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Pour le plaisir de ma femme. – Chapitre 1

Pour le plaisir de ma femme. - Chapitre 1



Pour le plaisir de ma femme.

Bonjour à vous chers lecteurs et lectrices.

Ça fait longtemps que je pense à la publication de notre histoire, car somme toute, elle fut quand même passionnante. Il y avait des hauts et des bas, des joies, des douleurs, mais nous avons réussi à traverser ensemble malgré tout.

D’abord, je vais nous présenter, nous sommes un couple moyen, je me prénomme Antoine, très grand, mince, 53 ans, fonctionnaire, et ma moitié Carine, elle est serveuse, 52 ans, cheveux châtains teintés blonds, très belle, beaux gros seins. Comme on dit, elle a tout ce qu’il faut là où il le faut !

Nous nous sommes connus il y a plus de 30 ans, mariés deux ans plus tard. Malgré une vie sexuelle très active, au bout de quelques années, la monotonie s’est installée petit à petit dans notre couple.

Comme j’ai toujours aimé ces créatures merveilleuses que l’on appelle femmes, mais ne voulant pas tromper la mienne et lui faire de la peine, j’ai pensé qu’on pourrait peut-être expérimenter l’échangisme. Ça répondrait à mes besoins et ferait d’une pierre deux coups en relançant notre sexualité un peu éteinte sans faire de peine à personne.

Il faut juste avoir une confiance totale l’un dans l’autre. Pour moi, pas de problème, mais je sais que pour elle, étant assez jalouse, ça sera plus dur à accepter.

Il m’a fallu plusieurs mois avant de réussir à la convaincre de tenter l’expérience échangisme avec un couple d’amis plus âgés dans la quarantaine.

Caroline n’a pas voulu vivre ça à quatre et nous sommes finalement tombés d’accord pour faire l’amour dans des chambres séparées. Lui est d’apparence moyenne, elle est une blonde sans être une bombe, mais très chaude au lit suivant ses dires.

Malheureusement pour ma femme, l’homme n’avait pas l’air très doué et ils ont terminé assez rapidement leurs affaires, se retrouvant à prendre un café dans la cuisine pendant qu’on s’éclatait au salon.

Il est venu nous voir pour profiter du spectacle de sa femme en train de me chevaucher comme une furie faisant du rodéo sur un alezan au dressage. Elle lui a fait des signes lui prouvant qu’elle s’éclatait de son côté en baisant avec moi. Il m’encourageait même à la fourrer comme la grosse pute qu’elle était. J’ai éjaculé en elle, on n’avait pas de capote, mais on avait pris nos précautions question santé.

Caro nous avait rejoints, très mécontente de cette expérience ratée pour elle, restant sur sa faim, contrairement à moi et ma partenaire, exacerbant davantage sa jalousie contre les autres femmes. En effet, elle voyait en chaque femme qui m’approchait une concurrente potentielle. J’ai essayé de la convaincre en vain que je n’aime qu’elle et que mon attirance pour les femmes n’est que sexuelle, mais c’est comme se heurter à un mur.

Le pire c’est que de son côté, elle voudrait bien pouvoir s’éclater avec d’autres hommes que moi. Allez comprendre les femmes…

J’ai une complète confiance en elle. Je n’ai donc d’autre choix que de lui permettre de rencontrer des hommes du moment qu’elle m’en tienne informé et que je ne m’y oppose pas.

Il est vrai qu’imaginer sa femme entre les bras d’un autre homme m’excite, mais moi je demeure inassouvi et un peu jaloux de ne pas pouvoir de mon côté faire l’amour avec d’autres femmes.

Donc, j’ai donné mon accord pour qu’elle puisse voir d’autres hommes tout en essayant de tirer plaisir de ses jouissances et en espérant qu’un jour moi aussi je pourrais baiser de belles femmes. Malheureusement, le temps m’a prouvé le contraire.

Elle commençait à sortir avec une de ses amies qui vivait seule. Une nuit, elle est rentrée assez tard, vers 5 heures du matin, bien après la fermeture des discothèques. Elle m’a avoué assez penaude qu’elle avait eu une aventure avec un homme qui l’avait baisée (et bien baisé en plus !)

C’était la première fois qu’elle couchait avec un autre homme que moi depuis huit ans hormis notre expérience à quatre. Elle sentait « le mâle», le sexe, la souillure, le sperme ! Ça m’a excité énormément et nous avons baisé comme des fous le reste de la nuit alors qu’elle me racontait tout en détail dans des termes cochons qu’elle n’utilise jamais en temps normal.

Le samedi suivant, elle rentra encore plus tard, vers sept heures du matin, cette fois, elle avait eu une aventure ensemble avec son amie et deux marins ! Elles se sont fait fourrer dans la même chambre par les deux hommes, pratiquement toute la nuit ! Ce devait être la plus chaude et perverse baise de son existence jusque-là. Malheureusement, je n’ai pas pu y assister, ma présence aurait été gênante pour les deux amies et pour les deux marins aussi, j’imagine.

Après quelques petites aventures d’un soir, elle a rencontré Bernard, un jeune militaire, qui est devenu son amant régulier, pendant un an et demi.

C’était un bon gars, sociable, amical, poli, sauf… qu’il n’acceptait pas ma présence pendant qu’il baisait ma femme ! Selon ma femme, il était bien mieux membré que moi, qui suis dans le bon moyen. Plus long, mais surtout plus large, pour le plus grand plaisir de Carine. En effet, elle aime les gros sexes, mais pas les extrêmes quand même.

Bernard venait régulièrement, 2/3 fois par semaine et parfois, il pouvait rester plusieurs jours.

On parlait de tout et de rien, mais surtout pas de sexe. Ma femme s’asseyait souvent sur ses genoux sans vergogne, ou à côté de lui pour des petites caresses, mais ça n’est jamais allé jusqu’au sexe devant moi ! Pourtant j’aurais tant aimé les voir baiser ensemble…

Ma femme a pourtant essayé de le provoquer, se blottissant dans ses bras, mais ça n’allait pas plus loin en ma présence.

Au début, j’avais pris l’habitude de les laisser seuls dans le salon en allant me coucher et peu après, je les entendais baiser, ce n’était pas difficile à deviner, car ils étaient assez bruyants.

Je me levais en douce pour les épier depuis la porte entrebâillée. J’avais un accord avec eux, quand ils avaient fini, Bernard dormait sur le sofa du salon et Carine venait me rejoindre dans notre chambre sans se laver, encore souillée.

Je pouvais enfin profiter de ma femme, la prendre moi aussi, c’était extrêmement excitant, son vagin était chaud et glissant du sperme de son amant. Je ne pouvais pas garder mon érection pendant bien longtemps, car à mon tour, j’éjaculais rapidement en elle.

Puis un jour, ma femme a osé me demander de la nettoyer, de la lécher alors qu’elle était encore pleine du sperme de son amant. (Plus tard j’ai su que c’était une idée de Bernard).

Je ne voulais pas, trouvant ça dégueulasse. L’idée a fait son chemin et une autre fois, alors qu’elle m’avait suffisamment chauffé, elle s’est assise sur mon visage et a commencé à frotter sa chatte remplie de sperme sur mes lèvres. J’ai ouvert ma bouche pour lécher sa fente et elle en a profité pour serrer ses muscles intimes, éjectant le sperme mélangé à sa cyprine.

J’étais tellement excité, que je n’ai pas réalisé tout de suite, j’ai dégusté pour la première fois le goût du sperme d’un homme, ma femme a adoré ça, moi un peu moins ! Depuis, elle se fait lécher à chaque fois quand l’occasion se présente. À vrai dire, je n’ai jamais été attiré par les hommes, ce n’était pas pour moi, mais je le faisais pour elle.

Le summum a été atteint un soir où elle a décidé que Bernard resterait dormir dans notre chambre et moi au salon. Ils baisaient dans le lit conjugal et elle avait le culot de venir me voir pour se faire nettoyer sa chatte.

Elle trouvait peut-être ça très excitant de pouvoir coucher avec son amant dans notre lit, pendant que moi je me morfondais au salon. Je savais que ça allait trop loin, mais Carine tenait beaucoup à son amant (sûrement à cause de sa grosse queue), elle voulait le garder et je commençais à passer après son plaisir.

A suivre…

Je ne fais que l’intermédiaire pour cette histoire vraie d’un couple de lecteurs canadiens.

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