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Moi! Katia! 19 ans et nymphomane – Chapitre 12

Moi! Katia! 19 ans et nymphomane - Chapitre 12



CHAPITRE XII – EXPOSITION CANINE.

Nous sommes donc en route, Bruno et moi en direction des locaux de sa société.

Au bout de 5 minutes de route nous arrivons devant un immeuble d’affaire. C’est très classe dedans, ça brille de partout. Dans le hall il y a des plaques avec le nom de chaque société ayant un bureau ici. Le hall est plein de monde. Des connards d’hommes d’affaires qui ne me voient même pas tellement ils sont occupés à vociférer dans leur portable.

C’est donc dans la plus grande discrétion que nous prenons l’ascenseur.

Nous marchons dans le couloir. Bruno ouvre alors une porte et nous entrons.

Il y a 4 mecs qui tapent sur un clavier.

Bruno m’explique :

— Tu vois là ! ils sont en train de prendre les commandes ! Il y a quelques mois, ils étaient 20, mais nous n’avons pas pu les garder car le commerce ne marche pas bien !

Et moi de répondre :

— Oui ! Et c’est pour ça que ton associé veut monter un site internet de « cul ».

Il rougit et répond en hochant la tête en signe d’approbation.

Puis il rajoute :

— Viens ! Je vais te le présenter !

Il ouvre la porte d’un bureau !

Dans cette grande pièce il y a un grand bureau et un mec devant un ordinateur en train de pianoter.

Bruno referme la porte.

— Salut Steve ! Tout est Ok ?

Steve :

— Hey Bwouno ! How do you do?

Bruno:

— Fine! Je te présente une amie ! Katia !

Steve se lève. Oh putain le mec ! Une beauté ! Un apollon ! Merveilleusement bâti ! 1m90 environ ! Brun ! Des yeux d’un vert extraordinaire ! Il porte un costar taillé sur mesure d’une classe phénoménale. Il est tellement beau que je suis sûre qu’il n’a besoin que d’un claquement de doigt pour sauter n’importe quelle nana ! Même les plus fières !

Il marche vers nous. Moi je suis sous le charme. Il se met devant moi et dit à Bruno sans le regarder :

— Bwouno ! Can you let us alone please!

Je ne sais pas ce que Steve vient de dire car je ne comprends pas l’anglais, mais Bruno sort de la pièce et ferme la porte du bureau. Je suis très étonnée et légèrement paniquée. Une sorte d’angoisse me prend. J’ai la sensation que Steve était au courant de ma venue.

Steve se met devant moi. Il me regarde droit dans les yeux. Je frissonne.

Sans dire un mot, il porte sa main au noud de ma nuisette, tire dessus. Le noud cède, les pans se séparent. Steve les écarte, fait glisser les bretelles sur mes épaules, elle tombe et je me retrouve entièrement nue devant lui.

Ca a pris quelques secondes à peine, et je n’ai pas pu résister d’un pouce. Mon corps frissonne. Je sens mes tétons s’allonger.

Il les touche du bout des doigts et je ferme les yeux en poussant un léger gémissement. Putain mais comment se fait il que je me sois laissé faire sans rien dire et qu’en plus j’ai aimé ça ?

Il dit :

— You’re very exciting little bitch!

Je ne comprends pas ce qu’il dit et je m’en fous. Le coquin continue de jouer avec mes tétons. Je pousse un nouveau gémissement. Ca l’amuse de me voir prendre mon pied rien qu’en me touchant les tétons. Des tétons qui s’allongent de plus en plus.

— You love that ! fucking bitch!

Puis il s’éloigne de moi et va vers son grand bureau, me laissant nue au milieu de la pièce. D’un coup de main, il fait tomber tout ce qui se trouve sur son bureau, tapote dessous avec sa main et me dit :

— Put your ass on my desk!

Je ne sais pas ce que ça veut dire mais je comprends qu’il faut que je m’asseye sur le bureau.

En marchant sensuellement, je m’approche du bureau et m’assois dessus. C’est alors que Steve prend un appareil photo. Il va me prendre en photo nue. Me prendre en photo comme Bruno l’a fait, mais cette fois, je serais entièrement nue.

Le salaud ne me laisse même pas le temps de dire oui ou non. En 1 seconde je suis dans la boîte. Heureusement que j’avais les jambes croisées car il aurait vu mon minou.

D’un signe il me fait comprendre qu’il faut que je m’allonge sur le bureau.

Alors, langoureusement, je m’allonge en croisant les jambes et en passant un bras sur mes seins. « clic ».

D’un autre geste il me demande de rester allongée mais de me retourner. Le cochon veut prendre une photo de mes fesses et de mon dos nus.

« clic ».

A chaque « clic » je ressens des frissons dans tout mon corps. J’aime qu’il me photographie, ça m’excite. Je l’imagine en train de développer les photos de mon corps nu dans des positions langoureuses.

Tout en restant dans la même position, je plie une jambe pour poser le pied sur le bureau. Je lui offre mes fesses ouvertes et la fente de mon minou « clic » « clic » « clic ». Il dit :

— Very good !

A l’intonation de sa voix je comprends que ça lui plaît. Alors je me retourne sur le bureau pour me mettre face à lui, et je me mets dans la même position. Cette fois je lui offre mon minou car j’ai posé une fois de plus mon pied sur le bureau. En plus, je me soutiens avec le coude sur le bureau et la main sur la joue. Avec l’autre main sur mon ventre, tout près de mon pubis.

Il dit :

— Yes ! All right !

Et les « clics » défilent sans s’arrêter. Je mouille comme une chienne, pendant qu’il me photographie, je prends des poses de plus en plus langoureuses, érotiques, impudiques, jusqu’a ce que je finisse en levrette, les cuisses bien écartées, les reins cambrés et 2 doigts dans le minou. Je me branle et gémis pendant qu’il me mitraille. Il fait tout le tour du bureau pour me photographier sous tous les angles. Je suis à 2 doigts de jouir. Il suffit qu’il me touche le clito pour que j’explose.

Il me donne une tape sur les fesses. Je comprends que c’est fini. Je me remets donc assise sur le bureau, face à lui, les jambes largement écartées.

Il s’approche de moi, et se colle contre moi.

Je le sens entre mes cuisses avec la bosse de son pantalon contre ma chatte. Il me prend par le menton et me dit :

— You’re mine now and you’ll do all I want!

Il voit que je ne comprends pas. Alors il se recule un peu, passe sa main entre mes cuisses, la colle contre mon minou.

Je ressens comme de l’électricité dans tout le corps !

— Tiou va faiwes tiou ce je veux n’est ce pas.

Moi :

— Huummm ouii ! Ouii ! Ouii ! Yeeessss !

Il me prend par la main, me fait descendre du bureau, et m’emmène jusqu’au fauteuil situé au beau milieu du bureau.

Il me dit :

— Sit down now !

Je devine et m’assois dans le fauteuil.

Il prend ma cuisse droite et la passe par-dessus un accoudoir du fauteuil. Je ne résiste pas, j’ai envie de m’offrir à ses fantasmes.

Il prend mon autre cuisse et la passe sur l’autre accoudoir. Heureusement que je suis souple, car je suis complètement écartelée.

Je suis complètement ouverte pour lui. Ma chatte est trempée et il doit voir la mouille coulée d’entre mes grandes lèvres écartées. Je suis rouge de honte de m’offrir comme ça, de m’exhiber de la plus perverse des façons. Il crie :

— Bwouno ! Come on with Lucky!

Au bout de quelques secondes, je vois Bruno entrer dans pièce avec un magnifique chien, un danois.

Je prends peur et Bruno le voit. Il me dit :

— T’inquiète pas ! C’est juste pour l’érotisme, le chien ne te touchera pas !

Je souris, rassurée.

Effectivement, Steve prend le chien par le collier et l’amène à côté du fauteuil.

Bruno me dit :

— Caresse la tête de Lucky ! La photo sera très jolie !

Alors j’obéis et les cuisses complètement ouvertes et bien calée au fond du fauteuil, je me mets à caresser la tête de Lucky !

Les « clics » se succèdent, je me sens bien. C’est vrai que les photos doivent être érotiques.

Après une dizaine de photos, Steve pose l’appareil. Il marche vers moi mais ne s’arrête pas. Il est derrière moi et je ne vois pas ce qu’il fait.

Bruno s’exclame :

— Steve! You can’t do that! You promise me!

Je ne comprends bien sûr rien du tout. Tout ce que je vois c’est que Bruno fait une drôle de tête. Je sens la main de Steve me prendre le bras droit. Je ne résiste pas. Sans doute veut-il me faire changer de position pour faire des photos encore plus érotiques. Je sens alors qu’il passe une corde autour de mon poignet. Je m’inquiète un peu, mais je le laisse faire. Il prend mon autre bras et noue également une corde au poignet.

Puis, le coquin de Steve, prend la corde attachée à mon poignet droit. Je sens qu’il prend ma cheville gauche, et il noue la corde autour.

Je commence à paniquer et regarde Bruno d’un air suppliant. Je prends vraiment peur quand je vois Bruno baisser la tête pour échapper à mon regard. Je sais maintenant qu’il va se passer des choses pas catholiques dans ce bureau. Je n’ai même pas le temps de réagir car pendant que j’étais plongée dans mes pensées, Steve en a profité pour nouer la corde attachée à mon poignet gauche à ma cheville droite.

Puis le salaud passe un gros coussin entre mon dos et le canapé, pour que mes fesses soit bien au bord du siège et donc ma chatte bien offerte. Les cordes sont tendues. Je ne peux plus bouger.

Il prend l’appareil et commence à prendre des photos. J’ai les cuisses encore plus écartelées que tout à l’heure, ma chatte n’a jamais été aussi ouverte, je suis à sa merci.

Les clics s’arrêtent. Steve s’approche de moi à nouveau passe un bandeau sur ma tête et bande mes yeux. Là c’est sûr, il va m’arriver des choses terribles.

Surtout que j’entends Bruno dire :

— Bon moi je sors Steve ! Je ne veux pas voir ça !

Je panique :

— Non Bruno s’il te plaît ! Aide-moi ! Aide-moi ! J’ai peur, je ne veux pas !

J’entends Bruno :

— T’es vraiment un beau salaud Steve !

Puis j’entends la porte claquer.

Je suis seule avec Steve. Mais j’entends à nouveau la porte claquer. Puis plus rien.

Steve est sorti lui aussi. Sans doute pour s’engueuler avec Bruno. Pourvu que Bruno arrive à lui rendre raison.

La porte claque a nouveau, puis des pas. Des pas qui viennent vers moi. C’est sans doute Steve. Les pas s’arrêtent, il doit être juste devant moi. Le temps me semble interminable.

Je sens alors une main sur mon ventre. Une main qui enduit mon ventre d’une matière gluante. Puis, la main se retire. Tout à coup, je sens un souffle sur mon ventre. Puis quelque de chose de froid.

Je comprends alors que Steve à sans doute étaler sur mon ventre un produit qui attire les chiens, ou tout au moins Lucky.

La langue de Lucky est en train de lécher mon ventre. Je dis :

— Non Steve non !

Bien sûr, qu’un chien me lèche le ventre très grave en soi, mais vu la position dans laquelle je suis et avec mes membres attachés, je me doute bien que Steve ne va pas s’arrêter là.

La langue me lape lentement. Lucky semble apprécier le gout de ma peau. Ce n’est pas désagréable, comme des caresses. Mais je continue de supplier Steve de tout arrêter.

Je sens alors les mains de Steve sur mes seins. Il étale le produit sur toute la surface de mes seins avec délicatesse. J’ai peur car je sais ce qui va arriver, mais en même temps les mains de Steve me font du bien et je proteste avec une voix plus langoureuse que réprobatrice.

Bien sûr, la langue de Lucky se colle aussitôt sur mes seins.

Lucky, comme l’avait le chien du SDF la veille, se met à lécher mes seins sur toute leur surface. Je proteste. Je supplie.

— Noonn ! Steve ! Noonn !

Mais Steve n’à que foutre de mes supplications, il laisse Lucky déguster mes seins avec sa langue. Je frissonne de partout, je seins mes tétons s’allongés. Mon minou commence à couler.

Je remue la tête dans tous les sens en soufflant :

— Noonn ! Steve! Noonn ! Ohhh Steve! ohhh ! Noonn ! Hummmmm ! Huummmm !

Je commence à gémir doucement. Lucky me lèche et me lèche encore. Mes seins sont durs, lourds, mes tétons allongés comme jamais ! Je gémis chaque fois que la langue passe dessus. Je mouille de partout.

Lorsque je sens la main de Steve sur mon minou, je crie :

— Hohhhhh oiuuiiiiii ! Ouiiiiii ! Ouiiiii !

Je me lâche. Steve est en train d’étaler le produit sur mon minou, dans quelques secondes, dès qu’il aura retiré sa main, c’est la langue de Lucky qui va se jeter sur ma chatte.

La main se retire, je prends ma respiration et là c’est le pied. Je manque jouir alors que Lucky vient à peine de poser sa langue sur ma chatte.

Lucky se met à me lécher la chatte avec encore plus d’acharnement qu’il ne l’a fait sur mes seins et mon ventre, sans doute à cause de l’odeur de ma cyprine.

Je gémis comme une dingue. La langue lape mon minou, elle couvre mes grandes lèvres entièrement tellement elle est longue. Le bout essaie de s’insinuer entre elles. Mon clitoris gonfle et la langue le lèche à toute vitesse. Ca me rend dingue. Je me mets à gémir à pousser des petits cris. J’aurais envie de caresser la tête de Lucky, pour qu’il me lèche mieux encore mais je ne peux pas à cause de mes liens. Etrangement, c’est ce qu’il y a de plus excitant dans tout ça. D’être attachée et livrée à la volonté de Steve, a la langue de Lucky, c’est terriblement jouissif.

Je suis folle de plaisir, jamais je n’ai été en transe comme ça. C’est à croire que je préfère les chiens aux hommes. Rien qu’en le léchant le minou, les chiens me rendent folle, alors qu’est ce que ce serait si l’un d’eux me faisait l’amour, ce serait le nirvana.

J’en suis à ses pensées alors Steve repousse la tête de Lucky pour étaler encore plus de produit sur ma chatte. Mes gémissements s’accroissent car je sais que quand Lucky va revenir il va s’acharner encore plus sur moi.

Steve enlève sa main. La langue de Lucky se précipite et s’active encore plus. Je suis au bord de la jouissance.

Voyant mon état proche de l’extase, Steve étale le produit sur mon visage. Ca sent mauvais mais je m’en fous, ce que je veux c’est que Lucky me lèche de partout et j’approuve Steve de vouloir écarter le chien de mon minou prêt à exploser. Il veut faire durer le plaisir et je veux que ça dure aussi, car je sais que de toute façon il ramènera Lucky vers mon minou et là j’exploserais sur sa langue.

Steve prend Lucky par le collier et plutôt que de l’amener sur le côté du fauteuil pour qu’il me lèche le visage, il se débrouille pour le faire grimper au dessus de moi. Lucky a ses pattes sur les accoudoirs du fauteuil. Je sens son pelage contre mon ventre. Ca fait un drôle d’impression, bien loin d’être désagréable. Lucky se met à lécher mon visage.

Et là, il se passe quelque chose d’étrange, d’incroyable. Je sens quelque chose contre mon minou, ou plutôt sur mon pubis. Je comprends qu’il s’agir du sexe de Lucky. En remuant, le sexe canin heurte ma vulve. Je pousse un petit cri. Le sexe de Lucky cogne mon minou, puis s’éloigne, puis il le touche à nouveau. Je mouille de plus belle. Lucky me rend folle. Je me mets à gémir à chaque coup de sexe. Et cette langue qui me lèche le visage. J’ouvre la bouche pour sortir ma langue. Celle de Lucky se colle à la mienne, elle pénètre dans ma bouche. Je fais tourner ma langue contre la sienne. Je suis folle, complètement folle. Je suis en train de rouler une pelle au chien avec son haleine malodorante.

Je sens alors le sexe de Lucky contre ma vulve. Je pousse des petits cris. Ca y est, Lucky me prend pour une chienne en chaleur et veut me prendre.

Le gland de Lucky se colle de plus en plus souvent à ma vulve. Il halète contre ma bouche. Il donne des coups de reins. Je crie :

— Ohhh noooonnnnn !

Mais Lucky s’en fout et Steve aussi. D’un coup de rein, le sexe pénètre dans mon minou. Je pousse un autre cri. Le sexe ressort. Puis il revient et pénètre une nouvelle fois et cette fois, il ne sort plus.

— Ohhh bnoooonnn noonnnn ! noonnn !

Le sexe se met alors à aller et venir dans mon minou. Des chaleurs folles m’envahissent, je frémis de partout. Je laisse aller ma tête en arrière. Le chien me baise à toute vitesse.

— Noooonn ! Noonnnn ! Noonn ! Hummm oooohh Huummm ouiiiiiiiiiiiiiii !

Je suis en train de prendre mon pied, le sexe de Lucky va à toute vitesse dans mon minou. Il va loin, très loin, percute le fond de ma chatte, je gémis comme une dingue. Je sens quelque chose, comme une boule, qui se met à grossir dans ma chatte. C’est étrange, ça doit être un particularité d’un sexe de chien. Cette boule gonfle tellement, elle est tellement énorme que Lucky à énormément de mal à faire des allées et venues, c’est comme s’il était coincé dans ma chatte.

Je sens alors que mes bras et mes jambes sont libres. Sans que je m’en rende compte, Steve vient de me détacher.

Plutôt que de me débattre et m’échapper, je passe mes bras autour de Lucky, je lève mes jambes, enserre Lucky avec et je l’accompagne dans ses difficiles mouvements d’aller et venues. Je suis en train de faire l’amour avec lui. Je suis en train de faire l’amour avec un chien.

Le chien remue à m’en arracher l’utérus, à me détruire complètement. Je pousse des hurlements de plaisir. Jamais je n’ai pris un pied pareil. C’est inhumain les cris que je pousse.

Puis tout à coup, Lucky pousse des grognements, je reçois des jets de spermes brulant au fond de mon minou. Lucky essaie de se retirer, mais c’est impossible. Cette boule, cette merveilleuse boule qui me donne tant de plaisir est bel et bien coincée en moi. Lucky tire et tire encore il pousse des petits cris de douleurs. Je suis folle de plaisir, jamais je n’ai pris un tel pied. Lucky parvient enfin a s’arracher de moi et quelque chose d’incroyable se produit alors. Je jouis comme une dingue et en jouissant, je sens qu’un jet de liquide s’échappe de mon minou. Le liquide que je rejette va à 2 mètres au moins de moi, et je pousse un cri que je n’ai jamais poussé :

— Ouuuuuuuuuuuaaaaaaaahhh ! Hummmmm ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Lucky vient de me faire jouir comme aucun homme n’avait réussi.

Steve dit :

— Tiou viens d’awoir un vwrai owgasme ! Tiou a éjaciouler ! Tiou es oune femme fontwaine now !

Une femme fontaine ! Ca veut dire quoi ça ? Lucky ayant terminé son coït, il se retire, langue pendante.

Je reste affalée dans le fauteuil, épuisée. Lorsque j’ouvre les yeux, je vois Bruno devant moi. Je manque fondre en larmes. Bruno a tout vu. Il m’a vu me faire prendre par Lucky, il m’a vu jouir, quelle honte. Il me respectait jusqu’à maintenant mais je crois que c’est fini. Dans son regard, je ne vois plus aucun sentiment, plus aucune compassion, je ne vois que du dédain.

Ca me rend très triste car j’aime beaucoup Bruno. J’ai envie de lui demander pardon, mais a quoi bon. Il a bien vu que je prenais mon pied avec Lucky. Il a bien vu que j’ai enserré son corps avec mes jambes pour qu’il me prenne plus fort encore. Il a bien vu que j’ai éjaculé tellement j’ai aimé ça.

Puis je vois qu’il tend un appareil photo à Steve.

Moi :

— Non Bruno ! Tu n’as pas fait ça ! Tu ne m’as pas pris en photo comme ça ?

Bruno ne répond pas.

Il s’approche de moi, me prend par le bras et m’oblige à me lever du canapé. Puis il me guide vers une porte. Il ouvre la porte. Nous entrons. Dans la pièce il y a un lit :

— Repose-toi ! Ce soir il faut que tu sois en forme, nous avons un RDV d’affaire !

Je devrais partir en courant, fuir et rentrer chez moi, mais je suis tellement abattue et épuisée que je me dirige vers le lit et m’allonge nue sur celui-ci. Et puis il faut que je revois Bruno, pour m’excuser c’est surtout pour ça que je reste ici. Là il est encore sous le choc et ne voudra pas entendre mes excuses mais dans quelques heures j’ai l’espoir que sa colère soit passée.

Tout à coup, j’entends un grognement. Je me mets assise sur le lit brusquement et je vois Lucky allongé sur le flanc contre le mur de la pièce.

Dire que j’ai fait l’amour avec lui, je me dégoute. Je souris car il semble rêvé en poussant des petits gémissements. Il est mignon tout plein.

Je me lève du lit et m’approche de Lucky. Je m’agenouille devant lui et le caresse tendrement pour le calmer et le rassurer pour le cas ou il ferait un cauchemar.

Il est musclé, puissant, magnifique. Son poil est doux, c’était si délicieux lorsqu’il était sur mon ventre, comme de la soie.

Tout en le caressant, je m’allonge nue contre lui. Aussitôt cette sensation de douceur me reprend. Je suis bien contre Lucky, c’est doux, délicieux.

Allongé comme ça, il est encore plus grand que moi. Ca me donne l’impression qu’il me protège, je me sens en confiance contre lui, j’ai la sensation que rien ne peut m’arriver. Ce n’est pas parce que c’est un gros chien de garde, non, c’est une autre sensation, une sensation de bonheur et de soumission en même temps, comme si Lucky était mon. heu… mon amant. J’en oublie presque que c’est un chien. Je me blottis encore plus fort en frottant mon buste contre lui. Puis, je me mets à embrasser sa tête. Sa langue pendante est tout près de ma bouche. J’hésite beaucoup, mais c’est plus fort que moi, je pose mes lèvres sur sa langue et dépose des bisous dessus. Bien sur ça ne sent pas très bon l’haleine d’un chien, mais là, je trouve ça terriblement excitant. Je sors alors ma langue et doucement, tendrement je me mets à lécher la sienne. En même temps je caresse son corps, ça m’excite, je sens mon minou tout mouillé. Je prends le bout de sa langue dans ma bouche et je me mets à lui rouler une pelle formidable. Je me blottis encore plus, je le caresse avec beaucoup de force, je le serre contre moi, ma main s’évade, elle file sous son corps entre ses cuisses. Je ne tarde pas à rencontrer son sexe. Doucement, et sans hésiter une seconde, je me mets à le caresser. A ma grande surprise, je me rends compte que Lucky se met à bander.

Mon minou se met à mouiller de plus belle, d’autant plus que tout en le caressant comme si je branlais un homme, je frotte mes seins contre sa fourrure. Je m’affole complètement moi-même, je me frotte comme une dingue contre le corps de Lucky tout en gémissant. Une envie dingue me prend je suis complètement obsédé par ce sexe dans ma main. Là, j’ai un éclair de lucidité, qui m’excite encore plus au lieu de me calmer. Je me rends compte que ce chien m’excite au plus haut point, sans même me toucher, alors que je n’arrive pas à ressentir la moindre envie avec Jacques.

Ca me rend dingue, je préfère ce chien à mon mec. Je suis prête à faire avec un animal ce que je n’ai jamais fait avec Jacques. Non seulement je suis prête, mais j’en ai une envie irrésistible.

Je m’écarte de Lucky. Non pas pour m’éloigner de lui, mais pour m’allonger à nouveau contre lui en sens inverse.

Lucky et moi sommes tête bêche, son sexe est a quelques cm de ma bouche. J’ai alors un baisse d’excitation, c’est pas beau un sexe de chien. C’est tout rouge, c’est bizarrement foutu, et n’a pas grand-chose d’excitant. Mais, a mon grand désarroi, ou plutôt à mon grand bonheur, en m’allongeant et pour me blottir encore plus contre Lucky, pour sentir son pelage encore plus contre mon corps, j’ai passé ma cuisse gauche par-dessus sa tête.. Et comme dans son sommeil, Lucky à bouger la tête, sa truffe s’est collée à mon minou. C’est foudroyant, je suis parcouru par une onde de plaisir incroyable. Je ferme les yeux et repend le sexe de Lucky dans la main. Je recommence à le branler lentement, je suis de plus en plus excitée et heureuse. Puis tout à coup, je reçois une merveilleuse décharge d’adrénaline. Lucky vient de donner un coup de langue sur toute la surface de ma chatte. Je pousse un gémissement, mon corps se cambre, je lève la jambe gauche, celle que j’avais passé au dessus de la tête de Lucky. Mes cuisses sont largement ouverte et mon minou entièrement livré à la langue de mon amant, car pour moi Lucky n’est plus un chien, c’est mon amant, c’est mon homme. Lucky donne un second coup de langue, je gémis, un 3ème, je gémis plus fort encore. Je ne sais pas s’il est réveillé ou s’il fait ça pendant son sommeil, toujours est il qu’il se met à me lécher sans discontinuer. Je ne suis que gémissements, frissons, spasmes de plaisirs. J’ai envie, j’ai trop envie, j’ouvre les yeux et je vois à nouveau ce sexe rouge extrait de son fourreau aller et venir dans ma main. Je ne le vois plus avec le même regard, je le trouve beau, extrêmement beau, merveilleusement appétissant. Alors, je pense à Jacques une nouvelle fois, ça me rend dingue. Je suis en train de penser que je n’ai jamais pris le sexe de Jacques dans ma bouche, que je ne lui ai jamais fait une pipe, et je suis prête à.

Cette pensée m’excite encore plus et Dieu sait si j’étais déjà excitée, non seulement je suis prête, mais j’en ai terriblement envie, une envie irrésistible tellement Lucky me rend folle de plaisir. Alors j’approche ma tête du sexe de Lucky, j’arrête de le branler, je sors ma langue, je ferme les yeux, je tends la langue et je touche le bout du sexe à Lucky. C’est le pas qu’il fallait franchir, le pas qui chasse tous les tabous, j’y ai gouté, j’ai touché le fond de la perversité, je ne peux pas faire pire que ça, alors j’ouvre la bouche en grand et je gobe le sexe de Lucky entièrement, sur toute sa longueur. Plus rien ne peux me retenir, plus rien ne me fera retourner en arrière, je l’ai fais, c’est tout, je suis libre désormais de le faire jusqu’au bout. Alors je me lâche, je me mets à faire aller et venir le sexe de Lucky dans ma bouche en faisant tourner ma langue autour du manche comme si c’était un sexe d’homme. Etrangement je trouve ça meilleur qu’un sexe d’homme, beaucoup plus excitant en tout cas.

Je pousse des gémissements étouffés car Lucky lui, n’a pas arrêté de me lécher comme un dingue. Je gémis, Lucky gémit. J’ai envie de lui, terriblement envie de lui, j’ai envie d’être sa chienne. Je le suis déjà, mais j’ai envie de l’être plus encore, j’ai envie qu’il me prenne comme une chienne, envie de me mettre dans la même position qu’une chienne. Je n’ai pas envie qu’il devienne un homme, j’ai envie d’être une chienne, un animal, sa chienne, sa femelle. Je viens de m’apercevoir qu’en fait, c’est moi qui ai envie de me mettre à son niveau, à être sa femelle, et je ne veux pas que lui se mette au rang d’être humain.

Alors, je me sépare de Lucky, me met à 4 pattes au milieu de la pièce. Lucky était bien réveillé, il ne me léchait pas en rêvant, il me léchait vraiment et aimait beaucoup que je le suce. C’est bizarre mais je me sens toute honteuse vis-à-vis de lui. Si il peut penser, il doit me prendre pour une drôle de salope de l’avoir excité pendant son sommeil. Je me sens honteuse car une femelle ne fait jamais ça, c’est au male de faire le premier pas. J’ai honte devant lui.

Je sens le pelage de Lucky sur mon dos. Je sens ses pattes enserrer mon corps. Je suis sa prisonnière, il est puissant, je lui suis soumise et j’aime ça.

Je l’entends haleter, je sens des coups de sexe contre mes fesses, j’ouvre les cuisses. Lucky donne des coups de reins, rapides, puissants et maladroits, je me cambre, m’ouvre encore plus. Je ressens une décharge électrique dans tout le corps, Lucky vient de pénétrer en moi violement. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits car il va et vient à toute vitesse dans mon minou. J’halète autant que lui, il me perfore littéralement, c’est puissant, ça fait mal, mais c’est bon, terriblement bon. Je suis à lui, je l’aime, c’est bon, oh oui c’est bon. Huummm je jouiiissss, Lucky vient de me faire jouir d’une manière fantastique, mais lui n’a pas terminé, il en veut encore, il veut encore sa femelle, et sa femelle est à lui, sa femelle en veut encore. Il va et vient de plus en plus vite, je suis en nage, mon minou me brule tellement c’est bon. Sa fameuse boule qui a regonflé à nouveau circule sur toute la longueur de ma chatte, cette fois il peut faire des allées et venues sans problèmes, les problèmes, les délicieux problèmes c’est maintenant moi qui les ait, car cette boule en allant et venant me détruit complètement la chatte à m’en faire exploser de bonheur. Je pousse des cris :

— Huumm ouii ! Lucky, Lucky oh c’est bon ! Ohh Lucky je t’aime ! Ohh défonce moii !

Puis :

— Ohhhhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiii ohhhhh je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiisss ! Luuckkyyyyyy !

Lucky est épuisé, il n’arrive pas à jouir. Alors une idée folle me prend, je m’extrais de sous son corps, et me précipite la tête la première sur son sexe. Je le prends dans ma bouche, et me met à lui faire une pipe formidable, en le branlant à toute vitesse. Lucky pousse un petit aboiement et je reçois des jets de spermes dans la bouche, ça gicle sans discontinuer, je devrais recracher, personne j’en suis sure n’a avaler de sperme de chien, et pourtant, au fur et à mesure que ma bouche se rempli, j’avale à grande gorgée tout ce qui gicle dans ma bouche, et ça n’arrête pas de gicler.

Et c’est pendant que j’avale allègrement, en gémissant, à la limite d’une 3ème jouissance que j’entends la porte de la pièce dans laquelle mon amant et moi sommes en train de nous aimer, s’ouvrir.

Le pire c’est que je m’en fous, et même si Lucky à fini de se vider dans ma bouche, je continue de le pomper tellement je suis excitée, tellement j’aime ça. Et quand j’entends Steve dire:

— Shit Bwouno, come on, look at that l! She gives a blow job to Lucky!

Et là j’explose jouissance en griffant le pelage de Lucky. Une nouvelle fois c’est merveilleux, une nouvelle fois du liquide gicle de ma chatte à grande eau, une fois de plus j’atteins l’orgasme suprême.

Je me retourne et je vois Steve l’air satisfait et Bruno l’air légèrement dégouté.

Steve dit:

— She’s really an ejaculate woman! Tiou es vwaiment oune fem’ fountain !

Je me relève et demande à Bruno:

— Bruno ? Qu’est ce qu’il vient de dire !

Comme je lui ai posé la question avec mon regard le plus charmeur, il me sourit gentiment, oubliant ce qu’il vient de voir et répond :

— Il a dit que tu es une femme fontaine !

— Qu’est ce que ça veut dire ?

— C’est extrêmement rare ! Ce sont des femmes qui atteignent un plaisir tel, qu’elle éjacule comme les hommes ! Ce sont en général les plus grandes nymphomanes ! Ce sont des femmes qui aiment le sexe, l’amour, qui aime jouir ! Voilà !

Je souris, fière de faire partie des plus grandes salopes de la terre.

— Mais comment se fait il que ça ne me soit jamais arrivée avant !

Il a un petit rire moqueur mais pas méchant :

— C’est à croire que Lucky a été ton plus bel amant jusque là !

Moi :

— C’est vrai que c’est bon avec lui ! Je ne sais pas pourquoi !

Bruno :

— A mon avis, tu viens de découvrir ce que tu es vraiment, une jouisseuse, une femme qui aime prendre du plaisir sexuellement parlant ! Tu vas devenir une des meilleures baiseuses du monde ! Mais fais quand même attention Katia, être unique c’est merveilleux, mais il y a toujours des salauds pour en profiter !

Moi :

— Arrête tu m’excites !

Je ne sais pas comment il a compris ma réponse, mais pour moi ça voulait dire : « que les salauds en profitent le plus possible ».

J’ai tout oublié, ou plutôt non, je n’ai rien oublié mais je me fous de tout. Je sais que je fais du mal à Jacques, mais je prends mon pied et c’est ça l’essentiel. Si il savait le pauvre que c’est un chien qui m’a donné le plus grand des plaisirs, si il savait que 2 chiens m’ont léché à me tuer de plaisir, si il savait que l’un d’entre eux m’a baisé à m’en faire gicler de partout, si il savait que j’avais fait une pipe à ce chien alors que lui n’a jamais eu le privilège et ne l’aura certainement jamais, il en serait fou de rage. Mais je me fous de tout ça, tout ce qui importe pour moi, c’est le sexe, la luxure, la jouissance à n’importe qu’il prix, avec n’importe qui.

Bruno me dit :

— Habille-toi Katia ! Nous avons un diner ce soir !

Moi :

— Mais quelle heure est-il ?

Bruno :

— Il est 19h30 ! Allez habille toi !

Moi :

— Mais je ne suis pas habillée pour un diner, je dois passer chez moi d’abord !

Bruno en souriant étrangement :

— Ne t’inquiète pas ! Tu es parfaite dans ta nuisette !

Je lui souris. Après tout moi aussi je me sens parfaite dans ma nuisette, et c’est tellement plus excitant pour les hommes. Je me sens attirante au possible. Je suis heureuse.

Nous sortons de la pièce tous les 3, puisque Lucky à mon grand regret n’est pas invité.

Puis nous sortons de la Société et nous montons dans un magnifique Mercedes, cette de Steve.

J’ai l’impression que Steve est l’actionnaire très majoritaire de cette Société, car Bruno parait plutôt être sous ses ordres et beaucoup moins riche que lui. Mais je m’en fous, j’aime beaucoup Bruno, il est doux, attendrissant, attentionné. Steve lui, n’a rien de tout ça, mais il n’a pas froid aux yeux, il ne respecte pas les femmes, c’est un terrible pervers. Et pour tout vous dire, il faut bien avouer que c’est Steve que je préfère. J’aime ce genre de mec sans scrupule, je suis soumise à ses fantasmes et j’aime ça.

Mes pensées sont interrompues car Steve gare la voiture devant un grand restaurant.

Ca a l’air très classe. Nous descendons de la voiture. Steve me prend par le bras et nous entrons dans le resto ou nous sommes accueillis en grande pompe. Y a même un loufiat qui prend les clés de la voiture à Steve pour aller la garer, la grande classe quoi.

Steve parle avec le maitre d’hôtel qui s’est précipité vers nous. Il semble bien le connaître. C’est vraiment quelqu’un ce Steve. Je suis fière d’être à son bras.

Nous suivons le maitre d’hôtel. Moi j’ondule bien des reins avec beaucoup d’indécence pour exciter les autres convives avec ma nuisette bien trop courte. Il y a un grand silence pendant toute notre traversée de la salle. Je sais que c’est mon passage qui crée ce silence et j’en suis fière.

Le Maitre d’hôtel ouvre un rideau et nous entrons dans un salon privé ou une table est dressée. La grande classe nous allons diner dans un salon privé comme des pachas.

Assis à la table, il y a un homme. Un mec de 60 ans environ, très classe, très beau, très riche. Rien que son costard doit valoir au moins 5.000? et peut être plus.

Je suis un peu intrigué par sa présence et surtout gênée car je n’ai pas appris les bonnes manières et j’ai peur de ne pas être à la hauteur.

L’homme ne me regarde même pas. Il ne se lève même pas pour nous saluer. C’est Steve et Bruno qui font le pas.

La grande classe, le mec hyper important, la puissance à l’état pur, puissance financière bien sûr.

Ce mec doit avoir le bras long et une importance capitale pour Steve qui tout à coup est tout mielleux. L’homme doit être habitué à ce qu’on lui lèche le cul, car il a comportement méprisant envers Steve et Bruno. J’aime pas ce type, mais en même temps, il m’intrigue, m’attire, mais je sais bien que je ne l’intéresse pas du tout. Pour lui je ne suis juste qu’une décoration quelconque, une potiche.

Je l’imagine faire un claquement de doigt vers moi. Je m’imagine alors passer sous la table sans broncher pour lui faire une pipe.

Oui ! Je crois que s’il faisait ça, je lui obéirais, ça m’exciterait beaucoup. D’ailleurs ça m’excite.

Steve et l’homme discutent alors que Bruno reste légèrement en retrait. Je comprends que c’est un repas d’affaire et que c’est Steve qui prend les choses en main.

L’homme doit être américain, car lui et Steve parlent anglais avec cet accent nasillard caractéristique aux amerloques.

Le serveur se pointe et nous tend les cartes pour choisir le menu.

Steve sort une enveloppe de l’intérieur de sa veste et la tend vers l’homme. L’homme en extrait des documents qu’il regarde attentivement. De la manière dont il les regarde, je comprends que ce sont des photos.

Je me crois dans des films d’espionnage. Je m’imagine que ce sont des photos de document ultras secrets, ou alors des photos compromettantes sur l’homme d’affaire et Steve exercerait un chantage sur lui. Mais l’homme à l’air trop sur de lui pour que ce soit ça

L’homme remet les photos dans l’enveloppe et dépose celle-ci sur la table.

Il dit:

— It’s impossible! These pics are not real! No girl in the world can do that!

Steve s’énerve:

— It’s real! I promise you!

Le ton monte au fil des minutes, jusqu’au moment ou Steve se lève et dit:

— Ok! I’m wanted to prove it!

Il se dirige vers moi. Il prend ma chaise et la tire violement en arrière de telle façon que je sois bien éloigné de la table. Moi je ne comprends absolument rien à ce qui se passe. Puis à une vitesse telle que je n’ai pas le temps de réagir, il défait le noud de ma nuisette et l’ouvre. Je me retrouve nue devant l’homme qui me regarde d’un air impassible. J’ai la sensation bizarre que je suis l’objet d’une négociation, que Steve m’échange contre la signature d’un contrat

Je suis tellement impressionné par cet homme, j’ai tellement envie de faire plaisir et d’aider Steve et Bruno que je n’essaie même pas de me recouvrir.

Puis Steve appuie sur une sonnette. 10 secondes plus tard, le maitre d’hôtel ouvre le rideau et entre dans le salon. Une qui se sent mal, c’est la jolie Katia. Déjà être mise à nue devant l’homme d’affaire ne me rendait pas très fière, mais maintenant c’est aussi devant le maitre d’hôtel que je suis à poil. Le pire, le plus humiliant c’est que je suis à l’écart de la table. Je me sens de plus en plus potiche. Je suis sûre que le maitre d’hôtel m’a vu, mais il fait comme si ce n’était le cas.

Steve lui parle à l’oreille. Le maitre d’hôtel écoute attentivement, en approuvant de la tête de temps en temps. Puis il dit :

— Tout de suite Monsieur !

Bruno me dit :

— Katia ! Je suis désolé mais il faut que tu t’asseyes sur le sol en tailleur.

Je le regarde hébétée. Au point ou j’en suis-je peux bien faire ça pour eux, si ça peut les aider. Je descends de la chaise et m’assois en tailleur à coté. Evidemment mon minou est tout ouvert dans cette position. Sans doute que Steve et Bruno veulent essayer de convaincre l’homme d’affaires en montrant ma beauté plus en détail.

Je suis gênée au possible. J’aurais préféré que le mec bave d’envie en me regardant, mais au lieu de ça, il n’a pas bronché, il continue de fumer sa cigarette élégamment sans laisser transparaitre le moindre désir. C’est ça qui me gène. Je prendrais bien des initiatives, mais je ne crois pas que je doive le faire. Je dois attendre les ordres sans me poser de question.

Une voix provenant de derrière le rideau. C’est le maitre d’hôtel.

Steve se précipite, ouvre le rideau et sort. Au bout de quelques secondes, le rideau s’ouvre, et Steve apparaît avec à sa main, une laisse. A l’autre bout de la laisse, un batard sans nom. Un chien, encore un chien. Un chien de taille moyenne, qui a l’air sale, enfin un batard quoi.

Là je frissonne. Pourquoi ce chien ! Pourquoi m’a-t-on fait mettre en tailleur ! Je crains le pire ! Je crains le pire d’autant plus que Steve s’approche de moi avec le chien. Je deviens rouge comme une tomate et j’ai peur, j’ai honte car je sais ce qui va se passer.

D’autant plus que l’homme, étrangement, me regarde avec un regard intéressé. Steve prend le batard horrible par le collier, et tire sa tête entre mes cuisses. Je jette un regard désespéré vers Bruno qui a tourné la tête pour ne pas voir ça. J’essaie de serrer les cuisses, mais en tailleur ce n’est pas facile, aussi c’est avec une facilité déconcertante que Steve colle la truffe du chien sur mon minou.

Tout va alors très vite. Le chien ne traine pas une seconde, il se met à me lécher à toute vitesse, sur toute la surface de ma chatte. Malgré moi, je pousse un gémissement, un gémissement de plaisir, d’immense plaisir. Alors j’oublie tout, j’oublie ma honte, j’oublie l’homme, Steve, Bruno, j’oublie la laideur du chien. Je prends appuie avec mes mains derrière mon dos, me cambre au maximum, soulève légèrement mes fesses pour donner libre accès au chien. Le salaud me lèche a une vitesse folle, je coule de partout, je gémis, pousse des petits cris lorsque le chien mordille délicieusement mes grandes lèvres et mon clitoris. Ca ne fait pas 30 secondes que le chien me lèche que je pars dans une jouissance extraordinaire, aussi forte qu’avec Lucky, et incomparable avec les orgasmes que j’ai avec les hommes tellement le pied que je prends avec les chiens est fort.

Bien évidement encore une fois, ma chatte se met à gicler à grandes eaux, inondant la tête du chien que ça excite encore plus. Cette langue qui s’affole encore plus sur ma chatte, qui se fait plus pressante, qui est à 2 doigts de pénétrer dans mon minou, me rend hystérique. Alors, je bascule sur le coté et me retrouve en levrette, je me cambre au maximum en écartant bien les cuisses. J’halète de plaisir, autant que le chien. Il a recollée sa truffe à ma chatte et, l’accès étant beaucoup plus facile que tout à l’heure, il se met à me lécher avec une fureur terrible. Je gémis comme une petite pute, je pousse des cris qui doivent résonner dans tout le restaurant mais je m’en fous, je prends mon pied. La langue du chien s’égare entre mes fesses, léchant de temps à autres mon petit trou brulant. C’est bon, c’est terriblement bon. Le chien ne se concentre plus que sur mon anus. J’écarte les cuisses, pour bien écarter mes fesses et la langue devient folle. Mon anus brule, je suis secouée par des spasmes terribles. Puis je ne sens plus la langue du chien, mais je sais qu’il est encore là car j’entends ses halètements. Alors je comprends, je comprends qu’il faut que je me soumette à mon male, je comprends qu’il faut que je subisse ses assauts, alors je me cambre. Je sens son corps grimper sur le mien, ses pattes enserrées ma taille, ses griffes meurtrir ma peau, puis son sexe, son sexe qui commence à cogner contre mon minou maladroitement, puis il devient plus précis, cogne contre ma vulve. Je lance la tête en arrière en criant, le chien vient de pénétrer tout d’un coup en moi et se met à aller et venir comme un fou. Le plus terrible, le plus fou, l’extase, c’est que son sexe s’échappe souvent de ma chatte pour cogner contre et se renfoncer à nouveau. Je transpire de partout, je secoue la tête dans tous les sens, je sens en train de prendre un pied phénoménal. Une nouvelle fois le sexe du chien sort de ma chatte avec cette boule qui une fois de plus arrache mes entrailles, c’est intenable, je craque, je sens une nouvelle fois des jets terribles gicler de ma chatte et je pousse un cri de folie sous cet orgasme merveilleux. Le chien pénètre une nouvelle fois violement, j’ai une envie folle qu’il gicle en moi, qu’il explose dans ma chatte. Alors, je remue des fesses dans tous les sens comme je ferais pour faire jouir un homme. Le chien pousse un grognement suivi d’un petit cri et je sens la sève brulante exploser au plus profond de moi. Et pour la 3ème fois en l’espace de quelques minutes, des jets de cyprines s’échappent de mon minou.

Le chien sort de moi qui m’écroule sur le sol d’épuisement. Un épuisement du aux 3 jouissances extraordinaires que je viens d’avoir.

Je reste comme ça quelques secondes, puis je sens une main attraper mon bras, puis la voix de Bruno dire :

— Allez viens ! Tu as été merveilleuse et tu nous as bien aidés !

Je comprends alors que grâce à moi, la négociation a aboutie et j’en suis très heureuse.

Je me redresse, nue, le corps marqué par les griffes du chien, je remets ma nuisette et me rassois à ma place. L’homme d’affaire ne s’intéresse toujours pas à moi. L’ambiance est beaucoup plus détendue entre les 3 hommes. Le repas se déroule tranquillement. Moi je ne participe pas à la conversation, d’abord parce que je ne dois pas &ecirc%3

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