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notre famille dévergondée – Chapitre 4

notre famille dévergondée - Chapitre 4



Dans les trois chapitres précédents, je vous raconte comment je suis parvenue à baiser avec ma sur jumelle, mon frère, mon père et le copain de ma cousine. Cette fois, je vais vous raconter ma première pénétration double.

Baiser en famille était rendue une habitude dans notre maison, seule ma mère nétait pas du lot, mais heureusement pour nous, elle travaillait du lundi au vendredi, parfois jusquà très tard le soir, ce qui nous laissait le temps à mon frère, ma sur, mon père et moi dassouvir nos désirs tout les après-midis. Javais déjà vu ma sur Julie se faire sodomiser par notre père et un soir, avant daller au lit je la questionnai :

— Cest bien par derrière ? lui demandai-je un peu timide

— Tu parle ! cest le pied. Surtout si tu te fais prendre en double.

— Mais ça fait pas mal ?

— Au début oui mais ensuite, cest le septième ciel assuré ! me répondit-t-elle les yeux brillants

— Je vais peut-être essayer demain alors. Pensai-je tout haut

Sur ce, nous nous roulâmes un patin pour nous souhaiter bonne nuit.

Le lendemain, en revenant de lécole, jétais nerveuse et excitée à lidée de me faire sodomiser. À peine fus-je à lintérieur de notre maison, que je me jetai sur papa, le caressant et lembrassant avec fougue. Mon frère et ma sur, commencèrent déjà à se déshabiller en se pelotant mutuellement. Mon père glissa sa main dans ma culotte et me caressa le clitoris, ce qui me fit gémir et mouiller abondamment. En un tournemain, nous étions tous les quatre nus et nous nous caressions. Je fis alors une déclaration :

— Je veux essayer la sodomie, dis-je en regardant mon père et mon frère, lequel de vous deux veux avoir lhonneur de dépuceler mon cul ?

— Je crois quAntoine devrait sy coller, parce que son sexe est un peu plus petit que le mien. répondit papa

— Ce sera avec plaisir ! déclara le concerné visiblement ravi

— Vas-y doucement sil-te-plait. lui demandai-je

Mon père et mon frère échangèrent de place, et papa alla soccuper de Julie pendant quAntoine me présentait sa bite déjà dure pour une fellation. Je le suçai en enroulant ma langue autour de son engin de bonne taille. Il profita du fait que ma bouche soit occupée pour me doigter en enfonçant deux doigts dans ma chatte humide et humidifia mon anus avec mon propre jus. Après quelques minutes de pipe, il se retira et se plaça à lentrée de mon vagin, il me pénétra, histoire de se lubrifier un peu plus avant dappuyer sa bite contre mon anus

— Prête ? me demanda-t-il

— Oui vas-y.

Il poussa un peu et je criai de douleur. Ma sur et mon père arrêtèrent leurs ébats pour nous regarder. Ma sur vint me rouler un patin pour mempêcher de crier Antoine poussa encore, faisant jaillir des larmes de mes yeux. Julie, en continuant de membrasser fit signe à mon frère de senfoncer complètement. Un dernier petit coup de bassin, et Antoine était totalement en moi.

Julie se détacha et sourit, avant de retourner vers notre père pour sempaler sur sa bite. Antoine me laissa quelques instants pour maccoutumer puis commença à me limer, lentement au début, puis de plus en plus vite, je commençais sérieusement à y prendre plaisir et gémis de bonheur, en me doigtant. Mon père murmura quelque chose à loreille de Julie. Elle se défit de papa et celui-ci sapprocha, se glissa sur moi et enfonça sa bite dans ma chatte, me faisant jouir presque instantanément. Nous prîmes quelques instants pour trouver notre rythme et puis, papa et Antoine me baisèrent en duo moffrant le meilleur orgasme de ma vie, sous les yeux de Julie, qui visiblement aimait son rôle de voyeur. Jétais comblée et lorsquils déchargèrent presque simultanément, jhurlais presque tellement cétait bon. Ils se détachèrent de moi, et Julie se précipita sur moi, tentant de récupérer toute la semence qui coulait de mes deux trous biens élargis.

Au lieu de partager tout le foutre avec moi, elle roula une pelle à mon frère lui laissant couler son propre sperme, mélangé à celui de notre père dans la gorge. Visiblement, il aimait le goût. Je le questionnai :

— Taime le foutre ? Tes une pédale ?

— Non je ne suis pas une pédale, mais jaime bien le foutre, et jaime bien me faire enculer parfois.

Julie nétait visiblement pas satisfaite sexuellement, elle se précipita donc sur la bite dAntoine le faisant rebander presque instantanément. Pendant quelle le suçait, papa approcha derrière Antoine, se colla à son dos et le prit par les hanches

— Que dirais-tu si ton papa tenculait ? demanda-t-il

— Oh oui papa, encule ton fiston ! répliqua celui-ci excité

La bite encore luisante de foutre, papa lenfonça dun seul coup faisant crier Antoine

— Oh ! Tu sais comment jaime me faire baiser ! cria celui-ci

Notre père limait sauvagement Antoine ressortant presque entièrement sa bite à chaque coup de bassin.

— Quelle pute ! ton cul est bien serré bébé ! dis papa le visage rouge, je viens !

Il enfonça lultime coup et je vis je sperme couler le long des cuisses dAntoine, qui lui venait de jouir dans la bouche de Julie.

Cette fois, jallai récupérer le précieux liquide, le gardant pour moi seule.

— Quelle poisse, je suis la seule à ne pas avoir pris son pied ! râla Julie

— Tu ne perds rien pour attendre. lui dis-je malicieuse

Javais terriblement hâte au lendemain

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