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Perversité de la fratrie – Chapitre 2

Perversité de la fratrie - Chapitre 2



Cela fait quelques jours maintenant que Sid est partie en vacance avec son copain, et moi je prépare la chambre pour mon frère, car sa maison est en rénovation et je lui ai proposé de venir à la maison en attendant. Cette idée m’excite énormément, et vu les derniers évènements, encore nos caresses déguisées en chahut et notre petit baiser chaste…

Je me demande comment tout ça va se passer. Est-ce qu’on va aller outre l’interdit ? Car d’après Sid, mon frère a vraiment envie de me prendre, et même moi, je le vois et le sens, peut-être que ce petit désagrément de circonstance est le bienvenu ? À mon avis OUI. Je verrais bien à ce moment-là.

La soirée se passe, il a eu le temps de ranger ses affaires dans la chambre d’amis. Bien oui, vous ne croyez tout de même pas qu’il va dormir avec moi ? Enfin… pas tout de suite du moins ! L’appart est fait pour accueillir six personnes, donc il y a de quoi faire, enfin trois couples du moins.

Merci surette de m’accueillir dans ton nid douillet.

Il sourit, je sais qu’il y a un sous-entendu là-dessous, mais je ne relève pas.

Tu sais bien que je serais toujours là pour mes frères.

Lui faisant un clin d’il bien aguicheur, moi aussi je fais des sous-entendus, après tout, pourquoi se priver ? Même si nous sommes un peu gênés, on se met à rire et il finit par me prendre dans ses bras, comme un bon vieux câlin comme on les aime chez nous. Je l’accueille dans mes bras comme il le fait, et le serre contre moi. Je sens sa respiration dans mes cheveux qui s’accélère, tel un animal qui a sa proie entre ses pattes. Je souris malicieusement, il commence à être excité, et je le sens gonflé contre mon ventre. Mes mains commencent à caresser son dos, alors que les siennes descendent vers mon fessier rebondi, mais le téléphone sonne, et nous arrache à notre étreinte. Je jette un il à mon portable et je vois que c’est Maman.

Bonsoir, ma chérie, je voulais savoir si ton frère est bien installé, il ne répond pas sur son portable.

Je souris, un peu gênée et je me racle un peu la gorge.

Oui il est super bien installé, et son portable est en recharge, c’est pour ça que tu n’arrives pas à l’avoir.

Je fixe mon frère qui s’était retourné, moi j’essaie de ne pas rire, car oui la situation est très excitante, gênante, mais aussi drôle, c’est la deuxième fois que nous sommes interrompus

Papa veut savoir si vous venez dimanche, on fête mon anniversaire et celui de votre nièce.

Je fixe toujours mon frère qui a retourné la tête vers moi, esquissant un sourire et en acquiesçant, je lui souris tendrement puis acquiesce aussi comme en guise de réponse au sien.

Oui m’man, nous serons là, t’inquiète pas, tu sais bien qu’on ne loupe jamais un anniversaire des nôtres !

Ouais, notre famille est comme un clan, c’est ça qui est drôle, nous sommes très soudés et c’est ça qui est important. Nous parlons quelques minutes avec notre mère avant de raccrocher en rigolant, comme d’habitude. Ma mère est une très bonne vivante, quand elle a rencontré mon père, elle était très jeune, elle avait à peine 18 ans et venait d’avoir son concours d’infirmière. C’est dans le resto routier où mon père était cuistot que ma mère a jeté son dévolu sur lui, il avait 21 ans à l’époque. Évidemment après toutes ses années de mariage, il y a eu des hauts et des bas, mais ils se sont toujours très bien entendus. Mon père a échappé à mon grand-père, dès qu’il avait eu l’occasion de venir à Honolulu sur l’île d’Oahu a Hawaii, oui, car je suis d’origine Maori, néo-zélandaise. Bon je ne vais pas m’attarder sur l’histoire de mes parents.

Je commence à m’activer dans la cuisine avec l’aide de mon frère, là, ce soir, on mange quelque chose de simple, mais au moins préparé par nos soins. Du poulet mariné !! Hmmm c’est vraiment bon avec du riz au lait de coco à côté. Je me place au-dessus du plat en humant les odeurs.

Hmmmm ça donne vraiment faim.

Je sens mon frère bouger derrière moi, se collant à mon dos et mes fesses, comme l’autre fois, je le sens un peu excité, mais il est plutôt calme, quoique… Il se colle encore plus contre moi, mais là, je sens vraiment qu’il s’excite, je me mords la lèvre, même si j’en meurs d’envie, pas maintenant, je veux encore le faire languir, si vraiment il veut me prendre.

Oui je sens ça oui, cette odeur donne vraiment l’eau à la bouche…

Alors qu’il se penche un peu plus, sentant mes cheveux, ma nuque. Ma respiration commence à saccader, car si ça continue, je vais vraiment perdre mes moyens et lui sauter dessus, mais faut que je résiste.

Bon allez, à table !! J’ai la dalle !

Me retournant brusquement, ma poitrine contre la sienne, je fixe mon frère dans les yeux, il me sourit, mais un genre de sourire satisfait. L’enfoiré, il l’a fait exprès, alors qu’il s’écarte, je vois ses yeux se baisser vers ma poitrine et sa langue lécher ses lèvres, ben oui quand je suis excité mes tétons pointent vraiment dur. Il finit par lâcher un soupir, puis se retourne pour prendre les assiettes pour les mettre dans le salon. Je le suis avec le riz et les morceaux de poulets.

Le dîner se passe très bien, nous regardions la TV en même temps, et mon frère s’était proposé de faire la vaisselle le temps que je prenne ma douche. Repensant à ce qui s’était passé avant l’appel de ma mère et pendant la cuisson. Là, c’est clair comme de l’eau de roche, mon frère me veut. Mon corps commence à bouillir, et mon souffle commence à saccader en repensant à cette chose coincée dans son short, grosse et gonflée contre mon ventre et mes fesses. Me déshabillant devant le miroir de la salle de bain, je constate que mes tétons pointent à nouveau, et que ma culotte est pleine de mouille. Décidément, je suis vraiment en manque moi en ce moment. Je commence à repenser à mon frère, et à imaginer comment il pourrait me rejoindre dans la salle de bain, pour venir encore se coller à moi. Mon excitation est à son comble, et me dirigeant sous la douche.

Je commence à me caresser, alors que l’eau coule sur moi, de l’eau tiède froide, j’aime cette température, mais ce nest pas assez pour me refroidir, et je n’ai pas envie, alors que je m’adosse contre le mur, pinçant mes tétons déjà bien bandés, puis de l’autre main, je commence à la descendre lentement sur mon ventre, puis, vers mon pubis. Je lâche un soupir d’excitation, qui fait un peu écho dans la salle de bain, constatant que la porte est entrouverte. Ce n’est pas grave, mon frère est censé faire la vaisselle. L’idée qu’il puisse m’épier m’excite beaucoup, j’aimerais qu’il m’entende gémir pendant que je me doigte, pensant à lui en train de me prendre sauvagement.

Un de mes doigts constate que mon clito est déjà sorti et dressé. Je gémis en le touchant, en m’essayant dans la douche, l’eau coulant sur moi. Je me caresse la vulve alors que je tire chacun leur tour sur mes tétons pour me faire encore plus de bien. Mon désir et mon excitation augmentent encore, alors que j’entre deux doigts en moi, je suis largement lubrifié, titillant l’entrée de ma chatte gonflée, pensant justement à cette bosse dans le short de mon frère. Mais je suis trop excitée pour faire durer le plaisir, et j’entre mes doigts un peu plus profond, à quelques centimètres de l’entrée de ma grotte, là où est mon poing G. Je le sens, mes cuisses s’écartent beaucoup plus, d’une vue de la troisième personne, ça doit être une position très très obscène, alors que mes râles se font plus entendre. On peut entendre les clapotis quand je fais des va-et-vient, ils sont rapides et précis, je veux me faire jouir, et je vais y arriver.

Mon corps se crispe, imaginant mon frère me prendre sauvagement, et éjaculer en moi, me donnant encore des coups de boutoir jusqu’à ce qu’il puisse plus. Un jet sort de ma chatte, oui, j’ai des orgasmes vaginaux, et je suis une femme fontaine comme on peut dire, si on s’y prend bien.

L’orgasme dure quelques minutes, je sens encore ma chatte qui convulse. Évidemment je ne suis pas satisfaite, mais pour le moment, ça fera l’affaire. Alors que je finis de me doucher, je ne sais vraiment pas si mon frère m’a entendu ou épier, je l’espère quand même au fond de moi. L’interdit d’être prise par quelqu’un de ma famille commence vraiment à m’exciter au plus haut point.

Une fois la douche finie, je me sèche les cheveux avec une serviette, et m’habille, enfin, short et débardeur, puis sors de la salle de bain, et j’ai failli tomber en glissant sur quelque chose de visqueux. Je me penche, et regarde, avec un de mes doigts, constatant que ce n’est pas de l’eau, mais du sperme, mon frère m’a épiée, je me demande pourquoi il n’est pas venu pour me prendre…

A suivre… (Merci à un ami qui se reconnaîtra qui me donne de l’inspiration ! ;))

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