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Mes vacances chez Eric – Chapitre 1

Mes vacances chez Eric - Chapitre 1



Pour mes 18 ans, mes parents ont accepté de me laisser passer les vacances d’été chez mon ami ?ric, dont les vieux ont une maison dans le sud du côté de Toulon. Je prends le train pour les rejoindre et c’est ?ric accompagné de sa soeur qui vient me chercher à la gare. Il fait déjà chaud et les estivants sont en tenues légères et offrent leurs corps au soleil. ?ric me présente sa soeur Coralie, belle jeune fille de 19 ans, grande, brune, les cheveux longs lui arrivant sur les fesses.

Elle me fait la bise en se collant un peu trop à moi… Eh ben !!! ?a ne sera pas triste ces vacances !! En nous rendant à la voiture, je discute avec ?ric de mon voyage et je lui donne des nouvelles des copains restés à Paris. Tout en parlant j’en profite pour détailler Coralie qui marche devant nous. Elle porte un haut qui ne couvre que sa poitrine, laissant son ventre et son dos nu. Son petit short moule ses fesses rebondies où je distingue les marques d’un petit slip brésilien qui laisse ses fesses complètement libres. Ses jambes sont déjà bien bronzées et elle est juchée sur des escarpins à hauts talons qui accentuent la courbure de ses reins.

Arrivant à la voiture, elle m’ouvre la portière et m’invite à monter devant tandis qu’elle ira se mettre à l’arrière. J’en profite pour vérifier qu’elle ne porte pas de soutif. Ses seins sont libres et ses mamelons apparaissent sous le fin tissu. Pendant le trajet, ?ric m’explique qu’il a établi un programme de balade en mer et de visite dans l’arrière pays. Il m’informe que ses parents ont loués pour la durée des vacances un gros bateau à moteur qui permet d’aller passer quelques jours au mouillage dans des coins retirés. Prétextant le besoin de prendre un mouchoir dans mon sac posé sur la banquette arrière, je me retourne et plonge la main vers mon sac. Coralie a les yeux fermé et somnole, la tête posée sur le dossier du siège.

Je profite de ce moment pour détailler ses jambes, ses cuisses et mon regard remonte vers son sexe. Son short est tendu comme une deuxième peau sur elle et la moule parfaitement, le tissu pénètre dans sa fente, me laissant admirer la forme de ses lèvres intimes. Son slip ne doit pas être bien épais pour me permettre ainsi de la découvrir.

À la propriété, qui est bien isolée des maisons voisines, nous sommes accueillis par la mère d’?ric, Nadine, une belle femme de 38 ans, qui me fait la bise, m’invite à entrer et à faire comme chez moi.

— Tu sais Jean, nous te considérons un peu comme notre fils, depuis le temps, nous te connaissons bien alors pas de chichis entre nous, à partir de maintenant fini le madame, appelle-moi Nadine et dis-moi ’Tu’. Tu es un homme maintenant, agit avec nous comme avec des adultes et non plus comme un enfant. Ok ?

— Oui, madame… Pardon, Nadine ! Comment vas-tu ?

— Ah ! C’est mieux, je vais bien, merci. Depuis que nous sommes ici je me sens de mieux en mieux, sans doute les effets de la mer et du soleil. Bon les enfants ! Je vous laisse montrer la maison à Jean, moi je vais sur la plage pour ma séance de bronzage, si vous voulez me rejoindre, n’oubliez pas d’apporter vos serviettes et de la crème, le soleil est déjà chaud. Coralie ma chérie, tu viens avec moi ?

— Oui maman, j’arrive le temps de me changer.

— Pourquoi faire, dans deux minutes tu seras nue sur le sable, comme je te connais, tu ne gardes jamais longtemps ton maillot sur toi depuis ton arrivée.

Je suis un peu surpris du dialogue que je viens d’entendre, mais je ne dis rien. ?ric me tire par le bras et me fait visiter la maison.

— Dis-moi ?ric, si j’ai bien compris ta soeur fait du naturisme ?

— Oui mon gars, depuis que nous sommes ici, mademoiselle se balade à poil sur la plage, enfin sur notre plage, bien sûr. Quand nous allons sur les plages publiques elle garde son bas, mais il est si petit qu’elle parait nue. Tu connais la marque ’ Wickedweasl ’ ?

— Non, c’est quoi ?

— Une marque de maillot qui fait des maillots très petits et transparents quand ils sont mouillés, tu verras, bandant au possible. D’ailleurs quand elle met son maillot, je ne peux pas m’empécher de bander comme un âne. Allez, allons les rejoindre à la plage, tu te mets en maillot et on se retrouve dans la cuisine, je prépare des boissons et de quoi grignoter, ok ?

— Ok, j’arrive.

Je me change rapidement et l’idée de voir Coralie nue, commence à me faire chaud au ventre. Pour enfiler mon maillot, je dois plier un peu ma verge qui a déjà une bonne dimension. Je rejoins ?ric dans la cuisine et l’aide à porter quelques bouteilles et des paquets de chips. Nous traversons le jardin pour emprunter un escalier qui mène à la plage. Dès les premières marches, on ne peut voir le sable, car la cric est cachée des regards par un éperon rocheux. Après avoir descendu une volée de marche, le paysage change, dévoilant la petite plage. Sur le sable, étendue sur le ventre, Nadine a caché son visage sous un grand chapeau de paille. Elle est nue, ce qui me surprend. Dans l’eau, faisant la planche, Coralie nous regarde descendre. Elle aussi est nue, les jambes écartées, ce qui me permet de découvrir son sexe totalement rasé.

Médusé par ce spectacle, je m’arrête et fixe ce corps splendide qui flotte ente deux eaux. Les seins de Coralie apparaissent par moment aux grés des vagues. Sa peau a une couleur biscuit et aucune marque de maillot n’apparaît sur son corps. Ma queue se met à grossir dans mon maillot. ?ric, qui me précède, s’arrête et me dit :

— Elle est belle, hein ? Je vois qu’elle te fait bander toi aussi. Regarde, moi aussi je bande, mais ne t’inquiètes pas, elles ont l’habitude de me voir dans cet état. De temps en temps, elles me permettent de me soulager devant elle, je suis sûr qu’elles te permettront de le faire toi aussi.

Je lui réponds d’une voix blanche :

— Oui, elle est magnifique, c’est vrai qu’elle me fait bander, mais ta mère que va-t-elle penser, je vois qu’elle est nue aussi ?

— Oh ! Ne te fais pas de soucis, elle aussi à l’habitude de me voir bander, elle ne dit rien, d’ailleurs mon père aussi bande en les regardant toutes les deux, elles ont l’habitude. Allez, viens, j’ai chaud et je veux me baigner.

Je descends le reste des marches comme dans un brouillard, mes yeux ont du mal à quitter le corps de Coralie et quand mon regard se détourne c’est pour venir se poser sur celui de Nadine. Nous arrivons près de Nadine qui lève la tête en nous entendant.

— Ah ! Les garçons vous voilà enfin, je commençais à m’inquiéter. Jean cela ne te gêne pas si nous sommes nues sur la plage, c’est tellement bon de se laisser dorer par le soleil et de ne pas sentir de vêtement sur sa peau. Je suis devenue une adepte du nudisme. Prendre un bain de mer à poil, quel régal. Tu as déjà pris un bain sans maillot ?

En disant cela, elle s’est assise les jambes croisées sous elle, me laissant admirer sa chatte totalement imberbe. Ses lèvres sont serrées et dessinent une ligne droite qui part de son mont de vénus pour se terminer dans ses fesses. Mes yeux ne peuvent se détacher de cette vue.

— Je préfère te montrer ma chatte tout de suite et tu ne serras plus gêné en me voyant nue, comment tu la trouves ?

— …

— Allons, ne soit pas timide, tu la trouves comment ?

— Très belle… Oui très belle…

— Et mes seins ? Ils te plaisent mes seins ?

Je porte mon regard sur sa poitrine que je n’ai pas encore bien regardé. Ses seins sont relativement petits mais encore très fermes. Tout ronds, de la taille d’une pomme, surmontés par des aréoles grosses comme une pièce d’un Euro et des tétons très longs.

J’avale difficilement ma salive et le regard trouble, les jambes tremblantes je lui réponds :

— Comme je les aime.

— Maman, arrête de torturer Jean, tu n’as pas honte de l’exciter comme ça ?

C’est Coralie qui vient de prononcer cette phrase. Elle se tient à ma droite, ruisselante d’eau de mer, encore plus belle que tout à l’heure. Ses seins sont tendus et ses tétons érigés par le froid. Elle est debout, jambes écartées, offrant à ma vue sa chatte qui est comme celle de sa mère.

— Eh ! Les filles… Pas un peu finie votre comédie, intervient ?ric. Laissez Jean tranquille, sinon il va croire que vous êtes de vraies garces.

— ?ric on ne parle pas de sa mère comme ça.

— Excuse-moi maman, le mot m’a échappé, mais c’est vrai, laissez-le tranquille, il arrive à peine et vous lui sautez dessus comme la misère sur le bas clergé.

— Excuse-moi Jean, dit Nadine, je voulais juste te mettre à l’aise.

— Le mettre à l’aise répond ?ric, vous l’excitez comme c’est pas permis, regardez son sexe, il est comme moi, il bande comme un âne.

C’est vrai que mon sexe est tendu et se trouve à l’étroit dans mon maillot. Un bout de mon gland dépasse même au-dessus de la ceinture.

— Hum ! C’est mignon tout ça, dit Coralie, tout en se séchant, plutôt en se caressant avec la serviette qu’elle fait passer sur ses seins et entre ses jambes. Son regard est rivé sur mon maillot et elle passe une langue gourmande sur ses lèvres.

— Allez Jean, viens te baigner avec moi dit ?ric, laissons ces deux folles à leurs fantasmes.

En courant, je vais me jeter dans la méditerranée pour cacher mon émoi et faire tomber la tension de ma bite. L’eau fraîche me fait du bien, je me mets à nager vers le large pendant dix à quinze minutes, cette débauche d’effort me calme. Je reviens vers la plage tranquillement. De loin, je vois les deux femmes allongées sur le dos, côte à côte, et ?ric allongé sur le ventre, juste à leurs pieds. En me rapprochant, je me rends compte qu’?ric a lui aussi enlevé son maillot et qu’il a la tête face aux jambes de Coralie qui ne fait rien pour se cacher. Elle a les jambes écartées et montre sans pudeur sa chatte à son frère. Je me mets immédiatement à bander et me trouve bien embêté, comment sortir de l’eau sans me faire remarquer. Je patauge au bord de l’eau avec l’espoir de voir ma bandaison diminuer un peu. Mais dès que je tourne la tête, je vois le corps de Coralie et de sa mère offerte au soleil. Profitant d’un moment où les filles ne me regardent pas, je me précipite vers ma serviette, me laissant tomber sur le ventre, heureux de pouvoir cacher mon émoi.

— Alors elle était bonne ? Me demande ?ric.

— Extra, ça fait un bien fou de nager sans avoir à taper dans un mur comme à la piscine.

— Tu m’excuses mais je me suis mis nu, car mon maillot me donne des échauffements si je le garde sur moi après le bain, si tu veux te mettre à poil ne te gênes pas, elles n’attendent que ça.

Il m’indique du regard sa mère et sa soeur qui font semblant de dormir. Je sais très bien qu’elles nous écoutent et n’attendent que le moment où je me mettrais nu pour me regarder. Je me dis que tôt ou tard, je finirai bien par me mettre à poil, alors pourquoi pas maintenant, ces deux salopes doivent avoir vu plus d’un sexe d’homme, qu’il soit au repos ou bandé, alors pourquoi attendre d’autant que ma queue me fait mal, à l’étroit dans mon slip de bain.

— Tu as raison, dis-je assez fort, je vais me mettre à poil et tant pis si je bande, les filles non qu’à pas regarder ou alors…

Joignant le geste à la parole, je me mets debout et fait glisser doucement mon maillot, laissant le temps aux filles de se redresser sur les coudes. Leur regard est fixé sur mon maillot, lorsque ma queue sort tendue, elle remonte vers mon ventre. J’entends un murmure d’approbation venant de la bouche de Nadine. J’exécute mon strip-tease comme un pro et fais glisser mon maillot doucement jusqu’au bas de mes jambes. Mes bourses sont lourdes, cela fait un mois que je n’ai pas eu de rapport avec ma copine qui est au Canada pour un stage et j’ai des réserves maintenant.

— Magnifique, dit Coralie, Jean tu as un sexe splendide, j’aimerais bien y goûter.

— Pas touche ma belle, ce matin, il faut que je me remette du voyage.

— Dommage, mais si je comprends bien, tu me laisses un espoir d’y goûter plus tard ?

Je ne réponds pas et m’allonge sur le dos comme ?ric. Lui aussi est maintenant sur le dos et caresse son sexe avec sa main droite. Sa mère le gronde.

— ?ric, je t’en pris, tu n’es pas seul et je suis là, veux-tu arrêter de te caresser, ça ne se fait pas… Si l’on n’a pas été invité à le faire.

— Mais maman, je n’y tiens plus moi, depuis tout à l’heure, vous m’excitez toutes les deux et je me retiens depuis trop longtemps, il faut que je me soulage…

À peine a-t-il fini sa phrase qu’il explose, envoyant de belles giclées de sperme sur son ventre.

— Ahhhhhhhhh, c’est trop bon je jouiiiiiis !!!!

Je regarde ?ric finir de se branler et je vois Coralie glisser sa main droite sur sa chatte, elle écarte ses lèvres et fait tourner son index sur son clitoris qui est sorti de sa cachette. Sa main gauche passée sous sa cuisse, elle met deux doigts à l’intérieure de sa chatte et commence une branlette rapide.

Sa mère la regarde et dit :

— Toi aussi tu te branles ? Mais mes enfants ce n’est pas possible, ce n’est pas moi qui vous ai montré cela, comment pouvez-vous faire ça devant votre mère ?

— Maman fait comme moi, lui dit Coralie, tu en meurs d’envie, je vois ta chatte toute trempée, ne me dis pas que tu n’as pas envie de te caresser toi aussi ?

— Oh ! Si j’en ai envie, mais, je n’ose pas. Faire ça devant vous, quand même, c’est si intime.

— Mais ne te gêne pas pour nous, lui dit ?ric, même mieux, veux-tu que Jean te caresse ? Je suis sûr qu’il ne te refusera pas ce plaisir.

— Tu veux faire plaisir à maman Jean, la faire jouir pour son plaisir ? Me demande Coralie.

— Oui bien sûr ! Si cela lui fait plaisir et qu’elle me le demande.

— Oh ! Oui Jean, viens me donner du plaisir, j’en ai tant envie, viens, fais-moi jouir avec ta main.

Disant cela, elle ouvre ses jambes et écarte les grandes lèvres de sa chatte, elle s’allonge sur le dos remonte les genoux pour mieux ouvrir ses jambes. Je me lève, le sexe tendu comme une barre de fer, je sais que si je me touche je ne serai pas long à exploser. Je viens me mettre entre les deux femmes, à genoux. Je mets ma main droite sur son ventre.

Doucement, je descends vers sa chatte, appréciant la douceur de sa peau. Mon doigt glisse entre ses lèvres intimes et je sens son clitoris rouler sous mon doigt, je continue à descendre vers son puits d’amour, elle pose sa main sur la mienne et m’oblige à la pénétrer. Elle garde sa main sur la mienne et me donne le rythme qui lui convient. Quand elle veut ralentir, elle bloque un peu mes doigts, me faisant comprendre ce qu’elle souhaite. Elle mouille abondamment et inonde bien mes doigts. De la main gauche je passe sous sa cuisse et glisse un doigt entre ses fesses, mon pouce rencontre son anus couvert de ses sécrétions, ce qui facilite la pénétration.

— Oh ! Oui ton pouce, pousse-le au fond, c’est trop bon, branle-moi aussi par derrière…

— Tu aimes ça aussi, lui demande Coralie ?

— Oh ! Oui une double… Branlette… C’est. bonnnnnnn !

Coralie vient se mettre à ma droite et prend mon sexe dans sa main, elle commence une lente masturbation, caressant mon gland, le recouvrant avec ses doigts du liquide séminal qui s’en échappe.

— Doucement Coralie, ne vas pas trop vite, sinon je vais exploser avant Nadine, j’aimerais jouir avec elle.

Coralie calque le rythme de sa branlette sur celui de mes doigts qui pénètrent la chatte de sa mère. Elle se déplace pour venir se coller à sa mère, lui offrant ses seins qui bandent de plus en plus. Nadine gobe un de ses seins le suçant comme l’on suce une mangue mûre. Coralie se crispe et cesse de bouger sa main, serrant de plus en plus fort mon sexe dans sa main. Elle met son autre main entre ses jambes et se caresse avec fougue.

— Oh ! Maman c’est bon ce que tu me fais, lèche-moi encore… Prends-moi dans ta bouche comme tout à l’heure.

Nadine bloque ma main, approchant de son orgasme, elle se concentre sur les seins de sa fille. ?ric est debout face à Coralie, il lui tend son sexe.

— Coralie suce-moi s’il-te-plait, j’en ai trop envie.

— Viens….

Coralie ouve la bouche et gobe le sexe turgescent de son frère qui pose ses mains sur sa tête pour lui donner le rythme.

Devant ce spectacle, je donne deux coups de reins et explose quatre fois, envoyant ma semence sur le corps de Nadine et sur les jambes d’?ric. Mon orgasme déclenche celui de Nadine qui se tend comme un arc, soulevant ses fesses et enfonçant mes doigts et les siens au plus profond de sa chatte. Je vois ?ric se tendre à son tour et son sexe sauter entre les lèvres de sa soeur, il explose dans la bouche de Coralie. Coralie ne peut pas tout avaler et laisse déborder de sa bouche le sperme chaud qui tombe sur le ventre de Nadine. Cela provoque un deuxième orgasme chez elle. Coralie s’écroule sur moi en poussant un grognement sourd, elle jouit elle aussi, son corps est secoué par de nombreux soubresauts.

Et dire que les vacances ne font que commencer…

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