Histoires de sexe mobiles Premières histoires de sexe

Mon beau père – Chapitre 2

Mon beau père - Chapitre 2



ATTENTION, Histoire très Hard, pur fantasme, mettant en scène des rapports sous contrainte avec une femme. Si vous n’aimez pas, passez votre chemin.

Bien sur, après cette histoire, je refusais de retourner chez les parents de Sébastien, trouvant toujours une bonne excuse quand il y allait. Malgré ce qui s’était passé, j’étais toujours avec lui, de plus en plus amoureuse même. D’abord, il n’y était pour rien si son père est un salop! Et puis, il est tellement gentil, tellement attentif, que c’était pour moi réellement l’homme de ma vie. Et tant pis si je devais pour cela supporter son père, je le verrais le moins souvent possible, et c’est tout! Notre relation étant de plus en plus intense, je passais un week-end pendant lequel il était rentré chez ses parents à me convaincre qu’il fallait que je lui parle de cette histoire, qu’il me croirait forcément. Mais à son retour, il parla avec tant de passion et d’admiration de son père, comment celui-ci, durant la fête du village avait d’un simple regard fait baisser les yeux du Maire qui lui faisait une remarque sur un épandage sauvage, que je compris que jamais je n’arriverai à lui faire croire mon histoire, et que je risquais vraiment de le perdre.

Alors que j’ai réussi avec plus ou moins de succès à me défiler chaque fois que Sébastien rentrait chez lui, l’appartement que nous partagions subit un dégât des eaux au début novembre, nous obligeant à quitter les lieux pendant quelques jours. Pour Sébastien il était tout à fait naturel que nous irions passer ces quelques jours chez ses parents. Quand j’essayais de trouver une solution alternative, il me regarda d’un drôle d’air, à la fois peiné et en colère et me demanda si j’avais un problème avec ses parents. Il rajouta que ses parents comptaient énormément pour lui, plus que tout. La menace était à peine voilée et je m’empressais de dire que j’appréciais beaucoup ses parents et que finalement je serais très heureuse de pouvoir les revoir à nouveau.

Nous partîmes donc avec la vieille voiture de Sébastien pour retourner chez ses parents. En y allant je me promis de ne pas quitter mon amoureux d’une semelle, et que je serais ainsi protégée des avances probables de son père. De plus, je ne pris que des affaires amples, afin de ne pas le provoquer et de cacher mes formes.

Nous arrivâmes pour l’heure du dîner. En descendant de la voiture, Sébastien fît une bise à son père, puis à sa mère pendant que je saluais son géniteur. En me faisant la bise, ce dernier posa, à l’insu de son fils bien sur, une main sur un de mes seins à travers le pull-over et le serra violemment. Il me regarda ensuite d’un air entendu qui me fit froid dans le dos. Il annonçait clairement la couleur. Mais j’étais bien décidée à ne pas le laisser faire.

Durant les premiers jours de notre séjour, comme je l’avais planifié, je ne quittais pas Sébastien d’une semelle. Il trouvait ça un peu louche, me demandant parfois pourquoi je le collais comme ça, mais je lui répondais que c’était parce que je ne pouvais pas me passer de lui une seconde. Il eut l’air d’apprécier le compliment. De toutes manières, je désirais me tenir le plus possible à ma stratégie. Cela avait d’ailleurs l’air de bien contrarier le père, qui semblait chaque jour un peu plus énervé. Bien sur il profitait chaque fois que possible de me tripoter furtivement en douce quand il était sur que son fils ne le verrait pas, parfois un sein, parfois une main sur les fesses, toujours violemment, mais il n’avait pas le temps de faire grand-chose, car je m’arrangeais pour qu’il risque chaque fois de ses faire repérer par sa progéniture.

Mais il est parfois des besoins naturels que l’on doit satisfaire tout seul, et quand Sébastien s’excusa pendant un repas pour aller aux toilettes, je sentis que je pouvais être en danger. A peine avait-il disparu que le père se leva de table et s’approcha de moi avec un regard sans équivoque:

  Alors petite pute, tu crois pas que je vois ton manège pour m’éviter depuis ton arrivée, mais je te promet que d’ici ton départ tu vas regoutter à ma bite et je te ferais payer ton insolence. Il vaudrait mieux pour toi que tu te laisses faire?.

Ayant fini son discourt menaçant, il souleva mon pull d’un seul coup, attrapa un de mes seins par-dessous le soutien gorge et pinça vigoureusement le téton. Il avait apposé son autre main sur ma bouche pour étouffer le cri de douleur que j’émis à ce moment là. Il continua ce traitement quelques secondes, passant d’un sein à l’autre et pinçant de plus en plus fort jusqu’à ce que l’on entende le bruit caractéristique de la chasse d’eau. Il repris alors tout naturellement sa place, me laissant perversement le soin de rabaisser rapidement mon pullover. Quand Sébastien repris sa place, j’étais rouge de douleur, de honte et de colère. Le regard que me lança son père me fit part de sa satisfaction d’avoir vaincu momentanément ma stratégie d’évitement. Ce qui était le plus incroyable c’est la passivité de la mère, qui fit encore une fois comme si de rien n’était. Son mari la dominait totalement!

Mais le lendemain matin, je devais avoir une bonne nouvelle, l’entreprise qui restaurait notre appartement nous annonça que les travaux seraient terminés le jour même, et que nous pourrions donc regagner nos pénates dès le lendemain matin. Comme j’arborais mon plus grand sourire, le regard que me lança le père ne me laissa aucune illusion quand à sa détermination. Il allait essayer quelque chose avant notre départ. Je décidais de prendre les devants et demandais à Sébastien si nous pouvions aller faire un tour en voiture toute la journée, en amoureux, avant de retourner à la ville. Il accepta et nous partîmes donc tous les deux dans sa vieille voiture, sous le regard courroucé du père…

Comme j’avais décidé de ne pas avoir de rapports sexuels avec Sébastien durant notre séjour chez ses parents, pour ne pas provoquer le père, je dois avouer que j’étais un peu, en manque, et commençais à me lover contre Sébastien pendant qu’il conduisait, en lui proposant de trouver un petit coin tranquille. Il me répondit qu’il en connaissait un parfait, une cabane de bûcherons, située sur les terres de son père, au fond d’un chemin de terre à plus de 2 kilomètres d’une petite départementale. Il me dit que les bûcherons ne viennent jamais en cette période et que l’on sera bien tranquille. J’étais toute excitée, après ces longues journées d’abstinences et dès que nous nous sommes engagés sur le sentier, je sentis mon sexe se liquéfier en prévision du plaisir que nous allions nous donner. A la bosse qui déformait son pantalon, je compris que Sébastien était dans les mêmes dispositions que moi. Je commençais à caresser son sexe à travers le pantalon, puis, ne pouvant plus résister, j’ouvris la braguette et le fis sortir. La route devenait de plus en plus chaotique, ce qui amplifiait mon excitation, car les cahots faisaient bouger la hampe de chair de haut en bas. Je ne pus m’empêcher de prendre ce sexe en bouche et d’y appliquer de petits suçons, un peu comme un bébé tétant un sein. L’excitation du moment et l’abstinence forcée ne permettraient pas à Sébastien de résister longtemps à ce traitement, j’en étais sure. Je caressais avec ma main ses testicules, en les malaxant doucement. Je sentis les contractions préalables à la jouissance de mon homme et m’appliquais à amplifier ma fellation, serrant les lèvres et aspirant en même temps. Il jouit dans ma bouche en poussant un puissant râle. La quantité de sperme qui s’échappât de sa verge était tellement importante que malgré mon envie je ne pus tout avaler et une bonne partie se répandit sur mon pull-over.

Au même moment un grand bruit se fit entendre et la voiture fit une grande embardée. Nous étions à peine à 20 mètres de la cabane des bûcherons, mais dans la perte de contrôle liée à sa jouissance, Sébastien était légèrement sortit du chemin en avait roulé sur un rondin de bois.

Il descendit immédiatement de la voiture, se penchât dessous et regarda attentivement la mécanique. Il déclarât alors que c’était certainement un cardan qui avait cassé, que l’on ne pouvait plus rouler ainsi et que cela risquait de nous empêcher de rentrer le lendemain, sauf si il pouvait trouver une pièce de rechange rapidement. Il me dit alors qu’il allait retourner à la route en courant pour trouver quelqu’un qui puisse venir remorquer la voiture. Il valait mieux que je reste dans la voiture à attendre, car je le retarderais plus qu’autre chose. Je lui étais reconnaissante de ne pas mentionner que c’était de ma faute que nous nous trouvions dans cette situation, et j’espérais vivement que nous pourrions réparer pour pouvoir partir comme prévu le lendemain matin.

Je savais alors qu’une longue attente commençait et m’installais le plus confortablement possible dans la voiture. Il ne faisait pas encore trop froid pour la saison, et je n’avais pas besoin de faire tourner le moteur pour allumer le chauffage. Au bout de quelques minutes, je m’endormis.

Je fus réveillée par un bruit de moteur. En regardant dans le chemin, je vis le 4×4 du père de Sébastien qui arrivait. Celui-ci avait dû accompagner son fils pour nous aider à réparer et éventuellement à tracter la voiture. Je voyais d’ailleurs deux silhouettes derrière les vitres teintées de la grosse voiture. Cette dernière s’immobilisa à 5 mètres de la notre et la portière du conducteur s’ouvrit en laissant sortir le père. J’étais moi aussi sortie de la voiture et il fit 2 pas dans ma direction en déclarant:

— Je t’avais bien dit petite salope que j’arriverai à te coincer à un moment ou à un autre. Tu vas maintenant payer ton arrogance!

Comment osait-il dire ça alors que Sébastien était assis sur le siège passager?

La porte s’ouvrit alors et je m’aperçus que celui que j’avais pris pour Sébastien n’était autre que le facteur, qui avait déjà fait des remarques sur mon anatomie. Je compris alors que je ne pouvais pas attendre d’aide de Sébastien. Malgré cela, je criais très fort son prénom dans l’espoir peu probable d’un miracle. Le père éclata de rire, me disant que je pouvais toujours crier, Sébastien était parti chercher une pièce de rechange à la ville et il en avait pour plusieurs heures. A ce moment, les portes arrière du 4×4 s’ouvrirent et deux autres hommes en sortirent. Je reconnus un autre agriculteur, âgé d’une soixantaine d’années, avec un ventre énorme et très mal habillé et son fils, que Sébastien appelait d’habitude le débile, car il était attardé mentalement.

Ma seule solution c’était la fuite et je me mis à courir le plus vite possible en direction de la forêt. Malheureusement mon pied heurta une souche de bois et je m’étalais dans la terre. Le temps de me relever, et le père de Sébastien était déjà sur moi et me soulevais comme un fétu de paille. Me portant à bout de bras, il m’emmena à l’intérieur de la cabane des bûcherons, suivi par ses trois comparses. Celle-ci était visiblement inoccupée depuis plusieurs mois, un tas de poussière recouvrait les quelques meubles rustiques présents. Le père me posa violemment sur la table. Il demanda à l’attardé et au facteur de me maintenir fermement, pendant qu’il m’enlevait mon pull. Je me débattais tant et plus mais les forces me manquaient. Je criais le plus fort possible mais devant leurs têtes hilares, je comprenais que ce n’était que peine perdue. Le pull fut rapidement enlevé. Découvrant ma poitrine uniquement recouverte de mon soutien gorge, les commentaires se firent nombreux et salaces:

— Regarde sa poitrine de pute, on dirait une star du X!

— Putain qu’est-ce qu’on va lui mettre, on va la défoncer.

Seul l’attardé de disait rien, me regardant avec des yeux exorbités.

Alors le père sortit son couteau et sectionna la partie centrale de mon soutien gorge, libérant mes seins dont les tétons étaient durcis par la peur. Il s’empara de l’un d’eux et le tordis violemment, me provoquant une douleur vive qui me déclencha un grand cris. Le père de l’attardé saisi l’autre de ses mains sales et le pétri comme si il s’agissait de pâte à modeler. Il s’approcha et pris mon téton dans sa bouche, enroulant sa langue dessus et le mordant légèrement. Sa salive coulait le long de mon sein, me provoquant un frisson de dégoût.

Ils voulurent ensuite m’enlever mon pantalon mais je serrais les jambes le plus fort possible rendant leur tâche impossible. Le père saisi alors mes deux tétons et les tourna si violemment que je poussais un nouveau cri. Il me dit alors:

— Ce n’est pas la peine de résister, petite pute, tu vas y passer de toutes manières, à toi de décider si tu veux aussi beaucoup souffrir.

En disant ces paroles il accentua encore sa torsion et un nouveau cri s’échappa de ma gorge. La douleur était à ce moment là à peine supportable. Tout en maintenant cette douleur, il me demanda de soulever légèrement les fesses et de desserrer les jambes pour que le facteur, qui avait déjà enlevé mes chaussures et mes chaussettes puisse faire de même avec mon pantalon.

Comme je tardais à m’exécuter, le père sera encore un peu plus. Immédiatement, mes fesses se soulevèrent et mes jambes s’entrouvrirent. Le pantalon glissa alors, découvrant ma culotte.

Comme j’avais prévu un après midi coquin avec Sébastien, j’avais opté ce jour là pour un string sexy, très échancré et transparent. Bien évidemment celui-ci provoqua une salve de commentaires, plus crus les uns que les autres:

— Regarde, elle savait qu’on allait la baiser alors elle s’est fait belle!

— Ce type de slip est réservé aux plus grosses salopes, on va lui en donner pour son argent…

Le père demanda alors à Roger – c’était le prénom de l’attardé- de m’enlever la culotte. Celui-ci ne se fit pas prier, mais au lieu de l’enlever normalement, il entreprit de me l’arracher en l’attrapant à plein main et en tirant très fort. L’élastique résista quelques secondes avant de céder. Il m’arracha par la même occasion une poignée de poils pubiens et je poussais un nouveau cri, qui déclencha l’hilarité générale. Le père dit à Roger qu’il pouvait garder la culotte comme trophée. J’étais maintenant totalement nue aux yeux de ces quatre hommes.

Des larmes de honte et de douleur embuaient mes yeux. J’entendis alors plusieurs petits bruits en en ouvrant les yeux je découvrais que le facteur avait sorti un appareil photo instantanées et faisait des clichés de moi.

Je n’eus pas le temps de m’en offusquer. Le père me retourna alors face contre la table, et demanda au paysan et à son fils de m’attacher les mains aux pieds de celle-ci. Roger serra si fort les liens de la cordelette que j’avais l’impression que le sang n’arrivait plus à mes doigts.

Le père de Sébastien déclara alors:

— On va tous te baiser petite chienne, mais comme tu m’as provoqué, c’est à moi l’honneur.

J’entendis alors, sans le voir, le bruit caractéristique de sa braguette qui s’ouvrait et quelque secondes plus tard, son sexe dur venait s’appuyer sur le mien et me pénétrait d’un seul coup avec une grande violence. J’avais oubliée à quel point il était gros et la douleur fut vive. Le paysan et son fils avaient enlevé leurs pantalons et se masturbaient en me regardant me faire prendre. Le paysan s’approcha alors de moi et en me présentant son sexe me demanda de le sucer. Celui-ci était nettement moins long que celui du père, mais plutôt large. Il dégageait surtout une odeur très forte d’urine et de vieille semence qui me provoqua un haut le coeur. Il frottait son sexe contre mon visage, mais je n’ouvrais pas la bouche. Alors le père, tout en continuant de me besogner en levrette m’accrocha par les cheveux et tira d’un coup ma tête en arrière. Cela eut pour conséquence de me faire ouvrir la bouche et le paysan profita de cette occasion pour s’y engouffrer. Son sexe emplissait ma bouche d’un goût âpre et acide qui me donna un haut le coeur. Il utilisait ma bouche comme un sexe, me tenant la tête des deux côtés et effectuant de rapides va et vient. Son gland frottait d’abord ma langue avant de s’enfoncer au plus profond de ma gorge. À ce rythme, il ne fut pas long à jouir, inondant ma bouche de sa semence âpre, qu’il me forçat à avaler en maintenant ma tête collée sur son sexe pendant son éjaculation. Il s’essuya ensuite le gland sur mes joues et avec mes cheveux.

Le facteur était toujours en train de prendre des photos, remplaçant très souvent ses pellicules instantanées.

Le père sortit alors sa verge de mon sexe, me cracha sur l’anus et y appliqua le bout de son gland. Il poussait fort mais sa taille impressionnante et le manque de lubrification l’empêchait de rentrer.

— Relève ton cul et serre les jambes salope, sinon je vais te déchirer le cul et ce serra bien fait pour toi!

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire