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Offerte à tous les hommes … – Chapitre 1

Offerte à tous les hommes ... - Chapitre 1



J’habitais une grande ville du sud où je vivotais. Je cherchais du travail en passant d’un stage à l’autre sans pouvoir décrocher d’emploi fixe.

Les longues périodes d’inactivité pesaient sur le moral. Pour tuer le temps et pour le goût de l’aventure, je traînais fréquemment dans certains bars où je rencontrais des hommes de passage qui m’offraient gentiment un café en espérant toujours plus.

J’aimais m’habiller sexy, sans rien sous mes vêtements, je sortais court vêtue. J’avais une solide réputation de salope. Cela plaisait beaucoup à ces messieurs appâtés par mes cuisses que j’exhibais et mes seins en liberté, j’en ramenais, fréquemment dans mon petit appartement situé dans une rue passante du centre-ville.

On me traitait de pute. Cela m’était égal. Pourtant, je ne me suis jamais fait payer. Pour moi, le désir des rencontres multiples prime tout. J’adore le contact charnel.

L’ennui et le plaisir aidant, je recevais de plus en plus souvent des hommes qui me désiraient. Sympathiques, ils apportaient des bières, des chips, et de l’alcool qui a le pouvoir de me désinhiber. Ils le savaient.

Je revoyais souvent les mêmes mecs qui, parlant entre eux, me présentaient à d’autres. J’étais de moins en moins seule. J’estimais beaucoup leur présence qui me faisait chaud au cur.

J’allais très peu dans la ville, tout accaparée que j’étais par la vie de débauche que j’avais choisie.

A la demande de ces hommes, ma porte n’était plus verrouillée : de toute manière, il n’y avait plus de serrure. Ces invités permanents ou occasionnels entraient chez moi à toute heure du jour ou de la nuit. Ils savaient que j’étais toujours disponible pour eux.

Je vibrais de surprise et d’appréhension quand j’entendais un ou des hommes entrer dans le petit couloir menant à l’unique pièce de mon logement. A leur arrivée, ils me trouvaient nue et ne se gênaient pas pour me peloter et me coucher bien souvent sans prononcer un mot sur mon lit toujours défait.

Certaines heures étaient plus propices aux visites. Le matin était généralement tranquille. J’étais rarement réveillée. Je dormais très tard pour me reposer des folies de la nuit.

La pause de midi était généralement animée. Certains hommes m’emportaient des sandwiches pour venir me voir. Ils ne me laissaient pas le temps de manger. Sans état d’âme, ils venaient rapidement se vider avant de repartir bosser.

C’était une époque où l’on ne parlait pas encore de sida.

Les sexes masculins passaient d’un orifice à l’autre pour mon plus grand contentement. Mes trous dégorgeaient de sperme. Les hommes, connus ou inconnus, me trouvaient souvent couchée sur le lit à leur arrivée. J’avais l’entrecuisse poisseux, le visage, le ventre et les jambes couverts de jus desséché. J’ai souvent été traînée sous la douche sous les rires moqueurs, pour être lavée à grande eau !

D’autres arrivaient à plusieurs pour me faire boire sous prétexte que j’étais alors plus docile. Nous trinquions à même la bouteille. Quand j’étais bien ivre, ils s’amusaient avec moi. J’étais toujours prête à faire toutes les folies sexuelles imaginables.

Un soir, ils étaient venus à quatre. L’un d’eux, qui me connaissait, avait emmené trois de ses connaissances du Maghreb. Ils me saluèrent sympathiquement, leurs mains suivant les courbes de mon corps. Quelques gorgées de Scotch plus tard, j’étais bien. Je passais de l’un à l’autre avec plaisir. Ils étaient virils et bien membrés.

Après s’être bien vidés, peu avant minuit, ils décidèrent de m’emmener finir la soirée dans le bar d’un de leurs amis. Ils choisirent pour moi une petite robe que je passais sur mon corps couvert de sperme parfumé. Elle moulait mes seins et mes fesses. Je n’avais plus l’habitude de m’habiller après avoir vécu nue durant des semaines.

Parvenus à l’autre bout de la ville, ils arrêtent le véhicule devant un petit bar de quartier peu reluisant. Heureusement, je connaissais bien l’un de mes partenaires, sinon je n’aurais pas été tranquille. Ils continuaient de me faire boire de l’alcool au goulot d’une bouteille qu’ils avaient emportée avec eux. J’étais littéralement anesthésiée. Je tenais tout juste sur mes jambes. Ils me soutenaient d’une main sous les fesses, les doigts enfoncés dans le cul, pour faire les quelques mètres qui nous séparaient de la porte d’entrée. Une fois à l’intérieur, je trouvais l’atmosphère enfumée presque irrespirable.

Trois individus basanés discutaient affalés contre le comptoir. Le patron, imposant, la cinquantaine bien passée, une serviette d’un blanc douteux sur l’épaule, nous avait salués. En me détaillant de plus près, il leur avait demandé en riant d’où sortait cette salope. Ils s’expliquèrent rapidement pendant que nous prenions place dans un coin du bar. Des clients attablés ne perdaient pas une miette de l’histoire.

Quelques verres de plus, et j’étais complètement ivre. L’un des acolytes s’est mis derrière moi pour me soutenir, une main fourrée dans ma chatte liquide. Tout en me pinçant les seins, il descendait ma robe sur les hanches. Je vibrais de plaisir. J’adore ce moment où je parais nue au milieu du monde ! Avec un bel ensemble, toutes les personnes présentes se sont approchées. Quelqu’un que je ne voyais pas tant ma vue était troublée par l’alcool, avait arraché ma robe. J’ai alors été allongée sur la toile cirée et collante d’une table. Le ballet des bites a commencé pour mon plus grand plaisir. Tous ces hommes me baisaient, m’enculaient, me donnaient leurs nuds à sucer, et tous m’aspergeaient de leur foutre. Cinq, dix ? Je ne comptais pas. Je jouissais en permanence. C’est ivre de sperme et d’alcool, qu’ils m’ont emmenée sur ma demande aux toilettes. J’avais une envie folle de me vider.

La chasse est cassée, avait dit le patron qui nous suivait pour profiter du spectacle.

Ils m’ont assise sur la lunette à la propreté discutable. Il y avait partout de l’urine et du papier froissé. C’était dégouttant. Le ventre sous pression, je me laissais aller et me soulageais devant eux. En me voyant dans cette position, l’un des compères s’était emparé de la brosse à w.c. tout en me traitant de grosse pute, de traînée, de salope et en me lançant d’autres insultes auxquelles je ne prêtais pas attention, il avait plongé l’instrument dans le liquide nauséabond de la cuvette et l’avait passé le long de mon corps, sur mes seins, dans le cou et sur les cuisses.

Je dégoulinais de liquide répugnant, et du papier hygiénique souillé collait à ma peau. Il avait replongé rapidement la brosse dans le cloaque infect et l’avait plaquée violemment contre ma chatte aux lèvres grandes ouvertes pour me branler. Sur le coup, je hurlais de douleur. La brosse brûlait mon sexe déjà malmené. Tout d’un coup, j’ai ressenti la jouissance, monter en moi. J’avais un tel plaisir qui éclatait dans tout mon corps avec une telle force que j’avais perdu connaissance.

Je ne sais pas ce qui s’est passé durant mon évanouissement. J’ai repris mes esprits quelques minutes plus tard. J’étais allongée nue sur le sol poisseux, complètement vannée et défaite. J’étais couverte d’urine.

Trois d’entre eux qui étaient encore là m’essuyèrent sommairement et me reconduisirent à mon appartement où je m’effondrais, totalement exténuée.

Une quinzaine de jours plus tard, j’étais allongée sur la table en train de me faire défoncer par des hommes que je ne connaissais pas. L’un deux, profondément enfoncé dans ma gorge, a vidé ses couilles dans ma bouche et sur mon visage. Quelques instants plus tard, alors que je savourais encore le jus que j’avais sur les lèvres, les trois Maghrébins de l’autre soir que je reconnaissais, ouvrirent la porte, une bouteille d’alcool à la main. Courtois, ils saluèrent les mecs qui venaient de finir de me baiser et se proposèrent de prendre la suite.

En me levant pour les accueillir, encore en transe, je frissonnais. Du sperme brûlant coulait sur mon visage. L’un de ces amis essuya le jus avec ses doigts rugueux et me les donna à lécher. Je me régalais en suçant docilement la main tandis que les deux autres gars me lançaient des quolibets moqueurs. L’un d’eux me tendant la bouteille de gin, me demanda de boire. Il l’a fermement insérée entre mes lèvres.

J’avalais plusieurs gorgées pendant que les deux autres visitaient mes orifices avec leurs doigts inquisiteurs. L’alcool faisait son effet. Ma tête commençait à tourner. Ils me forcèrent à me lever et m’obligèrent à sortir dans la rue déserte. J’étais complètement nue. Leur voiture était stationnée en face de la porte. Ils me chargèrent à son bord. Sur la banquette arrière, calée sur les genoux des deux compères, j’avais les jambes largement écartées. Je sentais le sperme qui s’écoulait doucement de ma fente largement dilatée sur le tissu du siège. Un homme me pinça sans douceur les seins tandis que l’autre me tripotait sauvagement le clito. Je hurlais de douleur et de plaisir. Je finissais de vider la bouteille d’alcool lorsque l’auto s’arrêta devant le même bar que l’autre fois. Je protestais faiblement et sans conviction lorsqu’ils me poussèrent sans ménagement hors du véhicule.

La fraîcheur de la nuit et l’appréhension de ce qui allait m’arriver me firent frissonner. Mes tétons se durcirent. Cela n’échappa pas au regard du chauffeur qui le fit remarquer à ses copains en disant qu’ils allaient me faire baiser à mort et que cela allait me calmer et me réchauffer !

En me poussant vers la porte, j’entrevoyais de nombreuses silhouettes à travers les rideaux de tissus à moitié fermés. Je percevais un brouhaha de voix et de rires qui provenait de la foule entassée dans le bar qui m’inquiétait, bien que je sois à demi inconsciente.

Une fois à l’intérieur, dans la chaleur suffocante, mon entrée avait fait de l’impression. Toutes les têtes se tournèrent vers moi en me dévisageant comme si j’étais une extra-terrestre. Le silence s’instaura. Il y avait là des immigrés de tous âges. Les trois individus qui m’avaient emmenée me collèrent au bar.

J’entendis le patron leur dire qu’ils avaient mis du temps pour arriver et qu’il s’impatientait.

A partir de ce moment, je n’ai pas eu un moment de répit. Je suis passée de main en main.

On continuait de me faire boire jusqu’à plus soif. Ivre morte, je rampais sur le sol couvert de sciure et de cendres de cigarettes. J’allais d’un sexe à l’autre, douchée de bière et de sperme, totalement soumise aux envies de ces hommes. Leurs mains pétrissaient et pinçaient sans douceur toutes les parties de mon corps. Je jouissais de plaisir.

L’on me ramena au petit matin dans mon studio. Plus tard, je me réveillais couchée sur le parquet de l’entrée. J’étais tellement endolorie et irritée que je me traînais jusqu’à mon lit.

Cette débauche de sexe, ces plaisirs déments et jouissifs ont duré de fin juin à la mi-août.

Après cette période qui m’a marquée, j’ai déménagé et changé de région.

J’ai gardé depuis le plaisir d’être exhibée ainsi que celui d’être couverte de sperme

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