Histoires de sexe français Histoires de sexe sœur Histoires de tromper

Parties de jambes en l'air avec une Miss – Chapitre 4

Parties de jambes en l'air avec une Miss - Chapitre 4



Le lendemain, nous nous réveillons presque en même temps aux alentours de dix heures, et, après un étirement approximatif, Anaïs m’embrasse sur la joue pour me dire bonjour.

Alors, vous avez pas dormi à la belle étoile, finalement ? me demande-t-elle.

Non, il faisait frais. En plus, il y avait de plus en plus de bestioles et on voulait pas se faire bouffer.

Je vois…

Nous discutons ensuite pendant quelques minutes puis, en entendant du bruit dehors, Anaïs décide de se lever pour aller rejoindre tout le monde. Moi, étant donné la nuit mouvementée que je viens de passer, j’ai envie de dormir quelques minutes de plus. Du coup, je la regarde s’en aller, puis je me recouche. Seulement quelques minutes après, le bruit de la fermeture éclair de l’entrée me réveille et, alors que je me redresse pour m’apprêter à engueuler Anaïs, je suis très étonnée de me retrouver face avec Romane, fraîchement réveillée, sa longue chevelure rousse nouée en une queue-de-cheval, et vêtue d’une simple brassière de sport et d’un short en lin blanc.

Salut la marmotte, me dit-elle en souriant.

Je lui rends son sourire, puis elle se penche rapidement vers moi pour me déposer un baiser sur le coin des lèvres.

Bien dormi ? me demande-t-elle.

Oh que oui ! Et toi ?

Très bien aussi, oui, mais j’ai eu un peu mal au cul, me répond-elle en me faisant une grimace.

C’est de ma faute ?

Peut-être, mais peu importe. Si c’était à refaire, je le referais quand même !

Et moi donc…

Elle me dépose un nouveau baiser rapide, puis elle se redresse.

Je vais manger, à tout de suite.

Je la regarde ensuite s’en aller, m’attardant particulièrement sur son joli fessier, puis quelques minutes après, je quitte la tente.

Une grande partie de la famille est déjà réveillée, et tout le monde est dehors, attablé autour des tables afin de prendre le petit-déjeuner. J’adresse un bonjour à la cantonade à tout le monde, puis je vais m’asseoir près de ma mère qui me sert aussitôt une tasse de café. Je la remercie d’un signe de tête puis, tout en buvant une première gorgée, je regarde du coin de l’il Romane qui, quelques mètres plus loin, est en train de parler chiffons avec Anaïs. Comme si elle avait senti mon regard, elle profite d’un éclat de rire avec Anaïs pour me regarder du coin et m’adresser un sourire qui me fait fondre, puis elle reprend sa discussion. Quant à moi, il faut que j’arrête de la regarder, sinon, je vais me faire griller en deux temps trois mouvements.

Après ce petit-déjeuner bien copieux, tout le monde se succède dans la salle de bains de la maison et, quand arrive mon tour, les quelques minutes que je passe sous la douche me font le plus grand bien, surtout lorsque je laisse glisser mes doigts dans mon entrejambe en me remémorant les souvenirs de cette nuit. Je pourrais faire durer ce moment en continuant de me caresser, seulement, comme il y a du monde qui attend pour me succéder sous la douche, j’y mets fin rapidement.

Quand je sors de la salle de bains, je suis uniquement vêtue d’une serviette que j’ai enroulée autour de ma taille. Je vais ensuite dans ma chambre qui est actuellement occupée par mon oncle et ma tante, et m’engouffre dans mon dressing pour chercher une tenue adaptée. Soudain, alors que je suis en train d’hésiter entre deux jolies robes fleuries, une voix m’interrompt dans ma recherche :

Ça va, ma jolie ?

Je sursaute et me retourne pour faire face à Romane qui se tient dans l’encadrement de la porte.

Tu m’as fait peur !

Désolée…

Elle jette ensuite un regard derrière elle, puis après avoir refermé la porte, elle s’avance vers moi, pose ses mains sur mes hanches, et m’embrasse dans le cou.

T’es belle et tu sens bon, me dit-elle entre deux baisers.

Arrête, on peut pas faire ça ici…

Ah ouais ? T’es sûre ?

Aussitôt, une de ses mains se pose sur ma cuisse avant de remonter doucement et de se faufiler sous ma serviette, et je sens aussitôt un doigt me caresser la fente de bas en haut.

Putain…

Putain quoi ? me demande-t-elle.

Tu m’excites !

J’espère bien !

Elle me pousse ensuite jusqu’au fond du dressing et me plaque contre le mur avant de m’embrasser à pleine bouche, tout en continuant de me tripoter mon petit abricot fraîchement lavé. Rapidement, je sens ce même doigt chatouiller doucement mon petit bouton de chair, ce qui me fait aussitôt frémir de tout mon être, puis elle l’insère dans mon antre.

T’aimes ça, te faire doigter, ma salope ? me demande-t-elle en commençant un doux va-et-vient.

J’adore…

Elle continue donc cette douce caresse pendant quelques secondes, sans jamais me lâcher des yeux, puis tout d’un coup, nous sommes interrompues par le bruit de la porte de la chambre, suivi d’une voix.

Il y a quelqu’un ?

***

Quand ma tante Mireille ouvre la porte du dressing, elle nous retrouve Romane et moi en pleine discussion autour d’une petite robe que je tiens par un cintre.

Ah, je savais bien qu’il y avait quelqu’un, dit Mireille.

Désolé, Tata, je voulais demander l’avis à Romane concernant une robe, et…

T’excuses pas, ma chérie, c’est ta chambre, après tout, je ne suis ici que de passage !

C’est vrai aussi…

Tu as fini avec la salle de bains ?

Presque, donne-moi cinq minutes pour que je m’habille, et ce sera bon !

OK, préviens-moi quand ce sera bon, alors…

Sur ces dernières paroles, ma tante s’en va et, une fois que nous entendons les marches de l’escalier grincer, Romane et moi poussons un soupir de soulagement.

Il s’en est fallu de peu, dis-je.

C’est le moins qu’on puisse dire…

Une fois de plus, Romane s’approche de moi pour m’embrasser, mais je la repousse gentiment.

On ne peut pas faire ça maintenant, c’est trop risqué, même si j’en ai très envie…

Dommage…

Oui, comme tu dis !

Je lui dépose un rapide baiser, puis je quitte la chambre et vais m’enfermer dans la salle de bains. Une fois habillée, maquillée au minimum, et pouponnée, je me regarde une dernière fois dans le miroir, remets un peu en place mon beau décolleté, puis je m’en vais rejoindre les autres dehors.

Dès que j’arrive sur la terrasse, je vois aussitôt Romane me regarder de haut en bas, s’attardant quelques secondes sur ma poitrine joliment mise en valeur, avant de reprendre sa conversation avec ma tante, comme si de rien n’était. Je souris aussitôt, contente de constater que ce décolleté semble faire son effet.

Nous passons ensuite le reste de la matinée dehors à discuter de tout et de rien ; et quand arrive le midi et demi, nous mettons la table et passons à l’apéritif. Cette fois-ci, il sera léger, car, hélas, dès la fin du repas, certains de mes oncles et tantes devront déjà repartir, même ceux qui viennent de loin, car ils ne sont pas encore en vacances. Quant aux autres, ils resteront ici, une nuit de plus.

Ensuite, nous passons à table et, cette fois-ci, je me retrouve par hasard à côté de Romane.

Ainsi, pendant le repas, alors que nous parlons un peu avec tout le monde, je sens de temps en temps une main se promener rapidement sur ma cuisse, et j’ai parfois du mal à faire semblant, mais je prends sur moi pour avoir l’air la moins troublée possible.

Une fois le repas terminé, après que tout le monde se soit revigoré de boissons chaudes, certains s’absentent pour aller ranger leurs affaires pendant que les autres restent ici à discuter. Quelques minutes après, c’est déjà l’heure des au revoir et, après moult embrassades, tapes dans le dos et quelques larmes difficilement dissimulées, nous les regardons partir. Du coup, il ne reste plus que mes parents, Anita et Romane, ma tante Mireille et son mari, Anaïs et moi. Nous ressentons immédiatement un grand vide et, plutôt que de commencer déjà à avoir le cafard, nous allons vaquer à d’autres occupations pour nous occuper l’esprit.

Nous passons donc le reste de l’après-midi à jouer à des jeux de société et à discuter, puis juste avant le goûter, nous organisons un tournoi de ping-pong. Ainsi, nous rigolons, nous nous charrions et nous nous provoquons joyeusement, tout en courant comme des dératés autour de la table. C’est ma tante Mireille qui remporte le tournoi, chose à laquelle elle ne semblait pas s’attendre du tout, ce qui nous fait encore plus rire. Une fois le tournoi terminé, nous allons fêter cela avec de grandes bières bien fraîches que nous sirotons sur la terrasse.

Alors que Romane, Anaïs et moi sommes en pleine discussion concernant le compte Instagram d’un acteur américain que nous affectionnons toutes les trois, ma mère nous fait une annonce.

Les filles, ce soir, on va boire un verre en ville et, après, on se fait un restaurant, ça vous dit ?

Romane et moi, nous nous regardons discrètement du coin de l’il, sachant que cela voulait dire que la maison serait donc vide, puis je prends la parole.

J’ai la flemme de bouger…

Pareil, rajoute Romane. En plus, pour une fois qu’on peut passer du temps entre cousines, autant en profiter, ça n’arrive pas souvent !

Comme vous voudrez, mes chéries. Et toi, Anaïs ?

Eh ben… je vais rester avec les filles !

Romane et moi, nous avons du mal à cacher notre déception. Pourquoi ne veut-elle pas aller avec eux, cette casse-bonbon ? Je lui poserais bien la question, mais ma mère risquerait de trouver cela suspect, donc je préfère m’abstenir.

OK, alors on vous laisse entre jeunes et nous les adultes, on sort !

C’est quand même le comble, rajoute mon oncle.

Nous rigolons tous ensemble, Romane et moi, en se forçant un peu, puis nous reprenons une discussion normale. Ensuite, les adultes vont se préparer les uns après les autres et, à l’heure de l’apéritif, ils prennent deux voitures et s’en vont.

Bon, vous voulez faire quoi ? demande Anaïs.

Même si Romane et moi avons une idée bien précise en tête, nous n’en parlons pas, évidemment, et nous cherchons tous les deux une solution pour pouvoir faire ce dont on a envie. Seulement, avec ma sur pas loin, cela va être difficile, évidemment. Du coup, pour le moment, nous décidons de jouer le jeu.

Je sais pas, tu proposes quoi ? répond Romane.

Un film de filles, ça vous tente ? Il y en a plein sur Netflix !

Peu emballées par cette idée, nous acceptons cependant sa proposition ; et après avoir ramené sur la petite table du salon des gâteaux apéritifs et trois nouvelles bouteilles de bière, nous nous vautrons dans le canapé et lançons un film. Pendant la demi-heure qui suit, pendant qu’Anaïs est absorbée par la télé, Romane et moi, nous nous lançons quelques regards qui en disent long, seulement, nous ne savons toujours pas comment passer aux choses sérieuses elle et moi.

Bon, j’en ai marre, déclara soudainement Romane.

Elle attrapa alors la télécommande, puis coupa le film.

Hého, tu fais quoi ? demanda Anaïs.

C’est pas contre toi, Anaïs, mais j’ai pas traversé la France pour regarder un film…

Mais je croyais que…

Oui, je sais, je t’ai dit que j’aimais bien ce film, mais je peux aussi très bien le regarder toute seule chez moi. Pour une fois qu’on est entre cousines, faut en profiter, non ?

Tu proposes quoi dans ce cas-là ?

Je sais pas…

Romane regarde ensuite autour d’elle, puis en voyant une bouteille de bière vide, elle s’en empara.

Vous connaissez le jeu de la bouteille ?

C’est un truc de gamins, répond Anaïs, bougonne.

Mais non, c’est marrant, allez…

Elle débarrassa la petite table de tout ce qui se trouvait dessus, puis posa la bouteille en son centre et la fit tourner.

Ah, c’est Morgane qui va commencer, fit Romane en voyant le goulot de la bouteille se diriger vers moi. Alors, action ou vérité ?

On va vraiment jouer à ça ? demanda Anaïs.

Mais oui, ça va être marrant, allez !

Vérité ! finissé-je par répondre.

OK, alors…

Elle mit quelques secondes pour réfléchir, puis :

Tu préfères ton père ou ta mère ?

C’est horrible comme question !

Je sais, je plaisante, ça va ! C’est quoi la plus grosse bêtise inavouable que tu aies pu faire ?

Bonne question, je dirais… voler un stylo plume dans une grande surface.

Un stylo plume ? répète Romane.

Je sais, c’est ridicule…

Mais non, c’est mignon ! Bon, à toi…

Je fais aussitôt tourner la bouteille, et cette dernière finit son tour sur Romane.

Alors, action ou vérité ?

Action.

Imite la vache…

Pas de problème…

Romane s’éclaircit aussitôt la voix ; puis, après quelques secondes, elle imita un meuglement qui nous fit rire toutes les trois.

Plus vraie que nature, dis-je.

Bah, ça va, je t’emmerde ! répond Romane en rigolant.

Elle fit tourner la bouteille et elle s’arrêta à nouveau sur moi.

Vérité, dis-je, avant qu’elle me pose la question.

C’est quoi ton rêve ?

Faire le tour du monde.

La réponse classique.

Je sais, mais c’est comme ça.

Cette fois-ci, quand je tourne la bouteille, elle s’arrête vers Anaïs.

Action, dit Anaïs.

OK, imite quelqu’un de connu, et on doit deviner qui c’est !

Fastoche…

Elle se lance aussitôt dans une imitation approximative de Charles Aznavour que nous reconnaissons assez rapidement

C’était facile, dit Romane.

C’est une façon polie de dire que je suis une mauvaise imitatrice ?

Prends-le comme tu veux !

Nous passons la demi-heure suivante à nous poser des questions et à faire des actions débiles, ce qui nous fait rire aux éclats quasiment à chaque fois. En voyant Romane s’esclaffer de la sorte, je ne peux m’empêcher de la trouver magnifique et, en voyant que je semble la bouffer des yeux, elle m’adressa discrètement un petit sourire.

Bon, faut que j’aille pisser, déclara Anaïs en se levant.

Nous la regardons aussitôt se diriger vers les w. c. puis, une fois la porte refermée derrière elle, Romane s’approcha de moi pour me parler à voix basse.

Elle nous emmerde, ta frangine !

Je sais, désolée…

Comment on fait ? J’ai très envie de toi ; surtout quand je vois tes beaux nichons qui ne demandent qu’à être bouffés !

C’est vrai, il te plaît ce décolleté ?

Tu rigoles ? J’arrête pas de me rincer l’il depuis ce matin !

Petite coquine, va !

Et toi, petite allumeuse, tu l’as mis pour me mettre l’eau à la bouche, c’est ça ?

Non, pas du tout…

Menteuse ! En tout cas, il faut qu’on trouve une solution, et vite !

Plus facile à dire qu’à faire !

Romane se pencha aussitôt vers moi pour me déposer un baiser sur les lèvres.

J’en vaux quand même le coup, non ?

C’est vrai, et…

Vous faites quoi ?

Nous sursautons aussitôt et, en nous retournant, nous voyons Anaïs plantée au milieu de la salle à manger, et en train de nous regarder d’un air abasourdi.

On discute ; pourquoi ? répond Romane.

Tu rigoles ? Je viens de vous voir vous embrasser !

Ah bon ?

Oui, donc je repose ma question : vous faites quoi ?

Prises sur le fait, Romane et moi nous nous regardons, incapables de pouvoir répondre quoi que ce soit pendant quelques secondes ; puis, finalement, c’est ma cousine qui essaye de briser la glace.

On se refaisait une partie pendant que tu étais absente, j’ai choisi « Action », et…

Mon cul, oui ! Ça n’avait pas l’air d’être un baiser de cinéma, au contraire !

Mais non, c’est juste que…

Vous savez quoi ? Faites ce que vous voulez, après tout, je m’en fous !

Sur ces dernières paroles, Anaïs quitta la pièce en passant par la baie vitrée, et elle disparut dans le jardin.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire