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Mélanie, étudiante à Bordeaux – Chapitre 7

Mélanie, étudiante à Bordeaux - Chapitre 7



Tu es prête à renoncer à la fac pour devenir ma chose ?

Oui, Monsieur, sil vous plaît.

Tu es prête à devenir mon esclave, à être percée et marquée, pour que tout le monde sache que ce que tu es et à qui tu appartiens ?

Mélanie hésita quelques secondes, les yeux embués et perdus. Puis elle prit une profonde inspiration et répondit :

Oui, Monsieur. Je suis prête à renoncer à tout, et je vous laisse choisir ce que vous voulez faire de mon corps.

Tu signeras un contrat par lequel tu renonces à tout libre-arbitre au profit de ton Maître. Moi, ou tout autre Maître auquel je te vendrai ou louerai. Tu en as conscience ?

Oui, Monsieur. Je souhaite vous appartenir et vous laisser disposer de moi comme vous le souhaitez.

Je vais donc prendre mes dispositions pour que ton corps soit modifié. Il existe une clinique près de Paris pour réaliser les opérations dont jai envie. En attendant, je vais tenchaîner dans la cave après tavoir fouettée pour ta désobéissance.

Merci, Monsieur.

Plus tard, enfermée dans sa cellule avec un stylo et quelques feuilles de papier, Mélanie tenta de rassembler ses esprits pour noter ce quelle acceptait et ce quelle refusait. Son corps menu était brisé, sa peau marquée de longues balafres boursouflées et violacées, certaines même saignant, ce depuis le mollets jusquaux épaules. Monsieur Lenoir navait rien épargné, ni sa fragile poitrine doù le sang perlait par de nombreuses coupures, ni son intimité qui avait triplé de volume et pris une vilaine couleur bistre.

Bâillonnée et écartelée entre quatre chaînes qui la décollaient du sol, Mélanie navait pu que baver et se tordre vainement alors quil tournait autour delle en abattant son instrument, dabord un long martinet, puis une cravache, et enfin une longue canne souple. Quand il lavait libérée, elle était tombée comme une masse et il avait dû la retenir pour éviter quelle ne se blesse plus. Et maintenant, à travers les larmes qui brouillaient encore sa vision, elle lisait ce que proposait son nouveau « Maître » et cochait ce quelle acceptait.

Et, à sa surprise, elle acceptait tout ce quil souhaitait. Il refusait de lui-même scato, nécro, copro, limitait les modifications corporelles définitives à sa poitrine et à des tatoos et piercings à définir avec elle. Pour le reste, elle cocha tout, depuis luro jusquaux aiguilles, lames et tortures diverses, tant que ça nattentait pas trop à son intégrité physique.

Au contraire, un paragraphe insistait sur le soin quelle devait apporter à son corps par la pratique régulière de sports : gym, natation et footing, ou toute autre activité musculaire. Lorsque monsieur Lenoir redescendit, elle lui tendit les feuilles quil lut attentivement. Il sourit dun air carnassier et remonta en annonçant :

Je vais mettre tout ça au clair et rédiger le contrat. Dans une petite heure, je serai de retour et tu signeras, si tu le veux toujours. Si cest le cas, je te sortirai et je te fouetterai à nouveau, mais plus fort. Quel instrument ta fait le plus mal ?

Euh, honnêtement, la canne, Monsieur.

Eh bien soit. Jutiliserai la canne.

Il revint une heure plus tard avec une bouteille de champagne couverte de buée et deux coupes. Il fit sortir Mélanie et elle sagenouilla devant lui sans un mot. Il lui tendit une feuille marquée « Contrat desclavage » quelle parcourut rapidement en frissonnant. Elle savait, tout comme lui, que ce contrat navait aucune portée juridique, mais elle hésita malgré tout. Puis elle data et signa avant de rendre le document à son nouveau Maître.

Il déboucha la bouteille de champagne et remplit une coupe, puis il sortit sa verge et urina dans la deuxième coupe. Mélanie rougit en soupirant mais laccepta et trinqua en silence avec monsieur Lenoir. Les yeux dans les yeux, ils burent leur coupe cul sec, scellant leur pacte. Tout au plus la jeune fille déglutit-elle difficilement le breuvage piquant et salé avant de poser sa coupe vide.

Maintenant que cest réglé, il te faut un safe word, un mot de sécurité que tu dis uniquement lorsque tu ne supportes plus ce qui se passe.

Pourquoi pas « arrêtez », ou « stop » ?

Non, ça tu peux le dire et je continuerai. Je parle dun mot hors contexte qui arrête tout.

Comme « champagne », par exemple ?

Exactement. Tu choisis ce mot ?

Ben… oui Oui, Monsieur, corrigea-t-elle.

Tu vas devoir attendre pour le prononcer car je vais te bâillonner. Voici un petit tube dacier ; tu vas le serrer dans ta main, et si tu le lâches, il aura le rôle de ton mot.

Puis, comme il lavait annoncé, il attacha son esclave en croix, les pieds suspendus à dix centimètres du sol, et il la battit. Longtemps et violemment. Bien sûr, comme annoncé, il avait pris la précaution de bâillonner Mélanie au moyen dune grosse balle de caoutchouc maintenue par un large adhésif noir sur la bouche, sinon elle aurait hurlé à lui crever les tympans. Le visage rouge brique et les veines saillant sur ses tempes, les yeux injectés de sang, elle poussait des cris pitoyables qui déchiraient sa gorge. Les coups pleuvaient, népargnant que son visage. Son corps nétait plus quhématomes, plaies et marques profondes lorsquil jugea la correction plus que suffisante.

Car Mélanie navait pas lâché le tube dacier quelle serrait toujours, si fort que les jointures de ses doigts étaient blanches. Il libéra la jeune fille et la reçut des ses bras car ses jambes ne pouvaient la porter : elle gisait inerte contre lui, la respiration sifflante entrecoupée de sanglots. Il la souleva et lappuya contre son torse pour la porter à létage, lallongea sur son petit lit recouvert dun drap blanc et lava soigneusement son corps avec un linge tiède. Puis il désinfecta chaque plaie après avoir forcé la jeune fille à avaler deux comprimés dIbuprofène. Il sourit car elle serrait toujours le tube quil détacha doucement de ses doigts crispés. Puis il étala avec tendresse un onguent apaisant et cicatrisant sur les zones lésées, en fait partout sauf le visage.

Enfin il se releva et tira un fauteuil dans la chambre. Installé, il veilla.

À son réveil, Mélanie gémit sans ouvrir les yeux et sétira. La douleur lui arracha un cri qui réveilla monsieur Lenoir, assoupi après des heures de veille. Il se leva et sapprocha du lit, affichant une sévérité de façade.

Bonjour, petite pute. Bien dormi ?

Euh, oui… Monsieur, hasarda-t-elle, un peu perdue.

Elle se souleva et sassit au bord du lit en grimaçant de douleur. Chaque parcelle de son corps irradiait la souffrance pure. Elle gémit en se prenant la tête à deux mains, les yeux clos pour éviter de voir les multiples contusions et hématomes qui couvraient son épiderme meurtri.

Tu as été très courageuse : tu as refusé de lâcher le tube dalerte.

Je ne veux pas que vous me chassiez, Monsieur. Alors je préfère souffrir pour vous plutôt que de vous faire encore honte.

Pourtant tu as eu très mal, je ne tai pas ménagée.

Jai cru que vous alliez me tuer sous les coups, mais jai réussi à tenir le tube, Monsieur. Quand je croyais ne plus pouvoir supporter un autre coup, je pensais à vous, à votre déception, et je serrais plus fort encore.

Tu es folle, petite pute. Personne ne mérite que tu souffres autant pour lui. Pas même moi.

Si, vous, Monsieur. Pour rester à jamais votre possession, jaccepterai tout ce que vous me demanderez, toujours.

Tu me connais à peine.

Cest vrai, je ne sais rien de vous. Mais je vous offre mon corps, mon âme et mon amour, Monsieur.

Ton amour ? releva-t-il, un peu ironique. Ce nest pas trop rapide ?

Je le sais bien. Mais je ny peux rien, Monsieur. Mon Dieu, vous nallez pas me chasser parce que jai dit que je vous… Je vous en supplie, oubliez ça ; je ne suis que votre pute, votre esclave. Je ne vous embêterai plus avec ça.

Chhh ! Je suis flatté, tu sais, quune belle fille comme toi dise quelle maime. Après que je taie rossée si sévèrement. Bon, tu vas prendre un bain, puis petit déjeuner, analgésique, et tu te reposeras. Tu nes pas apte à faire autre chose pendant trois ou quatre jours. Chhh, tais-toi.

Mélanie déglutit et opina de la tête ; le programme fut respecté à la lettre. Au bout de trois jours, le corps entier de la jolie blonde était encore constellé dhématomes et de longues marques allant du vieux rose au noir, mais au moins ne souffrait-elle plus. Elle réintégra la cellule de la cave que son Maître avait aménagée : verrou sur la porte, nombreux gros anneaux dacier scellés dans les murs, le sol et le plafond. Il lui ouvrit sa salle de sport équipée de plusieurs appareils, lui enjoignant de pratiquer au minimum une heure par jour.

Au bout de cinq jours, il la fit agenouiller en soirée dans le salon et la sodomisa sans la préparer, lubrifiant juste sa bite. Elle ne put retenir ses cris ni ses sanglots car son anus navait plus été utilisé de plusieurs jours. Mais elle ne chercha pas à échapper à la douloureuse pénétration et chercha même à ravaler ses larmes et à faire honneur à monsieur Lenoir.

Tu es trop serrée, petite pute. Je vais te faire porter un plug à nouveau.

Oui, Monsieur… Ooh !

Il avait claqué sèchement la nuque de Mélanie avant de tirer sa chevelure en arrière, lobligeant à sempaler plus.

Ferme-la, je ne tai pas demandé ton avis ! Tu as envie dune nouvelle raclée ?

Non, Monsieur.

Tords tes nichons, fort. Pas de chiqué, je veux que tu aies mal…

Mélanie obéit et pleura de plus belle sous la douleur quelle sinfligeait alors que Lenoir pilonnait son anus avec une énergie redoublée. Sans lâcher la queue-de-cheval de la blondinette, lobligeant ainsi à sarquer en arrière dans une posture lancinante. Il se vida en grognant et libéra Mélanie qui se retourna pour lécher et nettoyer la grosse verge qui débandait à peine.

Dans deux jours, tu pars pour la clinique. Je tai réservé une place de TGV. Tu y resteras un mois, je pense. Tu réfléchiras à ce que tu souhaites comme modifications corporelles et quelles inscriptions tu porteras.

Monsieur, je vous fais confiance. Ce qui vous plaira me plaira.

Bonne fille. Que penses-tu de « PUTE » inscrit sur le front ?

Il vit ses lèvres trembler et ses yeux se figer un instant, puis elle hocha la tête.

Comme vous le souhaitez, Monsieur.

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