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Papa et sa salope de fille – Chapitre 2

Papa et sa salope de fille - Chapitre 2



C’est le lendemain matin que le second incident se produisit. Mon père toqua à la porte de ma chambre pour me réveiller. Il faut dire que j’avais partiels et que je ne devais pas être en retard. Malheureusement, je m’étais endormie à moitié nue et le bout de mes seins était toujours surmonté des deux pinces à linge que j’y avais attaché la veille. Je me dépêchai de me cacher sous la couette avant qu’il n’entre. 

 Il était simplement vêtu de son boxer et je compris à sa tête que lui non plus n’avait pas dû se réveiller. C’était la première fois que je le voyais à moitié nu et cette vision me fit un sacré effet. Je me sentis mouiller de nouveau et, comme il ne pouvait me voir, je portai ma main à ma chatte pour me doigter tandis qu’il me parlait. Le pauvre ne se doutait de rien alors que je le matais sans retenue. 

 « Tu as mal dormi, m’enquis-je. 

 Mes doigts s’amusaient avec mon bouton de chair et j’eus un sursaut de plaisir. Je me plus à lui sourire le plus innocemment du monde tout en sachant à quel point je faisais ma cochonne sous la couette. 

 

—       Oui, répondit-il en se grattant la tête. Dépêche-toi de te lever ou tu vas être en retard. 

 Ses yeux brumeux m’excitèrent encore davantage et je me mordis la lèvre quand il se retourna pour sortir : son cul était magnifique. 

 Je ressentis alors le besoin pressant de me faire prendre là tout de suite, de sentir ma chatte bien pleine. Mais je n’avais rien d’intéressant sous la main. Comme j’entendais l’eau couler dans la salle de bain, je me précipitai hors de ma chambre, pinces à linge toujours en place, et descendis en trombe. Je tombai rapidement sur la boîte à outils de mon père. Mes yeux se posèrent sur sa collection de tournevis de toutes les tailles et à cette vue je me sentis encore plus chienne. 

 Je m’emparai d’un petit, d’un moyen et d’un grand tournevis avant de courir jusqu’à ma chambre. Là, je me débarrassai en hâte de mon pantalon et de ma culotte, puis je me mis au travail. Ma main gauche reprit le chemin bien connu de mon clitoris puis j’introduisis un premier doigt dans mon vagin, chose que je n’avais encore jamais osé faire. La sensation me plut tellement que j’en introduisis un deuxième. 

 Comme il me semblait que je mouillais assez, je m’emparai du petit tournevis et entreprit de m’empaler avec. J’étais vierge et sentis donc une résistance douloureuse qu’il me fallut maîtriser. Je me montrai délicate et, petit à petit, parvins à le faire entrer presque entièrement. La sensation était divine. Seul dépassait l’embout cruciforme et cette vue en elle-même de cet objet si profondément enfoncé en moi était incroyablement excitante. 

 Je m’amusai ensuite à sortir l’outil, puis à l’enfoncer à nouveau, puis à le sortir. Je me pilonnai ainsi quelque temps mais décidai rapidement de passer à plus gros. J’empoignai alors le tournevis moyen et, millimètre par millimètre, l’introduisit dans ma chatte tout en me doigtant vigoureusement. Je mouillais tellement que ce ne fut pas bien difficile. Je poussai un soupire d’extase lorsque je le sentis atteindre le fond. Je me remis à lui faire faire des vas et viens de plus en plus violents et à me percuter l’intérieur vigoureusement. C’était si bon ! 

  

 Tout à mon plaisir, je me fichais bien de louper mes partiels. Mon père, lui, pensant que j’étais partie, quitta la maison pour aller travailler. Pendant ce temps, je zyeutais déjà le dernier tournevis qui était bien plus gros que les deux premiers. Celui-ci serait sans doute plus difficile à insérer mais je m’en fichais. Je pris mon temps et finalement je parvins à le faire entrer en entier. Je me sentais écartelée mais tellement pleine que je jouis quasi immédiatement. En le sortant, je pris soin de le lécher jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de mon liquide intime.  

 Sur ce, je m’endormis. 

 Je me réveillai une heure plus tard. J’avais définitivement loupé mes partiels et je me sentais coupable de m’être laissée aller à ce point. Je m’étais comportée comme une pute et ça me dégoûtait. Sans compter que j’avais presque fantasmé sur mon propre père ! Je détachai les pinces à linge de mes tétons et filai sous la douche. Je passai le reste de la journée à faire le ménage, comme pour me laver de mes péchés. 

 Les quelques jours qui suivirent, plus rien ne se produisit. Je redevins la jeune fille sage, pudique et réservée que j’avais toujours été. Il faut dire que mes hormones, après ce que j’avais fait sous leur impulsion, me laissèrent un peu tranquille. 

 Lorsque, le week-end venu, mon père embarqua sa trousse à outils pour aller bricoler dans le garage, je sentis une pointe de culpabilité. J’avais minutieusement nettoyé chaque tournevis avant de le remettre en place mais à mes yeux ils restaient et resteraient toujours souillés. Si mon père savait ce que j’avais osé faire, sans doute aurait-il honte. J’ignorais alors qu’en matière de sexe, la honte n’avait pas sa place. 

 Le troisième incident se produisit le week-end suivant, quand mon père apprit que je n’avais pas assisté à l’une des épreuves de mes partiels. Furieux, il faillit me mettre une gifle mais se retint juste à temps. Il parut réfléchir et me proposa une autre alternative. 

 « C’est trop grave, Sandra, je ne peux pas laisser couler. Si je ne te donner pas une gifle, ça mérite au moins une fessée. 

 

—       Une fessée, m’exclamai-je interloquée. Mais Mais je suis trop vieille pour ça ! 

 –       Dans ce cas, ce sera la gifle. 

 –       Non, attends ! 

 En y réfléchissant, les coups sur les fesses étaient certes plus humiliants et infantilisants, mais moins douloureux que ceux sur les joues 

 

—       C’est d’accord. Je prends la fessée, déclarai-je sans trop réaliser ce qui était en train de se passer. 

 Se prendre une fessée à dix-huit ans, la honte !

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