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Oh my God ! – Chapitre 1

Oh my God ! - Chapitre 1



Une nouvelle anecdote, qui n’a de nouvelle que le fait de vous la raconter.

En réalité, c’était il y a fort longtemps, peut être même une quinzaine d’années c’est dire.

Je vivais déjà avec Walter mais nous n’étions pas mariés, c’était au tout début de notre couple et comme souvent, on cherche ses marques en ces cas là. Du moins je le suppose.

J’avais réussi brillamment mon BTS et J’entrais tout de go dans la vie active en qualité de secrétaire. Mon entreprise était une importante société internationale et j’avais eue une chance inouïe d’obtenir ce poste: une vacance soudaine, une amie commune, le hasard peut-être, bref, aussitôt diplômée aussitôt casée!  ?videmment je n’étais pas au ’top’ dans tous les domaines et notamment en anglais où’ mes lacunes se devaient d’être comblées au plus vite ’ dixit mon patron. C’est ainsi que je fus inscrite à des cours de perfectionnement EN anglais.

Les cours avaient lieu deux fois par semaine-en principe-selon la disponibilité de chacun et réunissaient dans notre groupe une dizaine de participants. Mon prof. Etait un british pur cru comme on en a l’image habituelle, la moustache en moins. Grand, blond, aux yeux bleus, bleu clair comme un ciel d’été anglais,

il me charmait de son ’accent impur qui bravait mes sillons. ’et me faisait rire de son humour too much. Il était séduisant en somme.

Ce jour là, je n’avais pas pu me rendre au cours. Mon patron avait une conférence et je devais impérativement terminer ce dossier. Mon prof. -avec l’accord du boss- me proposait de rattraper le temps perdu, l’après midi même et chez lui.

Soit ! Si cela convenait à tous le monde. C’était facile car nous étions réputés à travers le monde pour la pertinence et la compétence de nos études. Notre multinationale souvent sollicitée par les collaborateurs étrangers en mal de logement avait entrepris un programme de construction et de location d’appartements à proximité du centre de recherche. Vaste et ambitieux programme dont Paul -car Paul se nommait notre british sus-cité avait bénéficié: il habitait l’un des F2 loué par la boite.

Comme convenu, je me rendais à 16h à son appartement. J’avais ma petite jupe courte écossaise façon kilt, (un détail auquel je n’avais pas prêter attention le matin mais qui me faisait sourire intérieurement pendant le trajet ) et un chemisier blanc qui laissait deviner des seins trop. Petits. Avec mes mocassins et mes socquettes quand j’y repense, je devais faire vraiment petit chaperon rouge me précipitant dans la gueule du loup. Ou petite fille sage allant à son cours de. Violon. Sans violon.

16h pétantes, je sonne. Il m’ouvre, version décontractée T-shirt/Jean/tennis. Je n’ai pas l’habitude de le voir comme çà et je suis un peu surprise. Je lui lâche un ’Hallo’ un peu timide version faussement décontractée blanc chemisier/Kilt/mocassins vernis. Il ne répond pas mais m’invite poliment à pénêtrer. Dans son modeste. Comment(? ). Intimité (? ). ’foyer. Dit-on en français’. Well well !

Je pénêtre. L’appartement est ridiculement petit, pas d’entrée : c’est le salon-cuisine-placard qui fait office. Gentiment il me propose une boisson fraîche, lui attendra tea-time forcément.

L’ambiance est un peu tendue car je ne sais quoi dire. Je le sens un peu distant, ailleurs, visiblement préoccupé.

Je repense à ma jupe écossaise : j’ai peut-être commis une faute de goût, involontaire certes mais quand même. L’air devient lourd et je suis un peu mal à l’aise. Quand il se décide enfin :

’Well, si vous voulez nous pouvons nous installer confortablement sur le sofa, je reprends le sujet de ce matin. ’

Well, le sofa en question est un large fauteuil coincé entre la table de la cuisine et un tabouret. Je m’assieds et manque de tomber à la renverse tellement le canapé est mou. Je ris, il sourit, une seconde, détendu. Presque étendue.

?videmment enfoncée comme çà dans ce sofa, ma jupe se fait courte -bien courte- ce que Paul a du déjà remarquer. Je tire un peu dessus, histoire de dire que j’ai tiré dessus. Mais décidement ce canapé ne m’aidera pas. Si çà se trouve il a vu ma culotte quand je suis tombée ! Tant pis c’est fait ! Il n’y perdra pas la vue, en tous cas il ne laisse rien paraître.

Il s’installe doucement mais sûrement à côté de moi. On voit qu’il le connaît, Son canapé !

Peut-être l’a t-il fait exprès ? Allez savoir.

— ’Well, ce matin nous avons revu les exercices de mardi, voila le texte que nous avons étudié’

Il me tends le texte en question, une prose d’Edgar Poe que j’ai du mal à déchiffrer et que je déteste de surcroît.

— ’il faut vraiment lire et traduire çà ? ’

— ’Well, Anne c’est comme çà le progrès’

— ’euh. C’est comme çà QU’ON progresse ! ’suis je obliger de rectifier. Car Paul est anglais jusqu’au bout de l’anglais, c’est à dire professeur d’anglais mais avec parfois des petites difficultés avec les exprèssions bien de chez nous.

Soit, je m’attélé à la tache. Ma lecture est difficile et ce pauvre Edgar doit souffrir à m’entendre, pourtant notre ami ne bronche pas, je lis en silence, dans un silence de plus en plus profond, je traduis aussi, un rictus, le sourire du canapé n’était que passager, Paul pense, Paul est parti, là bas, je ne sais pas, dans les pensées d’Edgar sans doutes. Paul pense à Poe. Et moi qui rame dans ma lecture !

Imperceptiblement, Paul s’est rapproché. Quand même. Je sens sa cuisse contre la mienne. J’espère qu’il ne perçoit pas ce petit tremblement qui s’anime et s’amplifie vers la feuille. Paul s’est rapproché encore. Son bras. Derrière moi. Négligemment posé. Sur le dessus du sofa. J’ai de plus en plus de mal à prononcer correctement. Edgar est bien loin et Paul est tout près. Après tout. Chaque ligne devait être un message. Et à chaque mot une avancée vers moi. Le british aura fait du chemin. En silence. QUE ma lecture. QUE ma voix ! Irrémédiablement, Paul s’est rapproché. Quand même !

— ’. Do to others as you would be done by. ’

Je souffre, il souffle court, expire, inspire, souffle toujours court, je lis mais j’entends. Bientot le texte sera fini et lui ou en sera t il ?

Il souffle court toujours, j’espère un peu, un peu court peut-être mais j’espère, il y a encore quelques lignes.

Soudainement sa main se pose sur ma cuisse.

Soudainement j’interromps ma lecture.

Je n’entends plus son souffle.

Il ne perçoit plus que ce tremblement. Sur ma peau.

Le silence, CE silence, un instant, tout est arrête, comme on dit, suspendu.

Tout est arrête mais mon c?ur bat à toute vitesse, le sien aussi sans doute, il s’agit d’une seconde, l’équilibre, le moment où.

Je brise ce silence et reprends ma lecture comme si de rien n’était.

Il le sait, il a gagné, j’entends son souffle court à nouveau.

Je lis et je traduis n’importe quoi, les lignes sont des vagues.

Légèrement, j’écarte un peu les cuisses pour lui montrer que je suis d’accord.

Oh, pas besoin de çà, il a compris bien avant toi ! Le bougre !

Sa main remonte doucement du genou vers ma jupe au rythme de ma ’lecture’, les vagues sont des lignes, bientôt le texte finira et je vais de plus en plus vite, sa main est maintenant sous le kilt, je bredouille quelques mots mais ni lui ni moi n’y prêtons attention, j’offre mon entre-jambe à ses subtilités, je chavire, plus je lis vite et plus il me presse, exponentielle, comme la fin d’une musique bâclée.

J’ai laissé tomber la feuille (enfin doit-il se dire ) et je me laisse faire. Il me caresse sur ma culotte et J’ADORE çà ! Il a du s’en apercevoir car il ne tente pas le moindre doigt, au contraire, il me fait languir en s’éloignant lentement, ’ Ho, je mouille terriblement, mon dieu que c’est bon et comme il le fait bien !

Mon clito est tout gonflé et il s’amuse à le presser, ma culotte est trempée, je gémis de bonheur, ’Haaa’ il joue, ’Hooo’ qu’il continue !

A me laisser aller comme çà, j’ai glissé dans le sofa, je m’étends de plus en plus, ma tête sur sa poitrine, mes jambes bien écartees pour me livrer au maximum. Pas un mot, pas même anglais, juste des hum et des ooo, sexe-perento. Un doigt qui se faufile jusque dans ma raie, une petite pression juste au petit trou, comme çà pour voir. Mais oui tu peux y aller puisque je me laisse faire. Je m’abandonne. Et tu en profites. Salaud ! Ne t’en va pas trop vite. J’aime quand tu me touches ainsi.

Sa main, décidement ne tentera rien sous ma culotte ! il me fait mourir d’impatience.

Je n’en peux plus, moi aussi je veux en profiter !

Je pose ma main sur la bosse de son jean, oh làlà si c’est pas de l’érection çà !

D’une main malhabile j’ouvre sa braguette, Putain de jean à boutons ! C?est bien plus facile avec les fermetures éclair ! J?ai du mal. Il stoppe un instant sa caresse pour m’aider, je replaque tout de suite sa main entre mes jambes, je t’en supplie ne t’arrêtes pas !

Le jean les boutons anglais le slip une ouverture à l’anglaise un vrai parcours de combattant. Difficilement je sors son sexe turgescent. C’est une queue anglo-saxonne fine et longue blanche et rose aux couilles émergentes et aux poils discrets. C’est une queue bien anglaise, un peu fine à mon goût et trop longue à la fois, aux contours bien trop pales, trop distinguée peut-être, c’est un n?ud. Papillon, une clé de 17’ pas du 15/21. Pour une fois. Va pour la mesure anglaise.

J’ai refermé ma main sur ce british hard dick bien fermêment mais bien lentement aussi je le branle c’est à lui de gémir maintenant. Je regarde le spectacle de ce va et vient et je m’enfonce de plus en plus dans le canapé. J’ai bientôt la tête au dessus de sa queue. Hum, je tire ma langue vers sa bite tendue, hooo, il bande (! ) Son corps pour que je l’atteigne, Haaa, je le suce enfin.

Je le sens moins pressant il se laisse perturber l’ami. Et masturber aussi ! Sa main est toujours sur mon sexe mais elle ne bouge plus je dégouline pourtant. Quelle excitation ! Et quel enfoiré !

Je le prends bien en bouche maintenant, j’ai trouvé ma positon, allongée au-dessus de lui et ma jambe repliée, je peux le sucer bien au fond, il peut me doigter bien profond. S?il veut.

Par de petits coups de langue j’entame ma caresse, sur le gland d’abord puis je descend ’tranquillement’ le long de la verge, je lèche bien en pressant -qu’il sente ma langue sur son corps- j’insiste vers le bas pour aspirer les boules, je sais qu’ils aiment çà, oh yes qu’il aime çà lui aussi. Mes doigts courent doucettement en même temps tout le long, une petite branlette en bas et une petite sucette en haut, notre homme n’en peut plus, le flegme britannique tu parles ! Il me jette ce qui doit être des insanités à la figure mais comme c’est en anglais je m’en fout éperdument. Tu peux me traiter de salope de secrétaire, de tailleuse de pipe de tes deux, de bouffeuse de couilles, de suceuse d’enculé d’anglais, de grenouille à cul plat ou de french avaleuse de sperme, je n’y comprends rien ! Et après tout, oui je suis tout ce que tu dis et oui j’aime çà !

Ce que je vois, en tous cas, c’est que çà fait son effet.

Sa bite enfle encore un peu s?il était possible et il doit être au bord de l’explosion. Je prends sa queue en entier et je l’avale goulûment. Maintenant je m’applique, je fais mon va et vient les lèvres bien serrées, j’aspire à la ’montée ’ je respire à la ’descente’ sa queue est bonne et de plus en plus chaude, de plus en plus gluante, il mouille un max, je lui mordille le gland histoire de l’inquiéter un peu, il a mis une main sur ma tête, il n’appuie pas mais il a peur -le con-, il a peur que je n’avale pas, oh s?il me connaissait mieux (sic ! ) il saurait. Il saurait que Walter m’a appris à tout avaler dès ma première pipe, que ce fut délicat pour moi au début car je n’aimais pas çà, et puis vint l’habitude, comme les épinards quand on est gamin, on s’y fait. Mais le sperme est bien meilleur !

Well well mon gars, je crois que t’es à point. Il n’aura pas fallu bien longtemps. Quelques coups de langue bien donnés, quelques aspirations bien inspirées et voila le briton aux abois.

’Haaa’ je joue ’Hooo’ il JOUIT !

Je suis un peu prise de court, d’un souffle me direz vous, il sursaute, sa première giclée sur ma joue, dommage c’est la meilleure généralement; Je ne rate pas les suivantes; Sa bite en pleine bouche je bois à satiété le sperme brittaaaniiiique. Sa semence à le goût du français avec l’accent en plus.

Lentement il s’écoule au fond de ma gorge, j’essaye d’en garder un peu pour le plaisir, juste pour le plaisir, çà change des épinards.

’oh my God ! ’ me lance t-il, ’oh my gode ! ’ je traduis illico.

Paul à bien déchargé et à du mal à s’en remettre. Je sens dans sa poitrine son c?ur qui va à 100 à l’heure. Des soubresauts encore, des spasmes de plus en plus éloignés et de moins en moins fort, il se calme mais inlassablement il répète ’oh my God’ comme si le bon dieu y était pour que’q’chose. Il respire un grand coup pour trouver ses esprits. Il me voit étendue, là tout contre lui, mon chemisier froissé, les jambes repliées prêtes à s’ouvrir comme un fruit mûr, je ne dis rien mais je n’en pense pas moins, j’espère qu’il va s’occuper de moi maintenant, j’en ai tellement envie !

Ces salauds avaient brûlé Jeanne la Pucelle, faudrait faire un effort pour moi car j’ai la chatte en feu !

Je veux passer sur le bûcher ! Je veux passer sur le bûcher !

Son Dieu est avec moi, ’my God’ il a bien entendu.

Pas besoin de parler, rien qu’en le regardant, rien qu’en m’étirant un peu il a compris.

’Haaa’ juste un petit sursaut quand sa main reprends ’le droit chemin ’. Comme tout à l’heure sa main caresse sur ma culotte. Oh Paul oh, çà suffit ! Tout à l’heure on ne se connaissait pas, tu pouvais être timide, tu peux y aller franchement maintenant ! Il hésite, il tremble un peu, fébrile. Son approche est la même, à l’anglaise peut-être, j’aime bien c’est vrai, mais là, avec encore le goût du sperme dans la bouche, je suis trop chaude pour qu’il continue comme çà : Je prends sa main et la fourre directement dans mon vagin, la culotte ’n’existe plus’ il a deux doigts dans mon con ruisselant et je suffoque à respirer si vite.

’my God’ lâche t-il encore : il découvre ma petite chatte rasée il à l’air étonné mais aussi d’apprécier.

’Huum’ moi aussi j’apprécie ! Il a gardé ses deux doigts dans mon con et il va et il vient lentement, lentement qu?en même temps son pouce appui sur le clito ; ’Hoooaa’ je me laisse aller.

Intérieurement je jubile : fait ce que tu veux je suis à toi branle moi bien ’oui c’est çà’ je suis ta chienne ton objet prends moi par tous les trous s’il te plait ’Ooooo’ tu vois j’ai les cuisses écartees au maximum et ta main est dedans, continue comme çà please continiou la France se donne aux anglais, à tous les anglais de la terre que c’est bon ! ’elle te plait ma petite chatte ? ’ Oh que oui elle te plait-hein mon salaud-une petite chatte française bien ouverte bien mouillée bien rasée bien. A toiiiiiii. ’Aaaaa’, je n’en peux plus je gigote dans tous les sens j’essaye de relèver les fesses pour qu’il ailles plus loin j’en profite pour enlèver cette culotte qui me gène encore ’allez’ plus fort tu vois bien que j’aime çà je suis ta pute du jour profites-en ! Un rosbif qui s’en paye une tranche çà n’arrive pas tous les jours

En même temps, son autre bras n’est pas resté inactif. Il à ouvert mon chemisier et me caresse un sein. Le salopard ! Il me titille le mamelon, le pince, le tire, ’Oooo’, c’est ce que je préfère, il va me rendre dingue à me prendre comme çà, si çà continue moi non plus je ne f’rais pas long feu.

’Waaoo’ de pire en pire, je ne me contrôle plus, à mon tour de lui jeter mes ’maux’ à la tête, mais discrètement, je ne suis pas une ’expansive’ je cri dans mon for intérieur mais personne ne m’entends: ’Tu t’en souviendras de la petite Française, hein Paul ? t’aimes çà mon cochon hein, oh oui, c’est çà, que tu branles bien ! Que ta queue était bonne ! Encore, j?en veux encore, ton jus dans ma bouche, OOooo. ’ mais notre grand briton se tais imperméable ? inébranlable ? non on l’a vu ! D’ailleurs il rebande ! Chouette je vais pouvoir me le mettre !

’ oui vas-y je n’suis pas loin de jouir je suis ta salope hein (? ) elle est bonne la Françaiiiiiiseee. ’

Je n’ai pas le temps de poursuivre mon discours il m’a mis un doigt dans le trou interdit -ce que Walter n’a jamais osé faire encore – et je jouis comme une folle ! Ce mamelon qu’il me presse et un doigt dans chaque orifice je suis partie ! ’HAAaaa’ je râle je jouis je ris je souffle je ferme les yeux je ahane je jouis encore je le regarde

t’es content hein. Tu te l’ai faite cette petite salope de Frenchie hein. ’HAAaaaa’. ’Hooo’. ’Ah’. ’Oh’. Quel orgasme ! ! ! Quel pied ! ! !

. Immobile, je suis étendue là, les yeux hagards, je ris, il sourit, le regard sur mes seins, immobile. Détendu.

La jouissance est encore proche, j’ai enlève ses mains de mon corps d’un geste prompt et ingrat

je ne supporte plus que l’on me touche en cet instant, il faut que je me reprenne. Respirer, tout ce strèss évacué ’ d’un coup ’, réfléchir, ’ je n’aurais jamais cru ’, je décompresse.

On se regarde et on se met à rire. Rien n’est vraiment comique si ce n’est que le ridicule de la situation mais on rit, sans retenue, sans trop savoir pourquoi.

Je suis allongée sur ces cuisses, le chemisier ouvert, la jupe relèvee, mes jambes sur l’accoudoir. Je sens son regard s’immiscer jusque dans mes entrailles, son impudeur m’excite, il voit tous MES détails, je sais qu’il en profite et il a bien raison ! Il rebande dur maintenant mais c’est encore trop tôt, je ne suis pas prête, il faut que je me calme encore. Je voudrais tant sentir et apprécier. Je prends mon temps. Impudique et heureuse, je m’offre à son sourire, à moitié nue, j’aime sentir cette insistance, il me voit, ouverte et il peut se servir, j’apprécie cet instant de ’donation-partage’, vas-y prends chaque centimêtre de ma peau, tu peux jouer avec, tous mes pores te désirent, ils ont envie de toi, regarde, est ce que je te plais ? Cette petite chatte rasée ! Je vois que tu adores, oui mange avec tes yeux rassasie toi de ce pubis imberbe, j’aime et tu aimes aussi

Je me relève Je veux qu’il me pénêtre maintenant et sa queue à l’air d’être prête. Il est assis et ne dit pas un mot, je n’ai rien à traduire. Je respire un peu avant de passer à la suite. C’est amusant :nous sommes assis côté à côté dans son large fauteuil les bras le long du corps, comme un vieux couple qui regarde la télé mais le programme que je veux ne se joue sur aucunes chaînes.

décidee je me lève pour m’installer à califourchon sur sa queue. Mais voilà qu’il me repousse !

’no no no ce n’est pas raisonnable j’ai été trop loin je m’exciouze ’ !

Je suis ébahie ! Paul est un autre Paul !

’ Oh c’était vraiment très agréable mais je me suis laissé aller je crois well il ne faut pas m’en vouloir mais il faut stopper maintenant ’

Les bras m’en tombent ! Après ce qui vient de se passer ’Monsieur souhaiterais éventuellement qu’une accalmie dans cette relation. Sir Paul. Ne se permettrais pas une pensée aussi vile en cet instant. Un sujet de sa Majesté. N’envisage pas d’établir des contacts plus étroits avec une représentante de la gent féminine Française. Veuillez agréer chère Anne . Etc. Etc ! ! ! ’

Non mais il se fout de moi ! Je suis furieuse et étonnée furieusement étonnée. Il essaye de s’expliquer mais il ’s’enfonce encore un peu plus ’. Je me calme après la tempête. Il faut que je me fasse une raison :

Les Anglais ont des raisons que la raison ignore. ’ Do to others as you would be done by ’

Tu parles, çà me fait une belle jambe, proverbe à la con

’Paul m’a tuer’! :

Monsieur me tripote de partout va jusqu’à m’enculer d’un doigt et puis voilà comme çà en a assez Paul a des problèmes déontologiques ! Monsieur se laisse sucer ( et bien sucer ! ) et puis soudain Monsieur barguigne. La conscience. Saloperie de conscience saloperie d’ Anglais ! Oui!

Je suis déçue. Je suis vexée aussi un peu. Je ramasse ma culotte sous la table de la cuisine, elle est encore humide de mes envies passées, quel salaud !

Il a ’rangé son matériel ’. Il se lève.

-’Désirez vous une tasse de thé ? ’

-’Paul, je crois que c’est un peu limite çà ! ’

— ’Un peu limite ? Qu?est ce que cela signifie ? ’

— ’Euh. No comment ! ’

Il est tea-time et je dois m’en aller. C’est çà que cela signifie.

Toute penaude, je reprends mon classeur et. Je lui tends la main. Bêtement, un réflexe peut-être ; il m’ouvre la porte et me dis à mardi prochain. Bêtement, un réflexe aussi, je m’entends dire ’ merci Monsieur, à mardi ’ ! ! !

Le ridicule ne tue pas heureusement !

Je descend l’escalier, perplexe, que s’est il passé pour que cela s’arrête de cette manière ? C’est vraiment bizarre. Pas de capote, avait il peur du sida ? il se ’réservait’ peut-être pour la fille d’après ? il est marié ? tea-time est vraiment sacré à ce point ? Je ne trouve pas de réponse. Décidement ces Anglais ne ferons jamais rien comme tous le monde.

Dehors l’air frais me fait du bien je ne me sens pas très à l’aise et je n’arrête pas de penser à tout çà. Je suis encore tout chose. Demain çà ira mieux. Demain est un autre jour.

C’est le lundi suivant que je revis l’Anglais. J’arrivais au bureau lorsque je surpris mon patron et le prof. En pleine conversation :

-’. Elle est bonne POUR UN Anglais. ’

-’ euh. On dit chez nous Qu’elle est bonne EN Anglais ! ’rectifia mon supérieur.

Je rougis aussitôt. Si il savait Le fautif n’est pas toujours celui qu’on croit

Je réussi mon examen sans problème mais sans Edgar Poe. Paul retourna peu après dans sa perfide Albion tandis que tout cela devenait souvenirs. Une histoire. A vous raconter.

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Bisous coquins : ANNE

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