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mes vacances avec mon frere – Chapitre 1

mes vacances avec mon frere - Chapitre 1



A force de lire tous ces témoignages, j’ai eu envi moi aussi d’apporter le mien

Je me prénomme LUCIE

J’ai maintenant 28 ans, j’ai un frère de 2 ans plus jeune, jusqu’à l’âge de 10 ans, nous passions nos vacances en camp de nudistes, nos parents y avaient lié connaissances avec un autre couple et ils se retrouvais chaque été, puis un jour sans que nous comprenions bien pourquoi les vacances tournaient courts et nous quittâmes le camp pour finir nos vacances dans un camping « commun », dirai-je.

Par la suite il n’y a plus eu de camp naturiste, nous avions compris que les parents avaient une embrouille avec le couple d’amis. Nous n’en saurions pas plus.

Par la suite nous passions nos vacances, en locations, en bord de mer, avant que des ennuis professionnels des parents ne nous privent de vacances familiales: si ce n est que des courts séjours dans la famille et après

Plusieurs années la situation était redressée.

Cela c’est passé il y a maintenant huit années, après des années de labeur, la situation c’était bien améliorée.

Nos parents avaient décidés, pour décompresser de passer 3 semaines à la campagne, nous avons réclamé et obtenu quil y ait une piscine dans la location et que nous ne serons pas contraints de les suivre dans toutes les visites quils prévoyaient

Ils avaient trouvé un gîte à l’écart d’un village prés de Nîmes, 3 chambres dont deux à l’étage.

Les premiers jours c’était farniente, piscine et bain de soleil pour tous, puis les parents ont commencés à avoir la bougeotte.

Un soir: ils nous annoncèrent que le lendemain ils visitaient Avignon dans l’ après midi, pas tentée par l aventure je décidais de rester, Pierre mon frère faisait de même.

Après le repas, nos parents nous laissèrent, je montais enfiler un maillot de bain, je choisis un deux pièce noir un haut sans bretelle et d’un bas composé d’un morceau de tissu se nouant de chaque coté,

BRUNO mon frère avait opté pour un short de bain, nous profitions de la piscine un bon moment, puis nous avons joué dans le jardin au football (je suis nulle je le sais mais ça m’empêche pas de m’amuser).

Il fit deux buts avec les chaises de jardin et nous commencions le match, très vite il mena par plusieurs but à rien, malgré tous mes efforts.

Quand d’un seul coup je me trouvais seule face au but, j allais marqué un but, BRUNO voulut m’en empêcher, il posa sa main sur mon épaule, je me dégageais ,mais ce faisant, sa main glissa dans mon dos, ses doigts s’ agrippèrent au premier tissu quils rencontrèrent, ce fut mon bandeau, l’ attache de celui-ci céda et il resta avec l’étoffe en main.

Je me retrouvais les seins à l’air, mon frère riait aux éclats, j’étais verte de rage, je commençais à courir après, celui-ci courant à reculons esquivait tous mes tentatives de l’attraper: en riant et en chantant « ça balance pas mal » .Ma colère était de plus en plus forte et dans un dernier effort je parvenais à l’attraper par son short, déséquilibré il tomba, j’en profitais pour retirer son vêtement d’un seul coup, il se retrouva nu comme un ver.

Je filai me réfugier au fond de la piscine le short à la main, avant que mon frère ne se relève j’étais à l’abri.

Ayant été habitué à la nudité dans les camps naturistes, mon frère à poil ne prenait même pas la peine de cacher sa virilité, au lieu d’aller chercher un short de rechange, il n’avait quune idée: récupérer celui que je tenais en main.

Il commença à tourner autour de la piscine, je fis de même en laissant une distance de sécurité petit à petit celle-ci se réduisit, et là je fis l’erreur de sauter à l’eau, BRUNO plongea à ma suite et il eut tôt fait de me rattraper, il me bloqua d’un bras et de sa main libre il dénoua ma petite culotte qui fit surface, aussitôt il s’en empara, un partout me dit il après m’avoir lâché et il alla s’asseoir au bord de la piscine près de l’ entrée, pour me rhabiller il me fallait, soit passer au dessus de la clôture, ce qui me paraissait assez difficile, soit passer à coté de mon frère, sans savoir ce qu il combinait. La dernière solution était de m’installer sur un banc de soleil tout en surveillant Bruno du coin de l il.

J’optais pour la troisième solution, j’installai mon banc face à BRUNO de l’ autre coté de la piscine.

J’inclinais légèrement le dossier et m’allongeais les jambes bien serrées, comme pour masquer mon sexe fraîchement épilé, j étais passée chez l’ esthéticienne me faire épiler jambes et maillot (façon ticket de métro)

Je regardais Bruno à travers mes lunettes de soleil, et plus particulièrement son sexe, celui-ci malgré quelques frémissement restait au repos. Il était assis au bord de la piscine appuyé sur les bras posés en arrière, ce qui me permettais de voir son corps nu.

Belle maîtrise, pensais je, voir une fille nue et rester pratiquement imperturbable

Amusée, j’écartais légèrement les cuisses, l’effet ne se fit pas attendre, je vis aussitôt son sexe se raidir et s’étirer sans toute fois bander réellement, je refermais les jambes le spectacle étant fini, son sexe reprenait sa taille initiale.

Bien décidée à l’allumer, Je repliais une jambe et l’écartait: BRUNO devait avoir une belle vue de ma vulve aux lèvres toutes lisses, cette fois ci la bandaison était réelle, je restais un moment dans cette position, admirant le sexe de mon frère qui gonflait, décidée je repliais mon autre jambe, la vue devait être superbe car je le vis porter la main à son sexe à plusieurs reprises. Je restais un long moment dans cette position, la vulve largement ouverte, je mouillais terriblement.

Il n’avait que quelques pas à faire pour me prendre à la façon « missionnaire »

Mais il ne broncha pas, pire au bout d’un moment, il quittait son poste d’ observations en se glissant dans l’eau et fit quelques longueurs. Dépitée je me levais et je plongeai à mon tour, quand je dis plonger c’est un bien grand mot, cela ressemble plutôt à un saut qua un plongeon, mon frère qui avait rejoint le bord applaudissait en me criant: Super magnifique c’est un plongeon digne des jeux olympiques.

Vexée je ressortais aussitôt de l eau, et me dirigeais vers le cube, bien décidée à lui montrer ce dont j’étais capable, le deuxième plongeon était aussi réussi que le premier. BRUNO riait aux éclats, en disant « prends des cours ma petite » et il effectua un plongeon, têtue comme je suis, je recommençais sans plus de succès, je me suis résolue donc à demander à mon frère de m’apprendre, il accepta j’étais au bord de l’eau il s’approcha et il me dit laisse toi faire.

Il me leva les bras, les mains jointes, il appuya sur mes épaules pour me faire plier les jambes, il me fit me cabrer en posant sa main sur le dos, j’ étais en position, il me dit à trois tu pousses sur tes pieds et il posa ses mains sur les fesses. Il compta 1,2 et 3 je sentis une petite poussée sur le postérieur et je poussais sur les pieds, mes mains pénétrèrent dans l eau et je fis quelques brasses sous l’eau. J’avais réussi, je sortais de l’eau courrait jusquà mon frère et je l’embrassais sur les deux joues en lui disant merci.

Je recommençais un nouveau plongeon « cette fois ci réussi », mon frère plongea à ma suite, nous fîmes quelques longueurs puis Bruno retourna s’ asseoir, je continuais quelques longueurs supplémentaires en passant du crawl à la brasse, je me doutais que de me voir passer de cette façon, des idées devaient passer dans la tète de mon frère, il était assis au bord, pour le rejoindre je nageais sous l’eau, je me repérais à ses mollets et ressortais pile entre ses jambes, je découvrais à ce moment sa bite en pleine érection et sans hésiter une seconde je l’empoignais, je regardais Bruno droit dans les yeux, j’approchais ma bouche de son gland, je frottais sa bite contre mes lèvres, je le léchais un peu puis je me mis à le sucer, j’avalais sa queue jusquau fond de la gorge, je malaxais ses couilles, je voulais quil me jouisse dans la bouche, goûter son sperme, mon frère me fis sortir de l’ eau, il attrapa un matelas sur un transat, il s’allongea et me fit mettre en 69, sa langue s’attaqua à mon clitoris, je chavirais de plaisir, je jouissais sous cette langue qui me fouillait l’intimité, un coup: des flots de sperme envahirent ma bouche, je m’éfforçais de tout avaler.

Comblée, je m allongeais aux cotés de Bruno, nous reprenions nos esprits, brusquement il se leva et se dirigea sous la douche, C’est pas bien ce que nous avons fait!, me dit il: c’est vrai, répondis je, mais c’était vachement bon, répondis je .Il s’était assis au bord d un transat, à mon tour je me douchais et je le rejoignais, tu connais Valérie? Lui demandais-je,

Oui ta copine la coincée, la pucelle répondait Bruno.

Pas si coincée que cela lui rétorquais je, tu sais une fois que l’on s’amusaient entre filles dans sa chambre, son frère Patrick à fait irruption, nous navons pas eu le temps de réagir quil était à nos cotés, en un tour de main il était à poil, je me cachais comme je le pouvais avec le drap, il disait: je vais vous prendre toutes les deux mes petites gouines, on a baisé tout l’après midi.

En me raccompagnant, VAL m’expliquait que c’était arrivé bêtement, elle et son frère, elle l’avait surpris un jour entrain de se masturber et sans s’en rendre compte elle se retrouvait à le branler

Et quelle préférait passer pour une sainte ni-touche et baiser avec son frère que passer pour une salope qui couche avec tout le monde, elle me demandait de garder le silence et en riant elle me dit: en plus il baise bien, et je suis sur quil ne le dira pas.

Tout en racontant mon histoire, je tripotais Bruno celui-ci s’était mis à bander, tout en lui caressant les couilles, je lui dis : il faudra enlever tous ces poils que ce soit masculin ou féminin, je n’aimes pas beaucoup les poils, sans attendre une réponse je continuais, on s’en occupera la prochaine fois.

La bite de mon frère était maintenant au garde à vous, prends moi murmurais je, il ne se fit pas prier, il me retourna, je me penchais et il me pénétra d’ un coup,,il m’empoigna les hanches et commença un léger va et vient, puis de plus en plus vite et fort jusquà la jouissance, je le suppliai d’éjaculer dans mon vagin, une première pour moi et pour lui aussi, je l’apprenais par la suite tout comme lui, les préservatifs étaient de rigueur sauf cette fois .J’ ai senti le liquide chaud se déverser dans ma chatte, chaque giclée de sperme me procurais du plaisir, je me redressais, me retournais et je l’embrassais à pleine bouche, BRUNO se doucha puis se fut mon tour, en me regardant il s’ était assis au bord de la piscine et il me demanda: tu crois quil y aurait moyen à trois avec ta copine.

Amusée je lui répondis: pourquoi pas, à trois ou à quatre, il suffit que l’on soit à la maison, je vais arranger cela; il répliqua j’aimerai bien commencer à trois avec ta copine et par la suite pourquoi pas à quatre.

Mon téléphone posé sur la table se mit à vibrer, c’était les parents, ils prenaient la route, ils seraient de retour dans une heure et il fallait que l’ on se prépare, car ce soir, ils avaient décidés que ce serait restaurant, ils ne tardèrent pas à arriver, nous étions bien sagement assis à la table de jardin sirotant un verre de jus d orange, après les questions d’usage: ça c’ est passé comment?, c’était intéressent? Et ils allèrent se changer.

BRUNO me fit un clin d’il et il me dit: vivement leur prochaine sortie

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