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Nino – Chapitre 8

Nino - Chapitre 8



Il était environ 20h30, le dîner était fini, Manon et Nino étaient partis en ville voir des amis. Je dis à Léa de mettre un string ficelle blanc et une jupe courte avec un chemisier transparent sans soutif ; et je lui dis aussi qu’on allait faire un petit tour de coquineries, et qu’elle n’en saurait pas plus. Je mis un bermuda en toile et une chemisette blanche. Léa apparut dans une jupe courte de couleur bleu ciel qui s’arrêtait au ras des fesses et un chemisier blanc transparent. Je lui dis de se pencher en avant, les jambes tendues ; ce qu’elle fit et j’eus l’effet escompté : une fois baissée, sa jupe remontait, laissant apparaître ses fesses et la ficelle du string qui lui rentrait dans la raie des fesses. Allez ! En voiture. Nous prîmes la BMW cabriolet décapotable de Léa, nous roulâmes le toit replié, cheveux au vent.

Nous sortîmes de la ville par la rocade, je remontai la jupe de Léa juste au niveau de son string et je dégrafai deux boutons du chemisier, laissant apparaître ses seins libres ; nous nous dirigeâmes vers le plus grand centre routier du département, nous doublâmes quelques camions qui nous klaxonnèrent en voyant Léa. Je rentrai dans le parking bourré de centaines de camions, Français et étrangers, c’était l’heure où les routiers se restauraient au self avant de repartir ou de dormir.

Je tournai autour des camions stationnés en voiture, pour voir si des routiers seraient intéressés par les atouts que Léa leur dévoilait. Je garai la BMW le long d’une semi-remorque au niveau de la cabine, c’était un Français immatriculé dans le Centre, les vitres de sa cabine étaient ouvertes et il y avait de la musique. Léa offrait toujours une magnifique vue sur ses jambes, cuisses et poitrine. Le chauffeur passa la tête par la fenêtre de sa cabine, il avait environ trente ans, brun, cheveux courts, il était musclé, bronzé, et torse nu.

Ça ! C’est de la marchandise, dit-il, en sifflant d’admiration.

Je remarquai que sa cabine faisait couchette.

On peut regarder ?

Oui bien sûr.

Il s’appuya sur le rebord de sa portière et en profita. Léa déboutonna encore un bouton du chemisier laissant apparaître encore plus ses seins. Le routier n’en perdit pas une miette.

Elle peut remonter encore sa jupe la dame sil vous plaît ? demanda le routier.

Léa remonta sa jupe en se levant du siège en la faisant passer sur ses fesses et laissant apparaître le mince tissu de son string.

Ho ! Putain, ça, c’est bon, dit le routier.

Léa dégrafa son chemisier totalement et tira les côtés vers l’arrière, dévoilant totalement ses seins gonflés et les pointes tendus vers l’avant, durs, fermes.

Je peux toucher ? dit le routier.

Vous pouvez. Répondis-je.

Aussitôt, il descendit de sa cabine, s’approcha de Léa, posa ses mains sur les seins de Léa et commença à les caresser. Il descendit sa main droite sur le ventre de Léa, continua à la caresser, atteignit le tissu du string, caressa sa chatte à travers le tissu tout en lui caressant les seins avec la main gauche. L’homme, pour pouvoir caresser Léa, s’était approché très près de la portière de la voiture. Léa passa sa main par la portière, atteignit la fermeture éclair du bermuda en jeans du camionneur, elle la baissa, défit le bouton de la taille du bermuda, passa la main dans le caleçon, saisit la queue raide du routier, qu’elle commença à branler. Il passa sa main sous le tissu du string et entra deux doigts dans la fente mouillée de Léa. Il commença à imprimer des mouvements circulaires dans sa chatte. Je proposai :

Et si on grimpait dans la cabine ?

Le routier me fit oui de la tête. Il recula et ouvrit la portière de Léa. Celle-ci se leva et grimpa dans la cabine du camion. Le chauffeur en profita pour lui mettre les mains au cul pour l’aider à atteindre l’intérieur de celle-ci.

Le chauffeur la suivit ; et moi, je fermai la marche. Je laissai la portière du camion ouverte, il faisait très chaud, le soleil donnait encore un peu. Léa se mit sur la banquette du lit, le chauffeur la suivit, moi je m’assis sur le fauteuil passager qui se retournait face à la banquette. Le chauffeur enleva son bermuda et son caleçon et se retrouva nu, il s’approcha de Léa qui était assise en tailleur sur la banquette. Il enleva le chemisier, laissant apparaître ses seins volumineux, il dégrafa la jupe et la passa par-dessus la tête de Léa, il prit les deux ficelles de chaque côté du string, le descendit, et l’enleva. Léa était nue devant le mec. Elle se mit à quatre pattes, les fesses tendues vers l’arrière ; le routier vit qu’elle portait un bijou anal dans le cul. Elle prit ses fesses avec ses mains, les écarta et lui dit :

Encule-moi, j’adore ça.

Le mec enfila un préservatif, enleva délicatement le rosebud ; le trou du cul de Léa était bien dilaté, vu la grosseur du gode. Il présenta son gland à l’entrée du cul et s’enfonça d’un trait dans le cul de Léa qui cria de bonheur.

Le mec commença à pilonner le cul de Léa, ses couilles claquaient contre ses fesses, de plus en plus profondément et de plus en plus fort. Le mec ne tarda pas à décharger sa semence à lintérieur du préservatif dans le cul de Léa, il se retira, enleva le préservatif, regarda Léa et lui dit :

Putain ! T’es une sacrée baiseuse, toi !

Le routier me regarda.

On fait quoi maintenant ?

Tu connais personne toi qui serait sur le parking ?

Oh si ! Quelques coups de téléphone si vous voulez.

On veut et elle en veut encore.

Je peux faire venir une surprise ? demanda le routier.

Oh que oui !

Le routier descendit de sa cabine et donna plusieurs coups de fil. Léa était couchée nue sur la banquette, cuisses écartées. Je lui dis :

C’est bien ma chérie, mais je pense que tu vas en prendre par tous les trous, tu vas adorer ; tu en veux ??

Oh oui ! dit Léa.

Le mec revint avec une femme, grande, baraquée, cheveux courts teintés en rouge, un short en jeans assez moulant et un débardeur couleur pêche, des baskets. Elle avait une paire de seins au moins du 90-95 D et un cul rebondi magnifique, environ 35 ans.

Voici Mado, c’est une consur routière, ça vous dérange pas une femme ? demanda le mec.

Pas du tout.

La femme monta dans la cabine, nous dit bonjour, le mec lui dit :

Tu vois, je ne t’ai pas menti, une vraie salope, une vraie baiseuse.

Léa ne l’avait jamais fait avec une femme, à part avec Manon lautre jour. Je lui dis :

Banco ?

Banco.

Mado monta à genoux sur la banquette, le mec nous dit qu’il reviendrait un peu plus tard et descendit de la cabine. Elle caressa Léa sur tout le corps, elle commença à la lécher partout, ses mains se concentrèrent sur les seins de Léa, elle enleva son débardeur faisant apparaître un soutif impressionnant puis son short. Là je vis un string noir en lycra. Elle descendit sa tête au niveau de la chatte de Léa, lui écarta les lèvres et introduit sa langue dans sa fente.

Léa lui saisit la tête, et la maintint collée à sa chatte. Mado s’activa dans la chatte de Léa avec sa langue. Mado était à quatre pattes entre ses cuisses. Voyant cela, je me levai du siège passager, je quittai mon bermuda et boxer, ma bite dure et dressée, j’enfilai un préservatif, je descendis le string de Mado, puis l’enlevai complètement. Mado écarta les cuisses, je présentai ma queue à l’entrée du vagin et poussai jusqu’à ce que ma queue soit totalement introduite dans sa chatte. Je commençai de lents va-et-vient dans la chatte de Mado qui s’occupait toujours de la chatte et plus particulièrement du clito de Léa qui gémissait. Je limais toujours Mado, cela depuis 20 minutes, Léa jouit violemment sous les coups de langue de Mado sur son clito.

Mado se redressa en disant :

Oh oui ! Plus vite, je jouis.

Je déchargeai ma semence à lintérieur du préservatif dans la chatte de Mado. Je me retirai, enlevai le préservatif, repris mes fringues et descendis du camion. Le chauffeur du camion qui était revenu me dit que le patron du self voulait me parler. Je le suivis.

Le patron me salua et me dit que le chauffeur lui avait dit que ma femme baisait comme une chienne, mais que dans une cabine de camion, ce nétait pas facile, alors s’il pouvait baiser ma femme, on pourrait utiliser la petite salle au fond de l’établissement. Le soir, elle est fermée au public, il y avait des tables, des chaises et des canapés.

Je lui dis que c’est OK. Je revins au camion ; Léa et Mado étaient habillées et discutaient devant le camion. Je leur rapportai les propos du patron et on se dirigea vers l’établissement et surtout vers la petite salle. Nous entrâmes dans la salle et là, surprise, une vingtaine de routiers étaient là, assis, debout à attendre Léa. Je me reconcentrai, je regardai Léa, elle me fixait, puis elle s’approcha de moi et me dit à l’oreille :

Tu avais raison, je vais en prendre par tous les trous.

Messieurs, en premier, les rapports sexuels seront tous protégés, donc préservatifs pour tous, ceux qui n’en ont pas doivent aller en chercher aux distributeurs ou en demander aux collègues.

Je peux participer ? demanda Mado.

Elle était avec Léa, la seule femme. Je lui dis :

Bien sûr.

Léa se déshabilla devant les hommes. Elle se mit à quatre pattes sur un canapé et le premier routier lui enfila sa bite dans la chatte ; il était environ 23 heures.

Le deuxième, lui aussi, lui mit la bite dans la chatte ; au fur et à mesure, elle était devenue un vide couille, les hommes la prenaient dans la chatte, dans le cul, en levrette, l’enculaient, la pénétraient à deux, trois.

Il était 1 heure du matin quand les derniers finirent d’enculer Léa, le patron me dit :

Je peux ?

Il n’attendit pas ma réponse ; baissa son pantalon ; descendit son caleçon, enfila un préservatif et encula Léa d’un coup sec. Il lima vite et déchargea vite. Pendant ce temps, Mado s’était assise sur le dossier du canapé et présentait sa chatte devant le visage de Léa ; celle-ci lui lécha goulûment la fente et l’intérieur du vagin, Mado jouit. Cela se voyait.

Léa se releva et demanda au patron s’il y avait une douche. Il l’accompagne, Léa revint 20 minutes plus tard, nous sortîmes et nous rentrâmes, il était 2 heures du matin.

Suite, la prochaine fois…

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