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Partouze bestiale – Chapitre 1

Partouze bestiale - Chapitre 1



Ce soir là, Carole et Marc Tommier recevaient des amis, tous fous de sexe et adeptes de baise avec des animaux.

La soirée, une fois le repas terminé, se prolongerait par une bonne partie de baise spéciale. Une partouze avec des animaux.

Les deux hôtes avaient, parmi leurs connaissances, un fermier qui louait des animaux spécialement dressés pour ce genre de baise. Souvent, d’ailleurs, des sociétés de films zoo ou des amateurs comme eux louaient ses services. Mais comme c’était un très bon ami, cela n’allait pas leur coûter grand chose.

Ainsi, dans l’après-midi, il avait livré plusieurs de ses spécimens bien dressés. Comme ils habitaient loin de toute habitation, le déchargement s’était fait sans témoin et les bêtes parquées dans le vaste jardin des Tommier.

Il y avait là les habituels chien et cheval, un poney, un porc et une vache. Toutes ces bestioles avaient l’habitude de se faire mettre ou de fourrer des humains.

Rien qu’en assistant à leurs installation, Carole n’avait put s’empêcher de saliver et, tout naturellement ses tétines et ses lèvres vulvaires s’étaient gorgées de désir. Quant à son mari, voyant que les mamelons de son épouse semblaient vouloir transpercer son chemisier, il avait eu une érection du tonnerre et s’était dit qu’il fallait en profiter de suite.

Une fois le fermier et ses aides partis, il lança :

– Ces bestioles t’excites, hein ma poule ? Salope comme t’es, tu dois salement mouillé !

Sans attendre de réponse, il ajouta :

– Je vois que tu as les seins qui bandent et, j’en suis sûr, le con qui pleure d’envie. Ben moi, je vais profiter d’un de ces animaux de suite, parce que je bande comme un taureau. Libre à toi de faire ce qui te passe par la tête…

S’approchant de la vache, attachée à un piquet fiché dans le sol, il se mit à lui flatter la croupe et l’entrefesson pendant une paire de minutes, ce qui eut le don d’accroître sa bandaison et de faire meugler de plaisir l’animal. Son zob avait atteint une telle dimension qu’il se sentit à l’étroit dans son slibard et Marc fut quasi-obligé de le mettre à l’air.

Tout en se débraguettant, il se pencha et renifla la large cramouille bovine, s’enivrant des effluves faunesques du sexe de la bête.

Quand sa tige biroutale fut sortie, il se mit à languoter le large entre-pattes de la vache, baladant sa langue entre la craquette et le troufignon, sans dégoût.

– Oh, ma chérie, tu sais que la choune et le cul de cette vache ont un goût des plus fameux. Quel saveur ! Mmm, je les baffrerais bien pendant des heures, tellement ça m’excite les papilles !

A la vue de son mari occupé à gamahucher le bovin, Carole ne put s’empêcher de soulever sa jupe, dévoilant ses collants à ouverture et son tablier de sapeur où sa chagasse brillait d’excitation. De suite elle entreprit de se masturber, passant ses doigts fébriles et envieux sur ses lèvres, son clito et sur son illet anal.

Continuant à se tripoter, elle s’approcha et se glissa sous la vache pour se pencher en avant, cambrée à l’extrême et les genoux pliés. S’emparant d’un des énormes pie elle le glissa entre ses cuisses et s’asticota la moulasse avec.

– Hummmmmmmm… ! Je sens que ce pie va combler ma libido : il est gros et long comme une biroute !… OuiiiIIIII…!

Son mari, quant à lui, se décida que malgré son envie de gougner la vache longtemps, il devait passer à autre chose et, tout naturellement, il enfourna son gros mandrin dans le trou de balle fétide pour ,de suite, se mettre à le bourriquer.

Il profita de la largeur du con pour le fister, enfonçant sa main jusqu’au poignet dans le cratère vaginal énorme.

– Ouah, quel cul !… Oh, ce derge m’affole, chérie !… Je sens que je vais avoir un sacré panard et éjaculer des litres de foutre !…

Rejoignant son époux, Carole enfila l’énorme pie dans sa cramouille en feulant de plaisir.

– Et que dire de ce pie, mon amour ! Il me remplit la grotte à zob ! OuaaahhhHHH… ! C’est … booooonnnn… !

Je sens déjà les prémices d’une éruption de jouissance !

A force de baratter le cul du bovin, Marc sentit que le pied allait arriver. Ses balloches et sa prostate vibraient sous l’ébullition spermatique, sa colonne zobale tremblait et les ondes du spasme de l’orgasme lui secouaient le ventre.

Il s’enfonça jusqu’aux burnes et se lâcha, envoyant un torrent de jutaille dans le trognon bestial, aspergeant la tripaille bovine de sa gourme glaireuse.

– RaaaAAAHHH… ! Oui ! Oui ! Oui ! OuiiiIIIII…! Je… jouiiiiiiiii…! grommela-t-il en se cambrant sous le plaisir de son éjac.

Carole avait crié en même temps une suite de mots obscènes et le pie, à force d’être secoué, avait giclé et envoyé une pinte de lait chaud, augmentant l’orgasme de la salope.

Ils planèrent encore quelques secondes, comme shootés, puis se désunirent de la vache.

Ils regagnèrent leur pavillon, non sans avoir préalablement galoché, sans retenue, la large et énorme langue de la vache.

Après une bonne douche, ils s’envoyèrent un grand whisky et décidèrent de se préparer à leur soirée.

Carole se décida pour du classique : porte-jarretelles et bas résille, panty ouvert, redresse-seins et escarpins à très hauts talons, le tout de couleur rouge. Rouge comme la robe de soirée, fendue sur le côté gauche et largement décolleté en V. Avec cela des longs gants jusqu’aux coude et un tour de cou de trois rangs de perles.

Quant à Marc, celui-ci y alla d’un costume gris, chemise et cravate rose, chaussures vernies noires sur des mi-bas maintenus par des fixe-chaussettes. Et, en guise de slip : un string léopard.

Une heure plus tard, les premiers invités arrivaient.

Patricia et Serge Matard, de leur nom, avaient apporté un splendide bouquet et saluèrent leurs hôtes comme à leur habitude, en les galochant sans pudeur, même les hommes.

Patricia vint s’assoir, croisant haut ses jambes gainées de lycra gris à coutures, laissant voir une de ses jarretelles.

A peine était-elle assise qu’on sonnait.

Ayant ouvert, Marc eut un large sourire en voyant Ludmilla, une rousse franco-russe splendide au corps parfaitement mis en valeur par un tailleur bleu à pois blancs. La veste était boutonnée bas et on eut dit que ses énormes nibards, libres de tout soutien-gorge, allaient giclés de celle-ci. Il la galocha en s’enivrant du parfum qui se dégageait d’elle.

Elle aussi alla s’installer, suivi de son concubin Mathieu. Là encore, on eut droit à toute une série de patins humides. Là aussi, Ludmilla dévoila une jarretelle en croisant les jambes.

– C’est soirées porte-jarretelles ou quoi ? constata Carole.

– Non, tu sais bien que c’est plutôt soirée fourrage bestial, ricana Mathieu. Ce soir j’ai envie d’enculer un cheval. J’y pense depuis votre invitation. Je veux fourrer ma queue dans l’anus d’un étalon et le branler en même temps…

– Pour moi, malgré mon expérience, je saliverais si je me faisais enculer par un gros verrat bien tirebouchonné du zob ! rajouta Patricia.

– Tu y auras le droit, ma chérie, dit Carole. Même que celui qu’on m’a amené est l’exception qui fait la règle. Il est hypertrophié du dard… Par contre, quoique vous connaissant, il est interdit d’user de violences ou forcer ces bêtes. Elles sont dressées et ont l’habitude de copuler avec des humains, alors si l’une d’elle s’y refuse, on laisse tomber. Mais cela m’étonnerait car mon ami m’a dit qu’elles étaient folles d’envie de baiser avec nous.

– Ouah, splendide, répliqua le salope de Patricia.

Le dîner, volontairement léger pour pratiquer leurs jeux zoophiles plus longtemps, se passa sous les meilleurs hospices, sans que l’un d’eux, pourtant pervers, n’eut un geste déplacé. Tout juste quelques vannes cochonnes égaillèrent le repas.

La table à peine débarrassée, et Ludmilla déclara, en se levant :

– Bon, maintenant qu’on s’est bien restauré, il est grand temps de passer aux choses sérieuses. Je pisse déjà d’excitation et j’ai une furieuse envie de me faire mettre… Et pas par un de ces messieurs, non !… J’ai envie d’une bonne grosse biroute de clébard dans mon trou de balle et ma chatte, voir dans les deux ensemble.

– Alors c’est une chose qui ne saurait être retardée, dit Carole en riant. Je sens les odeurs de ton désir. Ta cyprine embaume la pièce, ma chère Ludmilla… Alors, qui m’aime me suive !

Et elle se dirigea vers la porte donnant sur l’arrière et le parc où les attendaient les bestiaux qui allaient les faire jouir.

Marc, Patricia, Serge et Mathieu suivirent Carole et Ludmilla.

Ils poussèrent des cris de joie lubriques à la vue de ces animaux qui n’attendaient qu’eux pour s’envoyer en l’air.

Comme un fou, Mathieu se rua sur le poney et il se colla à son arrière train. Tout en se débraguettant, il s’empara du fourreau velu et l’asticota à peine quelques secondes que déjà le braquemard de l’animal jaillissait.

Il se mit à le branler et d’un coup enfourna sa bite dans l’anus du poney qui avala le membre entièrement.

– Ouaaahhh…! Quel derge ! Je sens que je vais exploser de la bite !

Patricia, quant à elle, avait les yeux fixés sur le petit enclos où, en grognant, un énorme verrat sniffer le sol. Il ne lui fallut que trois secondes pour faire passer sa robe par-dessus sa tête et c’est seulement vêtue de son porte-jarretelles et de ses bas qu’elle enjamba l’enclos pour, instantanément se jeter à quatre pattes et venir placer son visage sur le groin de l’animal pour, alors qu’il sortait la langue, se mettre à la lui lécher comme une folle en bavant.

Ludmilla, elle, fit comme souhaité : elle alla directement sur un grand chien bâtard noir dont elle s’empressa d’asticoter le fourreau velu, faisant gicler sa biroute pourpre au bout pointu. Alors, elle put se jeter dessus et se mit à le pomper en avalant toute la banane canine.

Le zob clébardien était fantastique : vingt centimètres de long et six de diamètre. La jeune rouquine, habituée qu’elle était, parvenait sans mal à aspirer toute la longueur du priape, jusqu’au couilles.

A SUIVRE…

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