Naomi raconte :
A l’automne dernier, je l’avais rencontré à Ibiza, et depuis, nous avions de fréquents échanges sur la toile. Nous avions convenu de nous retrouver pour un après-midi coquin lorsqu’il viendrait passer une semaine à la montagne après le rush des fêtes de fin d’année.
En fait, c’est cet homme qui m’a découverte… il y a plus d’une quinzaine d’années lorsque nous nous sommes croisés pour la première fois sur une des nombreuses plages naturistes du Cap d’Agde et il m’avait retrouvée sur un site coquin sur lequel il m’arrive de m’exhiber…
Ce jour-là m’avait-il confié, son attention avait été attirée par un attroupement au centre duquel j’étais en train de faire une gâterie à mon mari Nico. Tout regardant le spectacle, il avait levé une jeune brunette aux cheveux longs et s’éclipsant ensemble, il l’avait baisée à l’abri d’un parasol. Lorsqu’il m’avait raconté ce souvenir, je me suis rappelée de cette scène… Ensuite, nous sommes restés en relation par Internet et webcam interposée…
De nos divers échanges, j’ai compris (et il ne s’en cache pas) que j’avais à faire à un libertin qui depuis près de 25 ans, multipliait les conquêtes féminines plus ou moins longues. C’est ainsi qu’incidemment, nous nous sommes rencontrés au début de l’automne dernier à Ibiza.
Pour fêter cette première rencontre réelle, je l’avais invité à partager une soirée chaude au Liberty Loft puis je l’avais retrouvé quelques jours plus tard pour lui remettre le DVD réalisé ce soir-là.
Cet après-midi-là, nous avions baisé comme des forcenés… mais avec aussi beaucoup de tendresse. Malgré son âge (près de 60 ans), il m’a fait grimper aux rideaux plusieurs fois, tant il est inventif et raffiné.
Après un dernier échange téléphonique, je dois le rejoindre dans sa chambre où il séjourne dans un hôtel de Serre Chevallier. Mais ce que je ne lui ai pas dit, c’est que je lui réserve une surprise très coquine… Je suis sûre que cela lui plaira.
Je me suis apprêtée pour ce rendez-vous… sous ma courte veste de fourrure, je porte un chemisier en soie beige et un léger soutien-gorge de dentelle blanche, une courte jupe en cuir et des bottes montant jusqu’aux genoux et des bas Dim Up. Légèrement maquillée, j’ai noué mes cheveux blonds en queue-de-cheval.
Vers 15 heures, j’arrive à l’hôtel et je monte aussitôt dans la chambre où mon ami Le Matou m’attend… Je découvre qu’il n’est pas du tout habillé comme le serait un touriste hivernal : il porte un pantalon de toile légère et un polo siglé d’une marque bien connue. La barbe drue bien taillée, il m’accueille avec un grand sourire :
Alors coquine, tu as envie d’un vieux barbu ?
Oui, bien sûr, j’ai envie de faire des coquineries avec toi ! Tu le sais d’ailleurs que j’aime ça !
Nous nous étreignions rapidement et je sens déjà qu’il commence à bander… J’aime bien son sexe court, mais assez trapu… et je me frotte lascivement contre son bas-ventre pour me faire désirer, tout en échangeant des baisers de plus en plus torrides. Il me pose la question :
Champagne pour après ?
Oui, j’adore !
Je m’en doutais… et la surprise que je lui réserve va pouvoir se mettre en place et se réaliser. En attendant, nous commençons à nous chauffer mutuellement ! Au travers du tissu du pantalon, je masse doucement sa queue qui se développe et lui, en ouvrant mon chemisier, il part à la découverte de ma poitrine aux tétons déjà bien dardés dans mon léger soutif. Puis il passe dans mon dos et relève ma courte jupe en cuir pour découvrir que je ne porte pas de string !!! C’est quasi habituel chez moi quand je me rends à un rendez-vous coquin ou en été : j’aime bien sentir ma chatte nue caressée par le vent ! Aussitôt, il glisse une main entre mes globes fessiers pour aller titiller mon anneau plissé qui a senti passer de nombreuses bites, et souvent des godes lorsque je suis en manque…
Mais nous sommes interrompus par des coups frappés à la porte… C’est le champagne qui arrive. La soubrette, une jolie brune d’une trentaine d’années avec de longs cheveux ondulés, dépose le seau à glace contenant la bouteille sur la table et se tourne vers moi en faisant un clin d’il qui échappe à mon ami. En fait, il ne s’agit pas d’une personne de l’hôtel, mais c’est mon amie Aline qui se prête au jeu que j’ai envisagé.
Elle s’approche de moi, m’enlace et me roule une pelle d’enfer sous les yeux ébahis de notre compagnon… Je plaque mes mains sur ses fesses bien rondes et elle en fait autant avec moi… Nous nous frottons mutuellement l’une contre l’autre pour t’exciter et je te dis d’une humeur coquine :
Tu ne refuseras certainement pas qu’Aline partage nos ébats… Coquin comme je te connais, je sais que tu apprécieras ! J’ai déjà fait l’amour plusieurs fois avec elle et je crois que nous allons bien nous amuser ! Viens, approche-toi, nous allons te déshabiller. Ensuite, laisse-toi faire !
Je vois que tu as compris que nous étions deux complices réunies pour ton plaisir ! Je fais passer ton polo par-dessus ta tête, et aussitôt, je griffe tes tétons que je sais très sensibles aux caresses. Aline de son côté dégrafe ta ceinture. Ton pantalon tombe sur tes chevilles, tu lèves un pied après l’autre, il rejoint ton polo sur une chaise. Tu bandes comme un cerf en rut ! Désormais, tu es entièrement nu, livré à nos caprices coquins qui ne tardent pas à se manifester :
Nous allons t’attacher et nous allons te faire un joli striptease… comme cela, tu ne pourras pas nous toucher… Puis nous passerons aux choses sérieuses…
Tu as l’air surpris… Tu n’imaginais pas que notre rencontre allait se passer ainsi ! Avec Aline, nous t’attachons les mains dans le dos et pour que tu ne bouges pas, je noue la cravate après la poignée de la porte. Dès que cela est réalisé, j’enlace à nouveau Aline que je dépouille de ses vêtements : d’abord son tablier de soubrette, sa jupe noire et son chemisier blanc. Elle apparaît ainsi en soutien-gorge, string et porte-jarretelles blancs, chaussée d’escarpins à talons très hauts, elle est presque aussi grande que moi. Elle est très sexy ainsi, avec ses dessous blancs qui tranchent sur sa peau mate.
Maintenant, c’est à mon tour d’être déshabillée : mon chemisier vole rapidement avec mon soutien-gorge, Aline retrousse ma jupe et plaque sa bouche sur ma chatte imberbe, et aussitôt, je sens sa langue agile partir à l’assaut de mon clitoris qui est débusqué de sa cachette tout en faisant vibrer le bijou intime qui transperce le capuchon.
Je sais ce dont elle a envie… mais je n’ai pas l’intention de la laisser faire ! Je lui prends les épaules et je l’incite à s’allonger sur le grand lit où nous serons installées plus confortablement pour la suite. Dès que c’est chose faite, je me place en 6 9 au-dessus d’elle pour échanger un beau cunnilingus… Je découvre alors qu’elle a laissé repousser sa toison pubienne, mais elle est taillée d’une manière très coquine : un triangle très allongé dont la pointe semble indiquer l’entrée du Saint des Saints, puisqu’elle se termine sur le capuchon du clitoris.
Cette position me permet de te regarder du coin d’il… je vois que tu nous observes avec envie, les yeux écarquillés, mais tu ne peux nous rejoindre… Ton sexe est bandé comme je ne l’ai jamais vu, raide, impératif, dressé devant ton pubis… je le dégusterais bien volontiers, mais ce n’est pas ce que je veux dans l’immédiat : je veux que tu n’en puisses plus de désir refoulé…
Mon étreinte avec Aline est de plus en plus chaude, en plus de bien me lécher copieusement, cette coquine est parvenue à sortir discrètement de mon sac un Plug anal qu’elle fait aller et venir dans mon antre secret… et ça m’excite au plus haut point. Pour ne pas être en reste, j’introduis deux doigts puis toute ma main dans sa chatte qui ruissèle de cyprine. Je n’ai aucune difficulté à la fister ainsi, car elle est très ouverte, et je l’ai déjà vue absorber deux bites monumentales en même temps… dont celle de mon homme !
L’une et l’autre, nous ne tardons pas à sentir la jouissance monter en nous, et nos mouvements sont de plus en plus désordonnés ! Si bien que je me retrouve sous Aline qui continue de me fister et de me sucer le bourgeon. J’ai la tête pendue en arrière en dehors du lit, et renversée ainsi, je découvre que tu n’en peux plus… Soudain, sans que tu te sois touché et avec un rugissement de fauve, deux belles giclées de sperme s’échappent de ta bite et vont s’écraser sur la moquette. De notre côté, la jouissance nous emporte aussi !
Quelques minutes plus tard, nous venons toutes les deux te libérer de tes entraves… Ton sexe est encore à moitié bandé et des traces humides le maculent. Aline s’empresse d’aller les lécher pendant que je t’offre ma bouche…
Merci ! Tu as été patient !
Oh oui… mais vous m’avez offert un joli spectacle ! Vous êtes deux belles coquines. Toi, Naomi, je le savais depuis le temps que nous nous connaissons, mais je constate que ta complice du jour n’est pas en reste non plus !
Maintenant, nous allons nous occuper de toi !
Nous te prenons chacune par une main et nous te conduisons sur le lit où tu t’allonges en travers. Nous te rejoignons. Aline continue ce qu’elle avait commencé : elle embouche ta bite jusqu’au fond de sa gorge, l’enduit d’une salive abondante et commence un va-et-vient de plus en plus rapide, alternant succions et jeux de langue sur ton gland. De mon côté, je t’embrasse sur la bouche et nos langues se livrent à un duel sensuel où je descends jusqu’à tes seins pour titiller de mes lèvres tes tétons que j’ai découverts ultra-sensibles lorsque nous nous sommes rencontrés à Ibiza.
La fellation d’Aline ne tarde pas à produire son effet… même si tu n’avais débandé qu’à moitié lorsque tu as giclé dans le vide, ta bite est désormais dure comme du bois. Tu te redresses quand nous nous mettons toutes les deux en levrette sur le lit… Je sais que tu aimes cette position, nous en avons parlé souvent.
Personnellement, je suis de plus en plus chaude, je sens ma cyprine ruisseler de ma chatte… et je pense qu’Aline ne doit pas être en reste…
Tu peux disposer de nous maintenant, nous sommes prêtes l’une et l’autre à t’accueillir. Une blonde longiligne avec des petites fesses bien rondes et dures, fendues largement et une brune un peu plus ronde… Tu as le choix ! Désormais, c’est toi le maître…
Vas-y ! Nous t’attendons… mais ne te couvre pas, ce n’est pas la peine, et l’une comme l’autre, nous avons envie de te sentir gicler en nous.
OK les filles, mais je n’ai qu’un sexe et je ne peux pas vous prendre en même temps…
Nous allons t’aider ! Prends ce gode… tu l’utiliseras pour baiser celle qui n’aura pas ta queue en elle !
J’avais tout prévu… j’ai emporté divers accessoires coquins dans mon sac, dont ce gode de taille moyenne, assez long et nervuré comme un sexe véritable avec un gland bien rond en forme de chapeau de champignon… et avec une paire de couilles factices du plus bel effet. Je l’aime bien, car il m’ouvre facilement les deux orifices. C’est un peu comme le mannequin gonflable dont j’ai récemment fait l’acquisition… Pour mes shows, je peux aussi bien me sodomiser avec la verge factice qui l’orne et me faire plaisir avec un gode ou encore, ce que je préfère, me faire lécher la chatte par une coquine de passage à la maison !
Notre compagnon de jeu se glisse derrière nous… fait aller son sexe successivement dans la fourche d’Aline et dans la mienne sans nous pénétrer ! Oulla ! Qu’elle est dure ! Puis il embroche vivement Aline en faisant claquer son pubis contre les fesses ! Quelle chance elle a ! C’est elle la première à goûter à la queue du mon ami… Je ne suis ni jalouse ni frustrée, elle m’a déjà fait reluire une bonne fois à Ibiza… et je compte bien encore en profiter aujourd’hui… Sera-t-il encore assez en forme… Je saurai bien faire ce qu’il faut pour que ce coquin me prenne après Aline ! Je suis assez douée pour faire renaître de désir chez un mâle, quel que soit son âge !
Ils ont adopté un rythme assez lent, presque chaque fois, la bite sort de la chatte d’Aline qui encourage son amant du moment :
Vas-y, bourre-moi la chatte… Que ta queue est bonne, elle m’ouvre en entier… Défonce-moi… Fais-moi grimper aux rideaux.
Je ne suis pas en reste, car mon ami manipule de la main droite le gode vibrant que j’ai apporté. Il le fait aller et venir dans ma chatte, sur mon orifice plissé, mais il n’entre pas malgré mon envie… Je suis appuyée sur une main, et de l’autre, de caresse les seins d’Aline qui balancent sous elle… Waouh ! C’est chaud… Le plaisir monte tout doucement chez tous les trois… Je ruissèle littéralement si bien que je sens à peine le va-et-vient dans ma chatte. Aline s’écrie soudain :
Vas-y, vide-toi dans ma chatte !
lle a dû sentir que le point de non-retour était atteint, car presque au même instant, les deux amants jouissent, ce qui me fait partir à mon tour. Nous nous écroulons sur le lit, bras et jambes emmêlés, et il nous faut quelques minutes pour retrouver nos esprits, tous les trois dans la plus grande nudité.
Quelques minutes plus tard, mon ami ouvre la bouteille de champagne et tout en buvant, nous nous racontons quelques souvenirs coquins… et plus particulièrement ceux qui datent du tournage d’un film X il y a quelques années. Notre amant du jour semble retrouver sa forme, et Aline s’empresse auprès de lui en l’embrassant langoureusement, en titillant ses seins d’une main pendant que l’autre masturbe doucement la bite qui retrouve bientôt raideur et splendeur… Allongé entre nous deux sur le lit, ce sceptre de chair se dresse comme un « I » sur le pubis… et Aline l’embouche en disant :
Je le prépare pour toi Naomi ! Je ne te fais pas de dessin ! A son âge, c’est un sacré baiseur !
Oui, je sais… et je compte bien en profiter aujourd’hui…
Pendant qu’Aline achève sa fellation pour le faire raidir, je caresse ma chatte en jouant avec le petit bijou qui orne le capuchon du clitoris… et je vois le désir dans les yeux de l’homme que j’excite !
Viens Naomi, il est à point !
Aline se dégage et je peux ainsi m’empaler sur cette bite dure. Je fais face à mon amant, comme cela, il pourra caresser mes seins pendant que je monterai et descendrai sur son pieu… Je sais qu’il aimera… Au bout de quelque temps, je sens qu’il ne va pas tarder à se répandre en moi. Aline doit s’en apercevoir, car elle passe derrière nous, et je sens sa bouche se coller sur les bourses de mon amant et faire rouler les testicules.
Soudain, le Matou se tétanise, et dans un grand feulement, je sens ses giclées de sperme m’inonder la chatte… Pour une troisième fois, il est encore bien généreux et je jouis presque instantanément.
Lorsque je me dégage quelques minutes plus tard, je me retourne pour me pencher sur cette bite qui m’a si bien fait jouir pour l’embrasser. Je me retrouve bouche à bouche avec Aline, et dans une nouvelle fellation, nous nettoyons les sucs d’amour qui fleurent si bon la jouissance.
Nous passons encore une bonne heure à bavarder ensemble… Ne pouvant pas profiter de la piscine de l’hôtel faute de maillot, nous prenons une douche à deux en nous caressant encore et en riant comme deux gamines en pensant à la tête de Nico quand nous lui raconterons notre après midi coquin.
La nuit est tombée depuis longtemps lorsque nous nous séparons pour aller retrouver Nico et lui conter les péripéties de l’après-midi.