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ou il est question de robinets qui fuient – Chapitre 1

ou il est question de robinets qui fuient - Chapitre 1



OU IL EST QUESTION DE ROBINETS QUI FUIENT.

Rentrant chez moi ce vendredi après le travail, je croise mon copain Antoine :

-Salut Antoine, une éternité qu’on s’est vu, tu as le temps de boire un coup chez Toni ?

-Vite fait alors, je vais voir les J.O.

Il écluse sa bière à une telle vitesse qu’il en tousse :

-Antoine, bois doucement, tu as le temps nous sommes vendredi.

-Je sais mais j’ai envie de voir les J.O. Salut Claude, à plus.

Je n’ai pas trempé mes lèvres dans mon verre qu’il est déjà parti :

-Claude, il crevait de soif l’Antoine.

-Toni, tu le connais, je ne l’ai jamais vu boire aussi vite.

-Où est-ce qu’il à dit qu’il allait ?

-Voir les J.O. je ne le savais pas mordu de sport à ce point.

-Il habite toujours à Danet ?

-Ben oui, la maison de ses parents.

-Il n’est pas parti du bon coté.

-Alors c’est qu’il est venu en auto.

-Ça m’étonnerait, ce matin il était à pieds et j’en suis sur, je sortais la terrasse quand il est passé, il m’a même dit qu’il était à la bourre.

-Pas grave Toni, il va peut être chez un copain.

-Dis moi Claude, ça fait un moment que tu le connais Antoine ?

-Nous sommes rentrés en primaire la même année.

-Tu n’as jamais rien remarqué sur son comportement ?

-Toni, je sais ce dont tu veux parler, ce sont des conneries colportées par le boucher de la rue Manset, Antoine n’a jamais été en prison et n’a jamais rien volé.

-Qui te parle de prison et de vol, je te parle de comportement, je sais que ce pauvre con de boucher racontait des conneries sur Antoine, il s’est pris une bonne branlée et n’a pas porté plainte, même sa femme lui faisait honte.

-Pour lui faire honte elle sait y faire, la moitié des hommes du quartier lui sont passés sur le corps et l’autre moitié attendait son tour !

-Ça c’est vrai, j’ai même entendu dire qu’elle les prenait par deux.

-Toni, tu ne faisais pas partie de la première vague, toi ?

-Euh. si. mais ça fait un bail.

-Tu l’as quand même baisé, pourtant, excuse moi de te dire ça, mais elle n’est pas canon la Mauricette ! Qu’elle se tape tous les ringards du coin passe encore, mais toi.

-Je sais. je vais même te faire une confidence, je ne voulais pas qu’elle se déshabille, elle l’a fait une fois, j’ai failli ne pas bander !

-À ce point ?

-Elle est grosse de partout, des fesses, des seins et un pneu autour de la taille.

-Tu peux bien me dire ce qui te faisait aller la baiser, il y à prescription maintenant.

-Mauricette, c’est la femme la plus salope que je connaisse, tu peux tout lui faire, tout lui dire, elle accepte tout, et quand je dis tout.

-J’ai eu des échos. Toni, tu n’étais pas affamé à ce point quand même !

-Non, tu as raison, mais à ma ’’décharge’’, je n’y suis allé que trois fois. Elle est particulière cette femme, je croyais avoir vu des horreurs mais là, je suis tombé de haut.

-Quelles horreurs ?

-Claude, je n’ai jamais pu la baiser devant, c’est pas un vagin qu’elle a entre les jambes, c’est le cirque de Gavarnie ! Sans prétention je crois que j’ai une belle pine, mais je ne touchais même pas les bords devant, et derrière, c’était encore pire !

-Toni, tu me disais y être allé trois fois, moi, la première fois je serais parti en courant.

-Je te jure que c’est ce que je voulais faire, mais elle sait s’y prendre la salope. C’est une suceuse de première mon vieux, d’ailleurs la première fois, elle n’a fait que me sucer la bite et me bouffer le cul, et ça, j’adore.

-Toni, je m’en fiche qu’elle soit la plus salope, ce que je veux comprendre c’est comment un homme comme toi peut aller baiser un thon pareil avec la femme que tu as.

-Ne retourne pas le couteau dans la plaie Claude, je m’en suis voulu très longtemps.

-Elle continue à se faire sauter ?

-Bien sur, elle est bien placée depuis trois mois.

-Pourquoi ?

-Le chantier du nouveau pont draine une centaine d’ouvriers, certains vivent sur le chantier dans des mobil-homes, je ne te parle pas des orgies !

-Elle va se faire sauter sur le chantier ?

-Pas sur le chantier, elle se ferait écharper par les putes, mais chez une copine qui habite tout près du chantier.

-Sylvie ?

-Oui, tu la connais, c’est notre ancienne serveuse.

-Si elle fait ça chez Sylvie, excuse-moi, mais elle doit prendre du fric.

-C’est aussi ce que je me suis dit, Sylvie faisant la pute, elle ne peut pas faire ça gratos.

-Payer pour baiser Sylvie je peux comprendre, c’est une belle nana mais payer pour Mauricette.

-Claude, elle fait tout ce que les hommes lui demandent, y compris les choses les plus crades, ça intéresse certains vicelards. Un des ouvriers qui viennent manger ici, me disait qu’elle se fait baiser par un clebs.

-À tous les coups c’est le Danois de Sylvie.

-Elle fait payer très cher la séance.

-Et ce connard de boucher, il n’est au courant de rien, personne ne vient lui raconter ce que fait sa femme, tout le monde le sait pourtant ?

-Je pense qu’il ferme sa gueule ce fumier. Claude, un bruit court qu’il aurait foutu tout le monde dehors, la Mauricette et leur fils.

-Elle habiterait chez Sylvie alors ?

-Je n’en sais rien, mais si c’est le cas, bonjour l’éducation du gamin !

-Il a quel âge ?

-Une bonne quinzaine d’années. Claude, je suis en train de me demander si Antoine n’allait pas au foyer des jeunes travailleurs.

-Mais si, tu as raison. L’omnium électrique leur à installé un grand écran pour regarder les J.O., c’est là qu’il allait.

-Je préférerais voir ça à la maison, tranquillement avec une bonne bière, pas toi ?

-Tu sais qu’il a sa mère chez lui, elle est scotchée toute la journée devant leur télé, soit disant que celle de sa chambre n’est pas assez grande !

-Ayant hérité la maison, il aurait pu faire un effort quand même !

-La maison et le pognon Toni, Le père Targui avait amassé un gros paquet de fric.

-La chance c’est toujours avec la crapule, il ne s’est jamais fait pincer ce lascar.

-Pas de preuve, pas de délit. Actuellement, il serait arrêté depuis longtemps avec les moyens modernes de la police, l’ADN etc.

-Tu te souviens au changement de monnaie, Antoine faisait le tour de toutes les banques de la région pour changer les francs en euros.

-Il rachetait les billets de loterie gagnant, les tickets gagnants de PMU, le boulot qu’il à fait pour changer tout ce fric.

-Je lui tire quand même mon chapeau, ça aurait pu lui tourner la tête tout ce pognon, il n’a même pas changé sa voiture.

-C’est le seul moyen de ne pas se faire gauler, son père lui avait bien fait la leçon, truand mais pas con le père Targui !

-Il doit lui en rester un gros paquet, non ?

-Faudrait déjà savoir combien il y avait.

-Claude, si c’est lui qui à fait le coup des distributeurs de billets, on a parlé d’un milliard de centimes.

-Il en avait fait combien avant, personne ne le sait et ne le saura jamais.

-Peut être qu’Antoine le sait, ce qui ne m’étonnerait pas d’ailleurs, il était à l’hosto quand son père est mort, il à pu lui parler.

-Possible mais alors il est très fort, vivre comme il le fait avec une fortune sous la main.

-Nous ne l’entendons jamais se plaindre en tout cas.

-Toni, il pourrait vivre une autre vie et nous ne le saurions pas, tu vois, celle qui m’étonne le plus c’est Rolande, qu’il puisse se maitriser, après tout c’est son affaire, mais sa femme.

-Elle est aussi capable de se maitriser que lui sinon plus, belle femme, bien dans sa peau, toujours impeccable.

-Nous parlons dans le vide, elle sort peu, ne se mélange pas avec n’importe qui, ma femme qui copine un peu avec elle, me disait qu’elle a sûrement fait des études supérieures.

-Elle n’a jamais travaillé en tout cas.

-Je vais avancer jusqu’au foyer jeter un oil.

-Passe au retour, tu me diras.

-Ok.

Le foyer est installé dans le nouveau complexe sportif, un immeuble de logements destinés aux jeunes travailleurs complète le programme.

Pour accéder au foyer il faut traverser un parking gardé, je salue le préposé et je me dirige vers le local.

N’étant jamais entré dans ce foyer depuis son installation, je découvre les aménagements impeccables, tout est en ordre et propre, dans une salle, un grand plasma diffuse les séries de natation, une dizaine de jeunes sont rivés devant l’écran mais pas d’Antoine.

Un garçon entre et me regarde d’un air interrogateur :

-Excusez moi, je cherche Antoine, vous ne l’auriez pas vu par hasard ?

-J’arrive juste, attendez, je vais demander.

Il va questionner quelques garçons dont un se tourne vers moi et se lève :

-Je l’ai vu arriver, il est resté ici un quart d’heure et il est parti.

-Vous sauriez où il est parti ?

-Euh. oui. en face, un copain avait un problème avec robinet de salle de bain.

J’ai l’impression qu’il n’a pas envie de me dire qui est ce copain, je n’insiste pas sans comprendre ce qui le retient.

-Ce n’est pas grave, merci.

Je sors sans me presser en regardant l’écran, consternation parmi les jeunes, notre championne du monde vient de se faire ’’étendre’’ en terminant dernière de sa série.

Je ne comprends pas bien ce que peut faire Antoine chez quelqu’un qui aurait un problème de robinet, il n’est même pas capable de changer une ampoule !

Un garçon arrive à vélo, tape le code et va mettre sa bicyclette dans le local prévu, je le coince au retour.

-Excusez-moi, j’ai appris que quelqu’un avait un problème de robinet, vous êtes au courant ?

-Euh. oui. Effectivement, j’ai un gros problème de robinet, il fuit tout le temps, vous vous y connaissez ?

-Oui, mais je n’ai pas mes outils.

-J’ai tout ce qu’il faut, si vous voulez monter.

Je pensais que nous allions prendre l’ascenseur mais il passe le premier et monte par l’escalier.

Je n’avais rien remarqué de particulier quand il est arrivé mais en le voyant devant moi, trois marches plus haut, je me rends compte que son short est largement échancré sur les coté façon ’’flottant’’, et surtout, qu’il ne porte rien dessous.

Au troisième, il ouvre sa porte avec une carte magnétique sans que je sache d’où il la sort.

-Entrez et mettez vous à l’aise, je vais aux toilettes.

L’appartement est un ’’grand’’ studio, kitchenette aménagée, dans la grande pièce, une mezzanine ’’couchage’’ et dessous, canapé, un bureau, une table et une sorte de commode.

Un placard avec des portes coulissantes occupe tout un mur, la salle de bain est derrière le placard.

La porte de la salle de bain restée ouverte, il pisse après avoir baissé son short en visant bien la selle puis il se tourne vers moi sans se cacher.

-Entrez, c’est ici que ça fuit.

J’ai beau regarder le lavabo, aucune goutte ne sort du robinet, idem dans la douche :

-Rien ne fuit, vous avez du vous tromper.

-Oh non, mais c’est ce robinet qui fuit, regardez, dit il en me montrant une belle pine raide dont le gland suite d’une grosse goutte transparente.

Debout devant lui je ne sais plus quoi faire, sa main droite branle cette belle queue dont le prépuce lubrifié couvre et découvre bien le gland.

-Tu me suces tout de suite et je te baise, ou c’est moi qui commence ?

-Euh. je commence, dis-je en me penchant pour emboucher le gland.

Ses mains posées sur ma tête, il fourre sa queue dans ma bouche le plus loin possible me provoquant une nausée.

-Bouffe-moi la queue et masse-moi les couilles.

J’étais venu voir si je trouvais Antoine et je me retrouve en train de sucer une belle pine dont le goût et l’odeur me font bander immédiatement.

A genoux, mes mains cramponnées aux fesses, je me délecte de cette bonne et belle pine puis je glisse un doigt dans la raie pour chercher la rosette dont je fais le tour.

-Fourre moi un doigt dans le cul, j’aime ça aussi.

Ce n’est pas un mais deux au début, puis trois que je fourre dans le trou qui se dilate sous ma poussée.

Les mouvements de son bassin cesse et je reçois une grosse coulée de foutre dans la gorge, je tousse un peu avant de tout avaler.

Relevé, je regarde la pine devenir flasque :

-J’ai failli m’étouffer, quelle giclée !

-Et encore, j’ai baisé ce matin sinon, quand j’ai les couilles pleines, c’est comme si je pissais ! Tu m’as fourré tes doigts dans le cul, le passage est fait, tu te couvres et tu me baises.

D’un seul coup j’ai un doute, je ne sais plus si j’ai une capote :

-Dans cette boite, dit-il en me désignant une grosse boite de bonbons.

Je me couvre après avoir baissé pantalon et slip :

-Attend un peu. Je ne sais pas si tu vas pouvoir me baiser avec une bite de cette taille.

-Je viens de te mettre trois doigts sans problème.

-Les doigts c’est facile. on va essayer avec du lubrifiant, je n’ai jamais pris une pine aussi grosse.

La capote lubrifiée et son trou bien enduit, il se penche, appuyé sur le bras du canapé :

-Si je gueule tu arrêtes, pas envie de me faire éclater le cul !

-Ok, j’y vais doucement.

Mon gland posé sur la rosette, je pousse en même temps que lui, ça rentre sans problème et je m’enfonce :

-Je suis dedans, tu vois que ça va.

-Alors bourre-moi le cul, dit-il en triturant ce qui reste de son érection.

Bien excité il me semble que je vais jouir rapidement, sentant monter mon jus je crache tout dans la capote.

Je m’extrais rapidement en regardant le latex, seul le réservoir plein est légèrement maculé, je vire la capote et fais un noud.

Il se branle pour redonner une belle raideur à sa pine, prend une capote et se couvre, inutile de me faire un dessin.

Appuyé comme lui sur un bras du canapé, j’attends qu’il m’encule :

-Putain, tu dois t’en prendre un max, ton cul est déjà ouvert.

-Pas tant que ça. mais j’aime surtout les grosses.

-Si tu aimes les grosse je vais te présenter un copain, sa pine on dirait un bras d’enfant !

-Pas de problème.

Il entre sans lubrifier et me pistonne rapidement, sa pine glisse bien sur ma prostate et me provoque une nouvelle érection, chose rarissime car je n’arrive jamais à bander pendant une enculade, la longueur de sa queue y est pour beaucoup.

Encore quelques mouvements et il se bloque enfoncé jusqu’aux couilles en poussant un grognement.

-La vache, quel cul, je n’ai jamais joui aussi vite ! Je te croyais plus dilaté que ça.

-Mon cul s’adapte, depuis le temps.

-Il y à longtemps que tu te fais enculer ?

-J’avais 15 ans la première fois.

-Comme moi, mais ça s’est mal passé.

-Tu as eu mal ?

-Oui et le salaud m’a bourré comme si j’en avais déjà pris des kilomètres !

-Monté gros ?

-Pas spécialement, mais c’était la première fois, j’ai eu mal au cul pendant trois jours.

-Pas de déchirures au moins ?

-Un peu de sang le premier jour, pour la grosse commission, je ne te parle pas de la galère ! Ce que j’avais peur c’est d’être obligé de le dire à ma mère.

-Tu pouvais inventer un truc.

-Pas facile, comme je lui disais tout.

-Après, tu as fait comment ?

-J’ai lubrifié et pas avec de la vaseline, du bon lubrifiant.

-Excuse-moi de te poser cette question qui va te sembler idiote, tu es homo ?

-Mais non ! Je suppose que tu ne l’es pas non plus ?

-Exact. je fais ça uniquement pour le plaisir.

-Idem pour moi ! Tu peux me dire comment tu as su ?

-Comment j’ai su quoi ?

-Ce que nous venons de faire, il faut être initié.

-Ah bon, première nouvelle.

-Attends, c’est bien toi qui m’a parlé d’un robinet qui fuit.

-Oui.

-C’est le mot de passe, tu ne le savais pas ?

-Mais non, je te le promets ! Pour tout te dire, je cherchais un ami.

-Dans l’immeuble ?

-Oui, il est parti du foyer avec un garçon pour un problème de robinet justement.

-Les gars t’ont donné le mot de passe pensant que tu le connaissais, qui c’est ton copain ?

-Antoine, tu le connais ?

-Bien sur que je le connais. il vient se faire enculer un jour sur deux.

-Il vient se faire enculer et il encule aussi ?

-Non, Antoine se fait défoncer le cul c’est tout !

-Je suppose qu’il n’est pas le seul.

-Oh non ! Je peux même te dire que tu serais étonné.

-Je m’en doute. Je suis Claude.

-Christophe, Kris pour tout le monde.

-Kris, tu peux m’expliquer, il me semble que je n’ai pas tout compris.

-Il n’y à rien à comprendre, tu viens baiser ou te faire baiser, point final.

-Kris, c’est uniquement pour le plaisir n’est-ce pas ?

-Ben oui. Oh là là, tu croyais qu’il fallait payer ?

-Cette idée m’a traversé l’esprit.

-Pas du tout mon vieux, le cul pour le cul, rien d’autre. Excuse-moi, je ne te mets pas dehors, mais j’ai du boulot sur mon PC. Autre chose, la règle c’est qu’on ne revient jamais, chacun s’étant fait baiser par l’autre, c’est terminé.

-Ok, tu fais bien de me le dire.

-Pourquoi, ça t’aurait plu de recommencer avec moi ?

-Euh. je ne sais pas, finalement c’est peut être aussi bien comme ça.

-Je le pense aussi. Encore merci, j’ai beaucoup aimé ta grosse pine.

-Juste une dernière question, les rencontres ne se font qu’au foyer ?

-Normalement oui, mais ça déborde un peu, le bouche à oreille, ça marche !

Je descends par l’escalier, dans la rue, je me pince pour vérifier si je n’ai pas rêvé, je suis bien éveillé et j’ai encore la sensation de la bite de Kris dans mon cul, donc.

En revenant doucement, je me demande si je vais raconter ça à mon épouse, je me suis fait baiser de façon délibérée et j’ai baisé en prenant mon pied, ce que je ne fais jamais seul.

Sandra et moi avons un contrat moral, le cul pour le cul mais ensemble le plus souvent possible.

Je sais que Sandra s’est permis quelques entorses ’’au contrat’’, des ’’coups qu’on ne peut pas rater’’ me disait-elle en me racontant ce qui s’était passé.

Après tout, je peux bien lui dire ce que je viens de faire, bizarrement je ne me sens pas ’’coupable’’ tant la chose s’est faite ’’comme ça’’, ’’sur le pouce’’ !

J’aurais pu éviter d’entrer chez Toni, mais il est sur la terrasse avec un client et bien sur, il m’a vu.

-Alors Claude, tu as vu Antoine ?

-Non. Je ne l’ai pas vu mais. Toni. nous sommes amis n’est-ce pas ?

-J’espère bien en tout cas !

-Il faut que tu gardes secret ce que je vais te dire.

-Oh là là, ça sent le roussi.

-Mais non. Toni, je suis allé au foyer, belle réalisation, notre pognon à bien été dépensé ! Il y avait une dizaine de jeunes qui regardaient les J.O. mais pas d’Antoine, je demande si quelqu’un l’a vu ’’Il est parti avec un garçon qui à un robinet qui fuit’’.

-Claude, tu déconnes, Antoine ne sais même pas dévisser un bouchon de bouteille.

-C’est ce que j’ai pensé ! Il serait entré de l’autre coté de la rue, dans l’immeuble occupé par les jeunes travailleurs.

-Ça aussi c’est une belle réalisation, ça manquait, les étudiants ont leur cité universitaire, il n’y avait rien pour les jeunes travailleurs.

-Toni, c’est maintenant que ça devient incroyable. J’étais devant l’immeuble, arrive un garçon à vélo qui s’arrête devant moi et m’interroge du regard, étonné de me voir de toute évidence. Au lieu de lui dire que je cherche Antoine qu’il peut ne pas connaitre, je lui dis que quelqu’un a un problème de robinet, comme si je venais le réparer !

-Quel âge le garçon ?

-20 ans passés, mais pas beaucoup plus. Il me regarde, hésite et me dit que c’est chez lui la fuite et non montons.

-Claude, tu viens réparer une fuite avec ta bite et ton couteau ?

-Tu ne crois pas si bien dire ! Arrivés dans le studio, pas de fuite dans la cuisine et pas de fuite dans la salle de bain, le garçon pissait sans trop se cacher.

-Claude, tu t’es fait piéger ou quoi ?

-Attends, tu vas comprendre. Je lui fais remarquer qu’il n’y à aucune fuite ’’Oh si, c’est ce robinet qui fuit’’ et il me montre sa bite en érection avec une grosse goutte sur le gland.

-Oh putain, j’ai compris.

-Tu as compris quoi ?

-La semaine dernière deux types parlaient au comptoir, le greffier du tribunal et un assesseur du proc. Justement il était question de robinets qui fuient, je ne comprenais pas ce qu’ils voulaient dire mais ils semblaient se refiler un tuyau.

-Toni, le tuyau, c’est l’immeuble des jeunes travailleurs.

-Je peux savoir ce que tu as fait, bien que je m’en doute te connaissant ?

-Toni, le garçon m’a foutu sa pine dans la bouche, je l’ai fait jouir et je l’ai baisé.

-C’est tout ?

-Euh. non, il m’a baisé aussi.

-Je me disais. Alors comme ça, on peut tirer comme on veut, il suffit d’avoir le mot de passe si j’ai bien compris.

-Exact, un robinet qui fuit. Antoine était en train de réparer un robinet.

-Tu lui as posé la question pour Antoine ?

-Oui. Antoine ne vient pas baiser, il ne vient que se faire enculer, un jour sur deux.

-Claude, je te demandais si tu n’avais rien remarqué dans le comportement d’Antoine, c’est à ça que je faisais allusion. Au fait, tu ne m’as pas dit, bien monté le garçon ?

-Pas mal. j’en ai pris un bon coup.

-Tu vas le dire à te femme ?

-J’y pensais en venant. oui Toni, je vais lui dire. Elle m’a toujours dit ce qu’elle faisait sans moi.

-Sandra est une femme superbe et bien dans sa peau, tu as raison de ne pas lui mentir, Claude, il n’y à pas de femmes plombier ?

-Nous n’en avons pas parlé. Tu as compris comment ça fonctionne ?

-Pas bien. Dans ton cas tu cherchais quelqu’un qui ’’aurait’’ une fuite et qui serait parti avec un de tes copains, mais si je me pointe au foyer tout le monde sait qui je suis, je ne vais pas demander ’’qui a une fuite de robinet ?’’, je vais passer pour un con !

-Donc il y à une autre clé. Ou alors, il faut amener la discussion sur les fuites de robinets. Autre chose, tu fais une fois avec quelqu’un et c’est tout, à condition que les deux aient baisé.

-Ça doit vite tourner court, ils ne sont pas légion dans cet immeuble.

-C’est la règle.

-Claude, tous les garçons qui habitent là ne se font pas prendre le cul quand même, ce n’est pas un ghetto homo que je sache.

-D’après le garçon, il n’y à pas d’homos, uniquement pour le cul et le plaisir.

-Je vais y aller faire un tour demain, j’ai deux heures de 16 à 18.

-Toni, fais attention, tu le disais justement, tout le monde te connais.

-Et alors, si je me fais enculer, il faut bien que quelqu’un m’encule, il ne va pas aller le crier sur les toits !

-Bien vu. Toni, je ne savais pas que tu pratiquais.

-Nous n’avons jamais parlé de ça tous les deux, je savais pour Sandra et toi, vous n’avez jamais éludé la question.

-Vous fonctionnez comme ça aussi ?

-Tu ne vas peut être pas me croire, mais c’est Marion qui m’a mis dans le bain.

-Toni, je connais votre histoire depuis longtemps. Que vous soyez un couple libéré c’est une chose, mais tout les couples libérés ne sont pas ’’bi’’, et s’ils le sont, tous les hommes ne se font pas enculer.

-Tu as raison. Attends, je vais fermer.

-Tu ne rentres pas ta terrasse ?

-Claude, c’est ce que je faisais quand tu es passé !

-Excuse-moi, tu disais ?

-J’ai été pensionnaire de la 5ième jusqu’en terminale, tu comprends ce que ça veut dire.

-Bien sur, j’y suis passé aussi.

-Sauf que moi je ne pouvais pas me faire baiser, même en forçant je ne pouvais pas me fourrer un doigt dans le cul et un jour, il m’est arrivé un gros pépin, j’ai fait une occlusion intestinale. Constipé, je n’arrivais pas à évacuer, un gros bouchon s’était formé qui serait sorti avec un lavement, chez moi, ils n’ont même pas pu mettre une canule.

-Toni, tu faisais des crottes de souris alors ?

-Presque, des petites saucisses même pas grosses comme mon petit doigt. Le toubib à pris la bonne décision dans l’urgence, le problème venant d’une malformation du sphincter anal qui l’empêchait de bien fonctionner, il a fallu opérer, depuis j’ai un nouveau sphincter qui fonctionne à merveille.

-Et tu as pu te faire enculer !

-Pas si vite ! J’ai mis un moment avant de pouvoir le faire, je me suis préparé en me fourrant dans le cul tout ce qui n’était pas trop gros et rond, le manche d’une brosse à cheveux par exemple !

-Tu avais quel âge la première fois, avec une bite ?

-16 ans, c’était le soir de mon anniversaire. Mes parents me donnent l’autorisation de minuit et je sors avec deux copains qui m’ont laissé tomber pour suivre deux poufs accrochées dans une salle de jeux. Je me suis retrouvé comme un con avec deux heures devant moi, j’ai trainé avant de rentrer et je suis passé près d’une vespasienne où je suis allé pisser.

-Toni, je parie que c’est celle du vieux marché.

-Exact, nous habitions la rue Paul Doumer qui donne sur la place du marché. Dans la vespasienne deux types se branlaient en regardant un troisième montrer son cul, l’endroit, l’odeur les bites et le cul, je me suis mis à bander et j’ai sorti ma queue. Le plus jeune des trois est venu me toucher, je l’ai sucé et il m’a foutu sa bite au cul. Moi qui ne supportais même pas un doigt, je me suis pris une grosse et belle pine sans aucune douleur.

-Sans capote ?

-Oui Claude, sans capote. Il m’a déchargé dans le cul et j’ai tout évacué devant les autres qui se sont branlés sur moi. Voilà ma première fois.

-Et tu es rentré à l’heure !

-Tout à fait, ma mère n’était pas couchée, j’avais du sperme partout et je puais le cul à plein nez ! Heureusement qu’elle était devant la télé, j’ai pu aller me laver avant de lui dire bonne nuit.

-Au bahut, ça baisait beaucoup ?

-Oh non, on se branlait, on se suçait mais on ne s’enculait pas ou très peu. J’avais envie d’en prendre un autre coup, le premier m’avait plu mais je n’avais pas joui, ça s’est passé au cinéma un jeudi après midi. Je me suis retrouvé à coté d’un type qui m’a touché la cuisse avant l’entracte, comme je n’avais rien dit, il a recommencé pendant le film. Nous étions dans un vieux ciné avec des accoudoirs en bois entre les sièges, un rempart presque infranchissable, en plus mon siège était défoncé, il essayait de toucher ma braguette sans y arriver et moi non plus d’ailleurs.

-Vous êtes allé dans les chiottes ?

-Non, à la fin du film il m’accroche le bras pour que je le suive et nous sortons du ciné, la seule chose que je n’avais pas remarqué, c’est qu’il était accompagné par une femme qu’il me présente comme étant sa mère.

-Âgé le type ?

-La quarantaine. Il voulait que j’aille chez eux mais je devais rentrer au bahut pour 18 heures, ils sont venus me chercher le jeudi après midi suivant en se faisant passer pour des cousins.

-Sa mère était là aussi ?

-Oui, ça faisait plus vrai.

-C’était vraiment sa mère ?

-Oui. Claude, ce type était homo et ne se tapait que des jeunes, quand je dis ’’se tapait’’, c’est faux, il ne baisait pas et j’ai compris pourquoi en voyant sa bite, un truc ridicule, gros et long comme mon index. Il a voulu que je le suce, ça n’a pas duré une minute et il m’a joui trois gouttes dans la bouche. Après ça j’ai du me foutre à poil et là, il est devenu fou en voyant ma queue, et que je te suce, et que je te bouffe le cul et de nouveau la bite, puis il m’a tendu son cul et je l’ai baisé. Je n’avais jamais baisé mais je ne m’y suis pas trop mal pris et j’ai déchargé dans son cul.

-Tu voulais te faire baiser, c’était raté alors ?

-Mais non Claude, sa mère est venue nous rejoindre avec un nouvel arrivant, un jeune qui venait soit disant voir son fils. A mon avis elle était allée cherche un voisin. C’est lui qui m’a baisé et bien baisé, je me suis branlé et j’ai joui sur le cul de la femme.

-Elle était resté là ?

-Oui, c’est même elle qui dirigeait les opérations, fais-ci, fais ça, suce le, écarte tes fesses, tu vois le genre !

-Son fils, il faisait quoi ?

-Parti juste après l’arrivée de sa mère et il n’est pas réapparu. Claude, j’étais jeune et je ne savais pas quels pouvaient êtres les dommages ’’collatéraux’’, le garçon avait la bite gainée de merde.

-Quand on le sait, ça parait évident, mais c’est vrai que quand ça arrive.

-J’étais gêné mais pas lui, nous sommes allés nous laver comme si c’était tout à fait normal, la mère m’a même sucé dans la salle de bain. C’était le bon temps, je pouvais tirer trois coups sans débander.

-Tu rentrais chez toi toutes les semaines ?

-Oui, mon père venait me chercher et ça m’arrangeait bien, les week-ends au bahut, c’était le bordel et les ’’instigateurs’’ ont fini par se faire gauler.

-Toni, tu restes en érection en te faisant enculer ?

-Une fois sur deux ou trois, pourquoi ?

-Parce que ça commence à me le faire, avant je pouvais me branler et jouir avec une bite dans le cul, maintenant, il m’arrive de débander donc je ne peux plus me branler.

-Ça te le fait à toutes les fois ?

-Non, mais ça m’énerve, si je ne peux pas me branler je ne vois pas l’intérêt que je me fasse enculer, je ne jouis que si je me branle. Ma femme jouit par le cul, mais pas moi.

-Moi non plus Claude. C’est pour cette raison que je choisis des mecs avec une pine assez longue pour qu’elle touche bien ma prostate, c’est ce qui me fait bander.

-Je n’avais pas pensé à ça. Tu as raison. je ne débande pas quand Sandra m’encule.

-Avec un gode assez long, c’est normal, c’est un gode ceinture ?

-Oui Toni, le même que celui de ta femme.

-Que je suis bête ! Claude, je vais fermer le rideau et monter, depuis ce matin 6 heures, ça fait long.

-Salut Toni, tiens moi au courant si tu vas réparer un robinet.

-Je n’y manquerais pas.

Chez moi, un mot sur la table me prévient qu’elle ne sera pas rentrée avant 20 h 30, pour tuer le temps j’en profite pour ranger mon garage.

La porte basculante montant par saccade je graisse les glissières et tout rentre dans l’ordre, puis je vire toutes les saloperies que nous accumulons depuis des mois.

En revenant du bac à ordures, Antoine me klaxonne :

-Claude, il parait que tu me cherchais ?

-Oui, mais rien de grave rassures-toi.

Il descend de son auto pour me rejoindre dans le garage :

-Au foyer, on m’a dit que tu me cherchais.

-C’était pour avoir la date du défilé, mentis-je, je ne me souviens plus si c’est le 11 ou le 12.

-Le 12 Claude, un samedi, pas un vendredi.

-Bien sur, Toni ne le savait pas non plus.

-Nous comptons sur vous Sandra et toi.

-Évidemment. Tu allais faire des courses ?

-Claude, pas à cette heure ci, je viens de changer ma batterie, il faut que le boitier électronique se réinitialise.

-Antoine, d’où tiens-tu ça ?

-Du livret d’entretien.

-Dis-moi, je suis passé au foyer, superbe réalisation et bien entretenu, les jeunes sont sympas. Tu dois les connaitre tous maintenant.

-A peu près, ce sont des grands ados mais il faut encore les surveiller, un jour je te ferais visiter l’immeuble des logements.

-Quand tu veux, passe me prendre. Antoine, tu sors dans la rue habillé comme ça ?

-Mais non, je ne devais pas descendre de voiture, c’est mon short qui te gêne ?

-Il ne me gêne pas mais je le trouve bien court et il ne te cache pas grand-chose.

-Bof, ça ne me dérange pas qu’on puisse voir mes couilles, et puis quand je marche, on ne voit rien c’est seulement quand je lève une jambe.

-Oui mais ton pied est posé sur mon pare-choc.

-Claude, combien de fois avons nous pris des douches ensemble, je t’ai vu à poil autant de fois que tu m’as vu.

-Tu as une heure devant toi ?

-Oh oui, mon épouse ne rentrera qu’à 20 h 30.

-La tienne aussi alors, elles ne seraient pas ensemble par hasard ?

-Si, réunion Tupperware je crois. Tu savais qu’ils vendent des godes maintenant ?

-Non. la vendeuse fait des démonstrations ?

-Je n’en sais rien, c’est chez Mathilde.

-Aucun risque alors, entrons, je ferme ma porte.

Devant une bière dans le salon, je vais essayer de le faire parler :

-Antoine, ta mère va bien ?

-Oh oui, très bien même. On à failli la perdre et elle n’a jamais été aussi bien depuis la mort de mon père. Elle s’est aménagé le deux pièces au fond de la cour, bon débarras. Elle passe son temps devant la télé, en ce moment ce sont les J.O. qui l’occupent, je lui ai acheté un grand écran.

-Antoine, au lieu de changer ta batterie, tu aurais dû changer de voiture.

-C’est marrant ce que tu dis, c’est pour la vendre que j’ai mis une batterie neuve, l’autre était faiblarde.

-Tu as choisi ?

-Ben oui, je prends la même que la tienne mais pas neuve, une 2006 avec 37.000 Km, toutes options, c’était celle du toubib de la médecine du travail.

D’un seul coup, je fais le rapprochement avec le foyer des jeunes travailleurs, c’est justement ce médecin qui s’occupe d’eux.

-Tu le connais bien ce toubib ?

-Oui, je le vois souvent quand je vais au foyer, il consulte un jour sur deux.

-Antoine, tu peux me dire ce que tu vas faire au foyer un jour sur deux ?

-Euh. Je m’occupe des jeunes, tu le sais bien.

-Antoine, tu peux me dire la vérité, ça ne sortira pas d’ici.

-Mais c’est la vérité Claude, je m’occupe d’eux.

-Et tu vas jusqu’à réparer les robinets qui fuient ? Antoine, tu ne saurais pas changer une ampoule, ne te fiche pas de moi.

-Claude, tu es passé commissaire de police ou quoi ?

-Mais non Antoine, je veux juste que tu me dises la vérité.

-Et je parie que la vérité tu la connais, je me trompe ?

-Oui Antoine, je la connais. Cet après midi, je suis allé réparer un robinet.

Déjà rouge, il devient écarlate et manque d’air :

-Tu as. été. réparer.

-Oui Antoine, je suis allé réparer un robinet, je l’ai essayé, tout fonctionne à merveille.

-Je peux savoir chez qui tu es allé ?

-Je ne connais que Kris.

-Oh la vache, tu as du faire du bon travail alors, c’est un beau robinet.

-Antoine, tu peux cesser tes âneries, nous avons fait ce qu’il faut, point final. Depuis le temps qu’on se connait, tu n’as jamais été foutu de me dire que tu étais comme ça ?

-Parce que tu crois que c’est facile d’avouer ça, même à son meilleur ami.

-J’y suis allé et je te le dis, où est le problème ? Antoine, est-ce que ta femme est au courant ?

-Bien sur qu’elle l’est. Depuis le temps que je fais ça, je me suis fait défoncer le cul plusieurs fois, elle aurait bien été obligée de le savoir.

-Ça s’est mal passé ?

-Non, mais tu dois bien savoir que si on tombe sur un mec monté comme un âne et qu’il ne prenne pas de précaution, ça peut faire mal. C’est ce qui m’est arrivé.

-Chez les jeunes ?

-Non, certains sont bien équipé, mais pas à ce point. Claude, moi, je ne baise pas.

-Je peux savoir pourquoi ?

-Parce que j’ai une toute petite bite, ça tu le sais.

-Antoine, j’ai la prétention d’être bien équipé et pourtant, en sortant de l’eau, ma bite était ridicule, la tienne ne l’était pas plus que la mienne.

-Oui mais moi, quand je bande, elle est à peine plus grosse.

-Tu arrives à contenter Solène quand même ?

-Solène se contente toute seule, elle se branle avec un gode et je lui fous ma pinette dans le cul.

-Donc tu ne vas réparer les robinets que pour te faire enculer.

-Oui, il n’y à que comme ça que je peux jouir.

-Tu jouis en te faisant enculer ?

-Ça me fait bander et je me branle. Pas un homme ne s’est foutu de moi, Claude, c’est loin d’être le cas des femmes, pourtant je ne me suis jamais vanté d’avoir un gros mandrin.

-C’est pour cette raison que tu as été réformé ?

-Oui, je ne vois pas pourquoi d’ailleurs, mais c’est comme ça. J’ai une petite bite mais mes couilles sont normales. Si tu ne savais pas pour moi, je ne savais pas pour toi non plus.

-Tu sais très bien que nous sommes libertins Sandra et moi, tu connais même des gens avec qui nous avons fait des plans cul.

-Mais oui je le sais. Tu vois Claude, avec tes conneries de parler de cul, j’ai envie de me faire enculer maintenant.

-Ne compte pas sur moi.

-Je ne t’ai rien demandé. Cet après midi, j’ai pris deux coups.

-Avec le même ?

-Non, ce n’était même pas avec les gars du foyer. Celui avec qui je suis parti n’a jamais pu bander, il faut lui raconter des histoires de cul, lui parler de sa mère quand elle se fait baiser etc.

-Tu dois rencontrer toute la misère sexuelle si j’ai bien compris.

-Les jeunes sont complètement dépassés par les femmes, elles leur coupent tous leurs moyens. Ils fanfaronnent comme ça, mais au lit ils sont nuls, si je te disais qu’ils crèvent de peur.

-Ça ne m’étonne pas, pour peu qu’ils ne soient pas ’’fabuleusement’’ équipés, elles vont se foutre de leur gueule ! Antoine, c’est vrai que ce connard de boucher à foutu tout le monde à la porte ?

-Oui, il à viré sa femme et son fils. Tu sais que la Mauricette est une grosse salope, comme il lui à coupé les vivres, elle bosse avec Sylvie.

-Elles font la pute toutes les deux chez Sylvie ?

-Non, chacune chez soi, mais elles se refilent les clients, vu que Mauricette accepte tout.

-C’est vrai qu’elle baise avec le clebs de Sylvie ?

-Je ne l’ai jamais vu faire mais il parait que les séances coutent très cher.

-Et le gamin dans tout ça ?

-Il à 16 ans passés maintenant, il s’est tapé Sylvie pour se déniaiser et il fait des plans avec elle.

-Antoine, il est mineur.

-Et alors. elle se fait baiser par lui devant certains clients, c’est ’’la baise à la demande’’, vous voulez quoi ? Ok, on vous le fait, vous en voulez encore ? Allongez les biftons et on vous fait tout ce que vous voulez. Si un type veut enculer le gamin, ça lui coute un Max.

-Antoine, comment sais-tu tout ça ?

-Parce que je parle avec Mauricette, son mari me cassait du sucre sur le dos mais pas elle.

-Si ça se sait, elles vont tomber pour proxo, incitation de mineur à la prostitution, etc. ça peut leur couter très cher.

-Tu sais, le gamin personne ne le force, il fait ça de son plein gré.

-Ça n’a pas l’air de te choquer en tout cas.

-Que ça me choque ou non, je n’y peux rien. Je ne vais pas aller les dénoncer quand même !

-Le boucher ne le sait pas ?

-Il est interné en ce moment, crise de délirium sur crise de délirium, il devenait très violent alors avant qu’il tue quelqu’un. C’est son commis qui fait marcher la boutique.

-Je tombe carrément des nues Antoine.

-Claude, cet après midi, tu es allé t’en prendre un bon coup dans le cul, tu ne vas pas cracher dans la soupe maintenant !

-J’ai baisé avec un garçon majeur Antoine, il ne m’a pas pris d’argent non plus.

-Manquerait plus que ça ! Tu m’as bien dit l’avoir enculé ?

-Oui.

-Kris ne se fait jamais enculer ou alors par des pines exceptionnelles.

-Ça doit être le cas de la mienne alors ! Il a quand même voulu se lubrifier.

-Claude, je n’ai jamais vu ta bite en érection mais ça doit être quelque chose, Kris se lubrifier le cul, c’est incroyable !

-Pourtant, c’est lui qui l’a voulu. Antoine, ces garçons ne baisent pas avec des filles ?

-Mais si, ils ne sont pas homos.

-Pas homo, vite dit.

-Ils sont ’’bisexuels’’, rien d’autre. Si on fouille un peu dans leur vie, on s’aperçoit vite qu’ils ont tous eu des problèmes étant ados.

-Des problèmes sexuels je suppose ?

-Bien sur. Bizarrement, à ma connaissance aucun n’a été violé ni même violenté sexuellement, tout s’est passé ’’normalement’’, si je puis dire.

-Problèmes avec les parents ?

-Oui, et les frères et sours aussi. C’est le cas de Kris qui baisait avec son frère ainé qui baisait sa mère de son coté.

-On parle toujours des garçons avec leur mère mais jamais des filles.

-Parce que si un garçon baise sa mère par exemple, il doit obligatoirement y avoir consentement mutuel, une mère est normalement plus forte que son fils et si elle ne veut pas baiser. Quant au garçon, il faut qu’il bande, sinon explique-moi comment il peut ’’baiser’’ sans contrainte ni violence.

-Tu as l’air d’être très au courant, Antoine, c’est du vécu ?

-Non Claude, tu connaissais mes parents et surtout ma mère.

-Oui Antoine, je connaissais très bien ta mère, c’est elle qui nous emmenait à l’école et qui venait nous chercher.

-Oui, et alors, où veux tu en venir ?

-Antoine, s’il te plait. Tu as oublié l’histoire de la tartine de Nutella ?

-Oh mon dieu non, comment oublier ça ? Tu m’as toujours dit qu’elle l’avait fait exprès, c’est nul, sa robe était foutue !

-Mais non, ça se lave une robe ! En attendant, elle nous à bien montré sa chatte et elle n’avait pas de culotte.

-Tu sais que je n’en revenais pas, ça faisait au moins 6 mois que je l’épiais dans sa salle de bain, nib, je ne la voyais jamais à poil et là, jupe relevée jusqu’au menton, jambes écartées et chatte béante, j’étais fou !

-D’autant que ça faisait longtemps qu’elle ne nous faisait plus de gouter ! Nous avions quel âge ?

-13 ans, nous étions au lycée, ce que je ne me souviens pas par contre%2

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