Faire venir Alice, était-ce vraiment une bonne solution ?
Je tirais ici mon dernier joker. Il y avait quand même des risques pour que les deux surs se liguent contre moi… avec les femmes, on ne sait jamais ! Mais bon, à part cela, je ne voyais vraiment rien d’autre pour reprendre la main… et puis je pourrais enfin me taper Alice, la sur de ma femme ! Et franchement ça, ça valait toutes les prises de risques du monde.
Il fallait vraiment avouer que j’avais un peu trop joué avec le feu, et que j’étais pris à mon propre piège. Jamais je n’aurais pensé que ma femme puisse s’éclater avec Nico, sitôt le dos tourné. Alors Alice, pour retourner la situation ? Pourquoi pas ? Mais comment la décider à venir dans ce merdier, où je nous avais mis, ma femme, mon neveu et moi ? Je savais que Alice était une fieffée cochonne, sous ses airs de femme un peu taciturne et pleureuse. Le témoignage, puis les photos exposées par Nico quant à sa mère, me l’avaient prouvé. Il fallait que je la décide "par le cul" ! Alors l’ayant laissé un peu mariné au bout du fil, lors de notre conversation téléphonique, je décidai de jouer le grand jeu.
Tu sais Marc, je ne vois vraiment pas pourquoi je devrais venir chez toi ? Pour regarder ma connasse de sur baiser avec mon fils tous les jours ? Tu veux que je tienne la chandelle ?
Ah, mais j’ai compris ! Tu es pris à ton propre jeu ! Tu as posé ta femme dans le lit de mon fils, et maintenant qu’ils n’arrêtent pas de baiser comme des lapins, tu veux que je vienne pour démêler la situation ?
Non, Alice, ce n’est pas ça du tout !
Mais si, tu veux que je fasse la mère qui censure : Tu sais mon fils, mon petit Nico, ce n’est pas bien de baiser ta tante par tous les trous, même si son abruti de mari te l’a permis !
Tu sais ma chère Cécile ; tu es ma sur, tu dois réintégrer le lit et être de nouveau la gentille petite épouse de ton mari. Après t’être bien éclatée avec mon fils. L’inceste, ce n’est pas bien !
C’est ça que tu veux andouille ?! Et bien, ne compte pas sur moi ! Ciao ! Et elle raccrocha brusquement.
Elle avait pris une voix courroucée et tragique pour me "mimer" les conseils donnés à son fils et à sa sur. Je la rappelai.
Bon Alice, je sais que tu es une petite salope comme ta sur… et que tu en as toujours pincé pour moi ! Cela ne te plairait pas de baiser avec moi devant ta sur… belle vengeance, non ?
Hum, hum…
Tu veux que je te raconte ?
Quoi ?
Notre premier trio de la nuit passée…
Tu me raconteras tous les détails ?
Oui tout !
Il l’a enculée ?
Cette nuit non ! Un peu rapide non ? Mais aujourd’hui, oui. Bon alors c’est parti ! "
___________________________
Nicolas était avec nous dans le lit, dans cette chambre à coucher si obscure. Je devais avouer que j’avais du mal à croire la chance que j’avais : nous étions dans notre lit conjugal, avec le neveu de Cécile, un jeune homme de 23 ans qui reprenait goût à la vie et aux femmes. Et qui d’après toutes les conversations que nous avions échangées, fantasmait beaucoup sur sa tante. Comment Cécile avait-elle accepté cette situation, à trois, elle, prise en sandwich, entre deux hommes, son mari et son neveu, qui ne rêvaient que de la baiser ? C’était difficile à croire !
En tout cas, elle savait ce qui allait se passer, de même que moi, de même que Nicolas. Le scénario avait été prédéfini, et j’avais fait l’entremetteur entre les deux futurs amants. Avec moi à côté de leurs ébats. Je bandais comme un taureau ; ce que j’avais toujours espéré, pratiquer le triolisme avec ma femme se réalisait enfin. Avec un peu de chance, si Nicolas ne se dégonflait pas, j’allais pouvoir voir ma femme jouir avec un autre mec, se faire défoncer par une autre bite que la mienne… et après, les combinaisons étaient toutes ,plus excitantes les unes que les autres… mais un peu de patience, il ne fallait pas brusquer les choses. J’avais demandé à Cécile de revêtir une nuisette légère, mais en ne mettant pas de culotte. Et je lui avais aussi demandé de se détendre, en ouvrant les cuisses, pour permettre à notre pauvre neveu de découvrir la caverne accueillante. Un bon petit rhum arrangé à la cannelle et au gingembre avait aussi décoincé tout le monde.
Bref, je bandais comme un taureau et attendais les avances du jeune mal en rut sur ma femme.
Il avait été convenu que Cécile, dont la bouche chuchotait près de mon oreille, me raconte en détail tout ce que Nicolas allait lui faire. Ainsi, elle me donnerait ses impressions, et je pourrais arrêter le processus si quelque chose ne lui convenait pas. J’étais vraiment trop excité, couché sur le dos dans le noir, avec ma femme le visage reposant sur mon cou, couchée sur le ventre, les cuisses bien ouvertes, la petite nuisette sans doute remontée jusqu’aux hanches, avec sa petite chatte et son trou du cul accessibles au jeune homme nu à côté d’elle. Celui-ci n’attendait que son courage pour apprivoiser l’intimité de sa tante.
Un soupir et un chuchotement :
Ça y est, il s’est décidé, je sens une main caresser mon mollet… les doigts remontent. Il est très doux, presque intimidé. Sa main est sur mon genou… ma cuisse. Ça y est, il a atteint ma fesse droite. Mhum ! Il caresse divinement bien. Sa main a pris possession de l’entièreté de ma fesse, il soupèse, il plote, il malaxe. Mhumm, il s’enhardit… il a pris possession de mon cul. Je sens un doigt hésitant… mhmm. Oui ! Il a mis son doigt sur ma rondelle… mais il n’ose pas encore l’explorer… son doigt descend… il est sur ma chatte. Son doigt entrouvre les grandes lèvres. Je suis tellement excitée que je sens ma vulve très humide. Cela va rentrer comme dans du beurre ! Oui ! Il m’a pénétrée. Avec trois doigts. Oh mon Dieu, il commence à me limer avec ses doigts. C’est trop bon ! A ce rythme, je vais vite jouir… je suis tellement excitée. Il accélère. Les trois doigts me liment ! Je peux gémir ?
Fais-toi plaisir, mais ne lui fais pas peur non plus. Pas de grosses exclamations.
Ouiiii… hummmm… c’est bon ce que tu me fais Nico. Branle-moi encore. Caresse mon clito. N’aie pas peur. Oh oui ! Il a mis sa main en coupelle sur mon sexe, il a atteint mon clitoris…ça y est, il me masturbe. Oh ouiiii ! Il sait y faire le petit salop ! J’adore.
Cécile a mis sa main sur mon sexe, plus qu’en érection. Je vais bientôt "partir", moi aussi. Il faut qu’on prenne une position un peu plus hard… qui fasse plaisir à tout le monde.
Cécile, tu vas remonter ton cul comme pour te mettre en levrette, mais tu restes les genoux sur le matelas… et tu vas trouver ma bite avec ta bouche et tu me suces, pendant qu’il va te baiser.
Tout cela, dit en chuchotant… quoique Nico entende quasiment tout, mais ça fait partie du jeu. J’adore donner des ordres à ma femme pour qu’elle se fasse prendre par un autre homme. L’imaginer et l’entendre jouir, la sentir prendre son pied pendant qu’elle me suce, et qu’elle me branle, va être divin. Je suis surexcité ! Et j’imagine les jeux encore plus vicieux que je vais pouvoir imaginer à trois, quand Nico sera un peu plus sûr de lui ! En attendant, j’ai envie de remplir la bouche de ma salope de femme de mon sperme. Et elle va prendre cher, la petite pute ! Putain quand même, se faire baiser par son neveu, la tête sur le torse de son mari… mais quelle pute ma femme ! Et je crois que je n’ai pas fini de lui en faire faire, des trucs hard ! Maintenant qu’elle s’est bien décoincée, cette salope !
Ça y est, le scénario est au point. Cécile a cessé de remuer, je l’imagine le cul en l’air, trou et chatte offerts à son petit vicieux de neveu, la nuisette lui tombant sur les seins, dont les pointes doivent être bien dures. Je vérifie en passant ma main sur sa poitrine… oui effectivement, elle est bien excitée cette salope. Ah, je sens deux autres doigts sur le sein de ma femme ; Nico s’intéresse aussi aux seins de mon épouse. Il retire vivement sa main au contact de la mienne. Je reste sur le sein gauche, sentant les siens revenir sur le droit. Ma pute de femme a ses deux seins caressés par deux hommes différents. Ça m’excite trop cette histoire. Bon alors, il va la foutre ou pas, Nico ? Je vais aux infos, approchant mon visage de la tête de ma femme, qui repose sur la fourche de mes cuisses, la bouche à trois centimètres de mon sexe.
Bon alors il fait quoi ? Il te baise ou pas.
Attends, sa main descend le long de ma chatte, il a pris mon sein droit, qu’il caresse et malaxe.
Oui, ça je sais !
Attends, je sens autre chose. Oh putain, sa langue sur ma chatte. Hummm, oh ouiiiii ! Il me lèche le minou. C’est trop bon. Dommage, la caresse a été trop rapide, j’aurais aimé que la langue darde dans ma grotte. Attends, oui je sens son gland contre mes grandes lèvres. Il me caresse avec. Ah… il pousse contre mes petites lèvres. Ça se desserre, il force un peu. Oh ouiiii ! Ça y est, il est dans ma chatte. Mon neveu a rentré sa queue dans ma chatte ! Il me baise ! Hummm, c’est trop bon, il est assez large.
J’en peux plus, suce moi… je vais bientôt jouir.
Alors Cécile ne parle plus, mais je sens les tressaillements de son corps, sous les poussées du sexe de son neveu qui a envahi sa grotte si accueillante. Après un temps de va-et-vient assez doux, comme pour apprivoiser mon épouse, il la défonce littéralement. Je sens les poussées, imprimées à sa tête et sa bouche, remplie par ma queue énorme, proche de la jouissance. Cécile fait l’amour avec deux mecs. Elle est comblée par deux bites, une dans sa chatte, l’autre dans sa bouche. Parfois, elle quitte mon sexe pour reprendre sa respiration, et exprimer des ahanements assez sauvages. Il la "donne" bien, le petit merdeux. Bientôt, je la sens se crisper, elle jouit, et Nico aussi, dont la respiration s’est accélérée et qui retient ses propres gémissements. Bien éduqué le garçon ! Alors je n’en peux plus et je me lâche. Ma queue, saisie de pulsations, envoie tout mon sperme dans la gorge de ma femme, qui ne me repousse pas.
Elle absorbe tout mon jus, dans une fellation qui est devenue une gorge profonde, sous les coups de boutoir de son neveu.
Nous avons tous les trois bien joui… mais j’en veux plus. Après quelques minutes de récupération, je retire la nuisette de ma femme et la jette sur le sol. Ça y est, elle est complètement à poil, entre deux mecs, nus eux aussi.
Cécile, mets-toi couchée sur le dos, les cuisses bien ouvertes. On va te baiser chacun notre tour.
Je commence. J’enjambe ma femme, et dirige ma queue vers sa chatte pleine du sperme de mon neveu, et je la baise d’un coup sec ! Ça rentre comme dans du beurre… je suis sûr qu’on pourrait y tenir à deux… idée pour la suite. Alors, excité comme une puce, je la défonce à mon tour, et libère une nouvelle giclée de sperme dans sa chatte de salope.
Je me retire et dis à Nico :
" Vas-y à ton tour, fais la gueuler cette pute !
Nico ne se le fait pas dire deux fois, et le voilà qui rebaise ma femme, lui provoquant force cris de plaisir. Pas de doute, elle aime ça la salope, se faire baiser en continu par deux mecs !
Au final, sur une petite heure, on l’a niquée trois fois pour moi, et quatre pour Nico. A la fin, je n’avais même plus de sperme à éjaculer. Mais ma femme en était pleine. En vérifiant de ma main qui passe sur sa vulve, je sens le sperme qui s’écoule en abondance entre ses cuisses ; je l’embrasse sur le front et lui souffle à l’oreille :
Alors petite pute, ça t’a plu ? Maintenant, tu es devenue un vrai garage à bites, une traînée, une petite salope à bites. Demain, c’est dans ton cul qu’on s’éclatera !
__________________________
Je repris ma respiration après ce long monologue, et laissai ma belle-sur exprimer ses impressions…
" Ouah ! Ça s’est vraiment passé comme ça ? Tu n’as pas exagéré ?
Tout est vrai de A à X !
J’aurais jamais cru que ma sur puisse être une telle salope… et avec mon fils !
Ça t’excite ? Tu mouilles ?
Carrément ! J’arrive ! "
J’avais réussi à décider ma belle-sur à venir nous rejoindre, pour des orgies insensées… aussi ma joie fut-elle cruelle, quand j’annonçai la nouvelle, après la fameuse journée de luxure de ma femme avec Nico, dans mon dos. Je pensais humilier ma femme, alors qu’elle serait forcée de nous regarder baiser, sa sur et moi ! Le problème, c’est que je ne pouvais pas savoir dans quel guêpier je l’avais attirée !
