Après m’être remis de mon entorse (Cf. la salle d’attente), je me préparais pour mon jogging dominical, histoire de retrouver une certaine condition physique. Je me prévois un petit parcours loin des autos et autres véhicules motorisés à travers la forêt.
Sur le chemin, je croise une jeune femme d’une trentaine d’années, brune dans les 1m60, 1m65 les cheveux attachés en queue de cheval qui passe de part et d’autre de son visage angélique à chacune de ses foulées. Elle porte une tenue quelconque, short, t-shirt et baskets. A son passage je la salue et elle me gratifie d’un beau sourire. Les semaines passent, je pars toujours à la même heure et sur le chemin je la croise toujours au même endroit. Durant ces quelques semaines, je m’attarde davantage sur son physique et je ne regarde plus ses cheveux mais sa poitrine qui ballotte malgré la brassière. Elle doit au moins faire un bonnet C et elle doit avoir de beaux tétons car ils arrivent à pointer par-dessus sa brassière et son T-shirt. A chaque passage, le même rituel, je la salue, elle me sourit en ne me quittant pas des yeux et on tourne la tête quand nous nous croisons. Son regard descend le miens aussi. Elle a de belles fesses bombées comme je les aime.
Puis, au bout d’un mois et demi, sa tenue change radicalement, quand je l’aperçois au loin seule sa foulée m’indique que c’est elle. La jeune femme porte un short moulant, une brassière rose-fluo et, à la place de son T-shirt ample, une chasuble alvéolée qui laisse apparaitre son ventre musclé. Ce changement déclenche en moi un début d’érection et quand on se croise elle me sourit mais ne me regarde plus dans les yeux. En tournant la tête, je constate qu’il n’y a pas grand-chose sous son short ce qui me donne une trique phénoménale. La semaine suivante je remarque tout de suite sa brassière au loin. Ma charmante joggeuse disparait. Elle réapparait quand je suis à 20 mètres d’elle, je ne vois pas tout de suite changement mais quand je le remarque ma bite se dresse instantanément Elle n’a plus sa brassière et je peux admirer sa poitrine phénoménale. Ses aréoles sont larges et sombres, ses tétons charnus et longs de 1 à 2 cm, j’ai envie que d’une chose : les téter !!! En la croisant, je suis tellement scotché que je la salue, comme d’habitude, pour la première fois j’entends le son de sa voix sensuelle et qui colle parfaitement à son physique.
— « Je suis contente de voir que vous êtes content de mes petites attentions » me dit-elle en regardant la bosse sous mon short puis nos chemins se séparent.
J’ai tellement la gaule que je suis obligé de m’arrêter derrière un fourré pour me masturber en repensant à ce qui vient de se produire pour calmer mon excitation
La semaine suivante elle recommence quand elle me voit au loin elle disparait mais là elle ne réapparait pas. Quand j’arrive à son niveau, elle est, à croupi, la vulve épilée et écartée comme si elle venait d’uriner. Elle me demande si je n’ai pas un papier pour l’essuyer. Vu ce qu’il s’était passé la fois d’avant j’en avais prévu mais pas pour cet usage. Je le sors et je m’exécute. Je le laisse rapidement tomber et je commence à lui titiller le clito pendant que ma main gauche commence à lui soulever son chasuble pour atteindre l’objet de tous mes fantasmes. Là, ma charmante coquine se relève et place son sexe juste devant ma bouche.
— « Fais-moi plaisir petit vicieux ».me dit-elle.
A mon tour, je m’agenouille pour me mettre à l’aise. Je lui lèche le clitoris, introduit ma langue dans sa fente, mes mains, elles s’occupent de ses deux seins. Je me suis trompé c’est un bonnet D que faisait la demoiselle, mes mains ont du mal à les contenir, ils sont fermes et ses tétons énormes. Je ne peux résister et remonte pour les happer. Mais elle me demande de redescendre en me disant que j’aurai tout le temps d’en profiter plus tard. Je recommence mon petit manège, lui mordille délicatement le clitoris la lèche avec ma grande langue et je sens sa cyprine qui coule entre ses lèvres. Elle m’appuie sur la tête pour m’enfoncer davantage dans son orifice et commence à gémir. Tout à coup une voix féminine derrière nous vient troubler notre petit jeu. « Eh bien ! y’en a qui s’gêne pas !».
— « Touche-toi en nous regardant ou casse toi et laisse moi prendre mon pied » rétorque ma belle brune du tac au tac.
Je continue de lui aspirer le clito, de lui lécher la chatte, elle ondule le bassin afin de s’offrir davantage et je sens que la jouissance n’est pas loin car son jus coule. Elle appuie tellement fort ma tête contre elle que j’ai du mal à respirer. Ses mains se crispent dans mes cheveux et je l’entends jouir. Enfin plutôt j’entends jouir deux personnes. Quand ma brunette lâche son étreinte, je me retourne et voit une femme d’une cinquantaine d’année deux doigts dans la chatte le t-shirt relevé en train de se titiller le téton. Elle est châtain, a des hanches plus larges des seins un peu plus gros que ceux de ma partenaire et elle a l’air de prendre son pied. Les deux femmes retrouvent leur esprit, la voyeuse nous remercie pour le spectacle et s’en va. Je crois que ça va être mon tour mais mon inconnue m’embrasse et me dit à l’oreille que la semaine prochaine on inversera les rôles et qu’elle espère être à la hauteur car ma langue est une vraie merveille. Elle se rhabille et reprend sa course. Je me branle une nouvelle fois super frustré mais tellement impatient de retrouver mon inconnue du dimanche matin A suivre.