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O Mamie, ma mie ! – Chapitre 1

O Mamie, ma mie ! - Chapitre 1



Aurélien s?était assoupi, pelotonné contre Monique sa grand?mère , comme un enfant qu?il était encore. Elle était encore toute chavirée par leur folle étreinte et n?osait pas bouger de peur de le réveiller bien qu?elle poissât de partout. Le sperme s?écoulait de sa fente et collait à ses poils, mêlé à la sueur. Elle aurait bien pris une douche mais il avait la tête posée sur ses seins et son bras la serrait par la taille. Dieu qu?il était beau son petit-fils ! Un corps encore juvénile sans une once de graisse ! Deux petites fesses qu?elle ne put s?empêcher de toucher. Et sa bite ! Il était bien monté pour son âge, le bougre ! Comment il l?avait ramonée, il semblait ne jamais être fatigué, un vrai taureau ! Il avait joui deux fois en un rien de temps, le petit salaud !

Elle essayait de mettre ses idées en place mais elle n?y arrivait pas. Bien sûr, c?était un inceste, elle en était consciente mais elle ne culpabilisait pas. Il faut dire que lorsqu?elle était jeune, elle avait été déflorée par Paul, son frère, de quatre ans son aîné. Il l?avait entraînée dans sa bande de copains dans laquelle elle avait fait connaissance avec Bernard qui était devenu son mari par la suite.

La première fois, avec son frère, elle avait tout juste treize ans. Ce jour là ils étaient seuls à la maison. C?était un matin. Elle s?était levée pour aller aux toilettes et en relevant sa chemise pour uriner, elle avait découvert sur ses cuisses des traces de sang. Ses premières règles. Elle savait que cela devait se produire, sa mère l?avait déjà prévenue que cela allait lui arriver un jour ou l?autre.

Désemparée que sa mère fût absente, elle fila à la salle de bain, tenant sa chemise de nuit retroussée sous le menton pour ne pas la salire. C?est en ouvrant la porte qu?elle vit son frère de dos, entièrement nu, qui se rasait. Leurs regards se croisèrent dans la glace du lavabo.

— Eh bien Monique tu pourrais frapper avant d?entrer !

— T?avais qu?à fermer à clé !

— Qu?est-ce qui t?arrive ?

Il s?était retournée et regardait sa s?ur, la chemise relevée sur son ventre dénudé. Juste quelques poils sur le pubis.

— J?ai mes règles, je crois. J?ai perdu du sang cette nuit, il faut que je me lave.

— Prends le bidet, je vais avoir besoin de la baignoire !

— Toujours aussi sympa, je vois !

Depuis toujours, ils passaient la plupart du temps à se chamailler pour un rien mais c?était un jeu entre eux deux. De se retrouver nus ne les gênait pas le moins du monde, ils étaient habitués, leurs parents les ayant élevés dans la plus grande liberté. Paul la considérait comme une gamine capricieuse certes mais qu?il adorait.

Monique avait retiré sa chemise et se lavait consciencieusement son petit minou, comme elle disait. Sa main allait et venait sur sa fente faisant clapoter l?eau. Son frère qui avait repris son rasage la regardait dans la glace. ? C?est une femme maintenant ?, pensa-t-il. Il voyait pour la première fois la transformation de son corps. Deux petites pommes en guise de seins mais avec des petits bouts bien marqués, un petit ventre plat au pubis proéminent que quelques poils recouvraient. En revanche les cuisses toujours aussi maigres qu?elle écartait sans pudeur.

— Tu te laves ou bien tu te masturbes ? Depuis le temps que tu frottes, tu dois être propre !

— Arrête de me charrier, je ne sais pas ce que je vais me mettre. Maman utilise des tampons et je ne crois pas qu?elle ait des serviettes périodiques. Tu devrais aller m?en acheter à la pharmacie.

—  ?a va pas, c?est une affaire de femmes ! Débrouille-toi !

— Alors du coton, peut-être ?

La vue de sa s?ur en train de se toucher ne le laissait pas aussi indifférent qu?il l?eut souhaité ! Il sentait comme un frémissement au bas de son ventre, sa queue gonflait.

Lorsqu?il se retourna pour prendre une serviette, il bandait ferme. Sa queue venait taper sur son ventre. Monique regardait, médusée ce membre qui lui parut énorme.

— Paul, que t?arrive t-il ? T?as vu ta queue ?

— Eh bien oui, je bande ! Et le pire c?est que c?est toi qui me fais triquer !

— Ah bon, ça va encore être de ma faute !

— Non, non, je ne dis pas ça, mais je voyais en toi une femme et pas ma s?ur ! voilà tout !

— Et où est la différence ?

— Ben, avec une femme on peut faire l?amour !

— Et pas avec moi, c?est ça ?

— Monique tu déconnes ! Jamais je ne pourrai avec toi ! Tu sais ce qu?est un inceste ?

Tout en parlant il s?était rapproché de sa s?ur. Toujours assise sur le bidet elle avait la bite se son frère sous le nez. Elle la prit dans sa main et la secoua.

— Arrête, Monique, arrête !

— Tu ne veux pas que je te branle un peu ? Tu ne peux pas rester comme ça ! Approche encore un peu !

— Mais t?es folle ! Où as-tu appris ces choses ?

— Tu sais avec les copines, on parle. Je sais comment on fait les enfants !

Il était surpris que cette gamine puisse se comporter ainsi. Néanmoins il se laissait faire. Elle le branlait doucement. Sa petite main montant et descendant sur le membre. A un moment, elle tira plus fort sur la peau dégageant le gland violacé. De son autre main, elle soupesait les couilles qu?elle faisait rouler entre ses doigts..

— Alors, dis-moi que tu n?aimes pas ce que je fais !

— Tu vas me faire jouir ! T?es vraiment une petite salope ! Si les parents savaient !

— Laisse toi aller, je veux que tu me baises !

— Mais t?es dingue ! Je suis ton frère ! Et puis tu sais ce que ça risque ?

— Pas pendant les règles, c?est la mère de ma copine Jacqueline qui le lui a dit ! Sinon le reste du temps il faut mettre des capotes ou alors il faut le faire dans le cul !

— Mais, c?est pas vrai ! Tu parles comme une pute !

— Tu veux ou tu veux pas ? Décide-toi, moi j?ai envie ! Et puis je pourrai dire aux copines que je l?ai fait ! Sois gentil !

Il bandait toujours et la crudité des propos de sa s?ur l?excitait. Il la souleva et commença à la peloter. Il lui triturait les seins et les fesses. Elle était collée à lui, la bite cognait contre son ventre.

— Embrasse-moi ! Un vrai baiser avec ta langue ! Touche-moi entre les jambes, j?ai envie ! Tu veux que je te suce ?

Ils s?étaient allongés sur le carrelage. Elle avait commencé par de petits coups de langue comme lui avait dit de faire sa copine. Tout compte fait, c?était plutôt agréable comme une grosse sucette ! Sans lâcher l?objet de son plaisir, elle s?était mise à califourchon sur son frère pour lui présenter son postérieur. Un comble, il fallait que ce soit elle, la gamine, qui prenne les initiatives.

— Aller bouffe-moi le cul ! Moi aussi j?en veux !

— Mais c?est dégoûtant, il y a du sang !

— Je viens de me laver, mets-y ta langue, broute-moi le minou, s?il te plait !

Elle écartait ses cuisses pour qu?il puisse passer sa langue partout. Il avait sous les yeux ce petit cul qui n?attendait que ses caresses ! Longuement ils se léchèrent, se branlèrent mutuellement. Il suçait son petit bouton qui grossissait tandis qu?elle le pompait comme si elle avait toujours fait ça !

—  ?a suffit, maintenant, tu me baises ! Je veux sentir ta bite dans mon ventre !

— Monique, on va faire une connerie, je le sens ! Pas entre frère et s?ur ! Je te ? prêterai ? un de mes copains si tu veux !

— Non c?est à toi que je veux donner mon pucelage ! A condition que tu ailles doucement !

Elle s?était mise sur le dos et l?attendait jambes grandes ouvertes ouvrant avec ses doigts son berlingot. Paul s?allongea sur elle et commença de lui frotter la fente du bout de sa bite. Les muqueuses étaient sèches et il craignait de lui faire mal en la pénétrant. La corolle s?ouvrait à chaque passage du gland. Quand il sentit que le passage était enfin lubrifié il s?enfonça lentement sans à coup. Monique gémissait, elle l?avait agrippé par les épaules. Elle poussa un petit cri lorsque l?hymen céda sous la poussée. Maintenant la queue de son frère était tout entière en elle. Il ne bougeait pas mais pesait de tout son poids. La sensation d?être pleine était agréable. Une douce chaleur baignait son ventre et ses reins. Son vagin était comme un fourreau qui faisait connaissance avec la queue de son frère. Elle n?était tout compte fait pas si énorme que ça !

Paul commença à aller et venir lentement en elle. Il craignait de lui faire mal puis accéléra ses mouvements. Il se retirait presque de cet écrin puis s?enfonçait à nouveau de plus en plus rapidement. Lorsqu?elle sentait qu?il allait ressortir, elle appuyait sur ses reins et poussait son ventre en avant pour le happer à nouveau. Il avait glissé une main sous son petit cul et lui tripotait la raie. Il avait mis un doigt sur son anus et le caressait tout en se branlant maintenant sans ménagement dans sa chatte. Monique poussait de petits couinements de contentement. D?une main elle lui caressait les couilles et le trou du cul.

Paul avait pris appui sur ses bras et s?était soulevé pour regarder son membre pénétrer sa s?ur.

— Regarde, regarde ma queue qui te défonce ! Hein, dis-moi que ça te fait du bien petite salope.

— Oui, oui bourre-moi ! Putain que c?est bon ! Pousse au fond, je veux sentir tes couilles sur mon cul !

— Ah ! Je crois que je jouis ! Je sens que ça vient ! T?es sûre que tu ne veux pas que je me retire ?

Pour toute réponse, elle croisa ses jambes sur ses reins pour le retenir. Elle fut surprise par la violence de l?éjaculation. De longues giclées chaudes lui remplissaient subitement le ventre. Un bien-être l?envahissait partout. ? Etait-ce ça la jouissance ? se demandait-elle ?

Son frère s?était retiré et regardait sa s?ur qui les yeux fermés semblait être sur une autre planète. Des traces de sperme s?écoulaient de son vagin encore ouvert. Quant à lui, il avait le bout de la queue teintée de rose, mélange de son sperme et du sang de sa s?ur.

Il était en train de se laver lorsqu?elle refit surface.

— Putain, que c?était bon ! Faudra qu?on recommence !

— Mais t?es insatiable, t?as eu ta dose pour aujourd?hui !

— Tu vois, t?es pas gentil avec ta petite s?ur ! Si tu m?aimais, tu viendrais me laver. Après tout c?est toi qui est un cochon ! Tu m?as violée.

— Ah c?est la meilleure ! C?est toi qui as insisté, je ne voulais pas !

— Oui, mais personne ne te croiras ! Alors ?

— Mais c?est du chantage !

— Idiot ! Je plaisante ! Ce sera notre secret ! Je t ?aime trop !

Cinquante ans déjà et pourtant il lui semblait que c?était la veille ! A ses côtés Aurélien dormait comme un bien-heureux. Décidément les amours interdites étaient ce qu ?elle avait toujours préféré ! Et elle en avait connues tout au long de sa vie !

Aurélien la sortit de ses souvenirs, il venait de se réveiller et s?étirait de tout son long. Ce qu?il était beau son petit-fils, un petit Dieu. Il se frotta contre elle et l?embrassa tendrement dans le cou, mordilla ses oreilles puis lécha ses lèvres qu?il força pour un long baiser. Sa langue jouait avec la sienne. Elle fondait littéralement !

— Tu sais ce soir, comme c?est le jour de congé de la bonne, je t?invite au restaurant ! Je n?ai pas envie de préparer le repas, il fait trop chaud. Tu veux bien sortir avec moi ?

— Oh oui, Mamie, comme des amoureux !

— T?aura pas honte d?être avec une vieille ?

— Tu es la plus belle, je t?aime ! Je t?aime à la folie !

— Bon alors allons nous préparer. Tu seras mon chevalier servant !

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