Je me présente, homme marié de 44a, je me travesti depuis plusieurs années en cachette.
L’été dernier ma femme a découvert mon secret et depuis, elle m’autorise des soirées ou je sort habillé en femme pour me balader. Cette complicité m’a permis de largement augmenté ma garde robe avec des tenues variées.
La soirée que je vais vous raconter à eu lieu après une journée de shopping avec ma femme. Je venais de m’acheter une petite jupe patineuse noire et un top en satin avec des sequins. Très pressée d’essayer mes nouveaux achats, je profitais de la nuit tombé pour revêtir ma nouvelle tenue agrémentée d’un string et d’un soutien gorge assorti. Le temps frisquet me fit hésiter entre les bas et un collant mais mon choix en cette fin d’hiver se porta sur un collant noir. Après l’ajustement de ma perruque et une touche de parfum féminin, je prenais la voiture direction mon petit lieu de balade que je connaissais maintenant par cur et que même de nuit je pouvais parcourir en talon sans risquer de me tordre les chevilles.
Cela faisait bien 15 min que je me promenais et je reprenais la direction de ma voiture pour prendre une cigarette, n’ayant pas de poche, je les avais laissée dans la voiture. Il me restait une 20 de mètres à parcourir lorsque j’aperçu à travers les arbres une voiture se garer près de la mienne. Je m’arrête immédiatement, n’ayant pas l’habitude qu’un véhicule vienne dans cet endroit isolé à cette heure de la nuit. Je pense à une personne égarée et décide de ne pas m’approcher et de rester à l’abri derrière les arbres. Plusieurs minutes passent et la voiture ne redémarre pas. Voila 30 min que j’attends et toujours aucun mouvement à l’horizon, je ne vais pas rester là toute la nuit. Je me dis que la personne a dû s’endormir sinon pourquoi venir ici et ne pas sortir, je n’avais pas vu de lumière depuis son arrivée.
Je me décide à rejoindre ma voiture, il faut bien que je rentre. Ma connaissance du coin m’aide a rejoindre le parking sans bruit mais voila le parking est gravillonné et là impossible d’avancer sans bruit avec mes talons de 9 cm. J’avance doucement sur la pointe des pieds, je suis presque rendue à ma voiture lorsque j’entends un bonsoir dans mon dos. Je suis stoppée net dans mon élan.
Bonsoir
Je me demandais quand vous alliez rejoindre votre voiture.
Je ne m’attendais pas a cela, je n’avais pas entendu la portière de la voiture ni vu de plafonnier s’allumer.
J’attendais que vous partiez, j’ai attendu et je vous pensais endormit
Non je vous attendais en fait.
Ah bon pourquoi ?
Je n’habite pas très loin et j’ai remarqué votre voiture passer régulièrement devant chez moi et faire le trajet dans l’autre sens environ 1heure après. Ayant vu la voiture ce soir et curieux j’ai décidé de venir voir et je me suis douté que c’était ici, il n’y a rien d’autre par ici que l’étang.
D’accord et maintenant que vous m’avez surpris et satisfait votre curiosité je vais vous laisser.
Je voulais pas vous chasser, si je vous gêne ce n’est pas ce que je souhaitais.
Je viens ici car c’est calme et qu’ainsi je suis sur de ne pas être vu maintenant c’est raté.
Ne soyez pas gêné, ici vous ne dérangé personne et vous faites ce que vous voulez.
Entre temps j’ouvre ma voiture pour attrapé mes cigarettes et la lumière des plafonniers m’éclaire.
C’est bien ce que j’avais cru apercevoir à la lumière de la lune, vous portez une jolie tenue.
Merci.
Mon malaise ne fait qu’augmenter et je ne sais pas comment réagir. Monter dans ma voiture et filer et ne jamais revenir ici. Continuer à discuter avec cet inconnu. Je suis parcouru par un frisson quand une bourrasque de vent frais traverse le parking.
Vous avez froid, il faut dire que vous n’êtes pas très couverte.
Ça va merci, juste un peu.
Si je peu me permettre, vous venez toujours ici habiller en femme.
Oui.
Ma cigarette fini, je me décide à prendre congé et rentrer chez moi le plus vite possible en me disant que je vais devoir me trouver un nouvel endroit pour mes sortis.
Je vais rentrer chez moi, au revoir.
Je n’avais pas fini ma phrase que je sens une main se refermer sur mon poignet.
Vous n’allez pas partir si vite.
Il m’attire vers lui, je suis maintenant coller à lui maintenu par une main puissante. J’essaye en vain de me dégager et plus je tire sur ma main et plus il resserre son emprise pour finir par me faire mal.
Lâchez-moi.
Soudain de son bras libre il me colle à lui, je ne peux plus bouger, son autre main libère mon poignet et se glisse sous ma jupe. Il me pétri les fesses. Son emprise est trop forte pour pouvoir me libérer et c’est impuissant que je laisse faire. Il essaye de s’insinuer entre mes fesses mais le collant l’en empêche, sa main se referme dessus et il le déchire. Il fouille maintenant l’intérieur de mon string son doigt cherchant mon intimité, plus je me débats et plus il serre, j’ai du mal à respirer tellement il m’enserre. Il se penche sur moi plaque ses lèvres sur les miennes, sa langue cherche à forcer les miennes, il fini par gagner et sa langue s’enroule autour de la mienne, je ferme les yeux, se baiser forcé me plait, lorsqu’il écarte ses lèvres, c’est moi qui me rapproche pour l’embrasser. Il détend son étreinte mais je reste collé à lui, sa main ayant enfin trouvé son chemin, nos langue se cherchant, je succombe.
Tu vois ma belle il ne fallait pas faire ta farouche.
Oui mais je …
Chut, viens
Je m’approche a nouveau de lui, c’est moi qui réclame un baiser, je laisse ses mains me caresser, prendre possession de mon corps. Je sens maintenant son sexe enflé contre mon ventre, je n’ai plu froid au contraire, je brule intérieurement.
Veux tu venir chez moi, nous somme à 2 min et nous y serons mieux.
Oui
Laisse ta voiture et monte
Il m’ouvre la portière, à peine installé, sa main caresse ma cuisse et remonte sous ma jupe.
Je suis désolé pour ton collant, si tu veux je te le paierais.
Ce n’est rien
Bon en route
Nous faisons à peine 2 km et il entre dans une petite allez. Sa maison est en effet en bordure de la petite et est la dernière avant l’étang. Je passe forcément devant et volet ouvert il ne pouvait que me voire passer.
Entres, tu veux boire quelque chose.
Un verre d’eau merci.
C’est une petite maison de campagne, la déco est assez récente et je vois enfin mon hôte en pleine lumière. Brun, un bon mètre 95, je comprends à la vue de l’imposante main qui me tend un verre d’eau la force de l’emprise. Je souris, remercie pour le verre et le vide d’une traite pour abreuver ma gorge desséchée.
Installe-toi.
Je prends place dans le canapé et il m’y rejoint immédiatement et reprend ses caresses sur mes cuisses, je me penche pour l’embrasser de nouveau. Nos langues se mélange, sa main caresse mon sexe. Il le quitte pour me prendre la main et la poser sur son entre jambe. Je commence doucement a caresser son sexe à travers son survêtement, son sexe enfle.
Déshabille-moi tout de suite.
Je m’exécute faisant glisser son survêt ainsi que son slip à ses pieds, son sexe m’apparait enfin, long, épais, puissant.
Il te plait, tu a le droit de le caresser.
Timidement, je le prend en main et commence à le masturber, sa main passe derrière ma tête et la dirige vers son membre tendu. Je comprends son désir et ne résiste pas lorsque mes lèvres entre en contact avec son gland, j’ouvre la bouche. Son soupir de contentement me rassure et j’essaye de lui faire plaisir du mieux possible, n’arrivant à avaler entièrement son membre imposant. Sa main est revenue entre mes fesse et ses doigts cherchent à me pénétrer, le premier me tire un léger gémissement, le deuxième me déchire. Il reste un moment sans bouger puis reprend ses fouilles de mon intimité. Il me dilate petit à petit et je gémi de plus en plus fort.
Mon excitation grandie, ses doigts me donne du plaisir, je lâche son sexe.
Prends-moi.
Tu es sure
Oh ouiii
Il me retourne sur le canapé, remonte ma jupe, écarte mon string, son gland vient à la rencontre de ma rondelle, il pousse doucement, son gland entre je lâche un cri de douleur, il s’immobilise.
Une fois habitué à son gland il pousse doucement, je me sens comme déchirée de l’intérieur, il stop de temps en temps me laissant récupérer et mon cul se faire à son membre. Tout à coup ses bourses entre en contact avec mes lobes, je me sens remplie, il commence alors un léger va et viens. Douloureux au départ, le plaisir prend rapidement le dessus et je gémis de plus en plus fort.
Je fini par jouir violemment sur le canapé au moment ou il me rempli de sa semence.
Après 2h de câlins, je rentre chez moi. J’ai mal au postérieur et je dois me changer pour ôter cette odeur masculine sur moi. Je choisi de prendre un douche rapide et décide de me coucher dans le canapé pour ne pas réveiller mon épouse.
Depuis mes balades nocturnes ne sont plus solitaires, et si le temps ne le permet pas nous restons chez lui.