Histoires de non consentement Histoires de sexe gratuites Premières histoires de sexe

Nadine, la vengeance d'une maman – Chapitre 7

Nadine, la vengeance d'une maman - Chapitre 7



Quand jarrive à la maison, je ne sais pas sur quel pied danser, je suis dans mes petits souliers.

Je me suis demandé toute la journée si Maman dormait ou pas hier soir, mais je ne suis pas plus avancé.

En pénétrant dans la cuisine, je suis si surpris que je reste cloué sur place.

Il faut dire quelle a mis le paquet : cest bien simple, elle ne ressemble plus en rien à la personne que je côtoie tous les jours ; elle est transformée de la tête aux pieds.

Jai limpression quon me la échangée contre une version améliorée delle-même, une sorte de mère de substitution, comme cela arrive dans certains programmes de télé-réalité.

Je mattends à ce quun animateur aux dents blanches déboule sous les applaudissements de la foule et quil me confirme que je viens de gagner une Super-Maman de compétition, sans aucun défaut et avec toutes les options !

Mon incrédulité fait sourire ma mère qui boit du petit lait, visiblement satisfaite de son effet.

Cherche-t-elle à me déstabiliser ?

Que veut-elle prouver ?

Alors quelle ne porte généralement que des vêtements austères, elle a revêtu une délicieuse robe rouge.

Une de ces petites robes estivales qui senfilent par les pieds, avec un décolleté élastique que lintéressée remonte sous les aisselles.

Mais il y a un détail encore plus troublant, vraiment surprenant pour qui la connaît bien : elle na pas mis de soutien-gorge !

Ses gros nichons sont libres là dessous, les mamelons pointent agressivement droit devant ; ils percent de leur relief le tissu opaque.

Je nimaginais pas ma mère capable dautant de désinvolture.

Je ne la soupçonnais pas suffisamment sûre delle-même pour oser mettre en avant sa féminité de manière aussi ostentatoire. Elle est sexy mais pas vulgaire, ni même provocante.

Quest-ce qui lui prend ?

Elle sest lavé les cheveux, les a brossés afin quils retrouvent le volume et léclat quils avaient perdu depuis quelle se néglige.

Alors quelle ne se maquille jamais, elle a souligné ses yeux avec de lombre à paupières, de leye-liner.

Elle a peint ses lèvres dun rouge carmin, verni les ongles de ses pieds et de ses mains.

Elle est épanouie, son visage rayonne dune assurance retrouvée.

Me fait-elle comprendre, après ce que nous avons traversé, quelle sest reprise en main, quelle ira bien maintenant, ou sagit-il dautre chose ?

Ce fameux fluide qui circule entre nous, je ne lai jamais senti aussi présent quà cet instant. Ce courant haute-tension qui nous aimante lun à lautre na jamais été aussi puissant.

Nous le percevons tous les deux, et nous ne pouvons pas lui échapper. Pourtant, je reste pétrifié sur place, je nose pas prendre les devants. Je suis terrifié à lidée de mettre un terme à la magie de linstant, de faire le geste de trop.

Maman ne bouge pas non plus, incapable de prendre linitiative.

Le poids de linterdit nous submerge, nous coupe dans notre élan.

Elle craque la première.

Elle se précipite vers moi, en tremblant comme un animal terrorisé pris dans les phares dune voiture.

Elle enfouit son visage au creux de mon épaule, me serre dans ses bras, membrasse dans le cou. Lodeur entêtante de son shampoing et de son savon aux amandes me fait tourner la tête.

Je lui rend son étreinte, frotte mon bas-ventre contre le sien afin quelle nait aucun doute sur mes intentions, si jamais elle se posait encore la question.

Nous sommes soudés lun à lautre, comme deux naufragés qui sagrippent en pleine tempête.

Je la tire par la main, lentraine derrière moi. Elle se raidit, traine des pieds comme une enfant récalcitrante, dans une posture de petite fille qui a fait une bêtise et qui a peur de se faire gronder.

Sauf que cest elle ladulte, ce nest pas moi.

Elle continue de lutter pendant que je lentraine vers le canapé du salon sur lequel je me laisse chuter lourdement.

Maman me surplombe, se débat alors que je lattire pour quelle tombe sur moi ; elle me lance un regard inquiet de biche traquée.

Tout se passe très vite.

Je tire brusquement sur le décolleté élastique : ses gros seins pâles jaillissent, séchappent de leur carcan, superbes d’abondance.

Elle paraît surprise, affolée de se retrouver dépoitraillée devant moi, mais je ne marrête pas pour autant. Je tire sur sa robe jusquà ce quelle tombe à ses pieds.

Sans même avoir réfléchi à ce que je faisais, jai déshabillé ma mère en deux temps trois mouvements.

Ses yeux jettent des éclairs, elle essaye de se cacher les seins avec les mains, son visage est écarlate.

— Mais quest-ce qui te prend, bon-sang ? Tu nes pas fou ? Je suis ta mère, Maxime, il ne faudrait quand même pas loublier !

Ses paroles sonnent faux, ses reproches manquent de conviction. Jai limpression quelle se sent obligée de me faire la leçon, quelle cherche à restaurer son autorité de maman, pourtant je perçois, derrière le blâme de circonstance, que mon audace a payé.

Je réalise quelle est aussi excitée que moi et je suis si stupéfait, si enchanté, que je perds le peu de discernement qui me restait.

Je lattrape par les épaules et la fais rouler moi. Cest une femme. Elle est nue. Cest ma mère. Je la touche partout. Je suis fou.

Elle se tortille dans tous les sens, gigote pour échapper à mon étreinte, me glisse entre les doigts comme une anguille.

Je la bloque, capture un de ses seins dans une main, prends lautre dans ma bouche.

Ses gros nichons, enfin à ma disposition, me font perdre la raison.

Je lèche laréole grumeleuse, aspire le mamelon qui durcit entre mes dents. Je laisse courir ma main sur son ventre et je la glisse à lintérieure de sa petite culotte (de pute) rouge.

Elle gesticule toujours autant.

Je lui empaume fermement la motte, replis mes doigts dans son vagin ; je suis sûr quelle elle ne dort pas cette fois.

Je la tète, suce son sein tout en lui triturant la chatte. Jenfonce mes doigts tout au fond.

— Non Maxime, arrête, cest de la folie, il ne faut pas cest mal nous ne pouvons pas faire ça cest vraiment mal !

Maman peut dire ce quelle veut, faire semblant si ça la chante, elle est trempée : je vois bien quelle apprécie elle aussi !

Tout en la masturbant, je plaque sa main sur mon bas-ventre, afin quelle me touche à son tour à travers mon pantalon.

Elle résiste un peu mais ne tarde pas à me flatter la queue du bout des doigts, en délimite les contours, puis la frotte énergiquement du plat de la main en haletant.

— Enfin, Maxime, tu es mon fils, voyons ! Cest de linceste, cest interdit ! Seigneur Oh Mon Dieu !

Elle pousse un long cri rauque, un râle animal qui vient du ventre.

Elle a un orgasme aussi soudain que fulgurant.

Dés quelle a joui, elle me regarde dun air hébété, comme si son esprit refusait de croire à ce qui vient de se passer.

Elle se relève dun bond, sélance en courant comme une possédée vers sa chambre en sapitoyant sur sa dignité bafouée.

Pendant quelle séloigne, je regarde son beau cul blanc secoué à chaque foulée, émerveillé par le mouvement lascif de ses fesses élastiques.

Jai limpression que tout nétait quun rêve pourtant cest bien réel ; je nen ai pas fini avec elle.

Jouvre sa porte sans frapper. Maman tressaille quand elle me voit. Elle est debout, au pied du lit. Elle me fait face, elle est très pâle.

Elle a enfilé une chemise de nuit très courte et a retiré sa culotte, comme si elle mattendait avant de se coucher.

Mes yeux doivent trahir ce que je ressens en la découvrant si vulnérable car elle croise ses mains sur son sexe, comme si elle devait se protéger de moi, comme si je lui faisais peur.

— Quest-ce-que tu veux encore, Maxime… as-tu perdu la tête ? Va-ten tout de suite ! Je ten supplie, mon chéri, retourne dans ta chambre

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire