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Offerte par ma maîtresse – Chapitre 1

Offerte par ma maîtresse - Chapitre 1



Pour ma belle et douce Héméra

Jattendais le bus. Une première, pour moi ; la peur de manquer larrêt me rendait nerveuse. Ma voiture avait refusé de démarrer le matin-même. Le vent glacé soufflait dans mes longs cheveux chocolat. Je resserrais mon écharpe autour de mon cou, en sautillant pour me réchauffer. Je serrais les mâchoires à men faire souffrir pour éviter que mes dents ne claquent.

Le bus arriva enfin ; il était bondé. Jy grimpai et me frayai un chemin entre les passagers jusquau fond. Certains me lançaient des regards haineux sur mon passage. Le bus repartit brutalement, me laissant juste le temps dattraper une barre pour ne pas chuter. Devant moi, accroché à la même barre, se tenait un homme dune cinquantaine dannées, aux cheveux poivre et sel assez courts. Je lui aurais trouvé un certain charme si ses yeux dun bleu azur ne brillaient pas dune lueur vicieuse, intimidante. Il m’adressa un sourire aux dents mal alignées et grisâtres : « un fumeur », pensai-je. Lodeur bien trop forte de son parfum mélangée à son après-rasage me donnait des nausées.

Le bus freina brusquement. Un passager déstabilisé me pressa contre la barre. Sa douce main masculine frôla la mienne et agrippa le poteau.

Excusez-moi, lança-t-il.

Je me suis retournée vers la source de cette voix envoûtante. Un beau brun se tenait derrière moi. Des ridules encadraient ses yeux verts, tirant sur le caramel en leur centre. Des lèvres pulpeuses et sensuelles ornaient un visage joliment ciselé, aux mâchoires carrées. Jai trouvé la fossette qui marquait son menton très sexy.

Ce nest pas grave, souris-je, comme il soustrayait son regard timide au mien.

La fragrance discrète et sensuelle de musc de son parfum menveloppait. Je me suis serrée discrètement un peu plus contre lui pour menivrer de son agréable odeur qui masquait celle de lautre passager. Les soubresauts du bus frottaient nos corps lun contre lautre, en un lent ballotement.

Cela raviva lexcitation que Nyx avait éveillée en moi, quelques heures plus tôt. Je me rappelai son ordre de me caresser discrètement dans le bus. Obéissante à ma douce maîtresse, je métais vêtue de bas et dun string sous une robe moulante au décolleté plongeant.

Ma chatte humidifiait ma petite dentelle. Un filet séchappa, chatouillant lintérieur de mes cuisses. Je les frottai lune contre lautre pour apaiser la gêne. Je sentis mon clito se dresser aussitôt et glisser délicieusement entre mes lèvres trempées denvie. Je mourais denvie de me caresser et dinsérer un doigt ou deux dans mon intimité liquéfiée. Attisée par ce désir brûlant, je continuai de frotter mes cuisses lune contre lautre. Mon clito ainsi caressé par mes lèvres et la dentelle mapportait un certain plaisir. Jai imaginé la langue de ma maîtresse me le lécher, le sucer et boire ma mouille. Javais très envie de jouir sur sa langue et dinonder sa bouche. Elle me mettait dans tous mes états. Javais envie de lappeler pour la supplier de me rejoindre au bureau pour me satisfaire.

Ces pensées obscènes et excitantes me faisait sentir femelle. Le frottement discret de mes cuisses me révéla la présence dune pression ferme contre mes fesses. La langue brûlante du désir enflamma mes sens lorsque je soupçonnai quil sagissait du sexe en érection du bel inconnu dans mon dos. Je tournai mon visage souriant vers lui. Les joues rougissantes, il me rendit un sourire incroyablement sexy. Jai eu envie de lembrasser à pleine bouche, de lécher et sucer ses lèvres.

Où descendez-vous ? demanda-t-il.

Arrêt Kennedy ; et vous ?

Deux arrêts après.

Le beau brun fit un discret coup de reins contre mes fesses. Comme une petite chienne docile, je les lui ai tendues. Il répéta le mouvement, plus ferme cette fois, qui me fit mouiller abondamment. Son sexe bien dur se pressait contre ma chair. Je continuais de frotter mes cuisses lune contre lautre, augmentant ainsi mon excitation. Jai imaginé ma maîtresse à mes pieds, léchant ma chatte, et me frotter sur sa langue comme une chienne en chaleur tandis que le bel inconnu me pénétrerait profondément et vigoureusement. Ses coups de reins se répétaient plus précisément, aiguisant mon désir. Jai adoré me sentir dans cet état dexcitation. Jétais tellement mouillée que je sentais mes bas simprégner de ma mouille.

Le bus sarrêta soudainement, pressant le sexe du bel inconnu entre mes fesses. Jen gémis de désir

Cest votre arrêt, murmura-t-il à mon oreille.

Jai tourné mon visage vers lui. Javais envie dembrasser ses lèvres si proches des miennes.

À demain, même heure, murmurai-je à mon tour.

Je suis sortie précipitamment du bus et me suis réfugiée dans mon bureau. Mon patron maccueillit avec des nouveaux dossiers à traiter, puis il senferma dans le sien. Jallumai mon ordinateur ; des mails enflammés de Nyx mattendaient. Toute excitée comme je létais, je narrivais pas à me concentrer sur la tâche qui mattendait.

Je me suis réfugiée aux toilettes, où jai tendu mes doigts réconfortants à ma chatte dégoulinante. Jai longuement caressé mon clito dressé, en insérant deux doigts à lentrée de mon vagin. Je me le suis doigté comme ma douce maîtresse me laurait fait, jusquà me faire jouir. Jétais si chienne que je laurais suppliée de recommencer Puis, à genoux, jaurais sucé ma mouille sur ses doigts, lun après lautre.

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