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Police polissonne – Chapitre 16

Police polissonne - Chapitre 16



Elle se retrouve à nouveau à l’accueil, et le capitaine ordonne :

Soldat ! Vous leur donnez à chacun un badge de la catégorie 1, vous demanderez à un planton de leur montrer la chambrée de la Sections d’Instruction des Unités Spéciales n° 10, et aussi où se trouvent le restaurant et le foyer.

L’homme se lève, se place au garde-à-vous et d’un coup de tête en arrière dit :

À vous ordres mon Capitaine !

Puis l’officier s’adresse aux deux nouvelles recrues.

Pour vous. Demain matin vous vous lèverez au clairon, vous vous habillerez et vous irez petit-déjeuner, puis vous retournerez dans votre chambre. À sept heures quarante-cinq précises, on viendra vous chercher et vous ferez votre entrée dans la vie militaire. Mademoiselle, j’espère pour vous que vous n’êtes pas trop pudique.

Piquée au vif elle se redresse, bombe le torse, lève la tête et répond :

Pas du tout mon Capitaine ; pourquoi, il faut se foutre à poil ?

Vous verrez bien, pour moi c’est terminé ; nous nous reverrons demain après les tests.

L’homme sort en tournant les talons d’un geste vif en laissant les deux stagiaires au garde-à-vous. Le militaire se réinstalle derrière le comptoir et prend le combiné du téléphone d’un autre temps. Sonia observe l’appareil avec curiosité, et surtout l’homme mettre son index de la main droite dans le trou marqué 9 du cadran rond. Il entraîne le disque perforé jusqu’à une butée métallique, enlève son doigt et le cadran revient à sa position initiale en cliquetant. Puis il recommence l’opération en mettant son doigt dans le trou du 0, puis du 1, et dit :

Allô… Il me faut un planton pour accompagner deux stagiaires au bloc 1 et pour montrer le restaurant.

Non tout de suite.

Merci.

Il raccroche, se tourne vers son ordinateur et s’adresse à Sonia :

Donnez-moi votre nom.

Sonia Wolski.

Ça s’écrit ?

Elle épelle :

Sonia: S-o-n-i-a … Wolski: W-o-l-s-k-i.

Date de naissance ?

3 août 1995 à Marseille 13015

Ah…, on est voisins, je suis d’Avignon !

Ah oui ! Alors, vous êtes du Nord ! … répond-elle avec un large sourire et en forçant son accent marseillais.

Bien à vous Monsieur, dit-il en s’adressant à l’homme présent à l’accueil.

Moi, c’est Olivier Dosi né le 25 décembre 1986 à Metz 57000.

Doucement, le nom d’abord ; s’écrit ?

Il épelle également :

Olivier: O-l-i-v-i-e-r… Dosi: D-o-s-i.

Bien. Mademoiselle, mettez-vous là, dit-il en désignant un pan de mur blanc faisant face à une webcam fixée au mur derrière le comptoir. Mettez-vous dos au mur, regardez la caméra et souriez.

Sonia s’exécute puis c’est au tour de son camarade de se faire photographier, ceci fait, le soldat imprime deux cartes format carte bleue avec leur visage, leur nom, prénom et date de naissance ; au dos la carte est traversée par une bande noire. Il les glisse dans un étui en plastique munie d’une pince.

Tenez, il faudra la porter en permanence, sauf pendant les manuvres ; surtout ne l’oubliez pas pour aller manger.

Merci … Monsieur… ?

Voilà le planton, il va vous montrer les lieux.

Un soldat entre et invite les deux stagiaires à le suivre pour leur faire visiter ce qui les intéresse pour le moment : leur chambre, le restaurant, et le foyer. Il les conduit vers un bâtiment blanc datant du siècle dernier, haut de trois étages et long comme un terrain de football. Des rangées de briques rouges forment les angles du bâtiment et encadrent les entourages de portes et de fenêtres. La toiture à la Mansart est recouverte de plaques de zinc. Leur chambre se situe au premier étage du bâtiment. Ils découvrent une vaste pièce très haute et très longue aux murs blancs et sans décoration. Des lampes dans des abat-jour ronds ressemblant à des marmites se balancent au bout de leur câble électrique. De part et d’autre de la pièce, trois lits métalliques, avec chacun une table de chevet, une applique au mur en guise de liseuse, et un placard peint en gris dont la porte se ferme avec théoriquement un cadenas ; mais là il est absent. D’épais rideaux en tissu marron sont suspendus à une tringle à rideau en bois également marron devant les fenêtres. Ils servent à se protéger du froid l’hiver et du soleil matinal l’été. Autour de la pièce sont installés quatre énormes radiateurs à colonnes en fonte. Entre les deux rangées de lit, une grande table et six chaises en bois semblent perdus au milieu de cette espace, qui pourrait servir de salle de danse forment le mobilier de la pièce. Pour Sonia et son camarade de stage cette pièce leur paraît austère, sans vie et certainement froide surtout l’hiver.

Vous avez de la chance, vous n’êtes que six dans cette section ; alors là, c’est dommage pour vous, car vous allez en chier, dit le soldat avec un rictus de satisfaction.

Et pour les douches et les toilettes ?

C’est en bas, posez vos affaires sur la table ; je vais vous montrer, et après vous pourrez vous installer.

Il les entraîne aussitôt vers le rez-de-chaussée et leur montre la partie sanitaire. Même pour Sonia qui à vécu à la dure c’est encore un désenchantement :

Ici vous avez les chiottes, désolé mais c’est à la turque, sauf celle-là, une vraie cuvette, dit-il en poussant la porte sur une belle cuvette flambant neuve.

C’est vieux ! s’exclame Sonia.

Je sais mais ce bâtiment est réservé aux stagiaires civils. Ici les douches, idem c’est vieux et pas de rideaux.

Effectivement seul des cloisons en briques recouvertes de carrelage blanc offre un peu d’intimité et délimitent les cabines, le sol est en pente vers la seul et unique bonde pour évacuer l’eau.

Désolé pour les dames, il faudra vous y faire. Après avoir pris votre douche, vous tirez l’eau avec la raclette qui est là. Vous veillerez à ce que les lieux restent toujours propres, de toute façon c’est vous qui ferez le ménage ; c’est le matin avant les couleurs. Bien vous savez tout. Ah au fait, pour la bouffe ; c’est de dix-huit heures trente à vingt heures. Alors ne loupez pas l’heure. Pas de question ? Alors je vous laisse.

Le soldat tourne les talons et s’en va ; laissant Sonia et Olivier totalement déconcertés, car des questions ? Ils en ont des milliers mais pour Sonia (habituée à la débrouille) ce n’est pas un gros problème. Pour Olivier c’est différent, il se sent mal à l’aise.

Eh bien, ça n’va pas être la joie. Bon, à la guerre comme à la guerre ; et puis on n’a pas le choix, pas vrai ?

Oui, vous avez raison, répond Olivier.

Bon… Euh, on s’installe et va faire un tour avant de bouffer.

Oui, si vous voulez…

Hé dis-moi, tu peux me dire TU ; on va passer un sacré moment ensemble dans cette piaule toute pourrie alors on n’va pas s’faire des courbettes.

Désolé, mais c’est compliqué ; je n’ai pas l’habitude. Laissez-moi un peu de temps.

OK, alors on monte s’installer dans notre palace !

Arrivée dans la chambre elle suspend son blouson d’aviateur à une patère fixée sur le côté de son placard, et jette son sac à dos dans ce qui sert d’armoire. Puis s’installe sur une chaise, pose ses coudes sur la table, place son menton sur ses poings, observe son camarade et se le commente.

« Humm, il n’est pas mal foutu, c’est vrai qu’il est vachement grand ; mais j’aime bien. J’aime bien la couleur brune de ses cheveux coupés court et ses yeux couleur noisette ; ça lui donne un air sérieux. N’empêche qu’il a l’air bien gaulé, je suis certaine que c’est un sportif. Putain, j’espère qu’il aime baiser, car moi, je commence à avoir la chatte qui me démange de plus en plus ; ça fait trois jours que je ne me suis pas pris une bitte, alors j’ai faim. Merde il me fait mouiller, ce con ! »

Sans prêter attention à Sonia, Olivier range soigneusement ses affaires, les empiles délicatement, les angles des vêtements pliés au carré bien et alignés. Puis il commence à faire son lit.

Tu prends ce lit ? lui demande-t-elle.

Oui, à moins que vous ne le vouliez ?

Non, c’est pour savoir si je peux me mettre là, juste à côté de toi ; j’ai un peu peur la nuit.

« j’sais pas si ça va marcher, mais je verrais bien »

Oui, pas de soucis.

Sonia aussi fait son lit mais plus simplement, elle est plutôt du genre jeté de lit : un drap, et basta ; comme elle dit. Olivier regarde son uvre, satisfait du lit au carré, il se tourne et voit celui de Sonia.

Vous allez avoir des problèmes avec les supérieurs, il ne faut pas faire votre lit de la sorte. Il doit être au carré comme le mien.

Mais t’es un vrai militaire, toi !

J’ai été élevé comme ça, j’ai fait presque toute ma scolarité dans une école militaire ; je n’y peux rien. Mon père est militaire, commandant dans la marine et catholique pratiquant. Et vous ?

Moi ? C’est très compliqué, pardonne-moi, mais j’n’ai pas trop envie d’en parler aujourd’hui, plus tard peut-être.

Excusez-moi je n’ai pas voulu être indiscret, mais…

Pour se sortir de cette situation embarrassante, car elle ne veut pas parler de son passé, du moins pas tout de suite ; elle détourne la conversation.

On va faire un tour et puis je commence à avoir faim, il est quelle heure ?

Vous n’avez pas de montre ? Il est dix-huit heures trente. On va peut-être aller voir pour manger, moi aussi je commence à avoir faim.

Ils se rendent directement au restaurant, grand comme celui d’une grosse entreprise, pas de chaises, mais des tables, des bancs et une rampe pour le service. Elle suit le mouvement et imite celui qui est devant elle, quand il prend un plat elle fait de même ; donne son badge à la caisse et s’installe à une table. Ils mangent rapidement en silence. Les aliments n’ont pas de goût, tout est fade ; seul le dessert (une mousse au chocolat industrielle) est bon. Elle commence à être fatiguée, les lieux sont bruyants à cause du brouhaha des conversations ; alors ils ne traînent pas et retournent à la chambre. Sonia ôte ses baskets s’allonge toute habillée sur le lit, tire le drap sur elle et s’endort doucement.

Quand elle ouvre un il, le soleil est déjà très bas. Olivier à demi allongé sur son lit, est plongé dans un livre dont elle ne voit pas le titre. Puis il le ferme, se lève et s’étire. Espérant assister à un strip-tease improvisé, elle ne bouge pas. L’homme est de dos et enlève sa chemise, la plie délicatement puis la dépose sur une chaise. Le drap sur le museau, elle observe la scène et admire le dos musclé de l’homme, l’émoi s’éveille en elle. Elle retient sa respiration quand il dégrafe son pantalon et après un coup d’il furtif vers Sonia, il le descend doucement.

À la vue des fesses rebondies, emballées dans un caleçon « DIOR » son ventre se crispe d’un coup, son entrejambe s’humidifie. Elle le détaille du haut de ses épaules jusqu’aux chevilles.

« Ah putain, qu’est-ce qu’il est beau ! Il me donne vraiment envie de faire l’amour … »

Il lui fait maintenant face, et c’est directement que son il se dirige vers le caleçon et l’empreinte du service trois pièces du stagiaire.

« Oh, putain, il l’enlève… Non ! Il se couche, et en caleçon en plus ; mais il est fou ! Je vais mourir moi ! Non… non, et non ! Allez Sonia bouge-toi ma vieille ! »

Elle fait mine de se réveiller, s’étire et, d’un coup de pied, jette le drap au pied du lit.

Alors bien dormi ? lui demande Olivier.

Cette petite sieste m’a fait le plus grand bien. Mais tu es déjà couché ?

Oui, je vais lire un peu avant de m’endormir.

Sonia se lève et commence à soulever son tee-shirt

Toi, je ne sais pas ; mais moi je dors à poil.

Bah non, je …

Tu sais que ce n’est pas bon pour la santé de dormir en caleçon, tu l’as porté toute la journée. Avec la transpiration c’n’est pas terrible, c’est pour ça que je dors toujours toute nue.

Oui, je sais. Mais j’ai oublié mon pyjama, et puis il va y avoir du monde, les autres stagiaires vont arriver, et dans ma famille on ne se montre pas.

Ah bon, eh bien moi, jusqu’à ce que je parte de la maison ; à l’époque où tout allait bien. Quand mon père partait au boulot, avec ma mère on restait toute nue toute la journée. Alors tu n’va pas me dire que tu as la trouille de te foutre à poil devant tout le monde parce qu’ici, si j’ai bien compris, il ne faut pas avoir de complexes.

Oui, c’est ce que j’ai cru comprendre ; mais chez moi ça ne se fait pas, je te l’ai dit. C’est terrible, j’ai la trouille ; je crois que cela ne va pas être possible. Mon père ne m’a jamais dit que ça se passait comme ça.

Ah, je vois ; je peux te guérir si tu veux, car moi j’ai envie d’un câlin.

Elle ne lui laisse pas le temps de dire un mot que son tee-shirt est déjà au pied du lit et que son jeans l’a rejoint aussitôt, comme son habitude ai de ne jamais porter de sous-vêtement ; elle est nue. Elle a évidemment remarqué que son camarade de chambrée n’était pas indifférent à ses charmes, une bosse est en train de déformer le drap.

Mais on ne peut pas coucher ensemble, ça ne se fait pas ; on ne se connaît pas.

Eh bien on va faire connaissance, moi je commence par la queue ; c’est un principe. Si le mec ne me convient pas au plumard, je laisse tomber. Alors tu laisses tomber ton bouquin et on baise, tu m’as foutu une sacrée envie tout à l’heure.

Quoi tu m’as regardé ?

Bah, qu’est-ce que tu crois, je ne pouvais pas rater ta séance de déshabillage. Moi j’suis comme les mecs : quand il y a un beau cul à mater, je mate. Ce n’est pas plus dur que ça. Alors tu me fais une petite place ?

Devant l’insistance de Sonia, Olivier, rouge comme une tomate prend sur lui, et à cause de la vue du corps nu et désirable de la jeune femme ; il cède.

Oui, mais ça va être juste en place.

Attends, j’ai une idée.

Elle se lève d’un bond, fait le tour de son lit en ondulant des hanches, le saisi par le côté et le pousse d’un coup sec avec les genoux vers celui d’Olivier.

Regarde, un lit de palace dans cette piaule de merde !

Tu as raison.

Waouh… Tu m’as dit TU ! C’est cool ça.

Elle fouille dans son sac, en sort un petit étui plat et carré, et le place sous son oreiller.

C’est quoi ?

Au cas où, et pas de discussions, dit-elle en s’allongeant à côté de lui.

Elle place sa tête contre le cou d’Olivier et pose délicatement sa main sur le torse imberbe. Elle respire cette odeur de transpiration qu’elle adore, pour elle, cela représente la force et la puissance. Elle aime se faire dominer de temps en temps, se faire prendre par surprise par-devant ou par-derrière, …, et plein d’autres choses encore. Elle adore caresser la peau lisse d’un homme, palper ses pectoraux surtout quand ils sont fermes et bien dessinés.

Tu sens bon tu sais… lui dit Olivier.

Allez, caresse-moi.

C’est que… je … enfin.

Ah OK ! Toi t’est timide ou puceau ou peut-être les deux. Alors laisse-moi faire.

Alors elle s’amuse à compter chaque muscle abdominal, chaque veine de ce sportif ; il lui caresse doucement la fesse droite. En fermant les yeux il se laisse emporter dans une douce torpeur pour mieux apprécier chaque caresse, chaque baiser. Il semble voler vers les nuages. Quand une main curieuse passe sous la ceinture du caleçon protecteur, il sursaute. Quand les doigts jouent avec ses poils pubiens et glisse le long de sa hampe raide comme un bâton, et déjà humide de désir, il est parcouru par un frisson ; il se laisse envahir par le plaisir.

Elle s’allonge sur lui et sa langue cherche la bouche de l’homme, puis les lèvres et la langue qu’elle attrape et aspire, suce et fait rouler contre la sienne. Sa chatte coule de ce liquide âpre au goût subtil, elle s’excite toute seule. Son vagin réclame déjà et commence à la supplier d’agir et vite. Elle mordille les tétons, les lèches et les suces ; puis descend en laissant une traînée de salive sur l’abdomen du garçon et atteint son sexe tendu qu’elle libère de son carcan.

Quand elle l’embouche, l’homme vibre, son échine se tend, ses bourses gonflent ; l’envie de prendre cette petite effrontée arrive comme un éclair. Sans réfléchir, il prend sa tête entre ses mains et accompagne le mouvement de va-et-vient. Elle est gourmande, elle dévore l’engin plus grand et plus gros que ce qu’elle espérait.

Olivier, pour qui ces premières caresses font sauter les verrous de cette fausse pudeur, dictée par les grands préceptes de la religion qui interdit tout, et même de se regarder nu dans une glace. Il repousse Sonia, elle se retrouve assise sur l’autre lit et lui à genoux le sabre au clair. Dans la pénombre, un obélisque se dresse vers le ciel ; Sonia ne peut pas laisser passer ça. Et malgré l’envie qui lui tord les entrailles, elle se jette sur le membre, le saisit à deux mains et fait rouler le gland dans sa bouche. Elle le suce et l’aspire très fort, mord le gland et l’enfonce au plus loin qu’elle peut, force le fond de sa gorge jusqu’à en suffoquer. Elle bave, sa salive coule sur ses seins ; lui gémit. À deux mains elle prend le membre et le masturbe très fort, mord la hampe, la lèche comme un esquimau, tente d’entrer son petit doigt dans le petit orifice. Puis tout en suçant le gland, elle fait rouler dans le creux de ses mains les bourses velues et gonflées. Elle veut goûter à ce nectar dont elle raffole surtout en dessert, alors elle emprisonne le gland entre ses lèvres et le masturbe (elle sait par expérience que c’est le moyen le plus rapide pour faire éjaculer un homme). Elle masturbe le gland avec ses lèvres, branle la tige d’une main et malaxe les couilles de l’autre. Olivier est aux anges, il sent son sperme prêt à s’expulser, il se retient ; mais pas assez.

Nonn… ! s’écrie Olivier… Nonnn… pas maintenant !

Il est trop tard, il lâche un flot de sperme dans la gorge de Sonia. Elle le pousse, il tombe à la renverse sur le lit et elle le pompe encore et encore. Elle veut tout récupérer, se remplir la bouche de sperme, et tout avaler jusqu’à la dernière goutte.

Pour Olivier, cet orgasme interdit est un des plus beaux et le plus excitant qu’il ait vécu. Il est comblé mais déçu de ne pas avoir pu satisfaire cette tigresse. Alors, délicatement, il la couche et emporté par cette envie de sexe qu’elle a réveillée en lui. Il laisse de côté les bons principes de la bienséance « À la papa » et « du faut pas toucher ». Surexcité, il se précipite sur elle pour partager son propre nectar directement dans la bouche de Sonia dans un roulage de pelle torride.

Un vent de folie souffle dans leur corps. La nouvelle étreinte qu’offre Olivier à Sonia est presque bestiale, il lui dévore littéralement les seins et pour le plus grand plaisir de Sonia ; lui mordille les tétons. Son obélisque a fondu un peu et pour lui donner de la vigueur il se précipite sur la chatte féminine qui n’attend que ça depuis longtemps. La langue qui s’introduit dans son vagin est curieuse, fouineuse et presque vorace. Elle a l’impression qu’il veut l’engloutir ; son envie monte toujours et le moment approche.

À tâtons elle récupère le sachet, l’ouvre et enfile le doigt de latex sur le membre revigoré.

Olivier ! Viens … Viens maintenant, tout de suite … ! implore-t-elle.

Il ne faut pas traîner, il obéit, se retourne et la prend d’un coup sec. Sonia sent le membre entrer très vite en elle et s’agiter comme le piston d’une machine ; à cet instant l’homme devient une machine puissante que rien n’arrêtera ; il la tamponne.

Oh… ouiii… vas-y vite… plus vite… Ouiiii…!

Olivier est un sportif, il a du souffle et de l’énergie à revendre, alors il la burine à grands coups de bitte ; elle gémit, couine et se tord de plaisir dans tous les sens. Lui, continue encore plus fort sans ralentir et cette fois c’est un volcan qui explose dans le ventre de Sonia. L’orgasme est puissant, des éclairs parcourent tout son corps et la secouent comme une poupée de chiffon.

Elle est comblée, lui est ravi ; ils s’allongent un moment côte à côte et se caressant et en s’embrassant goulûment…

Dis, Olivier on est un peu gluants, tu ne trouves pas ?

Si un peu.

On va prendre une douche ?

Oui, mais…

Mais quoi ? Allez, on y va … Bon eh bien moi j’y vais.

Sonia se lève et entièrement nue. Elle dévale les escaliers qui mènent aux sanitaires, elle entre dans les douches ; Olivier en tenue d’Adam la suit. Grâce à la prévoyance du jeune homme, ils peuvent se laver au savon ; mais avec de l’eau à peine chaude.

Alors qu’ils se lavent Olivier regarde Sonia avec des yeux pleins de tendresse, des étincelles brillent dans ses yeux, Sonia le remarque :

Pourquoi tu me regardes comme ça ?

Je… je crois que …

Que quoi ?

Je crois que je suis en train de tomber…

Ah non ! Ne tombe surtout pas amoureux de moi, je te l’interdis.

Mais, tu es si …

Non, on fera l’amour tant que tu voudras, mais je t’en supplie ne tombe pas amoureux de moi ; je n’en vaux pas la peine… je t’assure. Allez, pense à demain s’est plus utile. Bon, on monte car je me les gèle.

Assis sur le lit, tous deux en tailleur, il l’observe longuement et lui dit :

Sonia, il me semble que je t’ai déjà vue quelque part.

Attends, tu es de Metz et moi de Marseille ; comment veux-tu qu’on ait pu se rencontrer ?

j’sais pas mais je suis certain de t’avoir déjà il n’y a pas longtemps… bon, c’est pas grave.

Ils laissent les lits accolés et se couchent. Sonia commence à s’endormir contre le corps propre et parfumé d’Olivier quand elle est brutalement secouée.

Je sais, je sais où je t’ai vu.

Mais bien sûr… et la marmotte met le chocolat dans le papier alu ! répond-elle, en sentant une catastrophe venir.

Si, je t’ai vu à la télé…

T’es malade toi !

Non, j’ai mis du temps ; depuis que je t’ai vu à l’accueil je cherche ; en réalité tu t’appelles Noémie ! Noémie j’sais plus quoi, mais je suis certain que c’est toi.

Bon OK, oui tu m’as vu à la télé. Non, mon vrai nom est bien Sonia Wolski ; je te demande de me croire et de ne pas en parler, je t’expliquerai un jour.

Mais ici, s’ils l’apprennent ?

T’inquiète, ils sont au courant ; allez, bisous et bonne nuit. Demain sera un autre jour…

Ils s’enlacent et s’endorment, elle, comblée par cet homme ; et lui plonge dans un rêve plein de fleurs et d’étoiles.

[À suivre]

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