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Mon ex était un peu scato… – Chapitre 1

Mon ex était un peu scato... - Chapitre 1



Avant d’être avec cette femme, Bérénice, une lyonnaise de bonne famille, j’avais déjà pas mal bourlingué et eu des expériences diverses, mais celle-ci allait me faire toucher du doigt – si j’ose dire – des plaisirs nouveaux et sans doute étranges. En matière de pratiques scatophiles, les choses avaient été pour moi assez discrètes jusque là. Avant Bérénice, j’étais avec une fille avec qui nous faisions pas mal de choses – y compris des jeux de pipi, et même de règles – mais rien avec le caca. Tout au plus, avais-je eu quelques sodomies cracra; je m’étais alors amusé à me photographier la queue un peu souillée, mais c’est tout. On peut même dire que dans ces cas-là, l’odeur avait eu tendance à diminuer ma libido, sur le moment. C’est sans doute vrai pour beaucoup de gens et ça l’était pour moi. 

Avec Bérénice, il y a eu de nouveaux jeux qui, peut-être, préfiguraient ce qui allait être mes premiers pas dans le domaine scato. Déjà, lorsque je me plaisais à lui introduire ma langue le plus loin possible dans le cul (j’avais toujours été adepte des intromissions anales), elle me faisait comprendre qu’elle trouvait excitant le fait que je pouvais y faire des rencontres. Je sentais que la transgression merdeuse ne devrait pas être pour lui déplaire. Elle aimait aussi que je lui pisse dans le vagin tout en la pénétrant, et j’adorais ça aussi. C’est peut être cette activité qui a tout déclenché, d’ailleurs.

Un jour, alors que nous étions en 69, Bérénice qui était dessous mit ses doigts profondément dans mon anus. Je la sentais fouiller. La pression qu’elle exerçait sur ma prostate me donna envie de pisser – alors je poussai légèrement, et je fis sortir un beau jet de pisse qui se répandit entre sa poitrine et mon bas ventre. En poussant, j’avais sans doute également fait progresser autre chose dans mes conduits, car je l’entendis me dire :

— oh… je sens tes crottes sous mes doigts…

— ça te plait ? m’étonnai-je…

— je trouve ça excitant…

Cette révélation me surprenait mais cette fille était assez "décalée", aussi décidai-je de jouer le jeu. Je poussai un peu plus.

— fais sortir une crotte, me demanda t’elle.

Je bandais comme un taureau, et en poussant, je fis aussi jaillir un peu d’urine supplémentaire. Nous baignions dans la pisse, et soudain, je sentis une première crotte se frayer un chemin en dehors de mon trou.

— oooh…. fit-elle… tu fais, mon chéri ! tu fais ! encore…

Je ne savais pas trop ce qu’elle faisait de la merde qui sortait, ne voyant pas la scène du bon côté – mais je continuais à pousser et fis sortir encore une ou deux petites crottes. Elles étaient dures, ce qui était sans doute préférable dans cette situation. Puis, au bout d’un moment, elle me demande de me bouger, puis alla jeter les petits étrons aux WC. Je l’entendis se laver les mains, puis revenir. Elle me demanda de la prendre; je m’exécutai et jouis dans sa chatte.

Nous n’en avons pas reparlé sur le coup, mais cette scène s’est reproduite une fois ou deux. L’étape suivante s’est passée peu après; j’étais en train de l’enfiler en position du missionnaire, et elle me demanda de lui pisser dans le vagin.

— si je pousse pour te pisser dedans, je risque de chier aussi… la prévins-je.

— pousse s’il te plait… fais…

Je poussais et sentis à la fois l’urine sortir de ma queue et lui emplir le sexe, et une grosse crotte se diriger vers la sortie. Je continuais à pousser. Alors, je me sentis chier sur le lit conjugal; je la prenais, faisant des mouvements de va-et-vient dans sa chatte, pissant à l’intérieur, et me vidant le cul sur les draps.

— je fais, mon amour… je chie sur le lit…

En entendant cela, elle se mit à jouir comme une dingue. L’odeur de caca se répandait dans la chambre, mais bizarrement, ça ne me coupait pas l’excitation. Avec une main, je récupérai un morceau de merde, la posai sur sa toison pubienne, puis je finis de la besogner en me couchant sur elle afin d’étaler l’étron entre nos deux corps. Je lui envoya une grosse giclée de sperme au fond de la vulve, déjà bien remplie d’urine.

Lorsque nous avons fini, elle s’est redressée et mise à genoux au-dessus du tas de crotte qui tâchait le lit. Elle se vida alors de mon urine et du sperme, puis se laissa aller à pisser sur le tout.

Nous avions complètement ruiné notre pauvre lit, dont le matelas garderait d’ailleurs une trace définitive et douteuse, bien que nous ayons aussitôt récupéré les draps salis. Les fois suivantes, nous priment la précaution de placer une ou deux grandes serviettes de bain sous nos corps. Ce type de scène s’est reproduite quelques fois, et j’éprouvai pas mal de plaisir à chier devant Bérénice, qui était assez dominatrice. Elle ne l’a jamais fait. Je ne sais d’ailleurs pas si j’aurais apprécié, en tout cas, autant que je me souvienne, je ne fantasmais pas sur la réciproque. Et je me rappelle même que je n’appréciais pas que Bérénice lâche un pet pendant que je lui léchais le cul ou le sexe – ça me dégoûtait plutôt. C’est même une période où les odeurs intimes me déplaisaient sur une chatte – j’ai bien changé depuis. 

Puis, ces jeux scato se sont arrêtés, puis le sexe aussi s’est arrêté, et quelques temps après nous nous sommes séparés. 

Je n’ai plus eu d’expérience scato pendant de nombreuses années. Mais, ces derniers temps, je regarde de plus en plus de vidéos scatophiles; le ver est dans le fruit. Je connais sur le bout des doigts (ou de la langue…) les productions scatophiles professionnelles ou amateur. Je surveille toutes les nouvelles vidéo qui sortent dans la catégorie scato sur certains sites prolifiques en la… matière. Ayant mis le cap sur ce type de fantasme, d’une manière presque compulsive, c’est pourquoi je me suis inscrit sur XStory – pour y raconter mes expériences réelles, mais, en l’absence de vraie nouvelle rencontre scatophile, pour y inventer des histoires que j’espère bientôt rédiger !

J’espère que vous viendrez me parler de mon histoire en public ou en privé…

Serge

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