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Natalie – Chapitre 31

Natalie - Chapitre 31



— Maintenant, Éros, tu vas te calmer, dit la femme rousse. Je sais que tu as trouvé Grande-Louve à ton goût et qu’elle t’a donné beaucoup de plaisir. Mais maintenant que tu l’as bien remplie de ta semence, il est temps de la libérer !

Comment cette femme a-t-elle pu dresser son chien à ce point, je sens que le nud du chien se dégonfle en moi. Je contracte mon ventre pour tenter de le retenir, de le convaincre de me remplir à nouveau. Peine perdue, il ne jappe même plus.

— Super, s’écrie Sabrina, son nud est en train de sortir !

Ma vulve m’envoie un ultime orage de bonheur lorsque le nud quitte le nid douillet que je lui avait accordé. Je sens mon ventre se relâcher brusquement et un flot de liquide sortir de mon vagin.

— Ah, quelle douche, continue Natalie.

Je regarde sous mon ventre le jus de nos plaisirs canins sortir en un filet assez fort et venir éclabousser le visage de Sabrina alors que la femme rousse prends les dernières photos. Je me relève enfin, un peu courbaturée par l’exercice qui vient de m’être octroyé. Un nouveau flot, mélange de sperme et de sécrétion, sort de mon ventre. Sabrina se précipite pour en capter une partie dans sa bouche.

— Vous me faites l’effet d’être deux belles salopes, mes louves ! Je ne pouvais rêver mieux comme rencontre. Toutefois, il te reste un devoir à accomplir Grande-Louve ! Allonge-toi par terre, sur le dos !

Sans même poser de question, je m’exécute. Je reste toujours dans une sorte d’état second où je ne suis plus vraiment sûre d’être encore humaine.

— Éros, marque !

Aussitôt, le molosse s’approche de mon corps et lève la patte pour me pisser dessus. Je ne suis pas d’ordinaire très attiré par ce genre de pratique, mais aujourd’hui cela me paraît très érotique. Surtout lorsque Sabrina, de ces deux mains vient étaler l’urine sur mon pubis, mes seins et mon visage.

— Tu aimes, me demande-t-elle ?

— J’adore, ma chérie.

Je lui avoue maintenant, l’attraction que je ressens pour elle !

— Tu me permets ? J’ai envie

Quoi ? Elle aussi veut me pisser dessus ? Je ne reconnais même pas ma voix lorsque je lui réponds.

— Bien sûr, je n’attends que cela !

Sabrina se positionne jambes écartées de part et d’autre de ma taille. De ces deux mains elle écarte ses lèvres, plie doucement ses jambes puis commence, en basculant son bassin, à diriger son jet d’urine vers mon visage.

Instinctivement, j’ouvre la bouche pour boire son offrande.

Une fois ses ablutions terminées, je me tourne vers la femme rousse qui est en train de se rhabiller.

— Merci, lui dis-je

— C’est à moi de vous remercier du spectacle que vous m’avez donné. Et pourtant j’en ai vu dans ma carrière ! Attendez, je dois avoir des serviettes pour vous permettre de vous essuyer un peu avant de remettre vos vêtements.

Je n’avais pas remarqué le gros 4×4 garé derrière notre petite voiture de location.

La femme rousse revient avec deux serviettes, pour Sabrina et moi. Nous commençons à nous essuyer.

— Il est bientôt midi, je vous invite à venir déjeuner chez moi.

— Là où est votre chenil ? s’enquiert Sabrina.

— Ne t’inquiète pas, Petite Louve, tu auras ce que je t’ai promis : une après-midi de chienne !

Nous sommes désormais habillées et à peu près présentable. Les cheveux de Sabrina sont collés de sperme canin par endroit et mes cheveux sont encore mouillés d’urine.

— Pouvons-nous garder les serviettes un moment pour recouvrir les sièges de la voiture. C’est une location.

— Oui, j’avais vu le logo de l’agence. Cela vaut mieux, surtout pour ton siège, Grande-Louve, car tu risque de pisser encore du sperme pendant une partie de l’après-midi.

— Comment cela ?

— Tu t’es pris le sexe d’Éros en entier. Je pense qu’une partie de sa semence est directement passée dans ton utérus. Ne l’as-tu pas senti ?

— Si, mais je pensais que ce n’était qu’une impression.

— D’expérience, je peux t’affirmer que ce n’est pas une impression ! Si son méat, à la pointe de son pénis, est bien positionné, le jet de sperme peut très bien passer à travers le col de ton utérus.

— Que c’est excitant ! commente Sabrina. Monster ne m’a jamais donné cette sensation.

— Monster c’est ton chien ? Quelle race ?

— Un braque de Weimar, il est bien monté, croyez-moi.

— Je te crois, Petite Louve, j’ai souvent eu l’occasion de me faire saillir par cette race. Cela m’est arrivé, je crois de sentir leur sperme aller au plus profond de mon ventre. Peut-être est-il encore un peu jeune. Tu me le présentera ?

— Volontiers, dès qu’il sera avec moi. Actuellement, il est resté chez mes parents. Je n’habite chez Sabrina que depuis quelques jours.

— Vous vous connaissiez avant ?

— Peu, interviens, je connaissais la sur de Sabrina, Clara, avec qui j’étais au lycée. À l’époque Sabrina était encore très jeune.

— Bon, allons chez moi, nous continuerons à discuter. Suivez-moi, ma propriété est à quelques kilomètres.

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