Cest en pensant à tout cela que je me branle sous lodeur du sperme de mon père qui ne ma pas quittée je jouis et je mendort.

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