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Mon Mac Allemand – Chapitre 2

Mon Mac Allemand - Chapitre 2



Mon Mac Allemand

2ème partie :

Le lendemain, vendredi, je navais pas vraiment la tête à mon travail, jattendais avec une impatience mêlée de crainte le samedi. En rentrant je découvrais un nouveau mail. Il menjoignait de prévoir une tenue sexy pour la nuit, une nuisette aussi transparente que possible, pas de problème jen avais plusieurs. Je passai la journée de samedi à me préparer, épilation soigneuse, choix des tenues et des dessous ; enfin laprès-midi je me fis un lavement, je rinçai mon colon cinq fois pour être sûre dêtre bien propre.

Mon cur palpitait quand je partis, javais environ 40 minutes de route. Jarrivai pile à lheure fixée par Rolf, je garai ma voiture dans la cour, pris mon sac de voyage dans lequel javais rangé mes tenues et sonnai. Il mouvrit la porte, il portait un pantalon cuir très ajusté, un tee shirt en résille noire et tenait à la main une cravache. Je le saluai respectueusement, il ne prononça pas un mot et me fit signe de le suivre puis il me désigna la salle de bain avec la cravache et dit :

— Tu as quinze minutes pour te préparer, pas une de plus, chaque minute de retard te vaudra cinq coups.

— Bien Maître je vais me dépêcher.

Je posai mon sac et sorti la tenue que javais prévu de mettre, petit slip tanga en dentelle extensible bleu Roy avec des rubans vert clair, soutien-gorge assorti, porte jarretelles en satin blanc avec dentelle grise, une robe habillée bleu Roy moulante pas trop courte, mais très décolletée, dans le soutien-gorge je glissai deux faux seins en silicone pour faire un bon bonnet C. Avant de partir javais déjà mis des bas couleur chair et le porte jarretelles et mis un discret fond de teint sur mon visage, je navais plus quà mettre un peu de fard à paupières et du rouge à lèvres, je mis également une perruque blonde courte et finissais en enfilant une paire descarpins blancs.

Je quittai la salle de bain et me rendis sur la terrasse ou il mattendait, il jeta un coup dil à sa montre et me fit signe de me tourner, il dit :

— Ça va pour la tenue, mais tu as trois minutes de retard, tu sais ce qui tattend ?

— Oui Maître.

Il mordonna de retrousser ma robe et de me pencher en prenant appui sur la table avec mes coudes. Il dit apprécier ma culotte, quil baissa en ajoutant :

— Je vais te faire une faveur grosse pute, je te fais grâce de deux coups pour ta jolie culotte, tu en auras donc treize au lieu de quinze.

— Merci Maître.

Soudain il commença à frapper avec sa cravache, les coups furent violents, je criai ;

— Ah ce nest plus de la fessée pour petite fille, à partir de maintenant cest un vrai dressage que tu vas subir. Je vais faire de toi une vraie esclave, tu mappartiens et je disposerai de ton corps comme il me plaira.

Les coups pleuvaient sur mon fessier, cétait beaucoup plus violent, je supportais bien les fessées avec le martinet, mais navais jamais été « travaillée » à la cravache. Je hurlai de douleur et pleurai, ça avait lair de lexciter, les coups devenaient de plus en plus forts.

— Chiale gonzesse jaime ça, te sentir à ma merci, tu vas comprendre quil faut souffrir pour me mériter.

Enfin la séance prit fin, jétais hébétée, le visage trempé de larmes, mon cul me brûlait, javais limpression que la chair était à nu. Il mordonna de rester dans ma position, de ne pas bouger.

— Je vais faire quelques photos de ton gros cul de salope, on voit bien ma signature, treize traces bien nettes. Dommage que ma sur ne soit pas là, elle aurait adoré voir ça, je vais lui envoyer les photos avec mon portable, ça va bien l’exciter. Ce soir elle se fait baiser par deux blacks.

Il sabsenta quelques instants puis revint avec son téléphone portable et une petite boite, il fait quelques photos puis ouvrit la boite, elle contenait plusieurs godes de tailles variées, un flacon de gel. Il prit un plug de taille moyenne et le flacon. Javais compris. Il entreprit de me lubrifier le petit trou puis enfonça le plug dun coup, je hurlai de nouveau. Il refit des photos puis remonta ma culotte. Il mautorisa enfin à me relever, je mexécutai et je remis ma robe en place.

Jétais là debout devant lui, reniflant, jessuyai mes larmes et jattendais. Il sétait rassit et ne soccupait plus de moi. Je ne savais pas quelle attitude adopter, jétais un peu décontenancée. Je pensais quaprès ma punition il me demanderait de le sucer ou quil me baiserait. A vrai dire jen avais très envie, malgré la douleur et le sentiment dhumiliation javais envie dêtre culbutée comme une grosse salope que jétais. Mais là, rien. Cest comme si je nexistais pas, il alluma une cigarette et se tourna vers le jardin. Quand il eut fini sa cigarette il me dit :

— Vas au fond du jardin sous les arbres et attends-moi, tu tourneras le dos à la maison.

Jobéis et me dirigeai vers le jardin, il y avait dabord un petit potager, puis un verger dune cinquantaine de mètres de long, les arbres se trouvaient au fond, avant il y avait une vingtaine de mètres sans arbres ou se trouvaient deux chaises longues et un parasol replié. Lensemble du jardin était entouré dune haute haie de plus de trois mètres, il était totalement à labri des regards indiscrets.

Ma démarche était un peu raide, à cause du plug qui remplissait mon anus et aussi à cause de mes escarpins, je nétais pas habituée à marcher avec des talons hauts. Parvenue à destination jattendis. Cela dura un long moment, puis je lentendis sapprocher, il mentraina vers un arbre où un anneau métallique était scellé dans le tronc à environ un mètre de hauteur. Il me passa des menottes en cuir aux poignets et aux chevilles, ces menottes étaient reliées entre elle par une chaine, il prit une deuxième chaine et relia mes entraves à lanneau de larbre. Javais les mains dans le dos, mais je pouvais les bouger un peu, ce nétait pas trop resserré, je pouvais également bouger les pieds, la chaine faisait environ 50 centimètres. Il me fit me tourner vers la maison et me posa de nouveau un masque cache-yeux.

Soudain je me mis à frétiller, le plug dans mon anus sétait mis à vibrer, il devait avoir une télécommande.

— Bien dit-il, jespère que la télécommande fonctionnera depuis la terrasse, je ne lai jamais testée à cette distance. Tu restes là, je viendrai te chercher quand jaurai besoin de toi.

Et il séloigna, il testa plusieurs fois la télécommande, à chaque fois ça me faisait commande une légère décharge électrique dans lanus, cétait plutôt excitant.

— Ça marche cria-t-il au bout dun moment.

De mon côté jattendais, je ne savais pas quelle serait la suite.

Quelques minutes plus tard jentendis plusieurs voix, il avait de la visite ! je fus prise de panique, il allait me livrer à des inconnus !

Daprès ce que je pouvais entendre à distance cétait deux personnes qui venaient darriver, deux hommes. Jétais trop loin pour saisir leur conversation. Je les entendais rire ; comme ils ne pouvaient manquer de me voir je supposai que cétait à mon sujet. Jentendis des verres sentrechoquer, ils prenaient lapéritif. Cela dura longtemps, régulièrement je les entendis rire bruyamment, surtout à chaque fois que Rolf actionnait la télécommande du plug. Les mouvements désordonnés que cela provoquait chez moi les amuser follement.

Après un long, très long moment je les entendis sapprocher, je craignais le pire, quallaient-ils me faire ?

— Les amis je vous présente ma pute française, elle sappelle Marlène.

— Putain fit lun deux, elle a lair plutôt baisable.

— Ouais fit lautre, cest de la belle pute.

Cétaient des hommes relativement âgés daprès le timbre de leur voix. Le premier reprit :

— Et tu dis que cest un mec ? On peut vérifier ?

— Bien sûr répondit Rolf.

Je sentis quon retroussait ma robe et une main sinsérera dans ma culotte.

— Bordel cest vrai, cette grosse pouffiasse a une toute petite queue fit lun deux.

— Laisse-moi toucher fit lautre. Jaime pas les pédés mais là ça mexcite. Voyons voir ce quelle a à proposer derrière.

Ils palpèrent mes fesses, les malaxèrent. Le plug fut sorti et remis en force, je criai ce qui provoqua des rires gras.

— Ça doit être bon daller et venir dans ce petit trou de balle, putain jai vraiment envie dit lun.

— Doucement répondit Rolf, le trou de balle mest réservé, mais si ça vous dit vous pouvez lui baiser la gueule.

On me força à me baisser, jentendis un zip, puis une main me saisit derrière la tête :

— Pompe moi salope.

Je ne me fis pas prier, je le suçais consciencieusement, il avait une grosse bite, des couilles très poilues. Il me guidait, me forçant à la prendre jusque dans la gorge. Il jouit rapidement et tout son jus passa dans ma gorge :

— Putain et en plus elle avale, ma vieille navale jamais, elle aime pas ça.

Il se retira et le second pris place dans ma bouche, sa queue était en peu plus fine. Comme son compagnon il déchargea rapidement et je bu son jus.

— Rolf jai vraiment envie de lenculer ta grosse pute, dit-il quand il fut ressorti de moi.

— Pas question répondit mon Maître, pour linstant jai lexclusivité ; dans quelques jours quand je laurai bien travaillée vous pourrez en disposer. Je vous ferai signe.

Ils séloignèrent, jentendis celui qui voulait menculer dire :

— Ta pute ma vraiment excité, il faut que je baise un trou, si au moins ta sur était là, elle ne dit jamais non.

— Pas de chance, elle est en train de se faire fourrer par deux jeunes blacks.

— Saloperie, ils payent bien au moins ?

— Elle ne fait payer que les vieux comme toi, dit Rolf dans un éclat de rire. Il va falloir te rabattre sur ta bourgeoise.

— Tu parles ! depuis quelle ma pondu trois chiards la « chose » ne lintéresse plus, une fois par semaine elle sallonge sur le dos et écarte ses grosses cuisses, elle ne réagit pas plus quun sac de patates quand je la fourre, elle suce mal et refuse que je lencule. Lui faire une minette me dégoutte, elle est poilue du nombril jusquà la raie du cul la grosse vache et je ne parle même pas de ses culottes de grand-mère qui puent la pisse.

Les deux autres éclatèrent de rire, son compère lui dit :

— Alors il te reste les filles de Paolo.

— Ouais mais chez Paolo il faut payer et cest pas donné.

— Il y a une autre solution dit Rolf, baise un mec, il y a suffisamment de coins de drague dans le secteur.

— Jaime pas les pédés, ces fiottes me débectent.

— Et pourtant tu voulais enculer ma pute, tu as bien vu quelle avait une bite, tu las laissé te sucer, tu lui as tripoté la bite, bizarre non ? tu serais pas un peu pédé toi-même ?

— Pédé moi ? ça va pas, cest vrai que jai envie de lui foutre ma queue dans le cul mais on dirait vraiment que cest une femme, et puis cest pas vraiment une bite de mec quelle a.

Nouveaux rires. Après il furent trop loin pour que je puisse suivre la conversation.

Je venais de me faire violer la bouche par deux inconnus que je nai même pas vus. Ils sétaient servis de moi comme dune poupée gonflable, jétais juste une chose, un orifice pour eux. Malgré ma situation humiliante, dégradante, jéprouvais un sentiment de fierté, je venais de faire jouir deux hommes dont un au moins était homophobe

Une longue attente commençait, visiblement ses deux invités étaient partis, je nentendais plus de bruits de conversation, de temps en temps mon plug anal se réveillait et me faisait me trémousser, au moins ne mavait-il pas complètement oubliée. Ma station debout sur mes escarpins devenait pénible en plus javais envie duriner. Il revint enfin, retira mon masque, la nuit était en train de tomber. Il détacha la chaine de larbre et mordonna de rejoindre la terrasse, il marchait derrière moi, me tenant toujours en chaine. Je marchais maladroitement, les mouvements de mes jambes étant limités par la chaine reliant les menottes. Quand nous fumes arrivés il me retira les menottes et me mit un collier en cuir, comme à un chien. Il sassit, je restai debout, une fois de plus. Ma vessie me démangeait, je lui demandai lautorisation de faire pipi, il accepta mais maccompagna aux toilettes ; je retroussai ma robe, baissai ma culotte et massis sur la cuvette et fis ma petite commission :

— Bien dit-il, tu pisses comme une fille ; à partir de maintenant tu feras toujours comme ça, même chez toi, compris ?

— Oui Maître je ferai comme vous dites.

Il mentraina de nouveau vers la terrasse, entre temps la nuit était totalement tombée. Il me proposa un verre deau, ça tombait bien, je navais rien bu depuis des heures.

Il me fit asseoir et mexpliqua ce quil attendait de moi :

— Cette nuit tu vas devenir ma femme, ça sera notre nuit de noce, tu partageras mon lit et tu seras ma jeune mariée, docile, amoureuse et chaude. Tu ne seras pas attachée, pas fessée, mais gare à toi si tu ne me donne pas satisfaction, demain matin dès le réveil tu seras punie et tu noublieras pas de sitôt la correction que tu auras subie. Compris connasse ?

— Oui Maître, je vous donnerai satisfaction.

— Jespère bien, vas te préparer dans la salle de bain et rejoints moi ici.

Je me rendis dans la salle de bain, me déshabillai et enfilai ma petite nuisette en voile noir et dentelle, je gardai mes dessous et mes bas et enfilai une paire de mules roses et je rejoignis mon « mari ».

— Tu es belle ma chérie dit-il, tu mexcite, viens avec moi.

Il me prit par la main et me mena à la chambre, ce nétait pas la chambre au sous-sol comme la première fois. Dès quil eut fermé la porte il mattira contre lui et membrassa fougueusement en me pelotant les fesses, puis il sécarta et ordonna :

— Occupes toi de ton mari.

Je ne me fis pas prier, je défis les boutons de sa chemise, la lui retirai, puis jouvris son pantalon et le lui enlevai. Quand il fut en slip je constatai quil bandait fort, je me mis à genoux devant lui, baissai son slip et jentrepris immédiatement de le sucer. Je pris sa grosse queue à pleine bouche et le pompai consciencieusement. Il me saisit larrière de la tête et me guidait. Pendant de longues minutes je suçai mon homme jusquà ce quil explose dans ma bouche, javalai avec délice puis lui léchai amoureusement la queue. Il sallongea sur le lit, je lui enlevai le slip et les chaussettes.

Il enleva ma culotte et moignit lanus avec du gel, il prit son temps pour bien me préparer, un, deux puis trois doigts prirent possession de mon fondement. Pendant quil enfilait un préservatif je me mis à quatre pattes, cuisses bien écartées, bien cambrée.

Il attrapa mes testicules et tira fortement en arrière pour me forcer à me cambrer plus puis me pénétra dun coup. Je poussai un hurlement tant la douleur fut vive mais il nen eut cure et commença à aller et venir en moi. La douleur devint rapidement supportable mais ne disparut pas totalement.

Il me baisa langoureusement pendant de longues minutes ses mains tenant fermement mes hanches en haletant. La douleur sétait estompée et je commençais à sentir en moi une excitation que je navais jamais connue. Il jouit avec un gros grognement puis se retira.

Il arracha le préservatif et mordonna de nettoyer sa queue avec la langue, ce que je fis avec plaisir.

Après mavoir longuement embrassé, il me fit mallonger comme lui et il sendormit rapidement. Jeus plus de mal à trouver le sommeil tant jétais excitée, cétait la première fois que je passais une nuit avec un homme, avec Mon Homme Nous étions couchés lun contre lautre, je lui tournais le dos, les fesses contre son bas ventre, sa main droite sur ma hanche. Je lui appartenais, jétais sa chose, docile, soumise ; et jaimais ça. Je finis par mendormir.

Au réveil le dimanche matin mais ceci sera pour bientôt

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