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Porte-jarretelles day – Chapitre 6

Le Spinakker - Chapitre 1



Chapitre 6

Le boss l’observe de ses yeux bleus, le regard transperçant le plateau de verre du bureau, braqué sur les jambes de la femme.

Bien sûr, elle sait qu’une femme aux jambes gainées de bas nylons tenus par un porte-jarretelles envoie aux hommes un signal du genre "baisez-moi". Elle a bien conscience qu’involontairement elle provoque le désir des hommes. Pas vraiment involontairement d’ailleurs, en s’habillant ce matin, elle était déjà excitée… elle se doutait bien que la journée allait être particulière…

Elle se sent très nue : Il y a le tissu et la peau, le nylon et la chair.

Excitée comme une folle, sous le regard lourd du boss, la respiration saccadée, elle soulève lentement une cuisse qu’elle dépose sur l’autre, guettant les signes d’appréciation sur le visage de l’homme qui la mate.

Elle le voit se redresser, tendre le cou pour mieux voir. Elle exulte, pour la première fois de sa vie elle se sent enfin capable de prendre une initiative en matière de lubricité : s’exhiber pour exciter un homme ! Les cuisses sont entièrement découvertes, jusqu’à la culotte.

— Nicole, non seulement vous avez de bien belles jambes, mais de plus vous êtes excitante…

Sous le compliment, elle se cambre. Ses seins, devenus durs, lui font mal, ils ont gonflé dans ce soutien-gorge trop serré. Mais l’émotion est tellement forte qu’elle ne parvient pas à sourire.

— Vraiment très excitante… mais, dites-moi Nicole, cette culotte, bizarre elle n’est pas assortie à…

Elle le coupe, et rouge de confusion, avoue :

— Ce matin j’étais en retard, j’en ai attrapé une en courant, sans vraiment y faire attention.

— Voilà donc ce qui explique cette culotte bleue clair bien couvrante. Enlevez-la donc, elle gâche le spectacle que vous m’offrez !

— Oh, quand même, je ne vais pas…

— Je voudrais vérifier que vous n’êtes pas de ces femmes qui, pour suivre une mode stupide, ont la vulve entièrement épilée. Car voyez-vous, je suis de ces hommes qui aime l’obscénité, et quoi de plus obscène qu’une chatte poilue avec des grandes lèvres proéminentes.

— Non… je ne suis pas épilée… enfin, juste un peu.

Il ne répond pas, il attend, le regard plongé dans les yeux de la femme. Puis, après avoir laissé passer une dizaine de secondes, il demande :

— Etes-vous ce genre de femme qui aime qu’un homme la lui baisse, ou de celle qui préfère la baisser elle-même ?

Tu veux des saloperies, se dit-elle, et bien regarde, regarde bien !

Le défiant du regard, elle décroise les jambes, porte les mains aux ongles vernis à sa taille, saisit les bords de la culotte, et la fait descendre. Difficilement car assise elle doit se tortiller sur le siège pour la faire glisser de son derrière. J’ai vraiment un gros cul, se dit-elle…

Elle réalise que le tissu de la culotte est mouillé, trempé même, plus qu’elle ne l’a jamais été !

Le tissu glisse enfin sur le haute des cuisses, accroche une des attaches de jarretelles. Pestant elle réussit enfin à la descendre le long des mollets. Puis, reportant son regard dans celui de son boss, elle soulève un pied pour retirer la retirer, puis un deuxième. Dans la main, le tissu est tellement imprégné de mouille qu’elle en a les doigts poisseux.

Ne sachant qu’en faire, elle reste là, les jambes jointes, les bras ballants, la culotte dans une main.

— Donnez-la moi ! Dit son boss d’une voix calme mais n’autorisant aucun refus.

Mon dieu, pense-t-elle, il va voir qu’elle est poisseuse, quelle honte. Et si elle sentait le pipi…

— Nicole, j’attends !

Alors, un peu honteuse, elle lui tend le tissu, qu’il porte aussitôt à ses narines.

— Voilà une culotte de femelle excitée… une culotte trempée de jus de femme, quelle délicieuse odeur… Nicole, vous me gâtez !

Je suis complètement folle, pense-t-elle, le salaud, qu’attend-t-il pour me baiser… Il sait bien que je suis prête.

Elle s’imagine à quatre pattes, le cul bien dressé, comme une femelle en chaleur excitant le mâle.

Alors, quelque chose craque en elle… le coeur battant la chamade elle se laisse glisser sur l’avant du siège. Le regard trouble, lèvres entrouvertes, elle ouvre les cuisses, exposant sa vulve, sa chatte couverte de poils englués de mouille. Du bout des doigts elle écarte les poils, sépare les grandes lèvres hypertrophiées, gonflées par l’excitation, exhibant son con avec une totale impudeur.

— Nicole, vous êtes bandante ! Voulez-vous voir dans quel état je suis à cause de vous ?

Elle ne comprend pas la signification de la phrase qu’il vient de prononcer. Dans quel état il est… mais elle le voit bien, il est excité.

Tout en maintenant sa vulve ouverte, bien exposée au regard de l’homme, elle fait lentement glisser un doigt entre les petites lèvres, ivre du plaisir que lui procure l’exhibition obscène qu’elle n’aurait jamais imaginé pouvoir faire, ni même avoir envie de faire.

Il se lève, contourne le bureau, puis lui faisant face à un mètre environ, ouvre sa braguette pour en extirper sa queue raide et fortement veinée.

— Vous voyez ma chère, vous voyez, vous me faite bander ! Votre impudeur, que dis-je, votre obscénité me fait bander dur, c’est bon, tellement bon de regarder votre chatte que vous m’exhiber avec complaisance.

Il l’attrape par le bras, l’aide à se relever. L’appuyant contre le bureau, les fesses sciées par le plateau de verre, il la force à écarter les pieds.

— Je vais vous récompenser pour le spectacle que vous m’offrez…

Il l’attrape par la nuque, l’attire à lui, pose ses lèvres sur les siennes, la langue prenant possession de sa bouche. Gémissante elle s’offre au baiser, les langues se lient, tournoient, fouillent les bouches. Le baiser est torride, un filet de bave s’écoule de leurs lèvres jointes.

Folle de désir, elle attrape la queue, qui soubresaute entre les doigts fins. Une queue, elle a une queue dans la main, une queue raide, bien dure, une… une bite, une bite qui bande pour elle, elle qui vient de se comporter comme la pire des salopes en exhibant son con de femelle en rut !

Alors il introduit un doigt dans la fente de la femme, s’enroule dans les poils, fouillant les replis de la vulve. Un doigt, puis deux dérapent dans la chair rougie, gluante de mouille, glissent dans le trou, s’enfoncent lentement, inexorablement. La vulve est tellement ouverte qu’il doit en introduire un troisième pour bien remplir les parois. Puis il entreprend un massage de l’intérieur de la vulve, tournoyant les doigts, accompagné d’un mouvement de va-et-vient. De plus en plus vite, les doigts fouillent sans ménagement, un quatrième vient rejoindre les trois autres doigts, la paume de sa main frappe le clito. Elle sent quelque chose se passer dans le bas du ventre, comme une boule qui demande à éclater. S’embrassant furieusement, elle entend un bruit obscène de clapotis.

Elle lâche la queue, s’accroche des deux bras au cou de l’homme en posant la tête au creux de son cou, gémissante. Puis, dans un long gémissement, le dos cambré, offerte à la main qui la fouille, saoulé par le plaisir, elle jouit, crie, en giclant un flot de mouille. Lui ne s’arrête pas, il continue de s’acharner dans la vulve de Nicole, qui s’écroulerait s’il ne la retenait pas. En tremblant elle continue d’expulser de la mouille par giclées successives. La manche de l’homme est trempée, la main dégouline de jus qui éclabousse le sol. Lorsqu’enfin la source se tarit, elle réalise que les bas couvrant ses jambes sont trempés.

Le regard voilé, elle regarde l’homme qui vient de la faire jouir. Le regard fixé sur ses cuisses, sa chatte, il empoigne sa bite, se branle frénétiquement. La voix rauque, il lui dit :

— Nicole, cochonne, vous m’avez excité à mort. Regardez, je vais souiller votre con de mon sperme chaud. Vous le voulez, n’est-ce pas Nicole, vous voulez me voir éjaculer sur vous… vous voulez mon foutre, salope… regardez bien !

Dans un gémissement rauque, il jouit à son tour. Un premier jet de foutre éclabousse la chair d’une cuisse, juste au-dessus de la lisière du bas. Puis un deuxième jet atterrit dans les poils du con. A cette vue, un autre orgasme prend Nicole par surprise, qui libère sa jouissance en criant. Enfin un troisième jet de sperme, moins puissant, éclabousse le tissu du bas.

Elle réalise alors que ses jambes sont trempées de liquide poisseux, mélange de foutre et de mouille… ses escarpins trempent dans une flaque ressemblant à de l’eau.

— J’ai…, j’ai fait pipi, c’est…

— Mais non Nicole, c’est votre mouille, vous avez giclé. Regardez la manchette de ma chemise, trempée de votre jus de femme, votre jus de femelle en manque !

Rassurée et reconnaissante, elle saisit les couilles, les caresse avec douceur, en lui tendant ses lèvres gorgées de sang. Dans un long baiser, tendre et langoureux cette fois ci, ils échangent leur salive.

Les yeux hagards, elle le voit essuyer sa queue contre le nylon, la glissant même entre le haut du bas et la chair moite.

C’est sale, se dit-elle, quel vicieux, quel pervers, j’en ai partout… je suis une dépravée, une sa… une salope… et j’aime ça !

Dans ses rêves les plus fous, jamais, jamais elle n’aurait imaginé vivre une telle scène. Elle, si prude, pieuse au point de ne jamais rater une messe, vient de se comporter comme la dernière des salopes, exhibant sa chatte, se laissant tripoter, fouiller, entièrement habillée à part la culotte, debout dans le bureau de l’entreprise où elle excelle dans son travail. Et, elle se l’avoue, jamais elle n’avait ressenti une telle jouissance.

Reprenant ses esprits, une odeur qu’elle reconnait lui saute aux narines, mélange de sueur et d’autre chose.

Soudain, elle réalise : cette odeur, c’est une odeur de sexe, celle qu’elle avait senti quand elle a pénétré dans le bureau de son boss après qu’Eléanore en soit sortie ! Il avait certainement éjaculé sur elle comme il venait de le faire, peut-être même l’avait-elle… sucé !

Des bruits de talons sur le parquet… Eléanore apparait à la porte du bureau, et saisie par le spectacle qui apparait devant ses yeux, s’arrête sur le seuil, la bouche et les yeux grands ouverts : Nicole, debout appuyée contre le bureau, les deux mains posées sut le plateau, les escarpins baignant dans le jus qu’elle a expulsé, les bas souillés de cyprine et de sperme, le boss la queue à l’air encore tendue, la culotte sur le plateau de verre.

Le boss saisit son iPhone et prend une puis deux photos de Nicole qui, complètement dépassée par les évènements, ne bouge pas. Elle réalise que la porte du bureau est restée ouverte, n’importe qui aurait pu entrer !

Eléanore, arborant un grand sourire, s’approche de Nicole, caresse une des cuisses poisseuse, et dépose un léger baiser sur les lèvres de la femme. Puis elle porte les doigts à sa bouche, et en regardant Nicole dans les yeux :

— Délicieux, on dirait un mélange de foutre et de mouille. Vous avez dû vous régaler ! Je suis arrivée trop tard, dommage…

Le boss, un large sourire aux lèvres, prend une photo des deux femmes.

— Nicole, vous êtes encore plus belle quand vous avez jouis.

— C’est vrai qu’elle est belle, réplique Eléanore. Elle en a de la chance, moi aussi j’aimerais qu’on s’occupe de moi…

— Une autre fois, jeune femme, une autre fois. Nicole m’a vidé, au sens propre du terme !

Eléanore prend la main de Nicole et l’entraîne hors du bureau.

— Venez Nicole, je vais vous aider à retrouver une allure convenable.

— J’adore ces lundis. Dorénavant, le lundi sera le "porte-jarretelles day". Qu’en pensez-vous les filles ? Dit le boss en riant aux éclats.

— Bien monsieur, dit Nicole, sans vraiment comprendre pourquoi elle répond.

— Bonne idée, répond Eléanore en riant, et j’espère que la prochaine fois on s’occupera un peu de moi !

Heureusement il est tard, à part eux trois l’étage est vide de ses occupants. Elle entraîne la femme dans les toilettes. Elle détache les bas, retire les escarpins. Puis avec une infinie douceur elle saisit un linge propre pour nettoyer les jambes et la chatte de Nicole, qui se laisse faire, encore sous le coup de ce qui vient de se passer. Elle se sent bien dans son corps et dans sa tête, reposée, un peu honteuse de s’être laissée manipuler, mais après tout, elle l’avait bien cherché… Eléanore aimerait bien la lécher, mais intelligemment elle se retient, sachant qu’avec les émotions que vient de vivre Nicole elle a besoin de récupérer psychologiquement. Malgré tout, curieuse d’obtenir quelques détails sur ce qui s’est passé, elle demande :

— Il vous a sucé la chatte ?

— Non, heu…

— Bizarre, d’habitude il adore lécher une chatte, surtout une chatte poilue… et aussi la raie du cul… il vous a bien baisé quand même ?

— Non, non, il m’a juste fait jouir avec… avec ses doigts, puis il a… mon dieu, il a… éjaculé sur mes cuisses !

— Et sur votre chatte aussi ! Il devait être drôlement excité, d’habitude il prend son temps avant d’envoyer son foutre…

— Ah bon, d’habitude…

Eléanore lui coupe la parole, l’empêchant de poser trop de questions qui pourraient être embarrassantes pour le moment.

— Je vais vous donner un conseil : dans mon sac, j’ai toujours une paire de bas et un collant neufs, et une culotte propre, juste au cas où…

— Euh… oui.

— Pour cette fois ci vous allez devoir rentrer chez vous les jambes nues. Heureusement il ne fait pas trop froid.

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