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Passage aux aveux – Chapitre 2

Passage aux aveux - Chapitre 2



Repentir sincère ?

Mettons-nous daccord : toi, Marie, femme de vingt six ans, mon épouse depuis 5 ans, tu me trompes depuis six mois environ, non pas occasionnellement, mais régulièrement avec notre ami Aloïs, logé dans un foyer de célibataires où il ta fait embaucher en qualité de femme de service à mi temps. Votre liaison a pris naissance à loccasion dune fête dHalloween légèrement arrosée, après des danses avec des célibataires entreprenants qui tont chauffée. Au moment de votre rapport sexuel tu étais consciente, tu nas pas été violée, mais tu tes laissée progressivement échauffer par un partenaire qui se proclamait innocent. Prise de pitié tu lui as accordé des caresses enivrantes et tu as fini sous lui, possédée, conduite à lorgasme par un membre viril de dimension impressionnante. Tu nas pas appelé au secours pour échapper à son emprise.

Depuis lors, par commodité, deux ou trois fois par semaine vous vous retrouvez dans notre maison pendant que je suis au travail. Apparemment notre vie conjugale nen a pas souffert, nous continuons à avoir des relations sexuelles satisfaisantes pour moi et dans lesquelles tu penses mettre plus dardeur du fait de léveil sexuel acquis par tes sens grâce à ton adultère. Par accident dû à ma distraction, ayant oublié ma carte dabonnement au club de foot, je suis revenu à limproviste à domicile hier soir et jai eu la révélation de ta trahison. En fait, prévenue par moi de laddiction de notre ami Aloïs pour les filles de joie, tu avais exigé de lui une prise de sang. Celle-ci a révélé quil avait contracté une maladie sexuellement transmissible pour laquelle il subit un traitement médical. Vous navez donc pas eu de rapport hier, tu lui as soulagé les bourses par une simple masturbation. Ignorant ma présence tu as repoussé votre prochaine rencontre amoureuse au terme de sa guérison confirmée par un certificat médical. Ce qui implique ton intention de persévérer dans ladultère.

Or en découvrant que je suis au courant de votre liaison, tu viens de me livrer un récit sans doute assez fidèle de ton infidélité. En mari trompé révolté je te propose une séparation et un divorce grâce auxquels tu pourras mettre de lordre dans ta vie, vivre avec lhomme de ton choix. Tu as mis tes salaires de côté, tu disposes dune réserve dargent, tu as des besoins sexuels que je ne saurais satisfaire : Je ne suis pas capable de faire lamour chaque jour, alors que depuis six mois au moins tu fonctionnes à ce rythme en recourant aux attributs masculins de taille exceptionnelle de ton amant pour compléter mes prestations amoureuses. Tout nous sépare mais tu prétends que cest moi, Pierre, ton mari trompé, que tu aimes. Cest un comble. Je voudrais comprendre comment cela est possible. Nest-ce pas tout simplement la perspective du projet de mariage de ton amant avec une héritière unique dun important domaine agricole qui te pousse à une décision prudente destinée à assurer tes arrières. Tu continuerais de vivre avec le mari, que tu naimes plus selon mes critères, à la suite dun froid calcul pour garantir tes lendemains. Comment pourrais-je ajouter foi à tes protestations damour après le cataclysme qui vient de mécraser ?

-Mon chéri, je tai promis de faire tout le nécessaire pour mettre fin à ma relation coupable. Je chercherai un autre emploi, je ne recevrai plus Aloïs, je taimerai encore plus fort. Je nai jamais cessé de taimer. Quand Aloïs me faisait lamour mon plaisir était toujours entaché de remords. Avec toi au contraire je me sens parfaitement heureuse, en paix avec ma conscience. Cest tellement plus satisfaisant. Rompre avec Aloïs sera un soulagement. Rompre avec toi serait un horrible déchirement. Je me suis mal conduite, je te jure de me repentir et de redevenir ta femme dévouée, aimante et fidèle. Je me soumettrai à ta décision, jaccepterai tes conditions, mais crois que je suis sincère.

-La situation maccable. Je ne sais quelle décision prendre pour le moment. Il me faudra du temps pour trouver une solution. Finalement, pendant six mois je ne me suis aperçu de rien. Nous nen sommes plus à quelques semaines près. Il sagit de mettre en place de longues années. Je demande une période dobservation. Il serait peut-être sage dagir comme si je navais pas oublié ma carte dabonnement. Oui, continuons à vivre comme si rien ne sétait produit au cours des dernières quarante huit heures. Mais organisons nous de façon à éviter une autre révélation.

-Que veux-tu dire ? Je nose pas deviner. Sois plus clair.

-Cocu aveugle, jétais un homme comblé, je jouissais dune vie paisible, soigné par mon épouse toujours disposée à maimer, nattendant pas que je la sollicite pour mouvrir ses cuisses. Femme adultère tracassée par le remords tu étais plus heureuse dans les bras de ton mari que dévorée de remords sur lengin volumineux et long de ton amant. Ménagère appliquée à la maison tu remplissais avec plaisir ton travail dans un foyer où tu régnais sur les curs. Aloïs, mon ami et ton amant, découvrait avec toi des joies plus pures quavec les putains et surveillait sa santé pour notre plus grand bien. Pourquoi mettre fin à cette sorte déquilibre où chacun trouvait son bonheur ?

-Est-ce que je comprends ton étrange discours ? Tu suggères de continuer à faire comme avant. Maintenant que tu as découvert mon inconduite, comment pourrais-je persévérer dans mon erreur ? Comment pourrais-tu supporter de devoir faire semblant de tout ignorer ? Comment Aloïs réagirait-il en sachant que son ami accepte dêtre cocu. Il te mépriserait trop, pourrait aussi trouver moins de charmes à une femme soumise aux décisions de deux hommes ?

-Voilà limportant à tes yeux : non pas mon regard mais celui dAloïs sur toi. Tu tiens tellement à ce quil ait une bonne opinion de toi. Tu te fais des illusions en croyant que tu pourrais te passer de ses enlacements, du contact de son corps ou des sensations formidables de son braquemart dans ton sexe. Cest pourquoi il serait vain dimposer une rupture brutale qui serait vouée à léchec. Tu viens de me conforter dans mon plan. Oui, nous allons poursuivre sans heurt notre train-train quotidien. Tu ne veux pas perdre lestime de ton niqueur, ne lui révèle pas mon entrée dans le circuit. Il est inutile de lui rapporter les événements survenus depuis son renvoi. Ton silence sur ce point sera pour moi une preuve de ta préférence pour ton mari. Si tu crois utile de le renseigner tu sauras que cest lui que tu aimes le plus. Au fond, reprendre le cours des choses sans rien changer nous éclairera sur nos véritables sentiments. Dans six mois nous serons en mesure de faire sincèrement le point. Il sera temps alors de trancher dans le vif. Veux-tu essayer ?

Après cette proposition, jaurai déjà une précieuse indication par sa réponse. Marie peut refuser tout en bloc, parce quelle est sûre de son amour pour moi, parce quelle veut vraiment se détacher de son tringleur. Par contre en acceptant de se partager, elle montre que son aventure compte encore pour elle. Refuser serait me désobéir ? Si cest son raisonnement, pourquoi ma-t-elle trahi au risque de me fâcher bien plus fort ?

-Mon chéri cela mennuie beaucoup. Tu me mets mal à laise. Mais si cest la condition pour que tu pardonnes et pour que nous nous retrouvions définitivement dans six mois, je me soumets à ta volonté.

Voilà ! Elle ne pouvait pas me faire plus mal. Jencaisse. Le coup est rude, je ne commente pas, je ne veux pas linfluencer outre mesure. Sous un faux air contrit elle ne cherche pas à me faire revenir sur ce projet diabolique. Jen conclus quelle y trouve avantage. Elle aura le beurre et largent du beurre pendant six mois. Je relance laffaire :

-Eh ! Bien, prenons les dispositions pratiques adéquates. En premier il est important déviter les télescopages. Arrangeons-nous pour que je ne rencontre jamais Aloïs seul avec toi sous notre toit. Je taccorde le lundi, le jeudi et le samedi pour vos galipettes. Pour ne pas me tromper sur les dates et les heures, tu le recevras entre dix-huit heures et dix-neuf heures, je ne serai pas à la maison, vous forniquerez à heure précise pendant mes loisirs. Une heure de partie de cul pour vous sera suffisante ou veux-tu plus de temps ?

-Ce sera assez. Il est fort, puissant, emporté mais un peu rapide de la gâchette. Evidemment je devrai écourter les préliminaires, ne pas prendre de douche avec lui à son arrivée et le bousculer un peu pour la douche en fin de séance. Un quart dheure de plus serait appréciable.

-Tu rêves. Voici une autre exigence. Tu tinformeras sur le tarif pratiqué par ses putes, sur la durée dune passe. Comme tu lui sers de vide-couilles, mais de proximité, et affectueusement dévoué, tu exigeras désormais quil te rémunère avant de passer à lacte : au même tarif pour une prestation de même durée. Tu dois te mettre en tête que tu lui rends le même service quune putain, avec lavantage et la grande satisfaction pour lui de me faire des cornes et dêtre apprécié par toi. Car putain tu ne seras que pour lui, noublie pas de le lui rappeler dès son arrivée. Quand tu seras persuadée dêtre sa putain, davoir affaire à ton client, ton attachement sentimental, que tu nies par ailleurs, déclinera et tu te prépareras à un retour plus sincère vers ton mari.

-Mais, Pierre, jamais Aloïs ne voudra payer et se limiter dans le temps. Il exigera de venir à ses heures, assez longtemps pour doubler si lenvie lui prend et gratuitement.

-Dans ce cas, il portera la responsabilité de la rupture et devra en souffrir. Il comparera, pèsera les avantages et les inconvénients : je serais étonné de le voir reculer devant la dépense. Il ta conquise, il ne voudra pas lâcher sa proie. Je suis certain quil éprouve des sentiments pour toi. Ah ! Joubliais, en raison de son passé récent, de sa maladie due à une fréquentation parallèle à la tienne des prostituées, tu refuseras toute pénétration orale, vaginale ou anale non protégée. Tu lui poseras toi-même un préservatif en mémoire de votre première fois.

-Tu me demandes limpossible. Tu te trompes sur le caractère de ton copain. Je ne pourrai pas arriver à ce résultat. Cest humiliant pour lui, ce lest encore plus pour moi.

-Donc tu tes engagée à faire ce que je voudrais, mais dès le premier obstacle tu rechignes, tu te cabres, tu trouves mes mesures humiliantes. As-tu pensé une seule fois depuis hier soir à lhumiliation que vous mavez infligée : le cocu cest moi. Ce nest pas un titre glorieux, surtout pas dans la bouche de ton amant, hier pendant votre conversation. Dailleurs ton gaillard a-t-il le sens de lhonneur, lui qui te suppliait de lui donner le minimum à savoir ne serait-ce quune masturbation ? La conclusion nest pas difficile à trouver : tu nacceptes pas mes conditions. Cest un point acquis. Donc tu décides de te séparer de moi. Ne traînons pas. Tu me quittes sans tarder. Prépare des affaires et dis-moi où je dois te déposer ce soir, chez tes parents, chez des amis, au foyer des célibataires ou à lhôtel. Je ferai suivre le reste.

-Pourquoi te mets-tu en colère. Je ne refuse pas, jaccepte parce que je taime. Mais je ne me sens pas capable dimposer tout ça à Aloïs. Dis-moi comment je dois procéder. Aide-moi. Si tu maimes encore un peu.

-A son arrivée, par la petite fenêtre de la porte dentrée tu exposeras ton changement dattitude en tappuyant sur ses mauvaises fréquentations. Tu nouvriras la porte quaprès avoir perçu ton dû et son engagement à técouter en tous points. Cest tout simple.

-Tu crois ? Il menacera de tout te dire. Et alors ?

-Quas-tu à redouter puisque je sais tout. Réponds-lui que cela est sans intérêt. Je serais étonné de le voir venir à confesse chez moi. Donc, joue lindifférence et garde porte close.

-Il promettra tout pour obtenir lentrée et après il nagira quà sa tête. Je ny pourrai rien, il est plus fort que moi.

-Ah ! Pour cette première fois je me cacherai. Sil use de la force et si tu refuses catégoriquement de te laisser violer, jinterviendrai. Evidemment il faudra tout reprendre à zéro. Ou tu décideras de partir avec lui ou tu le poursuivras en justice pour tentative de viol. Le scénario dépendra de toi. Je préfèrerais navoir pas à me montrer et vous laisser vous ébattre dans les règles de lart.

-Mais tu vas assister à notre partie ? Je te saurai à lécoute et je devrai maccoupler, jouir ? Comment faire ? Je naurai pas le cur à louvrage.

-Les souteneurs ont certainement des moyens de surveiller leurs travailleuses. Les filles font pourtant leur boulot. Rassure-toi, si tout se passe convenablement, je serai discret. Tobserver en pleine action, tentendre gémir de plaisir pendant quil te défoncera avec son marteau piqueur me ferait trop mal. Je me boucherai les oreilles et je fermerai les yeux.

-Pauvre amour, tu vas souffrir. Il vaudrait mieux que tu partes au début. Parfois je crie quand il me fait jouir avec son gros machin. Je ne peux pas me retenir. A cause de mes réactions sonores nous navons pas pu rester au foyer pour faire lamour.

-Qui fera respecter la durée de la passe, si je ne veille pas? Tu noublieras pas de régler le réveil. Au cas où Aloïs voudrait dépasser lheure, il devrait sacquitter à la sonnerie du réveil du prix dune nouvelle passe. Encore des objections ? Non ? Parfait. Comment communiques-tu avec lui quand tu veux lui indiquer quil peut te rejoindre ?

-Jappelle sur son portable. Mais il est tard.

-Essaie. Je te suggère un plan. Tu vas linterroger. Selon ses réponses jimproviserai les questions suivantes sur ces feuilles. Assieds-toi sur le canapé et appelle le. Attends, mets-toi à laise, quitte ton tailleur, tes escarpins. Installe-toi confortablement, soulève-tes fesses pour que je puisse enlever ta petite culotte. Pendant que tu bavarderas avec ton chéri, je te ferai des câlins, mais évidemment il ne devra pas savoir que je suis présent. Use de ton imagination.

-Je compose le numéro. Je commence par quoi ?

-Tu me manques déjà ! Puis : « Je veux me séparer de Pierre et divorcer ; es-tu disposé à louer un petit appartement en ville pour nous deux, un nid damour et à mépouser ensuite ?

-Ca sonne. Je dois vraiment dire ça ?

-Oui. Mets le son, appuie sur le bouton vert. Je veux entendre ses réponses. Courage. Jadore ta chatte, vas-y, parle.

-Comment Marie, tu me téléphones pour me dire que je te manque ? Oublies-tu que tu mas banni il y a vingt-quatre heures « Aloïs tu reviendras avec un certificat de guérison » as-tu déclaré. Tu devras attendre ma prochaine analyse de sang.

Marie joue lindifférence :

-Daccord. Oublie mon appel. Excuse le dérangement. Javais pensé, je me suis trompée. Bonne nuit Aloïs, je me passerai de toi.

Jappuie ma langue sur son clitoris. Elle gémit. Aloïs rebondit à lautre extrémité.

-Oh ! Marie ; que tarrive-t-il ? Que fais-tu ?

-Je me fais du bien toute seule au son de ta voix, je me chatouille.

-Grosse cochonne. Veux-tu que je vienne ?

-Pas ce soir, Pierre est à la cave. Mais je voulais te fixer des rendez-vous. Tu ne me désires pas, tant pis.

-Non, attends. On pourrait se revoir bientôt. Tiens, je pourrais me couvrir, mettre des préservatifs. Tu ne risquerais rien.

-Tu refusais cette protection, changerais-tu davis ?

-Il ny a que les imbéciles qui sentêtent. Oui jai une réserve. Après tout, si tu es daccord, raconte : quand devrai-je me présenter ?

-Ah ! Que je suis heureuse ! Mais réponds dabord à cette question. Mépouserais-tu si je quittais Pierre demain dans le but de divorcer. Louerais-tu pour nous un nid damour ?

La réponse tarde. Aloïs se racle la gorge, déglutit. Enfin il avance lexcuse que jattendais :

-Marie tu rêves. Tu connais mon projet de mariage avec Lucie. Je me suis engagé, nous sommes fiancés. Tu aurais dû te prononcer plus tôt. Je ne peux plus faire machine arrière. Mais je taimerai toujours et même marié je te rendrai visite.

-Je me doutais de ta réponse. Hélas ! Jai une autre question. Quand tu me compares aux filles que tu allais voir, comment me classes-tu ? Suis-je moins bonne, suis-je égale ou suis-je meilleure ? Sois franc.

-Quelle question. Les professionnelles sont habiles, mais en amour tu les vaux largement et en plus tu sais « aimer » avec ton cur. Tu es une amie et la comparaison joue en ta faveur. Tu es une super femme. Je ne pourrais me passer de toi. Vivement quon baise !

-Donc, pour toi je ne suis pas bonne à marier, mais la meilleure à baiser, sauf Lucie.

-Ne déforme pas mes paroles. Tu es meilleure que les putes et meilleure que Lucie ! Hélas jai donné ma parole.

-Comme je lavais donnée à Pierre Aïe !

-Tu jouis, salope ? Mais ce nest pas pareil. Lucie mapporte un sacré héritage. Tu disais que cétait formidable. On est en pleine discussion sur le contenu du contrat de mariage. La date sera fixée. Mais, je te jure de ne jamais toublier.

Le salaud ne sait comment se tirer du piège. Marie vient de comprendre où est sa place. Je nai pas besoin de souffler la suite. Elle frappe fort :

-Aloïs combien de temps dure une passe ?

-Environ vingt minutes. Tu es drôle, toi.

-Et combien paies-tu pour une passe de vingt minutes ?

-Cest variable. Mais je préfère donner 60 euros pour un bon service. En dessous on risque des déceptions sur le cadre ou sur lactivité. Mais pourquoi ces questions ?

-Réfléchis. Depuis des mois tu uses gratuitement de mon corps, mais tu reconnais que jappartiens à la catégorie supérieure des filles que tu visites. Donc tu abuses de moi. Ecoute ma proposition. Pierre sest inscrit à des activités sportives. Le lundi il fait de la musculation, le jeudi il va au judo et le samedi cest entraînement en piscine. Ces jours là il est absent entre 18 heures et 19 heures ou 19heures trente : parfois il sarrête au bar ou prend une douche sur place.

-Ho ! Que cest drôle. Il aurait dû sinscrire à un cours de développement du pénis, tu en aurais profité.

Se serait-elle plainte de moi. Je lui mets un doigt et je mordille son clitoris. Elle chuinte et sexplique :

-Arrête, tu mexcites. .. Donc trois fois par semaine tu peux venir chez moi. Le cadre agréable semble te plaire, mon corps jeune et entretenu te fait jouir. Le lundi tu bénéficieras dun tarif damie pour vingt cinq minutes de délassement, le jeudi tu payeras ta deuxième passe 60 euros comme le lundi mais la troisième passe de la semaine te sera offerte par la maison si tu as payé les deux autres. Quen dis-tu ?

-Que tu es folle. Va te faire foutre avec tes idées à la con, espèce de pute.

Marie raccroche brutalement. Je lève la tête, le nez brillant de cyprine. Elle sexclame :

-Je tavais prévenu. Il ne voudra pas payer. Cétait réglé comme du papier à musique. Tes conditions étaient faites pour casser notre relation. Tu as gagné.

-Encore bien ! Quest-ce que ce samedi gratuit ? Sil rappelle le samedi lui coûtera 50 euros, fais monter les enchères. Il prendra peur de devoir payer encore plus pour une passe descendue à vingt minutes.

Je nai pas terminé ma phrase que le téléphone sonne. Marie sétonne et dit « allo »

-Ah ! Cest toi Aloïs ? Quoi ? Tu texcuses ? Oui ma proposition est toujours valable, mais avec un petit changement pour tapprendre la politesse. On ne me raccroche pas au nez. Donc le samedi tu paieras cinquante euros. Ton téléphone tavait échappé ? A dautres ! Si tu recommences, les passes seront raccourcies à vingt minutes. Alors ?… Non, je ne te permets pas Tu viens demain à dix-huit heures. Daccord, noublie pas mon salaire en liquide et la capote anglaise. Pierre remonte, je suis obligée de couper.

-Quelle autorité Marie. Tu tes débrouillée comme un chef. Tu aurais pu mettre le haut-parleur. Tu mérites la plus belle des récompenses, viens, terminons notre passe.

Passage aux aveux 2 Repentir sincère?

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